Pleasure is often left out of sexual and reproductive health and rights (SRHR) interventions. The expanding evidence base suggests that the inclusion of pleasure can improve SRHR outcomes and increase safer sex practices. However, there is a lack of research into how to include pleasure in applied SRHR work, particularly outside of key groups. This study aims to present the experiences of a cohort of pleasure implementers and develop a series of implementation best practices. Data were gathered from a structured survey filled out by pleasure implementers (n = 8) twice between September 2021 and October 2022 at 6-month intervals. Focus group discussions (FGDs) were carried out remotely with pleasure implementers, those that funded their pleasure work (n = 2) or provided technical support (n = 2) in January 2023. Pleasure implementers, based in Central, East and Southern Africa and India, reported tangible outcomes of their pleasure-based work in various contexts and across diverse groups. Themes that emerged from analysis of the FGDs and survey responses included pleasure as a portal to positive outcomes, barriers to a pleasure approach, and mechanisms by which pleasure allows for open and non-judgmental discussion about sex and pleasure. A series of best practices emerged from pleasure implementer experiences. This study concludes that a pleasure-based approach can be introduced to a wide range of groups and communities, even those assumed too conservative to accept a pleasure approach. The best practices developed offer a range of practically driven recommendations, that others can lean on when integrating a pleasure approach into their work.
Le plaisir est souvent laissé de côté dans les interventions de santé et droits sexuels et reproductifs (SDSR). La base croissante de données suggère que l’inclusion du plaisir peut améliorer les résultats en matière de SDSR et favoriser les pratiques sexuelles sûres. Néanmoins, on observe un manque de recherche sur la manière d’inclure le plaisir dans le travail appliqué en matière de SDSR, en particulier en dehors des groupes clés. Cette étude vise à présenter les expériences d’une cohorte d’intégrateurs du plaisir et à élaborer une série de bonnes pratiques de mise en œuvre. Les données ont été recueillies à partir d’une enquête structurée remplie par des intégrateurs du plaisir (n = 8) deux fois entre septembre 2021 et octobre 2022 à des intervalles de six mois. En janvier 2023, des discussions de groupe ont été organisées à distance avec les intégrateurs du plaisir, les personnes qui finançaient leur travail en matière de plaisir (n = 2) ou apportaient un soutien technique (n = 2). Les intégrateurs du plaisir, basés en Afrique centrale, orientale et australe ainsi qu’en Inde, ont fait état de résultats concrets de leur travail fondé sur le plaisir dans différents contextes et au sein de groupes divers. Les thèmes qui ont émergé de l’analyse des discussions de groupe et des réponses à l’enquête comprenaient le plaisir comme portail vers des résultats positifs, les obstacles à une approche du plaisir et les mécanismes par lesquels le plaisir permet une discussion ouverte et sans jugement sur les rapports sexuels et le plaisir. Une série de bonnes pratiques a émergé des expériences des intégrateurs du plaisir. Cette étude conclut qu’une approche basée sur le plaisir peut être introduite dans un vaste éventail de communautés et de groupes, même ceux qui sont considérés comme trop conservateurs pour accepter une telle approche. Les bonnes pratiques mises au point offrent une palette de recommandations concrètes, sur lesquelles d’autres peuvent s’appuyer pour intégrer une approche axée sur le plaisir dans leur travail.
Generalmente se omite el placer en las intervenciones sobre salud y derechos sexuales y reproductivos (SDSR). La creciente base de evidencia indica que la inclusión del placer puede mejorar los resultados de SDSR y aumentar las prácticas de sexo más seguro. Sin embargo, se carece de investigaciones sobre cómo incluir el placer en el trabajo aplicado en SDSR, en particular fuera de grupos clave. Este estudio pretende presentar las experiencias de una cohorte de ejecutores de placer y crear una serie de prácticas óptimas de ejecución. Se recolectaron datos por medio de una encuesta estructurada contestada por ejecutores de placer (n = 8) dos veces entre septiembre de 2021 y octubre de 2022 a intervalos de 6 meses. Se realizaron discusiones en grupos focales (DGF) a distancia con ejecutores de placer, aquellos que financiaron su trabajo sobre placer (n = 2) o brindaron apoyo técnico (n = 2) en enero de 2023. Los ejecutores de placer, con sede en África Central, Occidental y Meridional y en India, informaron resultados tangibles de su trabajo sobre placer en diversos contextos y en diversos grupos. Entre los temas que surgieron del análisis de las DGF y las respuestas a las encuestas se encuentran: placer como un portal a resultados positivos, barreras al enfoque de placer, y mecanismos por los cuales el placer permite un debate abierto y sin prejuicios sobre sexo y placer. De las experiencias de los ejecutores de placer surgió una serie de prácticas óptimas. Este estudio concluye que el enfoque basado en placer se puede presentar a una gran variedad de grupos y comunidades, incluso aquellos que son considerados como demasiado conservadores para aceptar el enfoque de placer. Las prácticas óptimas elaboradas ofrecen una variedad de recomendaciones prácticas, que otras personas pueden seguir para integrar el enfoque de placer en su trabajo.
Keywords: India; implementation; midwives; pleasure; reproductive and sexual health and rights; sex education; sex workers; sub-Saharan Africa; trans people; young people.