« Marcel Roncayolo » : différence entre les versions

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{{Infobox Personnalité des sciences sociales
| nom = Marcel Roncayolo
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| date de naissance = [[1926]]
| lieu de naissance = [[Marseille]]
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| titre = Directeur adjoint de l'[[École normale supérieure (rue d'Ulm — Paris)|école normale supérieure de Paris]]<br>[[Professeur des universités]]<br>Directeur d'études à l'[[école des hautes études en sciences sociales]]
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}}
 
'''Marcel Roncayolo''' est un [[urbaniste]] et [[Géographie|géographe]] français né enle [[{{Date de naissance|24|3|1926]]}} à [[Marseille]]. Spécialisteet demort lale ville{{date|13|10|2018}} deà [[MarseilleParis]]<ref>[https://deces.matchid.io/id/-PdvfCMH22yn Relevé des fichiers de l'Insee]</ref>.
 
==Biographie==
===CarrièreJeunesse universitaireet études===
Marcel Roncayolo effectue ses études secondaires au [[Lycée Saint-Charles (Marseille)|lycée Saint-Charles]] de Marseille, puis au [[lycée Thiers]], et enfin au [[lycée Louis-le-Grand]]<ref name=":0">{{Ouvrage|langue=en|prénom1=International Publications|nom1=Service|titre=Who's Who in France, 1983-84|éditeur=International Publications Service|date=1986|isbn=978-2-85784-016-9|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=-x9uwgEACAAJ&newbks=0&hl=en|consulté le=2024-01-30}}</ref>.
Ancien directeur adjoint de l'[[École normale supérieure (rue d'Ulm — Paris)|école normale supérieure de Paris]], directeur d'études à l'[[école des hautes études en sciences sociales]]<ref>{{Lien web|langue = |titre = <nowiki>GGH-Terres | Autour de Marcel Roncayolo</nowiki>|url = http://gghterres.ehess.fr/index.php?521|site = Ehess|date = 2013|consulté le = 17/11/2014}}</ref> et professeur émérite à l'[[Université Paris Ouest Nanterre La Défense|université Paris X - Nanterre]], il a fortement marqué la [[géographie urbaine]] française. Il a dirigé de 1991 à 1994 l'[[Institut d'urbanisme de Paris]]. En 2012, le jury du [[Grand Prix de l'urbanisme]] a tenu à lui rendre hommage pour l'ensemble de son œuvre<ref>http://projets-architecte-urbanisme.fr/francois-grether-grand-prix-urbanisme-2012/</ref>.
 
Ancien élève de l'[[École normale supérieure (Paris)|École normale supérieure]] (promotion 1946)<ref>{{lien web |titre=L'annuaire |url=https://www.archicubes.ens.fr/lannuaire#annuaire_chercher?identite=Marcel+Roncayolo |site=ens.fr |consulté le=14-04-2023}}.</ref>, il passe l'[[agrégation de géographie]] en 1950<ref>{{lien web |titre=Les agrégés de l'enseignement secondaire. Répertoire 1809-1960<!-- Vérifiez ce titre --> |url=http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=agregsecondaire_laureats&nom=&annee_op=%3D&annee%5Bvalue%5D=1950&annee%5Bmin%5D=&annee%5Bmax%5D=&periode=All&concours=6&items_per_page=10&page=1 |site=cnrs.fr |consulté le=14-04-2023}}.</ref>.
==Apport à la géographie urbaine==
Spécialiste de la ville de [[Marseille]], dont il a fait pendant de longue années son laboratoire, il a cherché à introduire de manière critique les principales théories anglo-saxonnes et européennes de la ville, faisant la synthèse des grandes écoles d'urbanisme et de géographie urbaine du {{s-|XX|e}}.
 
