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[[Fichier:(MHNT) Brassica napus - Inflorescence.jpg |vignette|redresse=0.8|Inflorescence]]
 
Au [[Canada]], le colza de printemps dont la teneur en [[acide érucique]] a été abaissée par sélection génétique a été renommé '''canola''' ('''Can'''ada '''o'''il '''l'''ow '''a'''cid)<ref>Le canola peut être du ''Brassica napus'' dit ''type polonais'' ou du ''Brassica rapa'' dit ''type argentin''</ref>. Depuis cette période, les variétés européennes ont également vu leur teneur en acide érucique baisser, le colza et le canola sont donc presque identiques<ref name="Histoire amélioration des plantes">{{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Claire Doré |auteur2=F. Varoquaux |titre=Histoire et amélioration de 50 plantes cultivées |éditeur=INRA |collection=Savoir faire |lieu=Paris |année=2006 |pages totales=812 |isbn=2-7380-1215-9 |consulté le=17/08/2018 |titre chapitre=Le colza}}.</ref>.
 
Étymologie : colza vient du [[néerlandais]] ''{{lang|nl|koolzaad}}'' (littéralement {{citation|graine de chou}}).
 
== Description ==
{{Section à sourcer|date=janvier 2023}}
[[Fichier:Canola.jpg|thumb|230px|left|Graines de colza (taille réelle : environ {{unité|2|mm}})]]
[[Fichier:Apis mellifera - Brassica napus - Valingu.jpg|vignette|[[Apis mellifera|Abeille européenne]] sur une fleur de colza, à [[Valingu]] (en [[Estonie]]).]]
De nos jours, en France, le colza est une culture dont le rendement fluctue autour de {{unité|35|[[Quintal (unité)|quintaux]]}} par [[hectare]] (soit {{unité|3.5|tonnes}}) selon les conditions climatiques de l'année. LeIl colzacouvre, esten surtout2021, cultivéprès dansd'un lamillion moitiéd'hectares nord(pour une surface totale de terres arables de 17,9 millions d'hectares) répartis quasiment dans toute la France à l'exception du Sud-Est. Après une progression continue au début des années 2000, surla surface s'est stabilisée autour de {{unité|1,5| million}} d'hectares aupendant totalune :bonne {{unité|960000|hectares}}dizaine d'années, avant de régresser à partir de 2019 pour lesrevenir usagesautour alimentaires,du etmillion d'hectares<ref>{{unité|514000Lien web |hectares}}auteur=Académie pourd'Agriculture lesde usagesFrance non|titre=Le colza d'hiver |url=https://www.academie-alimentairesagriculture.fr/sites/default/files/publications/encyclopedie/le_colza_dhiver.pdf (biodiesel|format=pdf et|site=Académie technique)d'agriculture ende 2008France |date=janvier 2023 |consulté le=avril 2024}}</ref>.
 
La teneur en huile des graines est d'environ 40 %, mais elle peut monter, selon les variétés, jusqu'à 45 %.
 
== Histoire ==
{{Section à sourcer|date=janvier 2023}}
La culture du colza, plante issue d’un croisement entre un [[Chou (plante)|chou]] et une [[Navette d'hiver|navette]], semble exister depuis {{unité|2000 à 1500|ans}} av. J.-C.
 
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En France, la production d'[[huile de colza]] a pris une grande importance dans les années 1750-1850 dans les départements du nord de la France et notamment en [[Flandre française|Flandre]]. Les ''Statistiques du département du Nord'' du préfet Dieudonné montrent que la culture du colza s'étend alors dans le Nord : {{citation|Le colza est celle de ces plantes qui est cultivée le plus généralement et avec le plus d’abondance dans les arrondissements de [[arrondissement de Lille|Lille]], [[Arrondissement d'Hazebrouck|Hazebrouck]] et [[arrondissement de Douai|Douai]]. Il commence à s’introduire dans les arrondissements de [[arrondissement de Bergues|Bergues]] au nord, [[arrondissement de Cambrai|Cambrai]] et [[Arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe|Avesnes]] au sud}} alors que dans le même temps {{citation|La [[Navette (plante)|navette]] (déjà cultivée autour de Lille au {{s-|XVI}}) se propage dans les arrondissements d’Avesnes et de Cambrai}}. {{citation|L’[[œillette]], introduite dans le département du Nord quelques années avant la [[révolution française|Révolution]], est beaucoup cultivée depuis cette époque, surtout dans les arrondissements de Lille, Douai et Cambrai. On commence à en connaître la culture dans l’arrondissement d’Avesnes}}. {{Citation|La [[cameline]] (dite ''camomille'' dans le pays), introduite depuis environ {{unité|30|ans}}, reconnue très utile depuis {{unité|10 à 12|ans}}, surtout pour remplacer les colzas et grains d’hiver manqués. Cette culture s’est considérablement accrue depuis la Révolution dans les arrondissements de Lille, Douai et gagne ceux du sud du département}} ajoute le préfet grâce auquel on sait aussi qu'un moulin à vent tordoir pouvait presser {{unité|300 à 600|[[hectolitre]]s}} d’huile par an ({{unité|400|hectolitres}} en moyenne dans l’arrondissement de Lille). Les 5/6 de l'huile produite dans le nord étaient exportés vers la région parisienne ou vers l'étranger (50 %).
 
