Marc Delepouve, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Traduire les rapports du GIEC en objectifs chiffrés puis en politiques climatiques, une gageure ? Cet exercice délicat peut conduire à la sous-estimation de certains risques climatiques.
Dirk S. Schmeller, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Pour préserver l’environnement, tant en matière de climat que de biodiversité, des changements radicaux de nos modes de vie s’imposent. On peut aussi les voir comme des changements transformateurs.
D’après le programme Copernicus, un réchauffement de 1,5 °C a été observé entre février 2022 et janvier 2023. Cela ne signifie pas que le 1,5 °C visé à l’accord de Paris a été dépassé.
Les négociations climatiques s’appuient sur un jargon parfois technique, qu’il est indispensable de connaître pour cerner les enjeux de la COP28. Un bref abécédaire des mots les plus importants.
Avec la conjonction de phénomènes solaires, volcaniques et climatiques couplée aux émissions de gaz à effet de serre, tous les paramètres sont réunis pour que des records de température soient battus ces prochains mois.
Grands utilisateurs du territoire, les habitants du Nord sont vulnérables aux aléas climatiques et à leurs conséquences. Il importe de développer avec eux des façons innovantes d’y faire face.
Piéger plus de CO₂ qu’on en émet, voilà le principe du puits de carbone. Il en existe des naturels – comme les forêts – et d’autres artificiels, en cours de développement technologique.
Le changement climatique en Polynésie française se mesure grâce à des séries de données récoltées depuis 50 ans, mais la spécificité culturelle des îles et leur morphologie compliquent les prévisions.
Les dérèglements climatiques correspondent à des réalités complexes que Christian de Perthuis se propose d’aborder dans son nouvel ouvrage en employant les bons mots. Extrait.
Malgré notre émotion face à la médiatisation répétée des phénomènes météo-climatiques extrêmes, prendre conscience du changement climatique et notre nécessaire adaptation demeure difficile.
Réunis à Bonn début juillet 2022, les experts de l’IPBES ont présenté leurs nouveaux rapports sur la biodiversité. On y apprend que 3 milliards d’humains dépendent des prélèvements d’espèces sauvages.
Les entreprises ont encore une compréhension limitée des risques climatiques. Plusieurs initiatives se sont développées pour améliorer l’information dans ce domaine.
La vague de chaleur actuelle n’est pas anormale par rapport aux températures usuelles. Les suivantes risquent d’être plus intenses encore, alors que les populations sont déjà vulnérables.
La lutte contre le changement climatique emprunte de plus en plus la voie judiciaire. Un changement que le GIEC a bien pris en compte dans son dernier rapport.
Le dernier rapport du GIEC dresse un portrait des solutions visant à freiner le changement climatique. Cela exige une transformation des systèmes politiques, économiques et sociaux qui nous gouvernent.
Une vaste étude conduite sur les réseaux sociaux au cours du quinquennat Macron permet d’identifier quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis du changement climatique.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professeur, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE), membre de l’Institut Universitaire de France, auteur contributif d’un chapitre des deux derniers rapports du GIEC, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay