« Angkor » : différence entre les versions
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'''Angkor''' est un [[site archéologique]] du [[Cambodge]] composé d'un ensemble de
Ces ruines, méticuleusement restaurées pour certaines, sont situées dans les forêts au nord du [[Tonlé Sap]], en bordure de la ville de [[Siem Reap]]. Classées depuis [[1992]] au [[patrimoine mondial]] par l'[[Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture|UNESCO]], elles
== Historique ==
=== Angkor préhistorique ===
Si l'histoire retient le {{s-|IX|e}} pour la fondation d'Angkor, les ruines de ce site cambodgien ne seraient que la partie monumentale connue d'une présence remontant à l'[[âge du bronze]] et révélée par la nécropole de [[Koh Ta Méas]], datée d'au moins 1800 avant notre ère.
Pas moins de vingt-sept sépultures ont été dégagées, avec leurs nombreuses offrandes. Les squelettes humains des cinquante-neuf individus identifiés sont d'une grande valeur pour la connaissance du peuplement préhistorique du [[Asie du Sud-Est|Sud-Est asiatique]] continental. Celle-ci révèle une population peu robuste, qui a cependant développé une résistance immunitaire à la [[Paludisme|malaria]].
Ces fouilles ont été l'objet d'une exposition au Musée national de [[Phnom Penh]] jusqu'en février 2010.
=== Hariharālaya (Rolûos) ===
[[Image:Praeh Ko Markh.jpg|
[[Image:Tree intertwining with temple.jpg|vignette
L'[[empire khmer]] qui s'étend sur la péninsule du sud-est asiatique, a été fondé au début du {{IXe siècle}} par [[Jayavarman II]]. L'un de ses successeurs, [[Indravarman Ier|Indravarman I]], entreprend des travaux d'aménagement hydraulique qui seront la base de la prospérité de la région. Il est aussi à l'origine du premier édifice encore visible, le [[Preah Kô]], consacré en [[879]] et construit en brique comme tous les monuments antérieurs, inaugurant plus de trois siècles d'apogée de l'[[architecture khmère]].
Le premier [[temple-montagne]], configuration caractéristique de la cosmologie [[Hindouisme|hindouiste]], est édifié par ses soins en [[881]] au Bakong. Ces temples-montagnes adoptent une symbolique du [[mont Meru]], axe du monde et séjour mythique des dieux en 5 niveaux concentriques hérissés de 109 tours.
=== Yaśodha rapura (Angkor proprement dit) ===
{{article détaillé|Art khmer}}
Les successeurs d'Indravarman, notamment son fils [[Yasovarman Ier|Yaśovarman]] crédité du titre de « créateur d'Angkor », entreprennent des aménagements gigantesques, plus au nord-ouest, avec construction des digues du ''[[architecture khmère#Baray|bārāy]]'' oriental (le ''Yaśodhatatāka'') et l'édification de monuments, désormais en pierre : le [[Phnom Bakheng]] (vers 900), le [[Mebon oriental]] au centre du bārāy oriental, et le [[Prè Rup]] (vers 960). Les temples-montagnes utilisent des collines naturelles : [[Phnom Dei]], [[Phnom Bok]], [[Phnom Krom]].
Après une période de troubles pendant laquelle la capitale du royaume khmer est transférée à [[Koh Ker]], [[Suryavarman
Les grands rivaux des Khmers, les [[Cham (peuple)|Chams]] occuperont Angkor quelques années avant que [[Jayavarman VII]] en reprenne possession (1181) et établisse le [[
Les constructions prennent de l'ampleur avec l'enceinte d'[[Angkor Thom]] et le [[Bayon (Angkor)|Bayon]], puis le [[Ta Prohm]], le [[Preah Khan]] et leurs tours ornées de gigantesques visages du [[Bouddha]] souriant sont construits successivement pendant le {{XIIe siècle}}. À cette époque, la capitale khmère s'étend sur {{Unité|200|km}}² et compte près d'une centaine de temples.
[[File:Ta Som2012.jpg|thumb|left|Ta Som.]]
Mais l'un de ses successeurs, [[Jayavarman VIII]], dès son avènement ([[1243]]), impose le retour à l'hindouisme et détruit de nombreuses sculptures du Bouddha.
