« Inondation de 1219 de Grenoble » : différence entre les versions

Après les premiers récits des contemporains de la catastrophe comme les dominicains Vincent de Beauvais, Étienne de Bourbon ou le chanoine Robert d'Auxerre, plusieurs publications sur cette catastrophe sont effectuées au fil des siècles, dont la première de l'historien dauphinois [[Nicolas Chorier]] en 1661 ou le curé Richard en 1733<ref>[https://books.google.fr/books?id=PxvytP4-ycIC&pg=PA23&lpg=PA23&dq=grenoble+1219+inondation&source=bl&ots=CwjFFknfY5&sig=_XusyxwH5P_i6HEQkHF2LqjsCXI&hl=fr&sa=X&ei=DlSbU-jvHYfiOrXxgYgK&ved=0CCIQ6AEwATgK#v=onepage&q=grenoble%201219%20inondation&f=false Claude Muller, Heurs et malheurs du Dauphiné.]</ref>. En 1843, après l'achèvement du quai sur l'Isère, le maire [[Artus de Miribel]] inaugure la fontaine du lion et du serpent réalisée par [[Victor Sappey]] sur la place de la Cymaise, symbole de la lutte contre les deux rivières. En 1878, le sculpteur [[Urbain Basset]] présente au Salon de Paris ''[[Le Torrent (sculpture)|Le Torrent]]'', sculpture en bronze de 2,5 m, personnifiant le torrent de la Romanche sous les traits d'un jeune homme nu brandissant une cruche censée déverser de l'eau. Exposée sur la [[Place de Verdun (Grenoble)|place de la Constitution]] à Grenoble en 1882, elle a été depuis déplacée à plusieurs reprises et reste depuis 2009 conservée au [[musée de Grenoble]] avec différentes reproductions de taille réduite<ref>https://www.grenoble-patrimoine.fr/element/28/595-le-torrent.htm