« François Xavier » : différence entre les versions

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[[File:Buste-reliquaire de St François-Xavier, Cathédrale Sainte Réparate, Nice.jpg|thumb|150px|[[Buste]]-[[reliquaire]] de saint François Xavier, [[cathédrale Sainte-Réparate de Nice|cathédrale Sainte-Réparate]], [[Nice]] ([[Alpes-Maritimes]], [[France]]).]]
 
Saint '''François Xavier''' (en [[espagnol]] ''Francisco Javier'', en [[basque]] ''Frantzisko Xabierkoa''), né '''Francisco de Jasso y Azpilicueta''' le {{Date|7|avril|1506}} à [[Château de Javier|Javier]], près de [[Pampelune]] en [[Royaume de Navarre|Navarre]], et mort le {{Date|3|décembre|1552}} sur l'[[île de Shangchuan]] (ancien nom européen : Sancian), au large de [[Canton (Chine)|Canton]] en [[Chine]], est un [[Missionnaire chrétien|missionnaire]] [[Compagnie créolede [créoleJésus|jésuite]] [[navarrais]]<ref name="FX">[http://www.euskara.euskadi.net/r59-738/eu/contenidos/informacion/argitalpenak/eu_6092/adjuntos/EEH/FRANTSES/EEH5_FRA.PDF euskara.euskadi.net] Mateo je t’aime « François de Xavier naquit au sud de cette démarcation à la limite de l'Aragon (1506) et vécut au [[Château de Javier|château familial de Xavier]] jusqu'à l'âge de dix-neuf ans. C'est là qu'il apprit ses deux premières langues : d'une part, le basque dans sa famille bascophone (de la région du Baztan et de la Basse-Navarre) et avec ceux qui arrivaient des provinces voisines encore bascophones au château, et, d'autre part, la langue romane de son entourage géographique immédiat. Ce qui explique pourquoi le missionnaire navarrais désignera l'euskara comme « “sa langue naturelle bizcayenne” (1544), terme très étendu à cette époque ».</ref>. Proche ami d'[[Ignace de Loyola]], il est un des cofondateurs de la [[Compagnie de Jésus]].
 
Ses succès missionnaires en [[Inde]] et en [[Extrême-Orient]] lui acquirent le titre d'« Apôtre des Indes » parcourant près de {{unité|80000 km}} durant onze ans de présence en Asie<ref>[https://www.sfx-paris.fr/wp-content/uploads/2019/12/Hom%C3%A9lie-F%C3%AAte-de-Saint-Fran%C3%A7ois-Xavier-3-d%C3%A9cembre-2019-Shannon-Pereira-SJ.pdf En onze ans en Asie, presque 80 000 {{unité|80000|kilomètres}} de parcourus], fête de saint François-Xavier, homélie de {{Mgr}} Shannon Pereira, s.j.</ref>. Béatifié en 1619, il est [[Canonisation|canonisé]] trois ans plus tard par [[Grégoire XV]]. [[Liturgie|Liturgiquement]], il est commémoré le [[3 décembre]] aussi bien par les [[Catholicisme|catholiques]] que par les [[Anglicanisme|anglicans]].
 
== Biographie ==
=== Un ''hidalgo'' navarrais ===
Francisco de Jasso est membre d'une famille d'ancienne noblesse [[Basques|basque]] de [[Basse-Navarre]] <ref>[[Jaxu]] près de [[Saint-Jean-Pied-de-Port]].</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|auteur1=[[René Cuzacq]]|titre=Les ancêtres de saint François-Xavier, et la maison de Saint-Jean-Pied-de-Port|date=1967}}</ref>. Son père, Juan de Jasso, exerçait les fonctions de président du conseil du [[royaume de Navarre]]. Sa mère, María de Azpilicueta, issue d'une vieille famille de la vallée du [[Baztan (Navarre)|Baztan]], apporta en dot lors de son mariage le [[château de JavierXavier]] dont leurs enfants tiendront leur nom. Issu d'une famille bascophone, il grandira dans un environnement roman et plus tard désignera le [[basque]] comme “sa langue naturelle”<ref name="FX" />.
 
Francisco est un jeune enfant lorsque la [[Couronne de Castille|Castille]] envahit en [[1512]] la partie subpyrénéenne du royaume de Navarre. Son père et ses frères combattent contre les troupes castillanes sans pouvoir empêcher l'amputation de leur patrie.
 
