« Désir » : différence entre les versions
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{{Voir homonymes|Désir (homonymie)}}
{{À recycler|date=avril 2019|thème=psychologie}}
[[Image:I wish that you were here to-night (NYPL Hades-667886-1269132).jpg|vignette|Chanson nord-américaine sur le désir de la présence de l'aimé.]]{{À recycler|date=13 avril 2019}}{{à sourcer|date=décembre 2009}} <!-- pour l'instant cet article est un essai personnel -->▼
{{à sourcer|date=décembre 2009}} <!-- pour l'instant cet article est un essai personnel -->
▲[[
Le '''désir''' désigne la sensation d'attraction et d'attente à l'égard d'une personne, d'un objet, d'une situation ou d'un futur particulier. Le désir et son contentement engendrent une tension chez l'individu qui le ressent et qui cherche à résoudre celle-ci pour combler le manque induit. La satisfaction du désir ou l'obtention de l'objet désiré mène - à différentes échelles de durées (courte, moyenne, longue) - à la jouissance, la joie, ou au bonheur. De nombreux philosophes ont analysé le désir sous ses différentes implications. [[Platon]] dans ''[[Le Banquet (Platon)|Le Banquet]]'', évoquait l'idée que le désir se fixe sur ce dont on manque<ref>{{Lien web |langue=fr|auteur=Romain Treffel |titre=Le désir selon Platon |url=https://1000-idees-de-culture-generale.fr/desir-platon/ |site=1000 idées de culture générale |date=2020 |consulté le=26 janvier 2020}}</ref>. L'invention (ou découverte) par soi d'un objet de satisfaction potentielle est à l'origine du besoin de réaliser la possession de cet objet. Pour d'autres, comme [[Thomas Hobbes]], le désir est par essence à l'origine de la motivation de toutes les actions humaines.
Le désir est tantôt considéré positivement puisque l'on considère l'objet désiré comme source de plaisir ou de contentement, voire de bonheur et tantôt considéré négativement comme une source de [[souffrance]], une forme d'[[insatisfaction]], en fonction de la proportion que le désir et que son contentement peut prendre dans l'architecture des actions d'un individu ou d'une communauté d'individus.
D'un point de vue psychologique, le désir est une tendance, une inclination, devenue consciente d'elle-même, qui s'accompagne de la représentation du but à atteindre et souvent d'une [[Intentionnalité|volonté]] de mettre en œuvre des moyens d'atteindre ce but. Le désir est en cela similaire au [[besoin]], car les deux se manifestent
== En philosophie ==
{{Section à sourcer|date=mai 2019}}
Les philosophes, depuis les origines de la philosophie, se sont demandé quelle place faire aux désirs. Les réponses sont très variées. Dans le ''[[Phédon (Platon)|Phédon]]'', [[Platon]] expose l'idée d'une vie [[Ascèse|ascétique]] où l'homme doit lutter contre les turbulences de son corps<ref>{{Lien web|titre=Platon, Phédon : désirs, corps et âme- Commentaire corrigé|url=https://www.20aubac.fr/philo/commentaire-368-platon-phedon-desirs-corps-ame-r368.html|site=20aubac.fr|consulté le=2019-10-25}}</ref> ; les [[cyrénaïsme|Cyrénaïques]], au contraire, font de la [[satisfaction]] de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez [[Épicure]].
=== La classification des désirs ===
La [[morale]] [[épicure|épicurienne]] est une morale qui fait du plaisir le seul [[Bien (philosophie)|bien]], et de la douleur le seul [[mal]]. Pour atteindre le bonheur (l'[[ataraxie]]), l'épicurien suit les règles du quadruple remède, appelé le [[Tetrapharmakos]] :
* les dieux ne sont pas à craindre ;
* la mort n'est pas à craindre ;
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C'est en vue de ce dernier qu'il faut plus particulièrement penser le désir. Épicure classe ainsi les désirs :
{| class="wikitable centre"
|+Classification des désirs selon [[Épicure]]
! colspan="4
! colspan="2
|-
|Simplement naturels
|Artificiels
|Irréalisables
|-
|-
|}
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Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un ''calcul'' en vue d'atteindre le [[bonheur]].