=== Parcours professionnel ===
Ardent défenseur et praticien au quotidien de l'interdisciplinarité, il a tenu pendant de longues années un séminaire commun avec [[Louis Bergeron]], directeur d'études à l'EHESS et historien de la ville industrielle. Il crée en 1981 le séminaire « Territoires » qui regroupait des enseignants et de jeunes chercheurs de l'École Normale Supérieure ([[Philippe Boutry]], Hervé Théry, Daniel Nordman, Christian Jacob, [[Franck Lestringant]], Jacques Brun, [[Jean Boutier]], Jean-Claude Chamboredon...), au sein du tout récent Laboratoire de sciences sociales. En sortirent deux volumes de contributions et de réflexions, qui ont circulé sous forme de littérature grise, mais n'en constituent pas moins des éléments importants dans l'élaboration d'une réflexion interdisciplinaire sur la territorialité.
De 1950 à 1952, Marcel Roncayolo enseigne au lycée Saint-Charles, à Marseille<ref name=":0" />. Il est élu en 1965 directeur d'études à la VIe section de l'École pratique des Hautes Études (qui deviendra l<nowiki>''</nowiki>EHESS en 1975), sur une direction d'études consacrée aux études urbaines, intitulée "Histoire sociale de l'urbanisme et de l'aménagement du territoire, {{sp-|XIX|-|XX}})". Dans les années 1970, il anime un séminaire commun avec Louis Bergeron, élu directeur d'études en 1970 sur une chaire intitulée "Capitalisme et société en Europe occidentale, {{sp-|XVIII|-|XX|s}}".
 
De 1978 à 1988, il est directeur adjoint de l'[[École normale supérieure (Paris)|École Normale Supérieure]] (rue d'Ulm) où il met en place un recrutement valorisant les sciences sociales, avec un concours dénommé d'abord S (les mathématiques remplaçant l'épreuve de latin obligatoire) puis B/L (avec une part importante d'épreuves de sciences sociales). Il participe au même moment à la création de l'agrégation de sciences sociales pour l'enseignement secondaire. A l'ENS, il crée également le laboratoire de sciences sociales et y anime le séminaire "Territoires" qui regroupe pendant plusieurs années une quinzaine de chercheurs venant de l'ensemble des sciences humaines et sociales (histoire, géographie, sociologie, ethnologie, études littéraires). Docteur d'État en 1981, il est nommé professeur de géographie à l'[[Université Paris Ouest Nanterre La Défense|université Paris X - Nanterre]].
Dans ses études de la question urbaine, Marcel Roncayolo intègre souvent les apports de la démarche historique, ce qui explique ses collaborations importantes avec des historiens spécialistes de la ville. Il entend en effet montrer que les évolutions et les aménagements urbains ne dépendent pas seulement du marché ou de la politique municipale mais de facteurs multiples qui doivent être pris en considération dans leur épaisseur temporelle. <blockquote>La légitimité du tracé ''a priori'' du département est moins importante que la légitimité acquise<ref>Cité par <span>Emmanuel Bellanger (chercheur au CNRS) dans le</span> [https://www.youtube.com/watch?v=2EA-T7odWeE&list=PLa6sUrZee-ikeFm5q_6AeoewfT2F1MMaL Film documentaire en ligne]<span> de 2015, réalisé à l'occasion de la parution du livre ''Val-de-Marne</span> <span>: Anthologie 1964 - 2014'' aux Éditions de l'Atelier en 2014</span></ref>.</blockquote> En ce sens, il met en pratique une forme de [[géographie historique]], suivant la voie de [[Roger Dion]], dont il a d'ailleurs préfacé la réédition de ''L'Histoire de la vigne et du vin en France'' en 1991.
 
