Peer-reviewed publications by CUA members: then and now

Can Urol Assoc J. 2010 Dec;4(6):385-90. doi: 10.5489/cuaj.950.

Abstract

Objective: The objective of this study was to assess the characteristics of publications by members of the Canadian Urological Association (CUA) over a 10-year period.

Methods: All publications by active CUA members during the periods January 1993-December 1994 and January 2003-December 2004 were reviewed.

Results: Of the 487 active members in 1993-1994, 130 (26.7%) were authors a total of 649 times in 641 publications. External funding was acknowledged in 195 (30.4%). There were 131 observational studies (20.4%), 127 review articles (19.8%), 58 case reports (9.0%), 37 case series (5.8%), and 21 randomized controlled trials (RCTs) (3.3%). Of the 454 active member in 2003-2004, 139 (30.6%) were authors a total of 748 times in 705 publications. External funding was acknowledged in 237 (33.6%). There were 153 observational studies (21.7%), 124 review articles (17.6%), 52 case reports (7.4%), 49 case series (7.0%), and 46 RCTs (6.5%). There were significantly more RCTs and clinical trials in 2003-2004. The most common journal was The Journal of Urology in both eras. There were significantly more publications in The Canadian Journal of Urology, the British Journal of Urology International and the Journal of Endourology in 2003-2004. There were significantly more publications acknowledging industry funding and more publications citing more than 1 CUA member in 2003-2004. Publication intensity increased significantly from 0.67 to 0.82 publications per member, per year for the CUA as a whole.

Interpretation: Scholarly activity has remained robust over the last decade with over 30% of active CUA members contributing to peer-reviewed literature. Higher levels of evidence are now observed with a greater number of RCTs. CUA members should be proud of their academic productivity.

Objectif :: Notre objectif était d’évaluer certaines caractéristiques d’articles publiés par des membres de l’Association des urologues du Canada (AUC) sur une période de 10 ans.

Méthodes :: Tous les articles publiés signés par des membres actifs de l’AUC en janvier 1993/décembre 1994 et en janvier 2003/décembre 2004 ont été passés en revue.

Résultats :: Sur les 487 membres actifs en 1993–1994, 130 (26,7 %) ont signé un total de 649 articles publiés dans 641 périodiques. Un financement externe a été mentionné dans 195 cas (30,4 %). On comptait 131 études d’observation (20,4 %), 127 articles de synthèse (19,8 %), 58 études de cas (9,0 %), 37 séries de cas (5,8 %) et 21 essais contrôlés et randomisés (3,3 %). Sur les 454 membres actifs en 2003–2004, 139 (30,6 %) ont signé au total 748 articles publiés dans 705 périodiques. Un financement externe est mentionné dans 237 cas (33,6 %). On comptait 153 études d’observation (21,7 %), 124 articles de synthèse (17,6 %), 52 études de cas (7,4 %), 49 séries de cas (7,0 %) et 46 essais contrôlés et randomisés (6,5 %). On a noté un nombre significativement plus élevé d’essais contrôlés et randomisés et d’essais cliniques en 2003–2004. Pour les deux époques, le périodique où le plus d’articles ont été publiés est le Journal of Urology. Le nombre d’articles publiés dans le Canadian Journal of Urology, le British Journal of Urology International et le Journal of Endourology était significativement plus important en 2003–2004, tout comme le nombre d’article faisant état d’un financement par l’industrie pharmaceutique et le nombre d’articles signés par plus d’un membre de l’AUC. Le taux de publications a considérablement augmenté, passant de 0,67 à 0,82 articles par membre, par année pour l’AUC dans son ensemble.

Interprétation :: Au cours de la dernière décennie, les activités liées à la publication sont demeurées intenses, avec plus de 30 % des membres actifs de l’AUC contribuant à des articles révisés par comités de pairs. Des niveaux de preuves plus élevés sont maintenant observés en raison d’un nombre plus important d’essais contrôlés et randomisés. Les membres de l’AUC devraient être fiers de leur contribution sur le plan de l’avancement scientifique.