Background: Using a nationwide survey, we aimed to determine the current status of operative dictation training in Canada.
Methods: Residents and program directors in general surgery programs in Canada participated in this survey.
Results: In all, 274 residents and 11 program directors responded to the survey (70% and 79% response rates, respectively). Among residents, 73% reported that their dictations were in need of improvement, and 56% reported never receiving feedback about their dictations. Most residents (80%) stated that they learned to dictate by reading old operative dictations, 75% reported that their program did not use any formal methods to help improve dictations, and 70% requested further training in dictation. In all, 91% of program directors felt that residency programs should include formal training in dictation but half could not identify any formal methods currently used in their programs.
Conclusion: There appears to be a marked deficiency in resident training in operative dictation nationwide.
Contexte: Nous avons effectué un sondage national pour déterminer la situation actuelle de la formation en dictée opératoire au Canada.
Méthodes: Des médecins résidents et des directeurs de programmes de chirurgie générale au Canada ont participé au sondage.
Résultats: Au total, 274 médecins résidents et 11 directeurs de programme ont répondu au sondage (taux de réponse de 70 % et 79 %, respectivement). Chez les médecins résidents, 73 % ont signalé qu’ils devaient améliorer leur dictée et 56 % ont déclaré n’avoir jamais reçu de commentaires au sujet de leur dictée. La plupart des médecins résidents (80 %) ont déclaré avoir appris à dicter en lisant de vieilles dictées opératoires, 75 % ont signalé que leur programme n’utilisait pas de méthodes structurées pour les aider à améliorer leur dictée et 70 % ont demandé une formation plus poussée à la dictée. Au total, 91 % des directeurs de programme étaient d’avis que les programmes de résidence devraient inclure une formation structurée à la dictée, mais la moitié n’ont pu décrire de méthode structurée utilisée couramment dans leur programme.
Conclusion: Il semble y avoir, à l’échelle nationale, une lacune marquée dans la formation des médecins résidents à la dictée opératoire.