Puis le bouddhisme reprend le dessus au milieu du {{XIVe siècle}}, sous sa forme [[
Le déclin du royaume Khmer est ensuite rapide, son territoire rétréci par la sécession des Thaïs du [[royaume de Sukhothaï]] et ravagé par des guerres incessantes avec ceux-ci et les Chams.
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Angkor est définitivement abandonnée comme capitale vers [[1431]], après sa prise par les thaïs du [[royaume d'Ayutthaya]].
Au cours des {{XVe s}} et {{XVIe siècle}}s, des moines bouddhistes s'approprient le site et détournent des constructions vers des représentations du Bouddha tel l'énorme [[Bouddha couché]] au [[Baphûon|Baphuon]].
Ce site sera laissé à l'abandon et, pour la plus grande part, enseveli sous la végétation foisonnante de la [[jungle]] tropicale.
La période sinistre des [[Khmers rouges]] avait rendu le site inaccessible aux visiteurs, mais pas aux pillards. Par précaution, de nombreuses pièces sont aujourd'hui à l'abri au musée de [[Phnom Penh]].
===
Angkor a connu l'un des effondrements les plus méconnus de tous les temps. Le royaume khmer dura du {{s mini|IX|e}} au {{XVe siècle}}. À son apogée, il domina une large frange de l'[[Indochine|Asie du Sud-Est continentale]], de la [[Birmanie]], à l'ouest, au [[Viêt Nam]], à l'est. Sa capitale, Angkor, ne comptait pas moins de {{nombre|750000|habitants}} et couvrait une superficie d'environ {{unité|1000|km|2}}. À la fin du {{XVIe siècle}}, lorsque des missionnaires portugais découvrirent les tours en forme de lotus d'[[Angkor Vat]] - le temple le plus sophistiqué de la cité et {{Référence nécessaire|le plus vaste monument religieux du monde|date=février 2010}} -, la capitale de l'empire agonisait déjà. Les spécialistes ont avancé de nombreuses explications mais la plus probable est la suivante : Angkor aurait été condamnée d'avance par cette même ingéniosité qui transforma un ensemble de petits fiefs en empire. La civilisation khmère avait appris l'art d'apprivoiser les déluges saisonniers de l'Asie du Sud-Est, en stockant l'eau dans
Le pouvoir se déplaça vers [[Phnom Penh]], au {{s-|XVI|e}}, après une période de moussons irrégulières.
==
[[Image:Angkor SPOT 1184.jpg|
[[Image:Plan Ensemble Angkor.jpg|
Angkor est constitué de nombreux ensembles archéologiques significatifs, dont :
Ligne 88 :
*** [[Bayon (Angkor)|Bayon]]
*** [[Phimeanakas|Phiméanakas]]
*** [[Terrasse des Éléphants|Terrasse des éléphants]]
*** [[Terrasse du Roi lépreux]]
*** [[Tep Pranam]]
Ligne 132 :
La plupart des noms sont les noms communs actuels. Quelques rares noms d'origine sont parvenus jusqu'à nous.
[[Image:Angkor1866.jpg|
[[Image:Facade of Angkor Wat.jpg|
Le temple d'Angkor Vat (selon la graphie française, Wat localement) a été le seul monument entretenu constamment par des moines [[bouddhisme|bouddhistes]].
Ligne 139 :
=== Redécouverte et restauration ===
La première relation sur l'empire khmer en Europe date de [[1570]] par des voyageurs espagnols et portugais. Il fallut attendre la publication en [[1819]] par [[Jean-Pierre Abel-Rémusat]] de ''[[s:Livre:Description du royaume du Cambodge, traduction Rémusat.djvu|Description du royaume de Cambodge par un voyageur chinois qui a visité cette contrée à la fin du {{s-|XIII|e}}, précédée d'une notice chronologique sur ce même pays, extraite des annales de la Chine, Imprimerie de J. Smith]]'', traduction d'un récit de voyage d'un officier chinois pour réapparaître du néant. C'est en [[1861]], début de la conquête de la [[Cochinchine]] par la France, que le naturaliste [[Henri Mouhot]] explorant la région avec l'abbé Sylvestre permet la redécouverte d'Angkor Vat puis d'Angkor Thom. Son récit sera publié dans
De nombreuses missions d'exploration se succèdent alors jusqu'à la longue présence d'[[Étienne Aymonier]], nommé représentant au Cambodge en [[1879]]. Celui-ci organisa la traduction des nombreuses inscriptions, reconstitua l'histoire du royaume khmer. Rentré en France à l'issue de sa mission (vers 1886) il publia de nombreuses études, un dictionnaire et de multiples articles qu'il rassemble à partir de 1900 dans son grand ouvrage ''Le Cambodge''.
