Grappling with key questions about assessment of the Health Advocate role

Can Med Educ J. 2023 Mar 21;14(1):80-89. doi: 10.36834/cmej.73878. eCollection 2023 Mar.

Abstract

Introduction: Although the CanMEDS framework sets the standard for Canadian training, health advocacy competence does not appear to factor heavily into high stakes assessment decisions. Without forces motivating uptake, there is little movement by educational programs to integrate robust advocacy teaching and assessment practices. However, by adopting CanMEDS, the Canadian medical education community endorses that advocacy is required for competent medical practice. It's time to back up that endorsement with meaningful action. Our purpose was to aid this work by answering the key questions that continue to challenge training for this intrinsic physician role.

Methods: We used a critical review methodology to both examine literature relevant to the complexities impeding robust advocacy assessment, and develop recommendations. Our review moved iteratively through five phases: focusing the question, searching the literature, appraising and selecting sources, and analyzing results.

Results: Improving advocacy training relies, in part, on the medical education community developing a shared vision of the Health Advocate (HA) role, designing, implementing, and integrating developmentally appropriate curricula, and considering ethical implications of assessing a role that may be risky to enact.

Conclusion: Changes to assessment could be a key driver of curricular change for the HA role, provided implementation timelines and resources are sufficient to make necessary changes meaningful. To truly be meaningful, however, advocacy first needs to be perceived as valuable. Our recommendations are intended as a roadmap for transforming advocacy from a theoretical and aspirational value into one viewed as having both practical relevance and consequential implications.

Introduction: Bien que le référentiel CanMEDS établisse les normes en matière de formation et de pratique médicale au Canada, la compétence de promotion de la santé (PS) ne semble pas peser lourd aux étapes décisives du continuum de la formation médicale. En l’absence de facteurs incitatifs, les programmes de formation sont peu enclins à intégrer des pratiques solides d’enseignement et d’évaluation en matière de PS. Un système de soins de santé marqué par l’iniquité appelle pourtant des efforts de sensibilisation. En adoptant le référentiel CanMEDS, le milieu canadien de l’éducation médicale a reconnu que la PS est nécessaire à la pratique compétente de la médecine. Il est temps que cet engagement soit traduit en actions concrètes.

Méthodes: Employant une méthode d’analyse critique, nous avons examiné les écrits qui peuvent éclairer les obstacles à l’évaluation sérieuse de la PS et avons formulé des recommandations. L’examen a été effectué de manière itérative en cinq étapes : définition de la question de recherche, recherche documentaire, évaluation et sélection des sources, et analyse des résultats.

Résultats: L’amélioration de la formation en matière de PS suppose, entre autres, que le milieu de l’éducation médicale s’attèle aux enjeux clés suivants : 1) l’élaborer une vision commune de la PS, 2) concevoir, mettre en œuvre et intégrer des programmes d’études évolutifs et 3) considérer les répercussions éthiques de l’évaluation d’un rôle qui comporte une part de risque.

Conclusion: Le manque de visibilité et d’attention accordées à la PS dans la formation amène de nombreux apprenants à se demander si leur compétence en la matière compte vraiment. Nous estimons que la promotion de la santé est au cœur des soins centrés sur le patient. Nous lançons donc un appel à redoubler nos efforts collectifs pour faire passer la PS du statut de simple aspiration et de valeur théorique à celui d’une valeur ayant une pertinence et des incidences concrètes.

Publication types

  • Review

MeSH terms

  • Canada
  • Curriculum*
  • Education, Medical*
  • Physician's Role

Grants and funding

Funding: None