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La '''Maison de Wavrin'''<ref group="N">Parfois anciennement orthographiée Waurin.</ref> est une famille noble de l'ancien [[comté de Flandre]], qui s'est éteinte une première fois à la fin du {{s-|XV}}.
 
Elle commence avec Thierry, fils de Roger seigneur de [[Wavrin]] en 1018, qui meurt en 1066 (cette seigneurie faisait partie de la Châtellenie de [[Lille]] dans la [[Flandre romane]]<ref>Pierre Feuchère, ''Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle'', dans ''Revue belge de Philologie et d'Histoire'', Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 976, [https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818_1953_num_31_4_2188# lire en ligne].</ref>) et par son petit fils Roger qui est qualifié en 1135 de ''dapifer'' (traduit par [[sénéchal]]), charge comtale que ses descendants se transmettront jusqu'en 1411.
 
La famille contemporaine de Wavrin de Villers-au-Tertre, d'ancienne extraction, s'est revendiquée comme en étant issue, elle en a repris le nom et les armes, changeant son patronyme De Sauchoy en De Villers-au-Tertre au {{s-|XVII}}, puis De Wavrin de Villers-au-Tertre à la fin du {{s-|XVIII}}, elle s'est éteinte en 2016<ref>Un arrêt de la Cour d’appel de Gand (3 février 1960) a rectifié le nom "de Wavrin Villers-au-Tertre" en "de Wavrin de Villers-au-Tertre".</ref>.
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== Origine, noblesse ==
 
Charles Duvivier indique un acte de donation à l'abbaye de Saint-Amand, rédigé entre 1018 et 1031 qui cite un Roger de Wavrin<ref>Charles Duvivier, ''Actes et documents anciens intéressant la Belgique'', Bruxelles, 1898, {{p.|26}}.</ref>.
 
À côté du [[chambellan]] et du [[connétable]], des officiers apparaissent dans l'entourage des comtes de Flandre sous la désignation de ''dapifer'', ''butivularius'' et ''pincerna'', assimilées plus tard à celle de [[sénéchal]].
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Dans une charte de donation datée de 1123, Charles comte de Flandres mentionne ''"Balduinus dapiferus meus et Balduinus filius Lethardi et uxor eius Gerberga" ''
 
Dans un acte de 1135, est mentionné ''Rogerus dapifer'', identifié à Roger de Wavrin<ref name="+1">[https://www.persee.fr/doc/ahess_0395-2649_1951_num_6_3_1970 Pierre Feuchère, "La noblesse du Nord de la France, histoire sociale et généalogie, in ''Annales. Histoire, Sciences sociales'', 6 mars 1951, pages 306-318] page 309 note 3.</ref>.
 
La généalogie publiée en 1866 par [[Félix-Victor Goethals]]<ref>[[Félix-Victor Goethals]], ''Histoire de la Maison de Wavrin'', Bruxelles, 1866.</ref> fait remonter la filiation continue à ce Roger, seigneur de Wavrin et de Malannoy, sous [[Thierry d'Alsace]], de 1135 à 1166. Il indique que dans un acte de 1197, [[Baudouin VI de Hainaut|Baudouin]], comte de Flandre et de Hainaut parle de Sibille de Wavrin, sa parente<ref>Charles Duvivier, ''Actes et documents anciens intéressant la Belgique'', Bruxelles, 1903, {{p.|233}}.</ref>.
 
Brassart cite une charte datée de 1177 dans laquelle ''Hellinus dapifer Flandrensis''<ref> ''"Hellinus dapifer Flandrensis"''. Cité par Medlands.</ref> donne la propriété de Vaucelles, avec le consentement de sa femme Torsella et de son fils Philippe<ref> ''“Torsellæ uxoris meæ et Philippi filii mei cæterorum liberorum meorum”.'' Cité par Medlands.</ref>. La ''Chronicon Hanoniense'' mentionne Hellin de Wavrin, sénéchal de Flandre<ref> ''"Hellinus de Waurin Flandrie senescalcus et Rogerus Cameracensis episcopus fratres"''. Cité par Medlands.</ref> parmi ceux qui sont morts en Palestine en [[1191]], au siège d'[[Saint-Jean-d'Acre|Acre]].
 