Depuis le début du {{s-|XX}}, le site d'Angkor est patiemment réhabilité par des archéologues, notamment par ceux de l'[[École française d'Extrême-Orient]] (EFEO), comme [[Henri Marchal]] et [[Bernard-Philippe Groslier]]. (Aujourd'hui, l'EFEO est toujours
[[Fichier:Expo 1931 AngkorWat1.jpg|vignette|Réplique du temple lors de l'[[exposition coloniale internationale]] de 1931.]]
[[Stimulant]] l'imagination occidentale et le fantasme d'une civilisation «
Durant le [[Kampuchéa démocratique]] (1975-1979), les [[Khmers rouges]] exploitent le prestige du site d'Angkor à des fins politiques. Ils font ainsi figurer la silhouette du temple principal sur le drapeau officiel et prétendent s'inspirer de son développement économique passé en imposant à la population trois récoltes de riz par an sur chaque parcelle ; cela se solde par une grave famine. Le site en lui-même est épargné par les destructions<ref name="Abbe"/> mais, faute d'entretien et d'exploitation touristique jusqu'au début des années 1990, il est de nouveau envahi par la végétation, ce qui disloque des statues et des colonnes. Comme ailleurs dans le pays, des [[mine terrestre|mines antipersonnel]] y sont installées afin de décourager les intrusions<ref name="Saint-Geours">{{article|auteur=[[Yves Saint-Geours]]|url=https://www.lhistoire.fr/mission-de-sauvetage|titre=Mission de sauvetage |périodique=[[L'Histoire]]|date=avril 2020|pages=58}}.</ref>.
Ligne 154 :
Les Français jouent un rôle de premier plan dans la réouverture du site à l'heure du [[tourisme de masse]] (en 1970, au pic de sa fréquentation, Angkor n'avait reçu que 25 000 visiteurs)<ref name="Saint-Geours"/>.
En [[2001]]-[[2012]], une [[Archéologie|étude archéologique]] à grande échelle, le ''Greater Angkor Project'' a rassemblé l'[[Université de Sydney]] (notamment les archéologues australiens Damian Evans et Roland Fletcher), l'[[École française d'Extrême-Orient]], et l'APSARA<ref name="UniversiteSydney ARP S PP">{{Lien web |langue= en |url= http://sydney.edu.au/angkor/structure/past-projects.shtml |titre= Past Projects | série= Angkor Research Program - Structure |éditeur= [[Université de Sydney]] |consulté le=10 juillet 2014}}.</ref> avec le
Ils confirment qu'Angkor était bien l'un des plus vastes complexes urbains de l'ère pré-industrielle, bien plus étendu que ce que l'on croyait jusqu'alors. Le centre urbain s'étendait sur {{Unité|400|km²}} et la surface totale atteignait {{unité|3000|km²}}, soit dix fois plus que ce que l'on imaginait. On évalue la population à {{nombre|700000|habitants}}. Les experts en tirent la conclusion que cette extension de la capitale de l'[[empire khmer]] n'a vraisemblablement pas été sans conséquences pour l'[[environnement]] et que les problèmes écologiques ([[déforestation]], [[Régression et dégradation des sols|dégradation des sols]], [[érosion]]) liés à ce développement ont sans doute contribué à la chute de l'empire.
Ligne 160 :
En 2012, une étude par [[Topographie|topométrie]] laser a confirmé la très grande extension du site<ref>{{en}} [http://www.phnompenhpost.com/2013061666293/National/lasers-reveal-angkor-city-four-times-bigger-than-previously-believed.html Lasers reveal Angkor city four times bigger than previously believed], par By Justine Drennan et Alistair Walsh, ''The Phnom Penh Post'', 16 juin 2013.</ref>.
==
{{article connexe|Architecture khmère}}
Quelques autres cités comparables à celles d'Angkor ont été construites sur d'autres sites, principalement à l'époque de [[Jayavarman VII]], dont :
*[[Beng Mealea]], {{Unité|70|km}} au nord-est
*[[Banteay Chmar]] ([[province de Banteay Mean Chey]])
*[[Prasat Muang Sing]], dans la [[Thaïlande]] actuelle.
