Wikipédia:Oracle/semaine 22 2011

Dernier commentaire : il y a 13 ans par .Anja. dans le sujet Statistiques sociologiques amoureuses

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Mot de passe

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Bonjour à tous, mon problème du jour est celui - là : Quel mot de passe pourrait bien correspondre à " Reine de Sabah " ? Merci d'avance, M.

Bonjour ! C'est pour cracker le code de la National Aeronautics and Space Administration ? Attention, on veut pas d'ennuis ! Essayez Salomon. Mike Coppolano (d) 30 mai 2011 à 12:13 (CEST)Répondre
J'essaierais Kinabalu. Mais cette question n'est vraiment pas encyclopédique. Dhatier jasons-z-en 30 mai 2011 à 14:23 (CEST)_Mais ta réponse elle l'est en tout cas.DoalexRépondre
Je ferais passer le mot, amande.--Doalex [Indignez-vous !] 30 mai 2011 à 17:29 (CEST)_Récompense si corrélation trouvéeRépondre
Élémentaire! Le gâteau "reine de Saba" comporte une bonne dose d'amandes. Dhatier jasons-z-en 30 mai 2011 à 20:52 (CEST)Répondre
  Tu as gagné jolies photos ici miam, miam ! la première photo en haut à gauche est assez étrange mais on va pas faire la fine bouche, hein ? --Doalex [Indignez-vous !] 30 mai 2011 à 21:23 (CEST)Répondre

Chouette, un jeu ! Bertrouf 31 mai 2011 à 05:47 (CEST)Répondre

… moi j'ai l'Arène de Chabab. Ça compte ? — Hautbois [canqueter] 31 mai 2011 à 10:03 (CEST)Répondre

Codon et anticodon ?

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Mes salutations très chère oracle . Ma question est : quelle est la différence entre un codon et un anticodon ? J'ai bien lu les deux articles qui les concernent et je ne vois toujours pas la différence . Si vous pourriez éclairer ma lanterne je vous serais éternellement reconnaissante.

Les articles semblent pourtant assez compréhensibles ; êtes-vous sûr(e) d'avoir compris ce que sont un ARN messager, un ribosome et un ARN de transfert ? C'est simple : le codon est un triplet de nucléotides de l'ARNm et l'anticodon est un triplet de nucléotides de l'ARNt complémentaire d'un codon donné ; la différence est la même qu'entre une serrure et une clé. S.M. | D.S.M. 30 mai 2011 à 18:38 (CEST)Répondre

La télépathie

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Bonjour

J'ai assisté un jour à deux personnes qui faisaient de la communication par télépathie. je ne sais pas si elles communiquaient vraiment parce que je ne les ai pas prise trop au sérieux. est ce qu'il arrive que des groupes de plus de deux fassent ce genre d'expérience ? est ce que cela existe la télépathie à trois ou quatre ? est ce que si cela existe la troisième personne peut entendre ce que les deux disent ?

merci de vos réponses et excusez moi de mes questions bêtes

Avez-vous entendu notre réponse ? Dans la négative, cela prouve que la troisième personne ne peut entendre ce que les deux autres disent. Cobra Bubbles°°° Dire et médire 30 mai 2011 à 20:38 (CEST)Répondre
Bonsoir, vos questions ne sont pas bêtes (qui n'a jamais eu cette idée ?) mais les réponses pourraient l'être, j'aime bien le début (où vous voulez dire, je crois, j'ai assisté à une séance) et jusqu'à la fin de la phrase qui se termine par au sérieux, vous avez à mon humble avis donné la réponse à vos questions.Cordialement --Doalex [Indignez-vous !] 30 mai 2011 à 21:10 (CEST)Répondre
Difficile de répondre scientifiquement sur un sujet qui n'a pas encore trouvé ses lettres de noblesses. Comme personne n'a encore prouvé qu'on pouvait lire dans la tête de quelqu'un d'autre, on ne peut corolairement savoir si on peut lire dans la tête de plusieurs personnes en même temps... On peut vous conseiller des œuvres de fiction, comme Le Grand Silence (roman) où un homme ne peut s'empêcher d'entendre les pensées de tous les êtres autour de lui, jusqu'à être obligé de fuir ce "bruit". Bertrouf 31 mai 2011 à 05:38 (CEST)Répondre
Mon cher Bertrouf  , je vois que toi aussi tu ouvres un jeu-concours, alors mes préférences vont pour À la poursuite des Slans et L'Oreille interne mais cette liste Télépathie dans la science-fiction semble incomplète. --Doalex [Indignez-vous !] 31 mai 2011 à 10:50 (CEST) Ils ont l'air très bien, je les achèterait la prochaine fois que je rentre en France. Bertrouf 1 juin 2011 à 03:49 (CEST)Répondre

