« Stress hydrique (biologie) » : différence entre les versions

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Dans le cas de la tolérance, le [[métabolisme]] fonctionne malgré une faible quantité d'eau, des [[Ion|ions]] et des [[Soluté|solutés]] (composés osmotiquement actifs) s'accumulent dans la [[vacuole]]. En effet, plus la solution est concentrée et plus l’attraction est forte, plus le [[potentiel hydrique]] est faible et moins l’eau est libre de quitter la solution. Une plante comme ''[[Craterostigma plantagineum]]'' a été identifiée comme particulièrement résistante au stress hydrique.
 
Dans le cas de l'évitement, la réduction de la [[Transpiration végétale|transpiration]] est un élément essentiel de la résistance à la sécheresse car elle permet le maintien d'un [[potentiel hydrique]] élevé. Cette diminution s'obtient par la réduction et la protection de la [[Transpiration végétale|surface transpirante]], ou encore l'enfoncement des [[Stomate|stomates]], et même la production d'[[Hormone|hormones]] comme la [[cytokinine]] . Exemple d'espèces adaptées au stress hydrique : [[sclérophyte]]s, malacophytes, éphémérophyte, psammophores... D'autres espèces sont adaptées à l'inondation, comme le [[riz]], grâce à diverses [[Enzyme|enzymes]].
 
== Voir aussi ==