*[[Preah Khan
*[[Ta
*
*
Ces sites associent une grande enceinte défensive, des dispositifs hydrauliques (''[[Baray|bārāy]]'') et un temple aux multiples enceintes symboliques, dans le style du [[Preah Khan]] d'Angkor.
Le
les sites == Angkor au cinéma ==
* ''[[Les Mystères d'Angkor]]'' ([[1960 au cinéma|1960]])
* ''[[Lord Jim (film, 1965)|Lord Jim]]'' ([[1965]]).
* Le final du film ''[[In the Mood for Love]]'' ([[2000]]) de [[Wong Kar-wai]] a été intégralement tourné à Angkor
* En [[2001]] est sorti le film ''[[Lara Croft
* Le film ''[[Deux Frères|Deux frères]]'' ([[2004]]) a été tourné dans plusieurs temples d'Angkor, notamment le [[Ta Prohm]] et le [[Beng Mealea]], ainsi qu'à [[Kbal Spean]].
* Le film : Le temps des aveux (2014) Le film relate la captivité de François Bizot ethnologue Français pendant la période des khmers rouges, l'action se situe en partie sur le site d'Angkor
== Angkor dans l'actualité ==
* Les propos attribués à l'actrice [[Thaïlande|thaïlandaise]], {{lien|Suvanant Kongying}}, revendiquant l'appartenance d'Angkor à la culture et au territoire [[Thaïlande|thaïs]], ont provoqué des émeutes à [[Phnom Penh]] en {{date
* En [[2008]], des sandales vendues sur un marché vietnamien et comportant une image d'[[Angkor Vat]] sur la semelle ont causé une mini crise diplomatique<ref>{{fr}} {{article| titre = Le scandale des sandales| périodique = Cambodge Soir| jour = 24 | mois = janvier | année = 2008 | lien périodique = Cambodge Soir | url texte = http://www.cambodgesoir.info/index.php?option=com_content&view=article&id=22150 | consulté le = 4 juin 2010}}</ref>.
==
{{Références}}
==
{{Autres projets|commons=Category:Angkor|wikivoyage=Angkor}}▼
{{catégorie principale}}
=== Bibliographie ===
==== Histoire et archéologie ====
Ligne 200 ⟶ 204 :
*[[Maurice Glaize]], ''Les Monuments du groupe d'Angkor'', 1944, 1963, 1993
*[[Étienne Lunet de Lajonquière]], ''Inventaire descriptif des monuments du Cambodge'' (1902)
*[[Henri Marchal]], ''Guide
*{{Ouvrage | auteur1=[[Zhou Daguan]] | auteur2=Paul Pelliot | titre=Mémoires sur les coutumes du Cambodge de Tcheou Ta-Kouan | volume=3 | éditeur=[[Maisonneuve (maison d'édition)|Adrien Maisonneuve]] | collection=Œuvres posthumes | année=2003 | mois=mars | jour=1 | numéro d'édition=71-03 | année première édition=1951 | pages totales=178 | isbn=978-2-7200-1107-8 | présentation en ligne=http://www.maisonneuve-adrien.com/description/extreme_orient/pelliot_memoires.htm}}
;Publications récentes
*{{Article|prénom1=Mathilde|nom1=Casteran|titre=Le site archéologique d’Angkor pendant la troisième guerre d’Indochine, un objet des relations internationales, 1980-1991|périodique=Bulletin de l'Institut Pierre Renouvin|volume=53|numéro=2|pages=85–95|date=2021|issn=1276-8944|doi=10.3917/bipr1.053.0085|lire en ligne=https://www.cairn.info/revue-bulletin-de-l-institut-pierre-renouvin-2021-2-page-85.htm}}.