Bonjour, je vous remercie pour vos réponses. l'expérience dont j'ai été témoin était celle-ci. J'étais dans une pièce avec deux personnes que je connaissais un peu et qui se connaissaient un peu. les deux personnes ont parlé des phénomènes paranormaux et l'une d'elle a dit qu'un jour elle avait fait une expérience de télépathie qui avait fonctionné. et elles ont tenté l'expérience. L'une devait penser à un légume et l'autre devait connaître le légume à laquelle elle pensait. et elles se sont concentrées toutes les deux en se mettant front contre front mais sans se toucher. elles étaient à 20 cm l'une de l'autre. et on n'entendait rien. et d'un coup l'une lève la tête et dit : radis !!!!! et elle ajoute : un mot raisonnait dans ma tête radis... radis... radis... c'est possible cela ? moi je doute c'est pour cela que je me renseigne. est ce que des services d'espionnages utilisent cette méthode ?

merci de vos réponses.

Oui, c’est possible de se moquer d’un camarade trop crédule en faisant semblant d’être télépathe. Je suis au regret de vous informer qu’on vous a pris pour une andouille !.. mais ça n’a pas si bien marché que ça, la preuve : vous doutez   rv1729 31 mai 2011 à 21:36 (CEST)Répondre
A mon avis il n'existe pas plus de télépathes que de voyants, d'astrologues, de sourciers ou autres magnétiseurs. Il n'existe que des naïfs, des candides et des charlatants.--Jxwww (d) 31 mai 2011 à 22:00 (CEST) _(Petit rappel de courtoisie: L'humour est une denrée rare qui peut être mal comprise : n'en faites pas mauvais usage. Le questionneur ne doit pas en être la cible).Merci --Doalex [Indignez-vous!] 1 juin 2011 à 07:59 (CEST)Répondre
Beuh, il dit quoi, lui ? le sourcier [on cause ?] 31 mai 2011 à 22:17 (CEST) -- sourciers à rameaux fourchus de coudriers, s'entend.--Jxwww (d) 1 juin 2011 à 00:03 (CEST)Répondre
"est ce que des services d'espionnages utilisent cette méthode ?" : je ne crois pas en tout cas ils savent lire sur les lèvres Mike Coppolano (d) 31 mai 2011 à 22:57 (CEST)Répondre
Même réponse que précédemment : ça n'a pas encore été prouvé, malgré de nombreux tests. Ca ne veut pas dire que ça n'existe pas, il est même possible de conduire une voiture par la pensée avec des électrodes sur la tête, mais jusqu'à maintenant, chaque tentative de preuve s'est soldée par une belle et bonne triche. Bertrouf 1 juin 2011 à 03:49 (CEST)Répondre
Ben j'étais sûr du contenu des réponses, sans même venir les lire, comme quoi ça n'existe pas. Or les réponses confirment cette intuition télépathique (j'ai pensé la même chose), donc la télépathie existe ?? Asram (d) 1 juin 2011 à 03:57 (CEST)Répondre
L'intuition est totalement indépendante et individuelle, elle se vérifie ensuite par exemple par consensus à voix haute, on dira j'ai pensé la même chose que vous, mais c'est un résultat provenant d'un processus où plusieurs pensées se succèdent rapidement en faisant un aller et retour entre l'instant présent, et l'expérience passée que ce soit au sujet d'une impression fugitive conernant un individu ou une situation en train de se développer, si plusieurs personnes sont réunies à ce moment là, une confrontation d'avis risque d'aboutir à une même conclusion avec des variantes exprimées par des expressions comme je le savais, je le sentais, là aussi pas de télépathie .--Doalex [Indignez-vous!] 1 juin 2011 à 07:57 (CEST)Répondre
Et connaissez-vous celle-là ? Vous demandez à un copain de penser très vite à un marteau et à une couleur et de l'écrire sur un papier. Il y aura écrit "marteau rouge" presque sûrement. Si le copain est contrariant et qu'il la connaît, ce sera "scie bleue" --78.113.242.213 (d) 7 juin 2011 à 17:52 (CEST)Répondre