Selon l’ingénieur Joseph Cordier, en 1823, {{citation|la Flandre est la contrée du monde où la culture des plantes oléagineuses et la fabrication de l’huile ont pris, depuis longtemps, le plus d’extension, et ont fait le plus de progrès. On compte autour de Lille, près de deux cents moulins à huile, appelés tordoirs, que le vent fait mouvoir et depuis 1814 on établit chaque année, des machines à vapeur destinées au même usage }}<ref>[http://www.fdmf.fr/index.php?tg=fileman&idx=get&inl=1&id=19&gr=Y&path=&file=n16.pdf Le Monde des Moulins], Fédération des moulins de France {{pdf}}</ref>.}}
 
 
== Culture ==
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En France, le colza d'hiver se sème en fin d'été (du 15 août au 15 septembre), le peuplement recherché pour la culture sera d'environ {{unité|30|pieds/m2}} pour les lignées et {{unité|20|pieds/m2}} pour les hybrides. L'écartement entre les rangs varie entre {{unité|12 et 80|cm}} suivant le choix du semoir, classique ou monograine, et les choix de l'agriculteur en matière de [[désherbage]] mécanique, notamment du [[binage]]. Plusieurs [[Parasitisme|parasites]] sont à surveiller à la levée comme les [[limace]]s (le colza est très appétant pour elles) puis les [[altise]]s lorsque le stade [[cotylédon]]s est passé. Le colza se développe ensuite en rosette à l'automne, beaucoup plus que les [[céréale]]s, parfois jusqu'à {{unité|30|cm}} de haut suivant la date de semis et la disponibilité en [[azote]] du sol.
 
Le colza est très gourmand en [[azote]] ({{unité|7|kg/q}} contre 3 pour le [[blé]] et 2,2 pour le [[tournesol]]). La fertilisation totale du colza doit apporter entre {{unité|140 et 200|unités}} d'azote par hectare<ref>http://www.cetiom.fr/index.php?id=9730 Recommandations techniques de fertilisation du CETIOM</ref> avec des engrais chimiques ou organiques. On ne cultive pas de colza de printemps en France.
 
Les principales maladies du colza sont la [[sclérotiniose]] et le ''[[Leptosphaeria maculans]]'' (''blackleg'' ou {{citation|nécrose du collet}}). L'[[orobanche rameuse]] peut poser de sérieux problèmes de rendement.
 
Au Canada, on cultive essentiellement du canola de printemps, dans l'ouest canadien, et aussi un peu de canola d'automne en [[Ontario]]<ref>[http://www.omafra.gov.on.ca/french/crops/pub811/6tillage.htm Culture du canola en Ontario sur le site du ministère de l'agriculture provincial de l'Ontario]</ref>. Dans l'ouest canadien, les techniques culturales font appel aux [[Techniques culturales simplifiées|TCS]] ou au semis direct<ref>[http://publications.gc.ca/collections/collection_2009/agr/A118-10-10-2005F.pdf Description de la culture du canola au Canada]</ref>. Le [[désherbage]] est facilité grâce à l'utilisation de semences [[OGM]] résistantes à deux [[herbicide]]s totaux<ref>{{en}} [http://www.canolawatch.org/wp-content/uploads/2011/10/20110309_FPJ_Aut11_Beckie.et_.al_.pdf Bilan de 15 années de culture de canola OGM au Canada, par Agriculture et Agroalimentaire Canada] {{pdf}}</ref>. Toutefois, en [[mars 2015]], l'OMS, à travers le [[Centre international de recherche sur le cancer|CIRC]], classe un des herbicides utilisés pour le canola OGM (le [[glyphosate]]), comme cancérogène « probable »<ref>{{fr}} [https://tempsreel.nouvelobs.com/sante/20150321.OBS5179/le-roundup-le-pesticide-cancerogene-le-plus-repandu-dans-le-monde.html Le Roundup, le pesticide cancérogène le plus répandu dans le monde]</ref>{{,}}<ref>[http://www.iarc.fr/fr/media-centre/iarcnews/pdf/MonographVolume112.pdf IARC: evaluation of five organophosphate insecticides and herbicides]</ref>. La récolte peut s'effectuer directement à la moissonneuse-batteuse comme souvent en France, ou bien passer par une opération de fauchage-andainage<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Andainage : une alternative nécessaire dans certaines situations |url=https://www.terresinovia.fr/-/recolte-du-colza-la-technique-de-l-andainage |site=Terres Inovia |date=2019-02-18 |consulté le=2024-01-04}}</ref> préalable comme au Canada, les produits étant repris par une moissonneuse une dizaine de jours plus tard. On recherche un compromis entre la maturité de l'ensemble des graines, une faible humidité des graines (9 %), la rapidité de récolte, et une moindre perte à l'avant de la moissonneuse (les [[silique]]s sèches ayant tendance à éclater au contact).
 