* Michael Falser: ''Angkor Wat. A Transcultural History of Heritage.'' (Vol.1: Angkor in France. From Plaster Casts to Exhi ition Pavilions. Vol.2: Angkor in Cambodia. From Jungle Find to Global Icon), 1150 pages, 1400 illustrations. DeGruyter, Berlin, 2020, {{ISBN|978-3-11-033572-9}}.▼
* {{Ouvrage |auteur1=[[Bruno Dagens]] |titre=Angkor : La forêt de pierre|lien titre=Angkor : la forêt de pierre|éditeur=Gallimard |collection=[[Découvertes Gallimard]]|série=Archéologie|numéro dans collection=[[Liste des volumes de « Découvertes Gallimard » (1re partie)|64]]|format livre=18 |année=1989|pages totales=192 |isbn1=978-2-07-053091-5 |isbn2=2-07-053091-4 }}
* Michael Freeman, Claude Jacques, ''Ancient Angkor'', 1999, River Books {{ISBN | 978-974-9863-81-7}}▼
▲* {{en}} Michael Falser: ''Angkor Wat. A Transcultural History of Heritage.'' (Vol.1: Angkor in France. From Plaster Casts to Exhi ition Pavilions. Vol.2: Angkor in Cambodia. From Jungle Find to Global Icon), 1150 pages, 1400 illustrations. DeGruyter, Berlin, 2020, {{ISBN|978-3-11-033572-9}}.
* ''Angkor et dix siècles d'art khmer''.Réunion des musées nationaux, Paris, 1997.
▲* {{en}} Michael Freeman, Claude Jacques, ''Ancient Angkor'', 1999, River Books {{ISBN | 978-974-9863-81-7}}
* Jean-Pierre Grandjean, ''Angkor'', 64 pages. Editions Olizane, Genève, 2000
* Claude Jacques, Michael Freeman, ''Angkor, cité khmère'', 240 pages. Editions Olizane, Genève, 2000.
* Claude Jacques, Michael Freeman, ''Angkor, résidence des dieux'', 320 pages. Editions Olizane, Genève, 2001.
* Michel Petrotchenko, ''Le guide des Temples d'Angkor'', 384 pages, Amarin Printing and Publishing, 2015, {{ISBN|978-616-382-338-0}}
* {{Article|auteur= Christophe Pottier|titre=À la recherche de Goloupura |périodique=BEFEO|volume=87 |numéro=1 |date=2000 |pages=79-107 |lire en ligne=https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-02043537/document |consulté le=27-01-2021 |id=Pottier, 2000 }}.
* [[Le Monde hors série]] n°62, 2018.
* [[Archeologia]] n°578, juillet-août 2019.
* Dossier spécial de ''[[L'Histoire]]'' (avril 2020) :
** {{article|auteur= Roland Fletcher|url=https://www.lhistoire.fr/nouvelles-hypoth%C3%A8ses-sur-le-d%C3%A9clin-dangkor|titre=Nouvelles hypothèses sur le déclin d'Angkor |périodique=[[L'Histoire]]|date=avril 2020|pages=34-41}}
Ligne 215 ⟶ 228 :
==== Autobiographie ====
* [[François Bizot]], ''Le
* [[Jean Boulbet]], ''De Palmes et d'épines, Vers le paradis d'Indra'', 2003 (tranche de vie d'un ethnologue à Angkor de 1963 à 1975)
Ligne 225 ⟶ 238 :
* [[Raphaël Aubert]], ''La Terrasse des éléphants'', 2009
* [[Maxence Fermine]], ''Le Papillon de Siam'', 2010
=== Articles connexes ===
* [[Mahendraparvata]] (''Montagne de la Grande Indra''), première capitale khmère, redécouverte en 2012/2013, par le procédé du [[Lidar]]
=== Liens externes ===
{{Liens}}
▲{{Autres projets|commons=Category:Angkor|wikivoyage=Angkor}}
* Documentaires : [Http://www.culture-aventure.fr/videos/references/Sur-les-traces-de-l-empire-d-angkor.htm "Sur les traces de l'Empire d'Angkor"]
* [http://www.siemreap-town.gov.kh District de Siem Reap - Khmer et anglais]
Ligne 234 ⟶ 250 :
* Documentaire : [https://www.dailymotion.com/video/x5rydav "AUX ORIGINES D’ANGKOR (Cambodge)"]
{{Palette|Histoire du Cambodge|Patrimoine mondial au Cambodge|Angkor}}
{{Portail|exploration|archéologie|patrimoine mondial|tourisme|Culture|Cambodge}}
[[Catégorie:Angkor|*]]
Ligne 241 ⟶ 257 :
[[Catégorie:Patrimoine mondial anciennement considéré comme en péril]]
[[Catégorie:Ancienne capitale de pays]]
[[Catégorie:Art au Cambodge]]
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