Selon [[Épicure]], «
Il existe également six grands désirs qui animent les hommes et correspondent en même temps à six des [[Péché capital|sept péchés capitaux]] répertoriés par la religion chrétienne :
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=== Le calcul des plaisirs ===
Pour [[Épicure]], le calcul (ou « [[arithmétique]] ») des désirs se distingue à la fois de l'[[Ascèse|ascétisme]], où l'on se donne pour règle de ne rechercher qu'une vie frugale pour respecter une loi « morale », et de la débauche, qui entraîne des souffrances du [[corps humain|corps]] et des troubles de l'[[âme]].
▲Pour [[Épicure]], le calcul (ou « [[arithmétique]] ») des désirs se distingue à la fois de l'[[Ascèse|ascétisme]], où l'on se donne pour règle de ne rechercher qu'une vie frugale pour respecter une loi « morale », et de la débauche, qui entraîne des souffrances du [[corps humain|corps]] et des troubles de l'[[âme]].
En général, le plaisir est nécessaire au [[bonheur]], et on le recherche tout en fuyant la [[douleur]]. Dans certains cas toutefois, nous traitons le bien comme un mal, car il faut fuir un [[plaisir]] léger qui aurait pour conséquence une douleur. Par exemple, pour le corps, boire de l'alcool est agréable, mais excessivement rechercher ce désir peut entraîner un plaisir qui mène à la déchéance physique ; et pour l'[[âme]], l'[[amour]] est certes la suppression d'un manque, mais il peut entraîner la [[douleur]] du fait qu'une union parfaite est impossible (voir le mythe des androgynes raconté par [[Aristophane]] dans ''[[Le Banquet (Platon)|Le Banquet]]'', {{Rom-maj|IV|4}}, de [[Platon]] et ci-dessous « Métaphysique platonicienne du Désir »).
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Dans d'autres cas, nous acceptons la douleur si elle est passagère, et si elle est la condition d'un plaisir plus haut. Par exemple, l'exercice physique du corps est douloureux, mais la [[santé]] qui en résulte est un plaisir. Le désir est lié à la volonté, mais il ne faut cependant pas confondre désir et volonté, car ce sont bel et bien des notions différentes.
Si on se livre à un calcul véridique des plaisirs, le bonheur sera peut-être facile à atteindre. Un hypothétique résultat serait l'[[autarcie]], état où l'on se suffirait à soi-même en limitant ses désirs : on ne dépendrait pas des autres, et on ne passerait pas sa vie à la poursuite d'objets extérieurs. Si limiter sa quête insatiable d'objet extérieur est possible dans une certaine mesure, être indépendant des autres est un [[Fantasme (psychologie)|fantasme]] qui n'est pas réalisable et qui n'est pas toujours souhaitable. Nous sommes par nature en [[harmonie]] avec le reste du monde.
En se contentant de satisfaire des désirs naturels, on a réduit le désir aux besoins naturels. Mais cette limitation des désirs pose la question de savoir si l'on peut réduire le désir au [[besoin]] ; et si l'on peut raisonnablement distinguer des besoins naturels et des besoins artificiels.
=== Problème moral du désir ===
Le désir suppose la conscience d'un manque qui traduirait selon certains notre « imperfection ». Aussi, les moralistes mettent-ils souvent l'accent sur le caractère douloureux du désir, et sur son aspect illimité quand il se reporte sans cesse sur de nouveaux objets. Le [[bonheur]] résiderait de ce fait dans la non satisfaction des désirs.
Cette conception négative du désir implique certaines questions :
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=== Le désir de vérité ===
Cet exposé de la doctrine épicurienne fait voir qu'il n'est pas facile de distinguer la réalité des désirs. L'épicurisme suppose qu'une insatisfaction fondamentale fonde l'homme en esprit. Quel est alors le véritable désir de l'homme et comment l'assouvir ?
