Santé Fin de vie : comment patients, soignants et proches font face aux « douleurs réfractaires »
Le projet de loi sur la fin de vie doit être adopté en commission à l’Assemblée nationale ce vendredi. L’accompagnement de la douleur est au cœur des enjeux. Avec des questions éthiques et médicales.
Le projet de loi sur la fin de vie entame son marathon parlementaire. Après son examen par les députés en commission cette semaine, le texte, qui doit être adopté ce vendredi, sera examiné à partir du 27 mai dans l’hémicycle. Il offrira la possibilité aux patients, atteints de maladie incurable, de demander, dans des conditions encadrées, une aide active à mourir. Jeudi, les débats à l’Assemblée nationale se sont concentrés sur la notion de « pronostic vital engagé à court ou moyen terme » : le critère, prévu dans le projet de loi original, mais non encore défini par la Haute autorité de santé (HAS), a finalement été supprimé par les députés, remplacé...
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