Through implementing a bidirectional Mendelian randomization (MR) study, the causal effects between gut microbiome and polycystic ovary syndrome (PCOS) were analyzed. Summary statistics for PCOS were acquired from the FinnGen consortium R8 release data, which included 27,943 cases and 162,936 controls. The inverse-variance weighting (IVW) method was adopted for analysis. Additionally, the causality involving exposure plus the outcome was evaluated by means of MR-Egger, weighted median, simple mode methods, as well as weighted mode. The IVW estimate showed that the genera Streptococcus plus Enterorhabdus served as protectors of PCOS. By contrast, the phylum Tenericutes, genera Anaerofilum, Coprococcus 2, Lachnospiraceae ND3007 group and Ruminiclostridium 5 were identified as risk elements of PCOS. Based on reverse MR analyses from PCOS on the intestinal microbiome based on the IVW method, the phyla Tenericutes, Actinobacteria, class Actinobacteria, genera Ruminococcaceae UCG004 and Christensenellaceae R 7group exhibited a down-regulation effect after PCOS onset. The genera Bacteroides, Barnesiella, Erysipelotrichaceae UCG003, Ruminococcus gnavus group, and Veillonella were up-regulated. No horizontal pleiotropy or significant IV heterogeneity was observed. We conclude that there is a causality relationship between gut microbiome and PCOS, where some bacterial taxa can be used as biomarkers to promote targeted diagnosis and therapy for PCOS.
Grâce à la mise en œuvre d’une étude de randomisation mendélienne (MR) bidirectionnelle, les effets causals entre le microbiome intestinal et le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ont été analysés. Les statistiques récapitulatives sur le SOPK ont été acquises à partir des données de diffusion R8 du consortium FinnGen, qui comprenaient 27 943 cas et 162 936 contrôles. La méthode de pondération de variance inverse (IVW) a été adoptée pour l'analyse. De plus, la causalité impliquant l'exposition et le résultat a été évaluée au moyen des méthodes MR-Egger, de la médiane pondérée, du mode simple, ainsi que du mode pondéré. L'estimation IVW a montré que les genres Streptococcus et Enterorhabdus servaient de protecteurs du SOPK. En revanche, le phylum Tenericutes, les genres Anaerofilum, Coprococcus 2, le groupe Lachnospiraceae ND3007 et Ruminiclostridium 5 ont été identifiés comme éléments de risque du SOPK. Sur la base d'analyses IRM inverse du SOPK sur le microbiome intestinal basées sur la méthode IVW, les phyla Tenericutes, Actinobacteria, classe Actinobacteria, genres Ruminococcaceae UCG004 et Christensenellaceae R 7group ont présenté un effet de régulation négative après l'apparition du SOPK. Les genres Bacteroides, Barnesiella, Erysipelotrichaceae UCG003, le groupe Ruminococcus gnavus et Veillonella étaient régulés positivement. Aucune pléiotropie horizontale ni hétérogénéité IV significative n’a été observée. Nous concluons qu’il existe une relation de causalité entre le microbiome intestinal et le SOPK, certains taxons bactériens pouvant être utilisés comme biomarqueurs pour promouvoir un diagnostic et un traitement ciblés du SOPK.
Keywords: Causal effect; Mendelian randomization; gut microbiome; polycystic ovary syndrome.
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