Before starting immunosuppressive therapy, it is important to screen for latent tuberculosis and, in case of particular exposures (e.g. travel, origin,…), for parasitosis such as amoebiasis, echinococcosis, strongyloidiasis and American trypanosomiasis. The Division of Tropical and Humanitarian Medicine of the Geneva University Hospitals has developed an algorithm to identify which screening is recommended according to exposure. Analysis of this practice shows that the most frequently detected latent disease is tuberculosis, followed by strongyloidiasis. For the latter, as the sensitivity of the serological test is reduced due to immunosuppression, the algorithm combine antibody testing with parasitological (Baermann and culture) and molecular (PCR) stool testing.
Avant le début d’un traitement immunosuppresseur, il est important d’effectuer un dépistage pour la tuberculose latente et, en cas d’expositions particulières (par exemple, voyage, origine…), de parasitoses comme l’amibiase, l’échinococcose, la strongyloïdiase et la trypanosomiase américaine. Le service de médecine tropicale et humanitaire des HUG a développé un algorithme pour identifier quel dépistage est recommandé en fonction de l’exposition. L’analyse de cette pratique montre que la maladie latente la plus fréquemment détectée est la tuberculose, suivie de la strongyloïdiase. Pour cette dernière, la sensibilité du test sérologique étant amoindrie à cause de l’immunosuppression, l’algorithme combine la recherche d’anticorps avec un test parasitologique (Baermann et culture) et moléculaire (PCR) des selles.