Gaz de schiste

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(Question posée sur le Bistro multimédia le 30 mai 2011 à 17:49 (UTC) [1] et transférée ici.)

Bonjour vous tous, quel bonheur que la création de Wikipédia! Dans le dossier controversé du développement de la nouvelle filière énergétique du Gaz de Schiste, une question me revient toujours à l'esprit: puisque le CH4 est un alcane insoluble dans l'eau[réf. nécessaire], comment peut-il contaminer l'eau potable et si c'était le cas, à quel niveau PPM la contamine-t-il? Merci JR

Le gaz n'a pas besoin d'être soluble dans l'eau pour la contaminer : J'ai vu un reportage où un gars, avec son briquet, enflammait son robinet d'eau de l'évier de sa cuisine. (http://www.youtube.com/watch?v=yioB8iQfMVw) Cobra Bubbles°°° Dire et médire 30 mai 2011 à 21:08 (CEST)Répondre
L'article méthane donne la valeur de sa solubilité dans l'eau : 22 mg l−1 (eau, 25 °C). Blue [ -02- ] 31 mai 2011 à 09:49 (CEST)Répondre
Ce sont les produits injectés (plus de 500 différentes molécules) avec l'eau pour la fracturation hydraulique (fracking) qui pour pour certains sont très toxiques. L'eau des puits n'est plus potable, des bêtes d'élevage en crèvent (vu au JT de France 2). Je te recommande le film Gazland en VOSTFR et en streaming ici [2]. Si tu le trouve un peu long (1h 42 mn) il te suffit de cliquer de place en place pour les images les plus saisissantes. Tu remarqueras que les représentants des compagnies exploitantes qui affirment que l'eau n'est pas contaminée refusent d'en boire et ont le toupet de dire "Prouvez-nous prouver qu'elle était potable avant nos forages ?". Bon visionnage. Joël Deshaies. --82.127.203.99 (d) 31 mai 2011 à 11:51 (CEST)Répondre
Je tiens à dire que le méthane est l'hydrocarbure le plus soluble dans l'eau (chaîne carbonée la plus courte, avec un atome de carbone). Avant de se poser une question il est conseillé d'y réfléchir et de chercher, pour parfois tenter d'y répondre soi-même surtout quand il s'agit d'une interrogation aussi récurrente .--NEUROn (d) 31 mai 2011 à 15:06 (CEST)Répondre
Répondre aux questions avant de se les poser, faut être fort quand-même. Mais si tu tenais à dire un truc, tu as bien fait de te lâcher. Une autre fois, souviens-toi : WP:NMPN. rv1729 31 mai 2011 à 21:33 (CEST)Répondre

