JO Paris 2024 : derrière le marché légal, comment la revente parallèle de billets séduit les utilisateurs

Malgré le fait que le site de Paris 2024 soit la seule plate-forme agréée pour vendre des billets pour les Jeux, certains acheteurs et vendeurs se tournent vers des circuits parallèles moins réglementés. 371 sites illégaux ont été épinglés par la gendarmerie depuis un an et demi.

Alors que l'organisation des Jeux propose un site officiel de revente (illustration), beaucoup de personnes privilégient le marché parallèle. LP / Olivier Arandel
Alors que l'organisation des Jeux propose un site officiel de revente (illustration), beaucoup de personnes privilégient le marché parallèle. LP / Olivier Arandel

    « Quelqu’un a déjà acheté des billets via la plate-forme Ticombo ? Est-ce fiable ? Merci. » Cette interrogation partagée par une utilisatrice sur X (ex-Twitter), reflète un phénomène que les organisateurs de Paris 2024 peinent à endiguer : la part du marché secondaire dans l’achat et la revente de billets pour les Jeux olympiques (26 juillet - 11 août).

    Sur son site Internet, le Cojop est catégorique et prévoit que « toute vente ou revente non autorisée en dehors des circuits de distribution officiels est susceptible de constituer une infraction. (…) Une plate-forme officielle de revente est disponible. Il s’agit du seul site officiel de revente de billets pour les détenteurs de billets du monde entier ».