Purpose: Although health care professional education programmes around the world are increasingly using sophisticated simulation technology, the scope of simulation use in Canadian physiotherapy programmes is currently undefined. The current study explores the definitions of simulation, its current use, and the perceived benefits and barriers in Canadian entry-to-practice physiotherapy programmes. Method: Using a qualitative, descriptive study approach, we contacted Canadian physiotherapy programmes to identify faculty members with simulation experience. Using a semi-structured interview format, we asked participants to discuss their perspectives of simulation in their physiotherapy programmes. Interviews were audio recorded, transcribed, and analyzed for themes. Results: Of 13 eligible Canadian physiotherapy programmes, participants from 8 were interviewed. The interviews revealed three major themes: (1) variability in the definition of fidelity in simulation, (2) variability in simulation use, and (3) the benefits of and barriers to the use of simulation. Conclusions: Variability in the definition of fidelity in simulation among Canadian physiotherapy programmes is consistent with the current literature, highlighting a spectrum of complexity from low fidelity to high fidelity. Physiotherapy programmes are using a variety of simulations, with the aim of creating a bridge from theoretical knowledge to clinical practice. This study describes the starting point for characterizing simulation implementation in Canadian physiotherapy programmes and reflects the diversity that exists across the country.
Objectif : autour du monde, les programmes de formation des professionnels de la santé font de plus en plus appel à une technologie de simulation raffinée. On ne connaît pas l'ampleur de l'utilisation de la simulation dans les programmes canadiens de physiothérapie. La présente étude porte sur les définitions de la simulation, son utilisation actuelle et les avantages et obstacles perçus à son utilisation dans les programmes canadiens de physiothérapie de base. Méthodologie : les chercheurs ont utilisé une approche descriptive et qualitative. Ils ont pris contact avec les programmes canadiens de physiothérapie pour savoir quels professeurs avaient de l'expérience en simulation. Au moyen d'entrevues semi-structurées, ils ont demandé aux participants de parler de leurs perspectives de la simulation au sein de leurs programmes de physiothérapie. Ils ont enregistré les entrevues sur bande sonore, les ont transcrites et analysées pour en dégager les thèmes. Résultats : au sein des treize programmes canadiens de physiothérapie admissibles, les participants de huit d'entre eux ont été interviewés. Les entrevues ont fait ressortir trois thèmes majeurs : 1) la variabilité de la définition de fidélité de la simulation, 2) la variabilité dans l'utilisation de la simulation et 3) les bienfaits et les obstacles liés à l'utilisation de la simulation. Conclusions : la variabilité de la définition de fidélité de la simulation dans les programmes canadiens de physiothérapie correspond aux constatations des publications actuelles, ce qui fait ressortir un spectre de complexité qui passe de la faible fidélité à la haute fidélité. Les programmes de physiothérapie font appel à diverses simulations afin de créer un pont entre les connaissances théoriques et la pratique clinique. La présente étude décrit le point de départ pour caractériser l'adoption de la simulation dans les programmes canadiens de la physiothérapie et reflète la diversité au pays.
Keywords: education; high fidelity simulation training; patient simulation; qualitative research.