Il a fortement marqué la [[géographie urbaine]] française. Il a dirigé de 1991 à 1994 l'[[Institut d'urbanisme de Paris]]. En 2012, le jury du [[Grand Prix de l'urbanisme]] a tenu à lui rendre hommage pour l'ensemble de son œuvre<ref>{{lien web |titre=Wayback Machine |url=http://web.archive.org/web/20220628161001/http://projets-architecte-urbanisme.fr/francois-grether-grand-prix-urbanisme-2012/ |site=projets-architecte-urbanisme.fr via [[Internet Archive]] |consulté le=11-11-2023}}.</ref>.
Pour lui, l'urbanisation est avant tout un phénomène culturel, il affirme ainsi dans son célèbre ouvrage que si un humain sur deux vit dans une ville, tous les humains sont des urbains d'un point de vue culturel. Il développe dans sa thèse d'État en 1981 (publiée seulement en 1996 sous le titre ''Les grammaires d'une ville. Essai sur la genèse des structures urbaines de Marseille'') l'idée d'une [[géographie culturelle]], ce qui constitue une innovation qu'il n'a pas véritablement assumé par la suite, sauf dans son essai ''L'imaginaire de Marseille'', qui est resté peu lu et mal compris<ref>Voir Verdeil E., 2014, ''[http://books.openedition.org/enseditions/2709 L’Imaginaire de Marseille, une géographie culturelle méconnue]'', Préface à la réédition de ''L'imaginaire de Marseille'' dans la « Bibliothèque idéale des sciences sociales ».</ref>.
 
==Apports==
Spécialiste de la ville de [[Marseille]], dont il a fait pendant de longuelongues années son laboratoire, il a cherché à introduire de manière critique les principales théories anglo-saxonnes et européennes de la ville, faisant la synthèse des grandes écoles d'urbanisme et de géographie urbaine du {{s-|XX|e}}.
 
Ardent défenseur et praticien au quotidien de l'interdisciplinarité, il a tenu pendant de longues années un séminaire commun avec [[Louis Bergeron (historien)|Louis Bergeron]], directeur d'études à l'EHESS, autour de la formation et historiendes dynamiques de la ville industrielle. Il crée en 1981 le séminaire «  Territoires  » qui regroupait des enseignants et de jeunes chercheurs de l'[[École Normalenormale Supérieuresupérieure (Paris)|École normale supérieure]] ([[Philippe Boutry]], [[Hervé Théry]], [[Daniel Nordman]], Christian Jacob, [[FranckFrank Lestringant]], Florence Weber, Jacques Brun, [[Jean Boutier]], [[Jean-Claude Chamboredon]], [[Jean-Louis Fabiani]]...), au sein du tout récent Laboratoire de sciences sociales. En sortirent deux volumes de contributions et de réflexions, qui ont circulé sous forme de littérature grise, mais n'en constituent pas moins des éléments importants dans l'élaboration d'une réflexion interdisciplinaire sur la territorialité. Ces contributions ont été finalement réunies en un volume édité en 2016 par Marie-Vic Ozouf Marignier (cf. bibliographie).
 
Dans ses études de la question urbaine, Marcel Roncayolo intègre souvent les apports de la démarche historique, ce qui explique ses collaborations importantes avec des historiens spécialistes de la ville. Il entend en effet montrer que les évolutions et les aménagements urbains ne dépendent pas seulement du marché ou de la politique municipale mais de facteurs multiples qui doivent être pris en considération dans leur épaisseur temporelle.
{{Citation bloc|La légitimité du tracé ''a priori'' du département est moins importante que la légitimité acquise<ref>Cité par Emmanuel Bellanger (chercheur au CNRS) dans le [https://www.youtube.com/watch?v=2EA-T7odWeE&list=PLa6sUrZee-ikeFm5q_6AeoewfT2F1MMaL Film documentaire en ligne] de 2015, réalisé à l'occasion de la parution du livre ''Val-de-Marne : Anthologie 1964 - 2014'' aux Éditions de l'Atelier en 2014</span></ref>.}}
En ce sens, il met en pratique une forme de [[géographie historique]], suivant la voie de [[Roger Dion]], dont il a d'ailleurs préfacé la réédition de ''L'Histoire de la vigne et du vin en France'' en 1991.
 