Quelques années plus tard, alors que l'Europe est confrontée à l'[[hérésie]] [[LutheranismeRéforme protestante|protestante]], François, ne se sentant pas attiré par la carrière des armes, choisit de devenir prêtre et de faire ses études en France.
 
=== Étudiant en France ===
Il poursuit ses études de [[théologie]] à la [[Sorbonne]], logeant au [[Collège Sainte-Barbe (Paris)|collège Sainte-Barbe]] avec [[Pierre Favre (jésuite)|Pierre Favre]] qui est de son âge. Aux deux jeunes gens est bientôt adjoint un co-chambriste de {{nobr|15 ans}} leur aîné, [[Ignace de Loyola]].
 
Se liant d'amitié avec eux et d'autres, il fait partie du groupe fondateur de la [[Compagnie de Jésus]].
 
Il a vingt-huit ans, en 1534, lorsque, avec ses « amis dans le Seigneur », il monte à [[Montmartre]] pour y prononcer dans la chapelle Saint-Denis ses [[Vœux religieux|vœux]] de [[Vœu de pauvreté|pauvreté]] et de [[Vœu de chasteté|chasteté]] ({{date-|15 août 1534}}). Sous l'impulsion d'[[Ignace de Loyola]], le groupe fonde la [[Compagnie de Jésus]] dont le but est d'agir partout {{Citation|pour une plus grande gloire de Dieu}} ( ''[[Ad maiorem Dei gloriam]]'').
 
=== Prêtre en Italie ===
Francisco de Javier et ses compagnons sont [[ordination|ordonnés]] [[Prêtre catholique|prêtres]] en [[1537]], à [[Venise]]. Le groupe part alors pour Rome où les nouveaux prêtres souhaitent offrir au pape leurs services. Le projet de fondation religieuse est approuvé par le pape en {{date-|septembre 1540}}. L'originalité de ces prêtres est de prononcer un [[Quatrième vœu (jésuite)|vœu spécial d'obéissance]] au pape.
 
Le roi [[Jean III de Portugal]] demande alors au pape [[Paul III]] des « prêtres réformés » pour [[Évangélisation|évangéliser]] [[Goa]] et les Indes orientales nouvellement conquises. Celui qu'avait désigné Ignace de Loyola, [[Nicolas Bobadilla]], étant tombé malade, François Xavier le remplace en dernière minute et quitte Rome pour [[Lisbonne]]. Nommé [[nonce apostolique]], il a reçu du pape des pouvoirs très amples pour étendre et maintenir la foi dans tous les pays d'Orient<ref>{{ouvrage|auteur=H. Nagaoka|titre=Histoire des relations du Japon avec l'Europe aux {{sps2-|XVI|et|XVII|s}}|éditeur=Collection XIX|date=2016|passage=12}}.</ref>.
 
=== Missionnaire en Extrême-Orient ===
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Tenace et infatigable (et ayant le titre de [[Nonce apostolique]]), il visite la côte de l'[[Archipel des Comores]] (1543-1544). De {{date-|décembre 1544}} à {{date-|août 1545}}, il voyage à [[Ceylan]], [[Malacca (ville)|Malacca]], aux îles Moluques et de nouveau à Malacca (de {{date-|septembre 1545}} à {{date-|décembre 1547}}). Aux [[Moluques]], il jette les bases d'une [[Mission (christianisme)|mission]] à [[Ambon (Indonésie)|Ambon]], [[Morotai]] et [[Ternate (Moluques)|Ternate]] en [[1546]] et [[1547]]. Revenant en Inde, il missionne le long de la côte des pêcheurs.
 
À Malacca, François Xavier avait rencontré des Japonais, dont [[Anjirō]]. Ce qu'il apprend du pays le pousse à se rendre au [[Japon]] dans le but d'y faire connaître le [[Jésus de Nazareth|Christ]]. Le {{date|15 août 1549}}, il débarque avec quelques compagnons à [[Kagoshima]] sur l'île de [[Kyushu]]<ref name=nippon>{{Lien web |url=https://www.nippon.com/fr/in-depth/c02303/ |titre=François Xavier et son prosélytisme à l’origine du christianisme au Japon |série=Comprendre le Japon sous l’angle de la religion |site=nippon.com |en ligne le=20 décembre 2019 |consulté le=19 janvier 2020 }}.</ref>. Ses ''Lettres du Japon'' sont enthousiastes quant aux perspectives [[Missionnaire (chrétien)|missionnaires]] qu'offre le pays. Il y est bien reçu par les autorités mais a des difficultés avec les moines [[Bouddhisme|bouddhistes]].
 