Bonjour à tous, dans le dossier des gaz de schiste, une question me vient souvent à l'esprit : nous savons tous que le pergélisol contient une quantité importante de matières organiques; nous savons également que si la température terrestre devait continuer à augmenter, ce pergélisol dégèlerait et contribuerait à l’émanation de méthane CH4 de par sa propre activité microbienne et par voie de conséquence, à l’augmentation importante de GES dans l’atmosphère. Des expériences ont déjà été menées sur des lacs gelés où, après avoir pratiqué une ouverture dans la glace, des scientifiques brulèrent le méthane qui s’échappait à la surface de l’eau. Assez spectaculaire comme expérience! D’où la question qui suit : Puisque le CH4 est un alcane insoluble dans l’eau, à quelle quantité ou % ou PPM, cette dernière deviendrait-elle impropre à la consommation? En somme lorsque les médias nous annoncent une migration de CH4 dans la nappe phréatique est-ce que les puits artésiens en sont contaminés pour autant? Dans notre exemple précédent, l’eau du lac était potable même si du CH4 s’en échappait? Merci de participer au débat. Jean-Robert Grenier

Bonjour, au risque de me répéter, le méthane n'est pas insoluble dans l'eau, mais sa solubilité est tout de même assez faible. En revanche, je ne pense pas que la présence de méthane puisse rendre l'eau impropre à la consommation, car il s'agit d'un composé biologiquement inactif et non toxique. J'imagine que ça doit provoquer quelques éructations et flatulences. J'ai trouvé intéressant de lire la fiche à cette adresse : http://www.megs.ca/fr/Msds_f/PDF/m%C3%A9thane_fr.PDF. Blue [ -02- ] 1 juin 2011 à 13:33 (CEST)Répondre

Merci à tous pour vos réponses, Joël, Herve1729, Blue02 du moins je crois que ce sont vos nom d'utilisateur, J'aimerais vous relancer sur le procédé d'extraction qui comme l'a bien dit Joël, le procédé actuel d'exploration et de d'extraction contamine les eaux environnantes de par les additifs chimiques que les sociétés ajoutent à l'eau lors de la période d'exploration. Une fois le travail terminé, les eaux contaminées sont retirées du puits pour ensuite suivre le chemin des usines d'épuration des eaux des municipalités. Tout le problème réside donc dans la technique polluante utilisée. Plus jeune, j'étais un amateur de Tintin et dans «l'affaire Tournesol», le professeur avait trouvé une arme redoutable pour fractionner tout matériau. Les ultrasons si ma mémoire est fidèle, pourquoi ne pas utiliser cette technologie plutôt que celle l'eau pour fractionner et infiltrer le schiste? Qu'en pensez-vous? Jean-Robert Grenier

Attendez, mais... on a retrouvé Francis MARTIN ??? Blue [ -02- ] 3 juin 2011 à 10:09 (CEST)Répondre
En tout cas ça y ressemble. Sauf que FM sabotait les historiques à raison d'une cinquantaine d'édits pour écrire le moindre paragraphe. S.M. | D.S.M. 4 juin 2011 à 12:20 (CEST)Répondre

Qu'en pensez-vous? Je suis sérieux, j'aimerais que nous trouvions une solution plus intelligente et moins polluante que celle utilisée actuellement! Aidez-moi, ensemble nous pouvons faire la différence, bonne fin de semaine et revenons visiter cette discussion la semaine prochaine. Jean-Robert Grenier

Premières nouvelles d'Alsace

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Bonjours à tous, j'ai entendu que les DNA ne seraient pas le plus ancien journal d'Alsace... quelqu'un saurait il le nom du "véritable doyen"? Merci d'avance--30 mai 2011 à 22:26 (CEST)