Pour lui, l'urbanisation est avant tout un phénomène culturel, il affirme ainsi dans son célèbre ouvrage que si un humain sur deux vit dans une ville, tous les humains sont des urbains d'un point de vue culturel. Il développe dans sa thèse d'État en 1981 (publiée seulement en 1996 sous le titre ''Les grammaires d'une ville. Essai sur la genèse des structures urbaines de Marseille'') l'idée d'une [[géographie culturelle]], ce qui constitue une innovation qu'il n'a pas véritablement assuméassumée par la suite, sauf dans son essai ''L'imaginaire de Marseille'', qui est resté peu lu et mal compris<ref>Voir Verdeil E., 2014, ''[http://books.openedition.org/enseditions/2709 L’Imaginaire de Marseille, une géographie culturelle méconnue]'', Préface à la réédition de ''L'imaginaire de Marseille'' dans la «  Bibliothèque idéale des sciences sociales  ».</ref>.
 
== Ouvrages ==
* ''Géographie électorale des Bouches-du-Rhône sous la IVe République'' (avec Antoine Olivesi), Paris, A. Colin, 1961
* Direction du tome 5 de l'''Histoire de la France urbaine'', ''La ville aujourd'hui. Croissance urbaine et crise de la cité'', Paris, Seuil, 1981
* L''es grandes villes françaises, Marseille,'' Paris, La Documentation française, 1963
* ''La ville et ses territoires'', Paris, Gallimard Folio, 1990 (reprise d'articles publiées dans ''Enciclopedia'', Turin, Giulio Einaudi Editore, 1978 et 1988 (édition complétée)
* ''Nos contemporains'', collection ''Le Monde et son histoire'', Paris, Bordas, tome 9, ''La Guerre et la révolution, les illusions de la paix et de la prospérité, la crise du capitalisme et du monde libéral, les fascismes, construction de l'U.R.S.S. et éveil des nationalismes hors d'Europe, l'ébranlement d'un monde'', 1968 ; tome 10, 1. ''Puissance et effondrement des fascismes, la formation des blocs, le second vingtième siècle, économies et sociétés'', 1971; 2, ''Guerre et paix à l'âge atomique, civilisation industrielle en Amérique du Nord, Europe et Union Soviétique, la lutte pour le développement et l'indépendance: Asie, Afrique, Amérique latine'', 1972 ; rééd., ''Histoire du monde contemporain,'' 1. ''De 1914 à 1939'' ; 2. ''De 1939 à nos jours'', Paris ; Bruxelles ; Montréal, Bordas, 1973, 3 vol.; rééd. Paris, R. Laffont, 1985; rééd. ''Le monde et son histoire'', III, ''Les révolutions européennes et le partage du monde, le monde contemporain'' (avec Louis Bergeron) ; IV, ''Le monde contemporain de la Seconde guerre mondiale à nos jours'', Paris, Le Grand Livre du Mois, 1997
* ''L'imaginaire de Marseille: port, ville, pôle'', Marseille : Chambre de commerce et d'industrie de Marseille, 1990, rééd. ENS Editions, coll. « Bibliothèque idéale des sciences sociales », 2014, disponible en ligne : http://books.openedition.org/enseditions/370.
* ''La ville et ses territoires'', Paris, Gallimard Folio, 1990 (reprise d'articles publiées dans ''Enciclopedia'', Turin, Giulio Einaudi Editore, 1978 et 1988 (; édition complétée).
* ''Les grammaires d'une ville. Essai sur la genèse des structures urbaines à Marseille'', ed. de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, 1996
* ''L'imaginaire de Marseille : port, ville, pôle'', Marseille :, Chambre de commerce et d'industrie de Marseille, 1990, ; rééd. ENS Editions, coll. «  Bibliothèque idéale des sciences sociales  », 2014, disponible en ligne : http://books.openedition.org/enseditions/370.
* ''Marseille : les territoires du temps'', Paris, Éd. locales de France, 1996
* ''Villes et civilisation urbaine : {{sp-|XVIII|-|XX}}'', sous la dir. de Marcel Roncayolo et Thierry Paquot, Paris, Larousse, 1992
* ''Martigues : regards sur un territoire méditerranéen'', Marseille, Parenthèses, 1999 (en collaboration avec Jean-Charles Blais)
| travaux = Thèse de doctorat,* ''Les grammaires d'une ville. Essai sur la genèse des structures urbaines deà Marseille'', (1981)éd. de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, 1996.
* « L'aménagement du territoire ({{s mini-|XVIII|e}} - {{s mini-|XX|e}} siècle) », dans André Burguière, Jacques Revel (dir.), ''Histoire de la France. L'espace français'', Paris, Seuil, 1989; rééd. Points Seuil 2000, p. 365-554
* ''Marseille : les territoires du temps'', Paris, Éd. locales de France, 1996.
* ''Histoire de la France urbaine : La ville aujourd'hui - Mutations urbaines, décentralisation et crise du citadin'', Poche, 2001
* ''LecturesMartigues de: villesregards :sur Formesun etterritoire tempsméditerranéen'', Marseille, Parenthèses, 20021999 (en collaboration avec Jean-Charles Blais).
* «  L'aménagement du territoire ({{s minisp-|XVIII|e}} - {{s mini-|XX|e}}) siècle) », dans André Burguière, Jacques Revel (dir.), ''Histoire de la France. L'espace français'', Paris, Seuil, 1989 ; rééd. Points Seuil 2000, p. 365-554.
* ''De la ville et du citadin'', 2003, avec Jacques Lévy, Olivier Mongin et Thierry Paquot
* Direction du tome 5 de l'''Histoire de la France urbaine'', '': La ville aujourd'hui. Croissance- urbaineMutations urbaines, décentralisation et crise de ladu citécitadin'', ParisPoche, Seuil, 19812001.
* ''Territoires en partage : Nanterre, Seine-Arche : en recherche d’identité(s)'', Marseille, Parenthèses, 2006
* ''Lectures de villes : Formes et temps'', Marseille, Parenthèses, 2002 (préface de Louis Bergeron).
* ''L'Abécédaire de Marcel Roncayolo'', Livre d'entretiens entre Isabelle Chesneau et Marcel Roncayolo, Genève, InFolio, 2011
* ''De la ville et du citadin'', 2003, avec Jacques Lévy, Olivier Mongin et Thierry Paquot.
* ''Territoires en partage : Nanterre, Seine-Arche : en recherche d’identité(s)'', Marseille, Parenthèses, 2006.
* ''L'Abécédaire de Marcel Roncayolo'', Livrelivre d'entretiens entre Isabelle Chesneau et Marcel Roncayolo, Genève, InFolio, 2011.
* ''Territoires.'' Sous la direction de Marcel Roncayolo. Préface de Marie Vic-Ozouf-Marignier, Paris, Actes de la Recherches à l'ENS, 13, 2016.
* ''Le géographe dans sa ville'', avec Sophie Bertrand de Balanda, Marseille, Parenthèses, 2016.
 