<gallery mode="packed" caption="Floraison d'un champ de colza au fil des jours">
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Fichier:Colza 23 mai 18h03.JPG|23 mai
Fichier:Champ de colza Côte-d'Or Bourgogne avril 2014.jpg|Champ de colza d'[[avril 2014]], en [[Côte-d'Or]] ([[France]]).
Fichier:Champs de colza.jpg|A Bière (Vaud), Avril 2024
</gallery>
 
=== Variétés ===
PlusEn de2023, 1235 {{unité|230|variétés}} de colza oléagineux sont actuellement inscrites au [[Catalogue officiel des espèces et variétés|catalogue officiel français des espèces et variétés]] et plus de {{unité|1640|variétés}} sont inscrites au catalogue européen<ref>[https://www.semae.fr/catalogue-varietes/ Consultation en ligne des listes des variétés inscrites aux catalogues officiels sur le site de Semae]</ref>.
 
Quelques variétés notables<ref name="Histoire amélioration des plantes"/> et récentes<ref>{{Article|auteur=|titre=Liste des variétés commercialisées |périodique=Semences & Progrès |année=2017 |numéro=179 |pages=40-43}}.</ref> :
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La graine est récoltée à la [[moissonneuse-batteuse]], stockée et plus tard pressée pour la production d'huile. En France, cette activité de [[trituration]] concerne {{unité|4.2|millions}} de tonnes en 2009, dans d'immenses usines comme celle de [[Grand-Couronne]] près de Rouen, et celle de [[Sète]]. Les huiles brutes sont ensuite raffinées pour être utilisées en alimentation humaine ou dans l'industrie. L'huile de colza raffinée est une [[huile alimentaire]].
 
En France, à cause de l'essor des [[biocarburants]], et en particulier du [[biodiesel]], la plus grande partie de la production d'huile de colza y est destinée (entre 65 % et 85 %<ref>France Agricole du 24 décembre 2010</ref> selon les sources). Au niveau de l'[[Biocarburants dans l'Union européenne|Union européenne]], 63 % de l'huile va à l'industrie des biocarburants<ref>{{en}} [http://gain.fas.usda.gov/Recent%20GAIN%20Publications/Oilseeds%20and%20Products%20Annual_Berlin_EU-27_4-4-2011.pdf Rapport de l'USDA sur le marché des oléagineux, page 20]</ref>.
 
=== Alimentation humaine ===
L'[[huile de colza]] naturelle contient, parmi ses acides gras, de l'[[acide érucique]], dont la toxicité a été démontrée dans les années 1960, pour les [[rat]]s et [[porc|porcelet]]s<ref>Étude de Food Standards Australia New Zealand [http://www.foodstandards.gov.au/_srcfiles/Erucic%20acid%20monograph.doc]</ref>. Par [[Sélection végétale|sélection génétique]], des variétés à faible teneur en acide érucique, dites « 0 » (zéro), ont été sélectionnées à la fin des années 1960. Ce sont les seules admises pour la consommation humaine. Par la suite, on a aussi souhaité éliminer les [[glucosinolate]]s, composés présents dans le [[tourteaux|tourteau]] mais ayant des effets adverses en alimentation animale. On a donc sélectionné des variétés dites « 00 », ou double zéro, qui ont une teneur en acide érucique inférieure à 2 % de la fraction lipidique<ref>Le taux actuel d'acide érucique dans l'huile de canola est proche de 0.01%, et le taux maximum d'acide érucique pour le canola est de 0.5 %</ref> et une teneur en glucosinolates inférieure à {{unité|20|micromoles}} par gramme<ref>La teneur maximale en glucosinolates pour le canola est de {{unité|30|micromoles}} par gramme de matière déshuilée, ce qui correspond environ {{unité|18|micromoles}} pour les graines, mais l'exigence pour l'enregistrement des nouvelles variétés est un taux inférieur à {{unité|12|micromoles}} par gramme de graine à 8,5% d'humidité</ref>. L'appellation canola correspond à des graines de crucifères sélectionnées au Canada et répondant à un cahier des charges similaire (un peu plus strict sur la teneur en glucosinolates). Les espèces susceptibles de recevoir cette dénomination sont le colza, la [[Navette (plante)|navette]] ''(Brassica campestris'') et la [[Moutarde brune|moutarde orientale]] (''Brassica juncea)''<ref name="Histoire amélioration des plantes"/>.
L'appellation canola correspond à des graines de crucifères sélectionnées au Canada et répondant à un cahier des charges similaire (un peu plus strict sur la teneur en glucosinolates). Les espèces susceptibles de recevoir cette dénomination sont le colza, la navette ''(Brassica campestris'') et la moutarde orientale (''Brassica juncea)''<ref name="Histoire amélioration des plantes"/>. Ce nom vient de la contraction de « '''Can'''adian '''o'''il, '''l'''ow '''a'''cid ».
 
