Situation budgétaire, tensions au Proche-Orient et retour du soleil : les infos à retenir ce midi

Voici les actualités que nous avons sélectionnées pour vous ce mercredi 18 septembre à la mi-journée.

Le Premier ministre Michel Barnier, ici le 7 septembre. LP/Olivier Corsan
Le Premier ministre Michel Barnier, ici le 7 septembre. LP/Olivier Corsan

    L’info à ne pas louper

    Le nouveau Premier ministre hausse le ton. Michel Barnier a estimé ce mercredi matin que la situation budgétaire du pays était « très grave ». « J’ai demandé tous les éléments pour en apprécier l’exacte réalité », a-t-il affirmé dans une déclaration transmise à l’AFP. Ce point devait être abordé dans la matinée lors d’une réunion entre le locataire de Matignon et le groupe macroniste à l’Assemblée nationale Ensemble pour la République (EPR), mais celle-ci a été « reportée » sans qu’une nouvelle date ne soit pour l’heure fixée.

    Après nous révélations mardi indiquant que Michel Barnier ne s’interdisait pas d’augmenter les impôts, le chef des députés macronistes Gabriel Attal avait remis en cause la participation de son camp au nouveau gouvernement. Le ministre démissionnaire de l’Intérieur Gérald Darmanin a également affirmé qu’une hausse des impôts était une ligne rouge. « Je ne participerai pas à un gouvernement qui augmente les impôts », a-t-il assuré le plateau de France 2 ce mercredi matin.

    Ce qu’il faut aussi retenir

    Ça vous concerne

    Révolution pour les tarifs des transports en commun. Comme nous le révélions mardi soir, un prix unitaire de 2,50 euros pour les tickets de métro, de RER et de train viendra remplacer la tarification actuelle à partir de janvier 2025, peu importe la distance parcourue. Pour prendre le bus ou le tramway, le prix sera de 2 euros. Dans le même temps, le passe Liberté + sera élargi à toute l’Île-de-France, avec un tarif avantageux : 1,99 euro par trajet en métro, RER ou train et 1,60 euro pour les bus et les tramways.