« Citroën XM » : différence entre les versions

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Elle conserve la [[suspension hydropneumatique]] de la [[Citroën CX|CX]], à laquelle elle ajoute, dans sa version « Hydractive », deux sphères, une par essieu, pour proposer deux modes d'amortissement : « moelleux » et « sport ». La gestion se fait automatiquement ou manuellement via une commande électronique située à gauche du levier de vitesse.[[Fichier:1992 Citroen XM L Estate.jpg|gauche|vignette|Citroën XM break phase 1]]
Voiture de prestige, elle offre pour la première fois une double lunette arrière, appelée {{13e|vitre}}, permettant de préserver les passagers de l'air extérieur ou du vent, même avec le hayon ouvert, ainsi que de la contre-pression à la fermeture (le break n'étant pas pourvu de cette vitre additionnelle).
 
En septembre 1991, au [[Salon automobile de Francfort]], [[Citroën]] présente la XM break, qui est, avec ses 4m96, l'un des breaks les plus imposants et logeables du marché européen.
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La 605 (sur ses versions haut de gamme) offre également une suspension à amortissement piloté électroniquement que les commentateurs jugent aussi efficace que l'Hydractive de la XM.
 
La 605, qui abandonne la propulsion pour la traction et présente les mêmes problèmes de fiabilité que la XM (connectique et électronique), décevra les Peugeotistespeugeostistes, qui apprécient avant tout la fiabilité et le classicisme, tout en cannibalisant l'image de la XM : pour la première fois, une nouvelle grande Citroën n'est plus la meilleure routière du moment et se voit égalée par une Peugeot<ref>{{Ouvrage|auteur1=Joël Broustail|titre=Citroën Essai sur 80 ans d'anti-stratégie|éditeur=Éditions Vuibert|année=2000|pages totales=223|page=158|isbn=978-2-7117-7818-8|isbn2=2-7117-7818-5}}</ref>.
 
Au moment du restylage de juillet 1994, elle est pourtant devenue une voiture très fiable mais sa mauvaise réputation est définitivement acquise. Ses ventes ne cesseront de dégringoler à partir de 1991, son segment étant en outre de plus en plus phagocyté par la nouvelle génération du segment inférieur (dont la Xantia, beaucoup plus fiable mais nettement moins typée haut de gamme) et les monospaces (dont l'Evasion).
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