We used the 1997 Ontario Drug Monitor, a population-based, random-digit dialing survey of 2,776 adults, to obtain a baseline assessment of alcohol drinking by Ontarians against the 1997 low-risk drinking guidelines of the Addiction Research Foundation and the Canadian Centre on Substance Abuse. Average weekly alcohol consumption and the frequency of exceeding the daily limit, estimated using the graduated frequency scale, were determined for the population overall, and by sex and age group (18-44 and 45+ years). Most Ontarians drank alcohol in a pattern associated with a low risk of health consequences. About 10% of women and 25% of men drank in a style associated with some increase in acute or long-term risk. Younger men were most likely to drink in a risky pattern. Most drinkers of middle age or older, for whom cardiovascular disease is a significant health risk, consumed alcohol in a pattern associated with cardiovascular benefit.
L’indicateur de la consommation de drogues en Ontario 1997, un sondage téléphonique aléatoire mené auprès d’un échantillon représentatif de 2 776 adultes, a servi pour faire une évaluation de base de la consommation d’alcool parmi les adultes ontariens par rapport aux directives de la consommation à faible risque établies en 1997 par la Fondation de la recherche sur la toxicomanie et le Centre canadien de lutte contre la toxicomanie. Les chercheurs ont déterminé les moyennes hebdomadaires de consommation d’alcool et la fréquence à laquelle les limites quotidiennes étaient dépassées, estimées à l’aide de l’échelle de fréquence graduée, pour la population en général, et par sexe et groupe d’âge (18 à 44 ans, et 45 ans et plus). Pour la plupart, les habitudes de consommation d’alcool des Ontariens étaient associées à de faibles risques de conséquences pour la santé. Environ 10 % des femmes et 25 % des hommes buvaient de manière à accroître leurs risques aigus ou à long terme. Ce sont les jeunes hommes qui buvaient de manière plus risquée. La plupart des buveurs d’âge moyen ou plus âgés, qui courent un plus grand risque de maladies cardiovasculaires, consommaient l’alcool de manière à tirer les avantages cardiovasculaires de l’alcool.