Il se rend en 1550 à [[Hirado]], une petite île rattachée à celle de Kyushu, avec le père [[Cosme de Torres]] et un autre missionnaire, {{lien|texte=Juan Fernández|fr=Juan Fernández (missionnaire)|trad=Juan Fernández (missionary)}}. La mission à Kagoshima est confiée à Anjirō. Le prêtre décide de se rendre ensuite à Kyoto, à l'époque capitale du Japon, pour obtenir une audience avec l'empereur. Il laisse à son compagnon Cosme de Torres la charge de rester à Hirado. Il s'installe finalement à [[Yamaguchi (Yamaguchi)|Yamaguchi]]<ref name=nippon/>. Il est alors autorisé à utiliser un temple bouddhique abandonné, où il prêche pendant plusieurs mois. Des documents historiques indiquent qu’il réussit à convertir plus de 500 Japonais en un semestre jusqu’en mars 1551. Une nouvelle visite à Hirado le mois suivant laisse à penser à la construction d’une nouvelle église<ref>[https://www.nippon.com/fr/in-depth/c02303/ Plus de 500 Japonais convertis en six mois jusqu’en mars 1551], François Xavier et son prosélytisme à l’origine du christianisme au Japon, nippon.com</ref>. En dix-sept mois de présence au Japon, François Xavier estimait avoir fait près de douze mille conversions<ref>''in'' « La mission japonaise de François Xavier » par Jean Lacouture (estimation du nombre de convertis), revue suisse Choisir de novembre 2002.</ref>.
 
Ses contacts avec les autorités civiles et religieuses au Japon lui font comprendre l'importance de l'influence de la [[Chine]] dans le domaine philosophico-religieux. Progressivement, il est persuadé que, pour convertir l'Orient, il faut commencer par la Chine. En {{date-|novembre 1551}}, il confie sa décision à ses compagnons [[Compagnie de Jésus|jésuites]] et commence à préparer ce voyage<ref>[https://missionsetrangeres.com/eglises-asie/2016-12-16-l2019eglise-de-saint-francois-xavier-presentee-par-la-chine-au-patrimoine-mondial-de-l2019unesco/ Pour convertir l’Orient, il faut commencer par la Chine] - L’église de saint François Xavier présentée par la Chine au Patrimoine mondial de l’Unesco, [[Missions étrangères de Paris]] (MEP).</ref>.
Avant de s'y rendre, il rejoint l'Inde via Malacca, afin de récupérer sa correspondance dont il est privé depuis deux ans. Lors de ce voyage, une tempête l'oblige à s'arrêter sur une île près de Canton, en Chine, où il s'était déjà rendu. {{Pas clair | C'est ainsi qu'il rencontre un riche marchand {{lien|fr=Diogo Pereira|lang=pt|trad=Diogo Pereira}} qui lui montre une lettre de Portugais détenus prisonniers à Canton, demandant qu'un ambassadeur intercède en leur faveur auprès de l'empereur de Chine, et ce pourrait-être lui bien sûr, mais François Xavier pourrait avoir aussi son rôle à jouer<ref>[https://www.jesuites.com/saint-francois-xavier-sj/#vie Recherche des nouvelles, lettre clandestine et défense des prisonniers portugais], Saint François Xavier (1506-1552), le Japon, site des jésuites de l'Europe occidentale francophone</ref>}}. D’autant plus qu’arrivé à Malacca, il apprend que l'Inde a été nommée [[Province ecclésiastique|province]] jésuite indépendante du Portugal et qu'il en est désormais le provincial<ref>[https://www.bibliotheque-monastique.ch/bibliotheque/bibliotheque/saints/francxavier/fx007.htm François Xavier, Provincial de la Compagnie de Jésus pour les Indes et pour tous les États de l'Orient] - Histoire de saint François de Xavier, Librairie Ambroise Bray, Bray et Retaux (1870).</ref>.
 