Dans une charte d'émancipation de deux serfs, datée de 1193, on peut lire "Moi, Robert de Wavrin, seigneur de [[Lillers]] et sénéchal de Flandre, (...) avec la permission de Sibylle, ma femme bien-aimée, (...) également de mon très cher frère Hellin et de mes sœurs Hildrade, Marie et Ade, et de mes oncles Robert de Senghin et Goswin<ref>''"Ego, Robertus de Wavrin dominus Lilerÿ et scenescalcus Flandriae (...) concedente dilectissima uxore mea Sibilia, (...) etiam carissimo fratre meo Hellino et Hildrade et Maroia et Ada sororibus meis et R. de Senghin et Gosuino patruis meis "'' cité dans ''Les Chatelains de Lille, leur ancien Estat, Office et Famille'', Floris vander Haer, Lille, 1611, p. 182..</ref>".
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=== Rattachement de la famille du Sauchoy, puis de Villers-au-Tertre ===
 
Les membres de la famille contemporaine de Wavrin de Villers-au-Tertre éteinte en 2016, ont été connus avec le patronyme de De Villers, dit du Sauchoy, jusqu'à la fin du {{s-|XVI}} comme nobles bourgeois de [[Douai]] puis de [[Cambrai]]<ref>Pierre Feuchère en donne la liste dans [http://www.sfhs-rfhs.fr/wp-content/PDF/articles/feuchere1.pdf "Contribution à l'origine des armoiries: l'écusson en abîme et ses brisures dans le Nord de la France au Moyen-Âge", Paris, Société française d'héraldique et de sigillographie, 1948, 40 p.]</ref>. Antoine et Ponthus de Villers, dits du Sauchoy, frères, se sont alors revendiqués comme descendants d'un certain Alleaume, seigneur de Villers, conseiller du Comte de Hainaut, connu par son sceau en 1294, puis ils ont cru que ce dernier appartenait à la famille de Wavrin en raison de la ressemblance des armoiries. Certains de leurs descendants ont commencé à partir du {{s-|XVII}} à prendre le nom et les armes de Villers-au-Tertre, et à partir de la fin du {{s-|XVIII}} celui de barons de Wavrin et de Villers-au-Tertre, avec les armes pleines des Wavrin. Ces changements de nom ont été ratifiés en 1632 par le roi d'Espagne Philippe III pour Jean-Baptiste de Villers-au-Tertre fait chevalier du Saint-Empire, en 1764 pour Albert Antoine de Villers-au-Tertre créé marquis par le roi de France. <br>
 
En 1859, Charles-Frédéric de Wavrin Villers-au-Tertre est reconnu noble et fait comte "pour autant que de besoin"<ref>La formule figure dans l'introduction de l'arrêté-royal de reconnaissance de noblesse du 14 juin 1856. L'arrêté-royal précise également (art. 1): "Il est accordé à Charles Frédéric Amand de Wavrin Villers-au-Tertre reconnaissance de Noblesse et autorisation de continuer à porter le titre de comte". </ref> par le roi [[Léopold Ier (roi des Belges)|Léopold Ier]]<ref>Quand les Wavrin s'installèrent à [[Houdeng-Gœgnies|Houdeng]] ([[Province de Hainaut|Hainaut]]), ils continuèrent à utiliser le titre de marquis qui fut porté en premier par Alphonse François de Wavrin-Villers-au-Tertre avant la Révolution française, ce titre étant considéré par après en Belgique comme un « titre de courtoisie français ». </ref>. Le caveau de sépulture de cette branche française des Wavrin-Villers-au-Tertre, situé à [[Cambrin]] et contenant une inscription commémorative, fait mention de certaines desdites personnes<ref name=":1">{{Ouvrage|auteur1=Commission départementale des monuments historiques|titre=Épigraphie du département de Pas-de-Calais - Tome II|passage=100-105|lieu=Arras|éditeur=Typographie de Sède et Cie|date=1889|lire en ligne=https://www.google.fr/books/edition/%C3%89pigraphie_du_d%C3%A9partement_de_Pas_de_Ca/AQnnAAAAMAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=cambrin+%C3%A9pigraphie+pas+de+calais+1889&pg=PA105&printsec=frontcover}}. Le caveau de la branche belge des Wavrin-Villers-au-Tertre est situé quant à lui au [[Le Rœulx|Roeulx]].</ref><small>.</small>
 