== Bibliographie ==
* Laurent Coudroy de Lille, Jacques Brun, Guy Burgel, Gilles Montigny, Marie-Vic Ozouf-Marignier (dir.), ''Marcel Roncayolo, sur les pas d’un géographe singulier'', Marseille, Parenthèses, 2023, 352 p.
 
== Notes et références ==
{{Références}}
 
== LienLiens externeexternes ==
{{liens}}
* Entretien avec T. Paquot dans la revue Urbanisme, repris sur le [httphttps://web.archive.org/web/20061129013021/http://www.univ-paris12.fr/1134765476531/0/fiche___article/ site de l'Institut d'urbanisme de Paris].
 
{{Portail|géographie|architecture et urbanisme|France}}
 
{{Portail|géographie|architecture et urbanisme|FranceMarseille}}
{{DEFAULTSORT:Roncayolo, Marcel}}
[[Catégorie:UrbanisteNaissance françaisen mars 1926]]
[[Catégorie:Naissance en 1926]]
[[Catégorie:Naissance à Marseille]]
[[Catégorie:Élève du lycée Thiers]]
[[Catégorie:Élève de l'École normale supérieure]]
[[Catégorie:Agrégé de géographie]]
[[Catégorie:Urbaniste français]]
[[Catégorie:Géographe français du XXe siècle]]
[[Catégorie:Décès en octobre 2018]]
[[Catégorie:Décès dans le 13e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:NaissanceDécès enà 192692 ans]]
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