=== Mort ===
[[File:BacicciaXavier.jpg|thumb|210px|Mort de saint François Xavier sur l'île de Sancian ([[Île de Shangchuan|Shangchuan]]), [[Baciccio]] ({{XVIIe siècle}}).]]
De retour en Inde, après s'être occupé des missions, de différentes tâches organisationnellesd’organisation et avoir ravivé l'enthousiasme des différentes églises durant deux mois<ref>[http://www.ndj.edu.lb/old/jesuites/xavier/japon/index.html De retour à Goa, en deux mois, François Xavier remet toutes choses en ordre]</ref>, il embarque pour la Chine en avril 1552 à bord du ''Santa Cruz'' avec Pereira. À Malacca, le responsable maritime s’oppose à eux, ne reconnaissant ni l’un en tant qu’ambassadeur, ni l’autre comme représentant ecclésial. Ayant oublié ses lettres testimoniales de Nonce apostolique à Goa, François Xavier se retrouve dans l’impasse et obligé de continuer son voyage avec pour seuls compagnons un étudiant jésuite, un chinoisChinois et un domestique de [[Malabar (région)|Malabar]]<ref>[https://www.jesuites.com/saint-francois-xavier-sj/#vie 17 avril 1552, des berges du port de Goa, Le ''Santa Cruz'' appareille pour la Chine, site des jésuites de l'Europe occidentale francophone]</ref>.
 
Début septembre 1552, l’équipage arrive à l’[[Île de Shangchuan|île de Sancian]], au large des côtes chinoises à une centaine de kilomètres au sud-ouest de [[Macao]]. L’accueil des quelques Portugais présents lui est favorable et on lui aménage une hutte et une petite chapelle. Par contre, il ne parvient pas à trouver un passeur pour lui faire rejoindre le continent. Deux le trompent et ses compagnons craignent de plus en plus les conditions et surtout le risque de prison et de torture infligées facilement aux étrangers indésirables<ref>[http://www.ndj.edu.lb/old/jesuites/xavier/sancian/index.html Au début de septembre 1552, le ''Santa Cruz'' atteint l'île de Sancian..., saint François Xavier à Sancian]</ref>. Le 21 novembre, à l’issue d’une messe, François Xavier défaille, il est conduit sur le ''Santa Cruz'', puis après une saignée est ramené sur l’île<ref>[http://har22201.blogspot.com/2012/12/saint-francois-xavier.html Le {{date|21 novembre 1552}}, François célèbre sa dernière messe, saint François Xavier sur le site Iconographie chrétienne]</ref>. Il y décède le 3 décembre 1552 à l'âge de {{nobr|46 ans}}, et y est provisoirement enterré. Quand le ''Santa Cruz'' lève l'ancre, en février 1553<ref>[https://www.la-croix.com/Religion/Spiritualite/Francois-Xavier-apotre-en-Asie-_NG_-2006-04-21-513960 Le corps de saint François Xavier quitte l'île de Sancian en février 1553], article de Martine de Sauto du 21/04/2006, journal La Croix.</ref>, il emporte son corps pour Malacca. Apprenant la mort de son ami jésuite depuis Goa, Diogo Pereira y parvient pour prendre en charge sa dépouille qu'il rapatrie quelques mois plus tard en Inde. Fernão Mendes Pinto, un aventurier portugais, rapporte dans sa ''Pérégrination''<ref>{{Ouvrage|auteur1=Fernao Mendes Pinto|titre=Pérégrination, extraits dans Voyageurs de la Renaissance (d'après trad. de Robert Viale, Paris, La Différence, 2002)|passage=196-205|lieu=Paris|éditeur=Gallimard, Folio|date=2019|pages totales=9576|isbn=978-2-07-042447-4}}</ref> qu'il le fit à nouveau enterrer à Goa.
 