Une étude de 1948 a dénombré plus de trente familles qui ont cherché à se rattacher aux Wavrin, le plus souvent sur la base d'une ressemblance de leurs armoiries. L'auteur y affirme sa conviction d'un rattachement des Villers-au-Tertre aux Wavrin. Selon lui, le père d'Aleaume, seigneur de Villers en 1294, ancêtre supposé de la famille du Sauchoy dont il a été question plus haut, pourrait être Mathieu d'[[Auby]], dont on ne connaît pas les armes, mais qui se disait seigneur de Villers; il serait lui-même le fils cadet de Barthélémy, seigneur d'Auby, connu dès 1192 et jusqu'en 1227, dont on possède un sceau à l'écu en abîme, mais avec une bande brochant sur le tout, ce qui pourrait être indicatif d'une appartenance à la famille de Wavrin; mais, ajoute-t-il, "le rattachement généalogique est difficile, il existe en effet sept familles portant aux {{s-|XIII}} et {{s-|XIV}} le nom d'Auby"<ref>[http://www.sfhs-rfhs.fr/wp-content/PDF/articles/feuchere1.pdf "Contribution à l'origine des armoiries: l'écusson en abîme et ses brisures dans le Nord de la France au Moyen-Âge", Paris, Société française d'héraldique et de sigillographie, 1948, 40 p.]</ref>.
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==== De Wavrin====
* {{citation|''D'azur à un écusson d'argent en abîme''}}
Des contre-sceaux aux armes des Wavrin ont été conservés pour la lignée des aînés : Hellin (1177), Robert (1193), Hellin II (1214), Robert II (1235, 1259, 1269), Robert III (1293), Robert VII (1385, 1412), Walleran (1437)<ref>Pierre Feuchère, Helin II (1294), [http://www.sfhs-rfhs.fr/wp-content/PDF/articles/feuchere1.pdf "Contribution à l'origine des armoiries: l'écusson en abîme et ses brisures dans le Nord de la France au Moyen-Âge", Paris, Société française d'héraldique et de sigillographie, 1948, 40 p.]</ref>. Les cadets brisaient leurs armes d'un lambel de 3 ou 5 pendants: Robert {{Ier}} Brunel (1286), Behort de Saint-Venant (1372) et également certains bâtards<ref>Pierre Feuchère, Helin II (1294), op. cit.</ref>.
 
Lors du tournoi voulu par [[Louis IX|Saint-Louis]] en 1238 à [[Château de Compiègne|Compiègne]] à l'occasion du mariage de son frère [[Robert Ier d'Artois|Robert 1er d'Artois]] (qui porte les armes de France avec un lambel de gueule), avec Mahaut de Lorraine, on trouve dans la liste des trois cent trente-huit chevaliers qui y ont participé, et au septième rang des vingt-huit Flamands, {{|211}} {{citation|De Wavrain, sénéchal de Flandres, ''d'azur à l'écu d'argent ; H [eaume] aux l.[ambrequins] d'argent et d'azur ; cimier : une tête de licorne de sable bridée d'or''}}<ref>Voir aussi [[Armorial de Gelre]].</ref> et au {{|222}} {{citation|Helius de Wavrain, comme au n°211 ''au lambel de gueule''}}<ref name="RefA">[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5829986w/f12.item.texteImage Victor Martel, ''Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911'', Compiègne, 1911], page 24. L'ouvrage donne la liste des participants au tournoi, basée sur celle conservée par la Ville de Compiègne.</ref>.
 
Elles ont été représentées dans la [[Salles des Croisades|salle des Croisades]] du château de Versailles ({{Numéro avec majuscule|222}}) et en 1911 lors de la reconstitution à Compiègne à l'occasion des fêtes de Jehanne d'Arc du 28 mai au 5 juin 1911<ref name="RefA" />.
 