Il me semble que c'est « L'Ami du Peuple » (de Strasbourg), fondé sauf erreur en 1858 Natmaka (d) 31 mai 2011 à 00:03 (CEST)Répondre
… l'article La Marseillaise à « Circonstances de sa création » cite Le Courrier de Strasbourg du 4 septembre 1792. — Hautbois [canqueter] 31 mai 2011 à 10:21 (CEST)Répondre
... un doyen est en vie (actif) ;-). Le « Courrier de Strasbourg » l'est-il? Pour ce que j'en sais il a disparu voici ~40 ans(?) Natmaka (d) 31 mai 2011 à 10:32 (CEST)Répondre
Il s'agirait (pour le plus ancien) du Courrier du Bas-Rhin. On n'a pas cet article, gageons que Hautbois ou Doalex vont créer cet article   Mike Coppolano (d) 31 mai 2011 à 12:40 (CEST)Répondre
Compte tenu des diverses péripéties historico-géographiques du département comment a-t-on pu se lancer dans le journalisme à cette époque ? Il fallait être au minimum bilingue ? Sérieusement, on est lu jusqu'en Chine, ce n'est pas plus simple (facile aussi  ), au cas où il n'y a pas d'alsacien présent de transférer la question par ici Portail:Alsace.--Doalex 31 mai 2011 à 16:58 (CEST).Répondre
Cette recherche sur Google ramène des résultats qui donnent des dates de collaborations audit Courrier du Bas-Rhin dès 1767 (cf. aussi 1768 en France), ce qui le place en bonne position pour l'ancienneté. -O.--M.--H.- 31 mai 2011 à 13:52 (CEST)Répondre

Fermeture du site L'indépendance du Québec

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Bonjour cher oracle, je sais bien que ce n'est pas dans vos corde, mais est-ce que le site web l'indépendance du Québec a fermé? [3] Si oui, si quelqu'un la, pourrais-il me fournir l’adresse courriel du Webmestre (J-F Gauvain je pense)? Merci de votre compréhension et bonne journéeZXZ♪♫ 31 mai 2011 à 01:04 (CEST)Répondre

Salut et désolé, on ne peut pas en savoir plus que toi : l'accès est impossible, c'est sûr, mais quant à la cause... -O.--M.--H.- 31 mai 2011 à 16:01 (CEST)Répondre
Vous pouvez essayer avec les informations fournies par un whois (ou un service équivalent sur le web, [4] par exemple). --Pethrus (d) 1 juin 2011 à 15:52 (CEST)Répondre
Merci pour le [5], j'ai contacté l'administrateur et j'attend de voir ce qu'il en est de inaccessibilité de son site web. ZXZ♪♫ 1 juin 2011 à 23:11 (CEST)Répondre
Si c'est ce que vous cherchez, vous pouvez tout de même consulter une partie du site via archive.org. Piero (d) 4 juin 2011 à 09:10 (CEST)Répondre

Ecole Superieure d'interpretes et de traducteurs

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Bonjour, Je m'appele Paulina A. Bawa. Je travaille avec les Ports Autonomes du Ghana entant que traducteur et prof de francais. Je ne suis pas formee entant que traducteur mais j'ai fait le francais a l'Universite. Maintenant que je suis dans le domaine de la traduction et d'interpretariat, j'aimerais me former d'avantage sur la traduction. Alors, ma question est:Comment pourais-je m'inscrire a l'Ecole Superieure d'interpretes et de traducteurs, qu'est ce qu'il faut, combien cela me coutera et comment s'y prendre. Je serai tres reconnaissante si vous pouvez m'envoyer toutes les details necessaires.

Voyez le site de l’ESIT. Apparemment il y a un examen d’entrée et c’est trop tard pour 2011 dans certaines sections, mais pas toutes... rv1729 31 mai 2011 à 21:29 (CEST)Répondre

Management moderne en Asie et traités historiques de stratégie

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Bonjour,

Pour un mémoire de M2 portant sur les pratiques managériales en Asie, j'ai besoin de lire des éditions de référence du Traité des cinq anneaux et de l'Art de la guerre : lesquelles me conseillez-vous ? Toutes ne me paraissent pas pertinentes pour un travail universitaire.