Pour [[Platon]], ce désir est le désir de [[vérité]] et il faut pour l'assouvir se libérer de « cette chose mauvaise » qu'est le corps. Il fait de ce désir le désir suprême puisque contrairement aux faux désirs, son but est uniquement spirituel et ne tend pas à la satisfaction d'un « besoin » charnel. Les faux désirs sont ceux du corps qui troublent l'âme, l'empêchent d'atteindre la vérité et sont sources d'illusions.
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=== Distinction entre besoin et désir ===
Dans la distinction du « désir » et du « besoin », on peut voir le désir comme une caractéristique de l'individu dans ce qu'il a d'unique. Ainsi le désir est particulier et donc propre à chacun.
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=== Métaphysique platonicienne du Désir ===
Pour Platon, le Désir est une demi-connaissance. L'insatisfaction radicale, l'impossibilité de trouver l'objet du Désir doit nous faire comprendre qu'il existe un autre monde, et que ce que nous désirons vise cet autre monde. On retrouve la distinction platonicienne entre monde sensible (celui des apparences, fugaces et changeantes) et monde intelligible (celui de la vérité absolue, auquel on accède par la réflexion philosophique et métaphysique).
▲Pour Platon, le Désir est une demi-connaissance. L'insatisfaction radicale, l'impossibilité de trouver l'objet du Désir doit nous faire comprendre qu'il existe un autre monde, et que ce que nous désirons vise cet autre monde. On retrouve la distinction platonicienne entre monde sensible (celui des apparences, fugaces et changeantes) et monde intelligible (celui de la vérité absolue, auquel on accède par la réflexion philosophique et métaphysique).
L'impression d'incomplétude que nous laisse en permanence le Désir est expliquée par le mythe des Androgynes. Avant toute chose, il convient de n'être pas immédiatement féroce avec les mythes ; ils peuvent tout autant traduire une déficience de connaissances (mythes infrarationnels, superstition) que des concepts que la raison ne sait exprimer (c'est précisément ce que prétend être le mythe des Androgynes, en expliquant de manière métaphorique ce sentiment persistant d'incomplétude).
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=== Désir et être ===
Le désir est souvent considéré comme le « ce » de ce que le sujet perçoit et ressent. Ainsi, le désir est synonyme, est fonction d'être. En effet, l'un ne peut exister sans l'autre. Une vraie harmonie, symbiose s'installe entre ces deux termes, qui à la base, sont plus que très éloignés l'un vers l'autre. Enfin, l'être, être ou ne peut-être est facile d'insertion dans le domaine de définition du concept : désir.
== En psychanalyse ==
Dans l'histoire de la [[
=== Le «
Il y a plusieurs termes en [[allemand]] que [[Sigmund Freud]] emploie pour rendre compte de ce que le français traduit par le seul mot «
Dans le ''[[Vocabulaire de la psychanalyse]]'', Laplanche et [[Jean-Bertrand Pontalis|Pontalis]] définissaient en 1967 le concept traduit en français par «
{{cita| ''Wunsch'' [souhait] est le grand mot de la ''Traumdeutung''}}
=== Le «
Dans le ''[[Dictionnaire international de la psychanalyse]]'', Patrick Delaroche commence l'article intitulé «
{{Référence nécessaire|Ce qui est visé dans le désir c’est donc la [[jouissance]], i.e. une présence immédiate, une complétude que [[Jacques Lacan|Lacan]], après Freud, nomme La Chose (''das Ding''), autrement dit cela qui ne peut être nommé. L’homme étant parlant, son désir ne peut se faire que sur le mode [[Symbolique#Le symbolique en psychanalyse lacanienne|symbolique]] du [[langage]], par conséquent, il ne peut jamais atteindre l’objet de sa jouissance ; autrement dit, parce que sa jouissance se porte sur des objets phénoménaux qui ne sont pas à proprement parler l’objet du désir ([[objet a]]), il ne peut qu’être confronté à l’insatisfaction. Mais cette insatisfaction permet alors de relancer le désir en l’homme, c'est-à-dire que si La Chose était quelque chose dont on pouvait jouir, il n’y aurait plus de désir. La jouissance est donc bien visée dans le désir, mais elle demeure inatteignable, mieux, interdite.