====De Wavrin (de) Villers-au-Tertre ====
* Alleaume, seigneur de Villers, conseiller du Comte de Hainaut (1294)<ref>Selon Étienne Patou, "Maison de Wavrin", site Racines et histoire, son épouse et ses enfants ne sont pas connus, ses héritiers ont vendu en 1435 à Guillaume de Lallaing la seigneurie de Villers-au-Tertre qui sera unie en 1505 à la seigneurie de Bugnicourt.</ref>: sceau à l'écusson en abîme acc. de 11 billettes en orle (Sceaux de Flandre {{|1715}});
* Hellin, seigneur de Campiaus (1292)<ref>Selon Étienne Patou, "Maison de Wavrin", site Racines et histoire, "Campeau", mouvant de Mons, reconnaissance en 1292 pour cent rasières de terres labourables (45 ha), maison et fossés, 15 bonniers de bois, rentes, etc.). Marié en 1287 à Isabeau de Cuelster, il serait le frère du précédent et la souche de la famille contemporaine de Villers-au-Tertre.</ref> sceau à l'écusson en abîme acc. de 9 billettes en orle et au bâton en bande brochant (Sceaux de Flandre {{|1716}});
 
[[Image:Armoiries française de la maison de Wavrin.jpg|gauche|150px|vignette|1859 De Wavrin Villers-au-Tertre]]
* 1859 {{citation|''d'azur à un écusson d'argent en abîme, accompagné de onze billettes de même, rangées en orle.''}}<ref name="Rietstap">[[Jean-Baptiste Rietstap]], ''[[Armorial de Rietstap|Armorial général précédé d'un dictionnaire des termes du blason, deuxième édition, refondue et augmentée]]'', Londres, 1884-1887, {{p.|1055}}. [https://archive.org/stream/armorialgnra02rietuoft#page/1054/mode/2up Lire en ligne]</ref>.
 
Les armoiries reconnues aux Wavrin (de) Villers-au-Tertre par les lettres patentes belges en 1859 se décrivent comme suit : {{citation|''d'azur à l'écusson d'argent, sommé de la couronne comtale du Royaume, tenants, deux sauvages de carnation appuyés sur leur massue, couronnés et ceints de feuilles de sinople''}}. {{refnec|Les armoiries françaises comportaient en plus un manteau de gueule sommé d'une couronne de marquis, ainsi que le cri et la devise}}.
 
==== Armoiries communales contemporaines ====
La ville de [[Wavrin]] (seigneurie d'origine de la maison de Wavrin) a repris le blason primitif de la famille.
 
Plusieurs autres communes ont pris un blason identique avec ou sans variantes : [[Villers-au-Tertre]], [[Masnières]], [[Cauroir]], [[Le Maisnil]], [[Ligny-en-Cambrésis]], [[Ligny-en-Weppes]], [[Ostreville]], [[Ramburelles]], [[Hem-Lenglet]] et [[Salomé (Nord)|Salomé]]<ref group="N">La commune de [[Colombey-les-Belles]] a adopté le même blason, mais en fait, il s'agit alors des armes de la famille de Germiny, famille locale éteinte.</ref>.
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Wavrin avait comme cri : {{citation|''Wavrin''}}<ref>Alphonse Chassant, Henri Tausin, ''Dictionnaire des devises historiques et héraldiques'', Paris, 1878, Dumoulin, 3 volumes. Page 373.</ref>.
 
Corneille Gaillard, roi et héraut d'armes de l'empereur Charles-Quint, rapporte vers 1550 {{citation|''Wauryn, moers qui le passe''}}<ref>Corneille Gaillard, ''La Anchienne noblesse de la Contée de Flandres'', vers 1550, réédition de 1866, {{p.|15}}.</ref>.
 