Vous remerciant de tout votre travail sur la Wikipedia et des réponses que vous pourriez m'apporter

Bonne journée

Le Sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants Mike Coppolano (d) 31 mai 2011 à 17:30 (CEST)Répondre
Mike, c’est très très limite comme réponse... la question est pertinente, et recevra une réponse si quelqu’un s’estime compétent (pas moi). rv1729 31 mai 2011 à 21:27 (CEST)Répondre
L'Art de la Guerre (celui de Sun Tzu) est disponible sur Wikisource. L'autre, je ne sais pas.
⇨ Dr Brains ∞ Consultation ∞ 31 mai 2011 à 22:55 (CEST)Répondre
Prenez des livres de littéraires ou d'universitaires liés à votre discipline qui traitent de ces ouvrages et allez voir en bibliographie quelle édition ils ont utilisée. Souvent, l'introduction donne également un aperçu et un historique des différentes éditions. Vous pouvez utiliser le SUDOC pour les trouver (www.sudoc.abes.fr) : par exemple celui-ci sur le traité des 5 anneaux et celui-ci sur l'art de la guerre, mais il y en a bien d'autres). Vous pouvez aussi aller voir dans un article d'encyclopédie ou de dictionnaire, général ou spécifique à votre discipline/aire géographique. Calame (d) 1 juin 2011 à 13:31 (CEST)Répondre

.

Je connais ces deux ouvrages, et vous y trouverez principalement des principes concernant l'art du combat

Le bénéfice qu'on en retire est essentiellement d'ordre métaphorique, néanmoins méthodologique

Par exemple, créer un contre-jeu usuel et une attaque-surprise inusuelle, ou adapter sa contre-attaque

.

Escape 2 juin 2011 à 19:50 (CEST)Répondre

Légumes français (concombres)

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Bon soir. En ce qui concerne l'épidémie de E. coli, est-il que des concombres de l'Espagne et l'Allemagne que vous ne devriez pas manger, ou sont des légumes français également infecté?

La consommation de légumes crus français ou espagnols présents sur les marchés n'est pas déconseillée , dans le cadre des règles d’hygiène habituelles, soit lavage des mains et légumes, ainsi que du plan de travail avant épluchage, à ma connaissance.--Jxwww (d) 31 mai 2011 à 21:42 (CEST)Répondre

les légumes lavés sont encore crus..., mais qu'allons-nous faire alors? Salade grillée? concombre cuit? tomates frits?

Laver, puis essuyer et peler les légumes suffit pour éviter la contamination semble-t-il.--Jxwww (d) 31 mai 2011 à 22:36 (CEST)Répondre