== Souvenir et vénération ==
[[File:Reliquary of St. Francis Xavier's humerus.jpg|vignette|180px|[[Reliquaire]] à l'église du séminaire Saint-Joseph à [[Macao]].]]
* Son corps (sans les bras) repose depuis [[1637]] dans une [[châsse]] à la [[basilique du Bon-Jésus de Goa]]. Tous les {{nobr|10 ans}}, il est exposé lors d'une procession<ref>[https://www.bbc.com/news/world-asia-30160195 Pilgrims flock to Goa to see Saint Francis Xavier remains], BBC, 22 novembre 2014</ref>.
* Depuis [[1614]], son bras droit se trouve dans un [[reliquaire]] dans l'[[église du Gesù]], à [[Rome]], église-mère de la [[Compagnie de Jésus]].
* Son [[humérus]] gauche est quant à lui à l'{{lien|fr= église du séminaire Saint-Joseph|lang=pt|trad=Igreja e Seminário de São José (Macau)}} à Macao.
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* Il est aussi le saint patron des joueurs de pelote basque<ref>{{Ouvrage|auteur1=Dominique Lormier|titre=Histoire du Pays Basque|passage=page 100|éditeur=Geste éditions|isbn=978-2-36746-603-3}}</ref>.
* Son secrétaire ayant noté qu'il prononça ses dernières paroles « en langue maternelle navarraise », c'est-à-dire en basque, sa fête (le {{date-|3 décembre}}) est aussi celle de l'euskara, la [[langue basque]].
* Déjà au {{S-|XVII}} son nom était vénéré, [[Marc-Antoine Charpentier]] a composé un ''In honorem Sancti Xaverii canticum,'', (Cantique en l'honneur de Saint Xavier), catalogué H 355, pour chœur, soli, flûtes, cordes, et basse continue.
* Une église, puis une cathédrale Saint François Xavier existe depuis 1908 au centre de la ville de [[Kagoshima]], [[Japon]], au sud de la grande ileîle méridionale de [[Kyushu]], où François Xavier débarqua pour la première fois en août 1549. AÀ la suite de destructions, elle a été reparée en 1949, puis reconstruite en 1999 avec une architecture moderne à l'occasion du 450 ème{{450e}} anniversaire de l'arrivée de François Xavier au Japon.<ref>Cathedral of St Francis Xavier - Kagoshima City, Kagoshima - Japan Travel</ref>.
D'autres basilique ou [[{{page h'|Cathédrale Saint-François-Xavier]]|cathédrale Saint-François-Xavier}} existent de par le monde.
 
== Dans l'église Saint-Sulpice ==
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* Pierre Espil : ''L’Homme aux sandales de vent'', 1943.
 
En accomplissement d'un [[souhait|vœu]] personnel, le jésuite allemand [[:{{lien|lang=es:|trad=Georg Schurhammer|fr=Georges Schurhammer]] {{es}} passa presque toute sa vie à étudier la vie et les œuvres de saint François Xavier et à le faire connaître. Il produisit ainsi une biographie en quatre volumes de plus de 700 pages chacun. Cette biographie de saint FrancoisFrançois Xavier est quasi exhaustive :
* Georg Schurhammer, ''Francis Xavier: His life, His Times'', traduit par J. Costelloe, éd. Institut historique S.I., Rome, 1973-1980 :
** I : ''Europe (1506-1541)'', 791 p.
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* [[Xavier Léon-Dufour]], ''Saint François Xavier. Itinéraire mystique de l'apôtre'', éd. La Colombe, 1953 ; nouv. édition Desclée de Brouwer / Bellarmin, 1997.
* [[Jean Lacouture]], ''Jésuites. Une multibiographie'', vol. 1 ''Les Conquérants'', éd. Seuil, 1991, chapitre 5 « Dialogue à Yamaguchi » {{ISBN|2-02-014407-7}}.
* Inès G. Zupanov, ''Les Jésuites, Histoire et dictionnaire'', Paris, Bouquins éditions, 2022, 691 - {{nb p.|692}} <small>([[International Standard Book Number|{{ISBN]] [[Spécial:Ouvrages de référence/978-2-38292-305-4|978-2-38292-305-4]])</small>}}
* {{Mgr}}. L.M. Zaleski, ''Saint François Xavier missionnaire : son apostolat aux Indes'', Einsielden, Benziger, 1910, 363 p. [https://bibliotheque.loyolaparis.fr/detail-d-une-notice/notice/879992666 Exemplaire numérisé accessible en ligne]
 
=== Articles connexes ===
{{Autres projets|commons=Category:Francis Xavier}}
* [[Histoire du catholicisme au Japon]]
* [[Missions catholiques aux XVIe et XVIIe siècles|Missions catholiques aux {{sps2-|XVI|et|XVII|s}}]]
* [[Anjirō]]
 
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{{Palette|Compagnie de Jésus}}
{{Portail|Catholicisme|Compagnie de Jésus|Asie|Navarre|Monde indien|Histoire du Japon|monde chinois|XVIe siècle}}
 
{{CLEDETRI:Xavier, Francois}}
[[Catégorie:François Xavier| ]]
[[Catégorie:Naissance en avril 1506]]
[[Catégorie:Décès en décembre 1552]]
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