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De quoi manque-t-on ? Quel est cet objet perdu et absolument irrécupérable ? Pourquoi, comme le dit Lacan, « nous courons de signifiant en signifiant » sans jamais trouver une réponse à la question « pour quel signifié » ? La psychologie donne trois réponses qui se recoupent plus ou moins :
* L'objet perdu, c'est l'intensité de notre première source de satisfaction.
*
*
En tous les cas, on ne peut passer sous silence la connivence structurelle entretenue entre Désir et interdit. On pense notamment à ''La Barbe Bleue'', de Perrault : pourquoi la femme de Barbe-bleue prend-elle le risque mortel d'ouvrir la chambre interdite, sinon parce qu'elle est interdite ? Pour les psychanalystes, l'interdit sert à tromper l'inconscient, en lui faisant croire que ''quelque chose'' a de la valeur. Mieux : il permet de refouler l'intuition selon laquelle justement, le Désir n'a pas d'objet. Cette mise à distance forcée, provoquée par l'interdit, préserve de la déception par la simple dissuasion. On reste dans un rapport de fantasme vis-à-vis de l'objet.
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== Le désir mimétique selon René Girard ==
{{section sources secondaires|date=
{{Loupe|René Girard # Le désir mimétique}}
L'exemple familier à tous, donné par [[René Girard (philosophe)|René Girard]], d'enfants qui se disputent des jouets semblables en quantité suffisante, conduit à reconnaître que le fondement du désir n'est ni dans l'objet, ni dans le sujet, mais qu'il est toujours imitation d'un autre désir. Le désir est mimétique. C'est la convergence des désirs qui définit l'objet et qui enclenche une dynamique mimétique que Girard décrit : apparition d'une rivalité, transformation du modèle du désir en obstacle, voire recherche de l'obstacle en ce qu'il est le signe le plus sûr et la mesure de la valeur de notre désir, etc. Pour René Girard, le désir a un caractère métaphysique. C'est l'« être » du modèle qui est recherché : « ''Tout désir est désir d’être'' »<ref>René Girard, ''Quand ces choses commenceront'', Arlea 1994, {{p.|28}}.</ref>.
La Rochefoucauld avait prévenu : « Il y a des gens qui n'auraient jamais été amoureux s'ils n'avaient jamais entendu parler de l'amour. » (''Réflexions ou sentences et maximes morales'' {{numéro|136}}). Il est évident (même si l'on se doit de rester vigilant quant à une quelconque réduction) que nous vivons nos sentiments de façon mimétique. Pour Rousseau, le Désir naît avec l'État Civil, l'état de société : à l'état de nature, l'homme n'a que des besoins. C'est la proximité avec autrui, qui fait naître en moi l'amour-propre, l'amour d'une certaine image de moi : autrui est constitutif de cette image.
Le Désir est aussi, il ne faut pas le négliger, désir de l'autre. Mais qu'aime-t-on dans l'amour ? Le sentiment amoureux lui-même ? L'autre ? Nous-mêmes ? Le désir d'autrui se compose à la fois du désir de l'autre en tant que personne, et du désir que l'autre me désire. Sartre définit la séduction comme la volonté de capter, de déterminer la liberté de l'autre. Or nous voyons immédiatement que c'est une impossibilité dans les termes. Je ne puis vouloir qu'un automate m'aime librement… C'est tout le débat philosophique entre les partisans de la sincérité et ceux de la fidélité. Mais une réflexion plus poussée peut nous amener à l'idée que les deux concepts peuvent être redéfinis pour n'être plus contradictoires.
