« Ibrahim Coulibaly » : différence entre les versions

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{{homonyme|Coulibaly}}
{{Infobox Biographie
| nom =Ibrahim Coulibaly
| image = IBRAHIMA COULIBALY dit MAJOR IB.JPG
| légende =
| nom de naissance =
| surnom =IB
| date de naissance ={{date de naissance|24|février|1964}}
| lieu de naissance =[[Bouaké]] ([[Côte d'Ivoire]])
| date de décès ={{Date de décès|27|avril|2011|24|février|1964}}
| âge au décès =
| lieu de décès =[[Abidjan]] ([[Côte d'Ivoire]])
| nationalité =[[Côte d'Ivoire|ivoirienne]]
| profession =[[sergent]]
| occupation =
| formation =
| hommage =
| activités autres =
| famille =
}}
 
'''Ibrahim Coulibaly''', parfois appelé simplement « '''IB''' » ou « Major», alias Djibilan (« l’invisible » en langue koyaka)<ref name="slateafrique.com/1575">{{Article|langue=fr|auteur1=Barka Ba|lien auteur1=Barka Ba|titre=Ces chefs de guerre qui ont porté Ouattara au pouvoir|périodique=Slate|date=26 avril 2011|lire en ligne=http://www.slateafrique.com/1575/chefs-de-guerre-qui-ont-porte-ouattara-au-pouvoir|consulté le=5 octobre 2017}}.</ref>, né le {{Date de naissance|24|février|1964}} à [[Bouaké]] et mort le {{Date de décès|27|avril|2011}} au nord d'[[Abidjan]], est un [[militaire]] et chef rebelle [[Côte d'Ivoire|ivoirien]] d'ethnie [[Koyaka (peuple)|koyaka]]<ref name="slateafrique.com/1575" /> qui a participé au renversement du président [[Henri Konan Bédié]] le {{date-|24 décembre 1999}} puis a été un des acteurs majeurs du déclenchement de la [[Crise politico-militaire en Côte d'Ivoire|rébellion]] de {{date||septembre|2002}} contre le gouvernement du président [[Laurent Gbagbo]].
 
== Biographie ==
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=== Un des pères fondateurs de la rébellion ivoirienne ===
 
Ancien [[sergent-major chef|sergent chef]] de l'armée ivoirienne ayant intégré l'armée en 1985, il est affecté comme garde du corps de plusieurs personnalités, notamment des enfants d'[[Alassane Ouattara|Alassane Dramane Ouattara]]<ref name="slateafrique.com/1575">{{Article|langue=fr|auteur1=Barka Ba|lien auteur1=Barka Ba|titre=Ces chefs de guerre qui ont porté Ouattara au pouvoir|périodique=Slate|date=26 avril 2011|lire en ligne=http://www.slateafrique.com/1575/chefs-de-guerre-qui-ont-porte-ouattara-au-pouvoir|consulté le=5 octobre 2017}}.</ref>. Sergent-chef des forces armées ivoiriennes, il est, avec le caporal Oumar Diarrassouba et le sergent Souleymane Diomandé alias « La grenade » l'un des meneurs du [[Coup d'État de 1999 en Côte d'Ivoire|coup d'État]] du 24 {{date||décembre|1999}} contre [[Henri Konan Bédié]] qui a amené le général [[Robert Guéï]] au pouvoir et devient le symbole de la dignité retrouvée des militaires nordistes. Ce dernier le soupçonnant de vouloir faire un coup d'État, il le nomme pour l'éloigner attaché militaire au Canada<ref name="jeuneafrique.com/191788">{{Article|langue=fr|auteur1=Baudelaire Mieu|titre=Côte d’Ivoire : IB emporte avec lui ses secrets |périodique=Jeune Afrique|date=5 mars 2011|lire en ligne=http://www.jeuneafrique.com/191788/politique/c-te-d-ivoire-ib-emporte-avec-lui-ses-secrets/|consulté le=5 octobre 2017}}.</ref>. Quelques semaines plus tard, il fait arrêter certains de ses hommes qu'il accuse de préparer un putsch (« le complot du cheval blanc »). Parmi eux se trouvent [[Issiaka Ouattara]] alias Wattao, [[Chérif Ousmane]], Tuo Fozié, Oumar Diarrassouba et Souleymane Diomandé (qui décédera des suites de ses blessures)<ref name="slateafrique.com/1575" />.
 
IB est l'un des acteurs, en {{date-|janvier 2001}}, du complot dit de la « Mercedes noire », visant à destituer Gbagbo.
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