Pour mémoire, et bien que ce ne soit pas indiqué dans concombre, le concombre se mange (là toute l’Europe est au courant maintenant !) cru, ou cuit : vous pouvez en faire de la soupe, le cuire au four comme une courgette, et même le gratiner. Idem, tant qu’à faire, pour les tomates (qui font aussi une excellente sauce) et la (les) salade(s) (conseil : ajoutez quelques lardons pour la cuisson, comme vous pourriez le faire avec des petits pois). Accessoirement : le concombre permet de réaliser des masques mais dans ce cas il est utilisé cru et je ne sais si la désormais célèbre bactérie peut ou non agir dans ce dernier cas. Bien à vous, --Égoïté (d) 31 mai 2011 à 23:41 (CEST) (rv : pas pigé !)Répondre
P.S. Le concombre vendu en Europe est cultivé dans de nombreux pays, hors Espagne, Allemagne et France... On pourrait aussi compléter la liste d’idiotismes gastronomiques et même évoquer l’argot sexuel. --Égoïté (d) 31 mai 2011 à 23:57 (CEST) (conflit d’édition)Répondre
Dans le cas d'utilisation en masque, j'ai cru comprendre que la bactérie n'est dangereuse qu'en cas d'ingestion.--Jxwww (d) 31 mai 2011 à 23:48 (CEST)Répondre
Si c’est bien le cas, éviter de se lécher les doigts ou les lèvres lors de l’application du masque...   --Égoïté (d) 31 mai 2011 à 23:59 (CEST)Répondre
Le Concombre enfin démasqué! Demandez la Feuille de choux ! Sensationnel ! Le concombre pris en flagrant délire.--Doalex [Indignez-vous!] 1 juin 2011 à 08:28 (CEST)Répondre
Comme le rappelle notre article, Escherichia coli « est une bactérie intestinale des mammifères très commune chez l'être humain », a priori nous en sommes tous porteurs (elle représente 80% de la flore intestinale et environ 10% de notre poids), et en plus elle est très utile en dégradant les résidus alimentaires qui formeront les fèces. Lire, comme dans Le Point, un titre du genre « La bactérie Escherichia coli se propage en Europe » a autant de sens que, par exemple, « Forte présence de citoyen européens en Europe » : ce qui est déjà là ne se propage pas...
La présence de colibacilles sur les aliments est inévitable, puisqu'ils constituent 10% de la flore présente sur la peau et donc leur transfert sur tout objet manipulé par un humain est certain. Le problème dont il est question dans l'actualité traite non pas de Escherichia coli en général mais d'une souche particulière, pathogène, et très localisée puisque jusqu'ici toutes les personnes contaminées par elle l'ont été à partir de la même zone restreinte en Allemagne. Le plus probable est qu'elle vient d'ailleurs, d'une zone où la population a développé une résistance contre elle et où elle cause une gastro-entérite modérée, ou d'une souche présente chez d'autres mammifères que les humains, qu'elle s'est retrouvée par transfert sur ces fameux concombres, et a contaminé des personnes qui n'avaient pas d'anticorps contre cette souche particulière. Pour précision, le plus probable est que ces légumes ont séjourné dans un lieu de stockage ou ont été lavés avec une eau où il y avait des résidus de matière fécale de mammifères.
La réponse à ta question est donc : 1) oui, les légumes français sont « infectés » par E. coli, comme tous les légumes du monde, parce que c'est inévitable ; 2) la probabilité que cette souche particulière de colibacille qui fait l'actualité ait été transférée sur des légumes produits en France est proche de zéro, mais ne peut être exclue ; 3) la source directe de la souche infectieuse en question ayant été déterminée, il n'y a donc aucune chance que les légumes vecteurs de cette souche aient été produits en France ; 4) vouloir ne pas manger d'aliments « contaminés » par E. coli revient à vouloir ne rien manger puisque tout aliment est nécessairement infesté par cette bactérie. -O.--M.--H.- 1 juin 2011 à 09:42 (CEST)Répondre
PS. Sur le point 3, une correction : si la zone d'origine de l'infection est bien déterminée, le vecteur ne l'est, plus, cf. cet article de Libération : « “La source de l’intoxication n’a toujours pas été identifiée”, ont convenu les autorités sanitaires de Hambourg à l’issue de tests bactériologiques réalisés sur deux spécimens de cucurbitacées ibériques et suivis d’une communication confuse ». -O.--M.--H.- 1 juin 2011 à 09:48 (CEST)Répondre
Merci Olivier. On peut compléter en disant que c’est une E. Coli de sérotype O104 (rare) qui est responsable de cette épidémie (source : ça. On trouve O157:H7 dans d’autres articles, mais ils sont moins précis et la lecture de celui du Figaro laisse comprendre la source de la confusion). rv1729 1 juin 2011 à 10:16 (CEST) See also en:Escherichia coli O104:H21 et ce blog très renseigné, qui complètent l’information : le sérotype est O104:H4. Apparemment cette souche n’était pas connue comme pathogène, sans doute une petite mutation n’ayant pas affecté le sérotype. J’aimerais bien avoir le sérotype HLA des individus affectés, moi :) — je suppose que les autorités sanitaires ont pensé à regarder.Répondre
Conclusion : comme le dit Olivier, parler de contamination à E. Coli seul ne colle pas dans le contexte, il faudrait préciser E. Coli O104:H4. rv1729 1 juin 2011 à 10:26 (CEST) See also en:Escherichia coli O104:H4 et un case report coréen  . Et pour les mordus de O104, quelques nouvelles du front, et là aussi. rv1729 2 juin 2011 à 22:56 (CEST)Répondre
Suite : un peu plus d’infos du BGI. J’ai cru noter un gros décalage entre les communiqués de presse et la diffusion des nouvelles par les journaux radio et télé, la presse écrite semblant s’occuper de traduire tout ça dans un langage plus lisible pour les journalistes... Mais peut-être que je me berlure.
Une mise à jour intéressante. La souche africaine citée jusqu’à présent semble plus distante (génétiquement) qu’une souche allemande isolée en 2001, mais on n’a pas la séquence complète de celle-ci... si on en retrouve dans un congélo, on l’aura sûrement très vite. [ 5 juin 2011 à 14:20 (CEST) ]
Hum, après les concombres, se seraient des germes utilisés dans les salades...
(C’était pas ça).
Quand je pense que c'est notre ami du froid qui a initié cette discussion. --Doalex [Indignez-vous!] 2 juin 2011 à 23:35 (CEST)Répondre