;Devises
 
* Wavrin d'Helissart : {{citation|''Moins que le pas''}} (Bauffremetz)<ref>Alphonse Chassant, Henri Tausin, ''Dictionnaire des devises historiques et héraldiques'', Paris, 1878, Dumoulin, 3 volumes. Page 537.</ref>{{,}}<ref name="+2">[[Jean-Baptiste Rietstap]]</ref>.
 
* Wavrin Villers-au-Tertre : {{citation|''Meurt qui le passe''}} (Belgique)<ref>Henri Tausin, ''Dictionnaire des devises historiques et héraldiques'', Supplément, Paris, Lechevallier, 1895. Page 314.</ref>{{,}}<ref name="+2" />.
 
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** Henri Ferdinand de Villers-au-Tertre, seigneur de Cambrin, dont les deux descendants:
*** '''Albert '''(1784-1815)''' et Albéric '''(1788-1815)''' de Wavrin Villers-au-Tertre''' périrent au combat lors de la [[bataille de Waterloo]]<ref>Goethals, ''Maison de Wavrin'', 1866, page 91.</ref>.
* '''Alphonse de Wavrin Villers-au-Tertre''' (1728-1802) épousa Marie-Françoise [[famille de Biseau|de Biseau]], fille de Nicolas-François de Biseau, seigneur de [[Houdeng-Gœgnies|Houdeng]], actionnaire principal de la [[Société du Grand Conduit|Société civile des Charbonnages du Bois-du-Luc]], La Barette et Trivières, Saint-Denis, Obourg, Havré, la future Société anonyme des Charbonnages du [[Bois-du-Luc]]. AÀ la Révolution française, il émigra à Houdeng, devenant l'auteur de la branche belge.
* '''Henri de Wavrin Villers-au-Tertre''' (1852-1908), fut président du comité de régie (1894-1908) de la Société civile des Charbonnages du Bois-du-Luc.
* '''[[Robert de Wavrin|Robert de Wavrin de Villers-au-Tertre]]''' (1888-1971), explorateur belge<ref>''Biographie Nationale'', Académie Royale de Belgique , Tome 42, 1981, colonne 763.</ref>{{,}}<ref>Charles-Albert de Behault, ''Robert de Wavrin, explorateur, ethnologue et cinéaste'', Bulletin trimestriel de l'[[Association de la noblesse du royaume de Belgique|ANRB]], n°293, janvier 2018.</ref>. Il consacra sa vie à étudier les peuplades indiennes d'Amérique du Sud. Il est l'auteur de nombreux livres, articles, photos et films. Un arrêt de la Cour d’appel de Gand (3 février 1960) a rectifié le nom "de Wavrin Villers-au-Tertre" en "de Wavrin de Villers-au-Tertre".
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== Bibliographie ==
=== Sources actuelles ===
* Octave le Maire, ''A propos d'un mariage entre deux branches de la maison de Wavrin de Villers-au-Tertre (1788)'', in L'Intermédiaire des Généalogistes, {{ |115}}, 1/1965, {{p. |19-30}}
* Pierre Feuchère, ''La noblesse du Nord de la France, histoire sociale et généalogie'', in ''[[Annales. Histoire, Sciences sociales]]'', 6 mars 1951, pages 306-318<ref name="+1" />
* A. Mathias, ''Histoire de Wavrin'', in ''Annales de la Société d'études de la province de Cambrai'', Tome VIII, 1914.
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* Félix Brassart, ''Une Vieille Généalogie de la Maison de Wavrin, publiée avec des notes historiques et héraldiques sur les sénéchaux et les connétables de Flandre, d'après les chartes et les sceaux'', éditeur L. Crepin, 1877.
* [[Charles Poplimont|Charles-Emmanuel Poplimont]], ''La Belgique Héraldique'', Tome 11, Paris, 1867.
* [[Isidore de Stein d'Altenstein|Baron Isidore de Stein d'Altenstein]], ''Annuaire de la Noblesse de Belgique'', Bruxelles, 1857, {{p.|209ss}}.
* [[Joseph-François Michaud]], Histoire des Croisades, Tome 1, Paris, 1877.
* Edward Le Glay, ''Histoire des Comtes de Flandre'', Tomes 1 et 2, Bruxelles, 1843.
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