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Dans le système de culture classique avec labour ou travail du sol, ce type de culture est destiné à couvrir le sol et à contribuer ainsi à limiter le lessivage de l'[[azote]]. Il est ensuite enfoui, constituant alors un [[engrais vert]].
 
Dans le système de culture en '''semis direct sous couverture végétale''' permanente du sol, sans travail mécanique du sol, le colza peut constituer une bonne couverture fournissant :
# un « travail biologique » du sol par ses racines en pivot ;
# un recyclage de l'azote (éviter le lessivage, remonter l'azote lessivé des couches que le blé par exemple n'atteint pas) ;
# un « [[mulch]] » ou couverture végétale morte pour servir de couverture du sol destiné à la prochaine culture<ref>Pour plus d'informations : [http://www.agroécologie.cirad.fr agroécologie.cirad.fr] ; revue française ''[http://www.agriculture-de-conservation.com/publitcs.php TCS-Techniques culturales simplifiées]'' ; revue allemande ''[http://www.pfluglos.de LOP-Landwirtschaft Ohne Pflug]''.</ref>.
 
=== [[Agrocarburant]] ===
{{Article détaillé|Agrocarburant}}
[[Fichier:Colza.JPG|thumb|230px|Champ de colza, plantes au stade « formation des siliques »|alt=]]{{Section à sourcer|date=janvier 2023}}
L'huile de colza ou [[Huile végétale carburant]] utilisée directement comme carburant a longtemps été jugée plus écologique, car il évite la transformation en [[ester]] méthylique, et améliorerait l’[[écobilan]], bien qu’il nécessite des transformations plus ou moins importantes au niveau des [[moteurs diesel]].
 
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== Adventices ==
Elles varient selon les pays et les régions ; en fonction du climat et du sol naturel, mais aussi selon les pratiques agricoles (culture avec ou sans pesticides, avec ou sans labour, avec ou sans culture intermédiaire, assolements, etc.) <ref name=Inra2007>Fried G & Reboud X (2007) ''Évolution de la composition des communautés adventices des cultures de colza sous l’influence des systèmes de culture''. Oléagineux, Corps gras, Lipides, 14(2), 130-138 </ref>..
 
Selon l'[[Institut national de la recherche agronomique|INRA]] dans les 3 décennies qui ont précédé 2006, sous l'effet d'une forte sélection (et peut être aussi du réchauffement climatique), 28 % des 26 principales [[adventice]]s de la flore du colza se sont renouvelés (progression d'espèces plus ubiquistes tels ''[[Senecio vulgaris]], [[Chenopodium]]'') et d'espèces inféodées au colza ([[Geranium dissectum]], [[Lapsana communis]]) au détriment de la [[biodiversité]]<ref name=Inra2007/>.
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De même pour les repousses de cultures, trouvera-t-on 3 espèces typiques :
*[[Hordeum vulgare]] ([[Poaceae]]) ; *[[Triticum]] ssp ([[ Poaceae]]) et [[Triticale]] ([[Poaceae]]).
 
 
== Lien avec le calendrier ==
Dans le [[calendrier républicain]] français, leLe {{27e|jour}} du mois de [[Thermidorthermidor]] estdu dénommé[[calendrier jourrépublicain]] du/ '''Colza'révolutionnaire'' français est dénommé « jour du colza »<ref>[[Fabre d'Églantine|Ph. Fr. Na. Fabre d'Églantine]], [https://books.google.fr/books?id=vVtWj-W-KP8C&printsec=frontcover&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false ''Rapport fait à la Convention nationale dans la séance du 3 du second mois de la seconde année de la République Française''], {{p.|29}}.</ref>, généralement chaque ''[[14 août]]'' du [[calendrier grégorien]].
 
== Notes et références ==
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== Voir aussi ==
* [[Nanohana]]
* [[Huile de colza]]
 
== Liens externes ==
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[[Catégorie:Colza|*]]
[[Catégorie:FloreSous-espèce de Dicotylédones (nom vernaculaire)]]
[[Catégorie:Plante oléagineuse]]
[[Catégorie:Plante mellifère]]
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