La Seine, facteur déterminant
Quadruple champion du monde en titre, Jules Ribstein s’élancera avec la pancarte dans le dos. Il croise toutefois les doigts pour que la Seine reste sage, que l’on puisse y nager dans les conditions prévues. À l’inverse, ses chances s’amenuiseraient.
« Ça me pénaliserait »
Désigner un champion paralympique de triathlon au terme d’un duathlon ferait tache. « Ce n’est clairement pas le même sport, maugrée Jules Ribstein. Ce n’est pas pour rien qu’on fait la distinction. Il y a de moins bons nageurs que moi dans ma catégorie, donc ça me pénaliserait. »
La répétition générale, il y a un...
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