Salvatore Gallo (artiste)
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Salvatore Gallo, naît le à Vittoria en Sicile et mort le à Paris, est un artiste peintre et un sculpteur franco-sicilien.
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nationalité |
Italien |
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| Formation | |
| Maître |
Il fut marié à Jacqueline Puiseux, puis France Léveillé-Gallo, dernière femme.
Il est le père de 4 enfants issues d'unions différentes dans des pays différents : Andréa (Sicile), Andrew (Angleterre), Olivier puis Paméla (France).
Biographie
modifierSalvatore Gallo naît le [1],[2] à Vittoria en Sicile[3]. Il étudie d'abord auprès de Carlo Carrà à Turin[3] de 1946 à 1949[réf. souhaitée]. Plus tard, en 1955 pendant deux ans[réf. souhaitée], il étudie auprès de David Alfaro Siqueiros au Mexique[3].
En 1958, Salvatore Gallo s'installe à New York, où il présente sa première grande exposition à la Chiser Gallery. Il entame alors une collaboration avec son cousin Frank Gallo, professeur d'art à l'université de Boston. Ils réalisent alors ensemble plusieurs grandes commandes et organisent une grande exposition à Tel-Aviv en Israël.[réf. souhaitée]
Il s'installe à Paris en 1964[3].
En 1965, Salvatore Gallo tient sa première grande exposition à l'Académie Dufaux à Paris. En même temps, il participe à la grande exposition Art Fantastique à la galerie Langlois à Paris.[réf. souhaitée]
Salvatore Gallo reçoit une grande reconnaissance lorsqu'il expose ses sculptures à l'ambassade d'Italie à Paris et au Musée national d'art moderne.[réf. souhaitée]
En 1969, il participe à l'exposition Depuis Rodin[2]où il reçoit la Médaille de bronze.[réf. souhaitée]
En 1970, il est honoré à nouveau en reconnaissance de son travail avec la Médaille d'argent à la Biennale internationale de Juvisy. En 1972, il remporte la Médaille d'or à la Biennale internationale de Juvisy, dont le point culminant est le Grand Prix Eme de Juan-les Pins.[réf. souhaitée]
À partir de 1972, il travaille dans la colonie d'artistes à Nogent-sur-Marne[3]. Il vit dans un hameau de Bagneaux[4].
Salvatore Gallo meurt le dans le 7e arrondissement de Paris.
Il est enterré au Cimetière du Montparnasse.
Lègue et vernissage posthume
modifierSa veuve, France Léveillé-Gallo, donne en une centaine de pièces en faveur de la Communauté de communes de la Vanne et du Pays d'Othe (CCVPO)[5].
Lors d'un vernissage en à Villeneuve-l'Archevêque, une dizaine d'œuvres contemporaines de Salvatore Gallo sont exposées[5].
Œuvres
modifierUn article de L'Yonne républicaine écrit que ses sculptures : « sont des œuvres modernes réalisées en marbre, en bois, ou en bronze, selon des formes animées par un mouvement constant »[5].
Notes et références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Salvatore Gallo (sculptor) » (voir la liste des auteurs).
- « ? », Salon de la jeune sculpture, vol. 29, (lire en ligne).
- Depuis Rodin, (lire en ligne), p. 33
- (en) « Gallo, Salvatore called Salvatore », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit
, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
- [PDF]« Communauté de communes de la Vanne et du Pays d'Othe : Conseil communautaire », sur ccvannepaysothe.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Salvatore Gallo, la forme en mouvement », sur lyonne.fr, (consulté le ).
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Jeanine Rivais, « Salvatore Gallo 1928-1996, artiste de la Vallée de la Vanne (Yonne) », sur patrimoine-vanne.info, .
- (en) Biographie sur Salvatore Gallo sculpteur 1928-1996 sur le-musee-prive.com.
- (en) « Salvatore Gallo », sur kiplinggallery.com.
