Examinations of migrants' experiences have traditionally been confined to host country experiences. More recent studies consider the homeland-hostland relationship as a dynamic one, while also paying attention to the impact of events that happen outside these two landscapes. This article seeks to build on these latter works by considering the homeland-hostland connection from a different angle and argues that, when it happens, the post-migration discovery of homeland communal and personal histories results in salient personal transformations. Moreover, these hostland experiences are largely facilitated by encounters with the larger ethnic community. The examination draws upon data collected on Armenian migrants from Turkey to Canada.
Les examens des expériences des migrants se sont traditionnellement limités aux expériences du pays d'accueil. Des études plus récentes considèrent la relation entre le pays d'origine et le pays d'accueil comme une relation dynamique, tout en prêtant attention à l'impact des événements qui se produisent en dehors de ces deux paysages. Cet article cherche à s'appuyer sur ces derniers travaux en considérant le lien entre le pays d'origine et le pays d'accueil sous un angle différent et soutient que, lorsqu'elle se produit, la découverte post-migratoire des histoires communales et personnelles du pays d'origine entraîne des transformations personnelles importantes. En outre, ces expériences de la terre d'accueil sont largement facilitées par les rencontres avec la communauté ethnique élargie. L'étude s'appuie sur des données recueillies auprès de migrants arméniens de Turquie au Canada.
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