A cross-sectional study of the association between overnight call and irritable bowel syndrome in medical students

Can J Gastroenterol. 2012 May;26(5):281-4. doi: 10.1155/2012/865915.

Abstract

Background: Shift work has been associated with irritable bowel syndrome (IBS), which includes gastrointestinal symptoms such as abdominal pain, constipation and diarrhea. Overnight call shifts also lead to a disruption of the endogenous circadian rhythm.

Hypothesis: Medical students who perform intermittent overnight call shifts will demonstrate a higher prevalence of IBS symptoms when compared with medical students who perform no overnight call shifts.

Methods: First- and second-year (preclinical) medical students have no overnight call requirements, whereas third- and fourth-year medical (clerkship) students do have overnight call requirements. All medical students at the Schulich School of Medicine and Dentistry (London, Ontario) were invited to complete an anonymous, web-based survey or an identical paper copy that included demographic data, the Rome III questionnaire and the IBS-Quality of Life measure (IBS-QOL). The prevalence of IBS symptoms and quality of life secondary to those symptoms were determined.

Results: Data were available for 247 medical students (110 preclinical students, 118 clerkship students and 19 excluded surveys). There was no significant difference in the presence of IBS between preclinical and clerkship students (21 of 110 [19.1%] versus 26 of 118 [22.0%]; P=0.58). The were no significant differences in mean (± SD) IBS-QOL score of those with IBS between preclinical (43.5±8.3) and clerkship students (45.7±13.8) (P=0.53).

Conclusions: Participation in overnight call was not associated with the development of IBS or a lower quality of life secondary to IBS in medical students.

HISTORIQUE :: Le travail par quart a été associé au syndrome du côlon irritable (SCI), qui inclut des symptômes gastro-intestinaux comme les maux de ventre, la constipation et la diarrhée. Les quarts de garde de nuit entraînent également une perturbation du rythme circadien endogène.

HYPOTHÈSE :: Les étudiants en médecine qui font des quarts de garde de nuit intermittents démontreront une plus forte prévalence de symptômes de SCI que les étudiants en médecine qui n’en font pas.

MÉTHODOLOGIE :: Les étudiants en médecine de première et de deuxième année (période préclinique) n’ont pas besoin de faire des gardes de nuit, tandis que les étudiants en médecine de troisième et quatrième année (stage clinique) doivent en faire. Tous les étudiants en médecine de l’école de médecine et de dentisterie de Schulich de London, en Ontario, ont été invités à remplir le même sondage anonyme par Internet ou sur papier, lequel incluait des données démographiques, le questionnaire de Rome III et la mesure de qualité de vie du SCI (SCI-QdV). Ils ont déterminé la prévalence de symptômes de SCI et de qualité de vie après l’apparition de ces symptômes.

RÉSULTATS :: Les auteurs ont obtenu des données au sujet de 247 étudiants en médecine (110 étudiants en période préclinique, 118 étudiants en stage clinique et 19 sondages exclus). Il n’y avait pas de différence significative en présence de SCI entre les étudiants en période préclinique et ceux en stage clinique (21 sur 110 [19,1 %] par rapport à 26 sur 118 [22,0 %]; P=0,58), ni entre l’indice de SCI-QdV moyen (± ÉT) des étudiants en médecine atteints de SCI en période préclinique (43,5±8,3) et de ceux en stage clinique (45,7±13,8) (P=0,53).

CONCLUSIONS :: La participation aux gardes de nuit ne s’associait pas à l’apparition d’un SCI ou d’une moins bonne qualité de vie causée par le SCI chez les étudiants en médecine.

MeSH terms

  • Adult
  • Clinical Clerkship
  • Cross-Sectional Studies
  • Female
  • Humans
  • Irritable Bowel Syndrome / epidemiology*
  • Male
  • Ontario / epidemiology
  • Prevalence
  • Quality of Life
  • Risk Factors
  • Students, Medical* / statistics & numerical data
  • Work Schedule Tolerance*
  • Young Adult