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Metz

Le maire de Metz François Grosdidier, ancien membre des Républicains, a annoncé vouloir lutter contre l'insécurité des femmes dans l'espace public, après qu'une trentenaire a été violée début août dans un parking de la ville. Parmi les mesures envisagées, l'instauration de places de parking réservées aux femmes.

Story 4 : "Droit de correction", une décision qui choque - 22/04

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C'est une décision de la cour d'appel de Metz concernant une affaire de divorce. Un policier, accusé de violences familiales, a été relaxé. Cela provoque la polémique parce que la cour d'appel lui a reconnu un droit à la correction alors qu'il avait été condamné en première instance, lui-même avait reconnu une éducation plutôt rude sur ses enfants. On en parle avec : Pauline Revenaz, cheffe du service police-justice de BFMTV. Edwige Antier, pédiatre. Emmanuelle Ménard, députée non inscrite de l'Hérault. Et Christophe Barbier, éditorialiste politique BFMTV.

Droit de correction: "Quand on tape, on crie, on hurle, on gifle (...) on entraîne chez nos enfants des moments de soumission et de révolte", affirme la pédiatre Edwige Antier

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Un ancien major de police aux frontières poursuivi pour des violences sur son ex-femme et ses enfants a été relaxé par la cour d'appel de Metz. Une décision que la juridiction motive par un "droit de correction" qui serait reconnu aux parents. Trois recours ont été déposés auprès de la Cour de cassation par les avocats de l'ancienne femme du policier et de ses enfants, ainsi que par le parquet général de Metz

"Droit de correction": "Cette décision marque un retour en arrière", dénonce Pauline Rongier, avocate pénaliste au barreau de Paris

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Un policier accusé de violences familiales a été relaxé par le parquet général de Metz pour "droit à la correction". Trois recours auprès de la Cour de cassation ont été déposés par les deux avocats de la femme et des enfants du policier, mais également par le parquet général. Des professionnels du droit évoquent une décision "jurisprudentielle et sans fondement légal".

"Droit de correction": "J'ai été assez surpris et scandalisé par cette décision", déclare maître Jérôme Tibéri, avocat des enfants d'Yves Milla

"Droit de correction": "J'ai été assez surpris et scandalisé par cette décision", déclare maître Jérôme Tibéri, avocat des enfants d'Yves Milla

Yves Milla, poursuivi pour des violences sur son ex-femme et ses enfants, a été relaxé des faits qui lui sont reprochés. Trois recours auprès de la Cour de cassation ont été déposés par les deux avocats de la femme et des enfants du policier, mais également par le parquet général de Metz. Des professionnels du droit évoquent une décision "jurisprudentielle et sans fondement légal."

Maxime Vacant : son meurtrier présumé libéré - 01/12

Maxime Vacant : son meurtrier présumé libéré - 01/12

C'était il y a un peu plus d'un an, en Moselle, Maxime Vacant était littéralement "massacré" à l'arme blanche. Il a reçu plusieurs dizaines de coups de couteau. Quand on l'a retrouvé, il y avait 43 plaies sur son corps. Depuis, le suspect, mineur au moment des faits, a été placé en détention provisoire, puis libéré dans l'attente de son procès. C'est incompréhensible aux yeux de la famille de Maxime, notamment son frère. On en parle avec : Romain Vacant, frère de Maxime Vacant, tué de 43 coups de couteaux à Metz (Moselle). Dominique Rizet, consultant police-justice BFMTV. Et Maître Alexandre Bernard, avocat de la famille de Maxime Vacant, tué de 43 coups de couteaux à Metz (Moselle).