Background: Affected sexual relationships affect both the quality of life of men and women. Platelet-derived therapies are becoming increasingly popular in various medical and surgical fields because of their ability to aid in tissue healing and vascular remodeling. This study aimed to assess the safety and effectiveness of platelet-rich plasma (PRP) injections in treating patients with erectile dysfunction (ED).
Results: Fifty-two participants with mild to moderate ED were divided into two groups: group A, who received three PRP penile injections, and group B, who received three saline injections (5 ml for each injection site). The International Index of Erectile Function (IIEF) was used to evaluate all participants. A month after the last injection, the PRP group's IIEF was 16.12 ± 1.25, while the placebo group's was 15.99 ± 1.21 (p = 0.683). Following a 3-month period, the IIEF for the PRP group was 16.44 ± 1.17, while the placebo group's was 16.31 ± 1.06 (p value = 0.653). Following a 6-month period, the IIEF for the PRP group was 16.35 ± 1.45, while that for the placebo group's was 16.23 ± 1.19 (p = 0.727). In terms of IIEF, there was no significant difference between the two groups after one, three, and six months of treatment.
Conclusion: In brief, our research revealed no data to support the application of PRP injections in the management of mild-to-moderate ED.
RéSUMé: CONTEXTE: Une altération des relations sexuelles affecte à la fois la qualité de vie des hommes et des femmes. Les thérapies dérivées des plaquettes deviennent de plus en plus populaires dans divers domaines médicaux et chirurgicaux, en raison de leur capacité à aider à la guérison des tissus et au remodelage vasculaire. La présente étude visait à évaluer l’innocuité et l’efficacité d’injections de plasma riche en plaquettes (PRP) dans le traitement des patients atteints de dysfonction érectile (DE). RéSULTATS: Fifty-two participants atteints de dysfonction érectile légère à modérée ont été divisés en deux groupes: le groupe A, qui a reçu trois injections de PRP dans le pénis, et le groupe B, qui a reçu trois injections de solution saline (5 ml pour chaque site d’injection). L’indice international de la fonction érectile (IIEF) a été utilisé pour évaluer tous les participants. Un mois après la dernière injection, l’IIEF du groupe PRP était de 16,12 ± 1,25, tandis que celui du groupe placebo était de 15,99 ± 1,21 (p = 0,68). Trois mois après la dernière injection, l’IIEF pour le groupe PRP était de 16,44 ± 1,17, tandis que celui du groupe placebo était de 16,31 ± 1,06 (valeur p = 0,65). Enfin, 6 mois après la dernière injection, l’IIEF pour le groupe PRP était de 16,35 ± 1,45, tandis que celui du groupe placebo était de 16,23 ± 1,19 (p = 0,73). En ce qui concerne l’IIEF, il n’y avait pas de différence significative entre les deux groupes après un, trois et six mois de traitement. CONCLUSION: En bref, notre recherche n’a révélé aucune donnée en faveur de l’application des injections de PRP dans la prise en charge de la dysfonction érectile légère à modérée.
Keywords: Erectile dysfunction; PRFM; PRP.
© 2024. The Author(s).