== Divers ==
=== Société de consommation et marketing ===
{{section à sourcer|date=mai 2019}}
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La nature du désir est sujette à débats : émotions pour les uns, manifestation d'une perturbation dans la physiologie pour d'autres, son origine physique et cognitive semble être duale. Intensément étudié comme le principal facteur de consommation, le désir fait l'objet de recherches particulièrement poussées dans le cadre des études de marché, du [[marketing]] et de la publicité. La connaissance des biais culturels et cognitifs permettant de susciter le désir chez une catégorie de consommateurs étant un des moyens de créer les conditions de la consommation d'un bien ou d'un produit spécifique. Les stratégies de marketing reposant sur le désir tendant à utiliser deux stratégies distinctes : d'une part, la suggestion d'un manque et de nécessité ; d'autre part, l'association du produit ou du service avec une forme de désirabilité induite a posteriori pour le consommateur, qui influe ainsi sur son image sociale.
==
{{Références}}
== Voir aussi ==
{{Autres projets▼
=== Bibliographie ===▼
| wikiquote = désir▼
| wikiversity = Le désir
}}▼
▲=== Bibliographie ===
==== Philosophie ====
{{...}}
* {{
==== Psychanalyse ====
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=[[Gérard Bonnet (psychanalyste)|Gérard Bonnet]] |titre chapitre=désir (ou souhait)|auteurs ouvrage=[[Alain de Mijolla]] (dir.)|titre ouvrage=[[Dictionnaire international de la psychanalyse]] |lieu=Paris |éditeur=Hachette |année=2005 |isbn=201279145X|passage=456-457|id=Bonnet}}.
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=Pierre-Christophe Cathelineau|titre chapitre=désir|auteurs ouvrage=Roland Chemama (dir.)|titre ouvrage=Dictionnaire de la psychanalyse|lieu=Paris |éditeur=Larousse|année=1993|isbn=2037202229|passage=59-63|id=Cathelineau}}.
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=Patrick Delaroche |titre chapitre=désir du sujet|auteurs ouvrage=A. de Mijolla (dir.)|titre ouvrage=Dictionnaire international de la psychanalyse|lieu=Paris |éditeur=Hachette |année=2005 |isbn=201279145X|passage=461-462|id=Delaroche}}. {{plume}}
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=Jean Laplanche|auteur2= [[J.-B. Pontalis]]|titre chapitre=désir |titre ouvrage=''[[Vocabulaire de la psychanalyse]]'' |lieu=Paris |éditeur=PUF |année=1984
* [[Jean Laplanche]], « Terminologie raisonnée », entrées: « Désir », «
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=Roger Perron |titre chapitre= désir (Satisfaction hallucinatoire du -)|auteurs ouvrage=A. de Mijolla (dir.)|titre ouvrage=Dictionnaire international de la psychanalyse|lieu=Paris |éditeur=Hachette |année=2005 |isbn=201279145X|passage=458-460|id=Perron}}.
* {{
* {{Chapitre |langue=fr |auteur1=Delphine Schilton|titre chapitre=désir (accomplissement du -)|auteurs ouvrage=A. de Mijolla (dir.)|titre ouvrage=Dictionnaire international de la psychanalyse|lieu=Paris |éditeur=Hachette |année=2005 |isbn=201279145X|passage=457-458|id=Schilton}}. {{plume}}
=== Articles connexes ===
▲{{Autres projets
▲ | wikiquote = désir
▲ | wikiversity = Le désir
▲}}
* [[Bonheur]] | [[Séduction]]
* [[Besoin]] | [[Satisfaction]]
Ligne 207 ⟶ 194 :
* [[Concupiscence]] | [[Désir sexuel|Libido]] (désir sexuel)
* [[Volonté (philosophie)|Volonté]] | [[Passion (philosophie)|Passion]] | [[Morale]]
* [[(14500) Kibo]], astéroïde nommé désir en japonais
=== Liens externes ===
{{Liens}}
{{Portail|philosophie|psychologie|biologie}}
[[Catégorie:Psychologie clinique|Desir]]
[[Catégorie:
[[Catégorie:Concept de psychologie]]
[[Catégorie:Éponyme d'un objet céleste]]
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