Différence entre monde et cosmos

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Bonjour,

Je me demande quelle difference y a-t-il entre le cosmos et le monde.

Merci,

Bonjour, commencez par faire un choix plus précis pour chacun des mots dans ces 2 pages Cosmos et Monde, merci.Cordialement --Doalex [Indignez-vous!] 1 juin 2011 à 08:38 (CEST)Répondre
Sinon, c'est une question d'époque : dans les temps anciens, le monde et le cosmos tendent à se confondre dans beaucoup de cosmogonies ; depuis les temps modernes et plus encore dans la période contemporaine, le cosmos, ou univers, correspond à une tout autre réalité que celle du monde. -O.--M.--H.- 1 juin 2011 à 09:52 (CEST)Répondre

Doalex, je ne peux être plus précis, et ne surtout pas m’enfermer dans les acceptions de l’encyclopédie, je n'aurai pas posé la question sinon.

Merci,

Bien à vous,

Merci monsieur olivier hammam pour votre réponse, il est évident que c'est une question d’époque, le mot monde étant apparu plus tardivement, mais votre réponse ne répond pas à ma question. Et c'est parce que justement ces termes tendent à se confondre que j'ai posé la question.

Bien à vous,

Bonjour,
si vous ne voulez pas des acceptions de l’encyclopédie, pouvez-vous nous préciser quel sens vous donnez à ces deux mots ? En particulier quelle différence vous faites entre les deux. En effet si vous ne donnez pas cette précision il nous est impossible de vous répondre, puisque que nous ne connaissons que les acceptions communes. Merci d’avance. rv1729 1 juin 2011 à 16:45 (CEST)Répondre
Le terme « cosmos » est équivalent à « univers » ; le premier terme vient du grec, l'autre du latin, c'est leur plus grande différence. Pour « univers », Le TLFi indique comme étymologie « universus “ensemble, totalité; somme des choses existantes, univers” », et comme définition de « cosmos » « L'univers, ou partie de l'univers, considéré comme un ensemble ordonné », donc l'univers réduit à sa partie connaissable. Pour « monde » le TLFi donne « La forme monde est empr. au lat. mundus “l'univers”, “le globe terrestre”, “les hommes” ». Étant donnée la représentation ancienne de l'univers, comme déjà dit il n'y a pas de différence nette entre « monde » et « univers », et ce n'est donc, pour me répéter, qu'à une époque somme toute récente, en gros le XVIe siècle, l'univers a commencé à s'élargir et se différencier de plus en plus nettement du monde. Maintenant, si toi ou les personnes de ta connaissance avez du mal à différencier le monde, qui se limite à la Terre et ses satellites, du cosmos, qui correspond à tout l'univers connu, toute explication raisonnable s'appuyant sur des notions qu'on peut trouver dans les encyclopédies et dictionnaires sera peu utile. -O.--M.--H.- 1 juin 2011 à 18:29 (CEST)Répondre


Le monde,construction de l'esprit héritée des temps anciens, un point de vue.Le cosmos, en revanche, signifie organisation, disposition, arrangement de l'univers, bien moins sujet aux fluctuations des mentalités. Il existe une différence. Des encyclopédies faites par des hommes on ne peut s'attendre qu'à des sottises. Ensuite, l’étymologie de mundus est exacte mais incomplète. Mundus en latin signifie arrangé, pur, net. comme monder de nettoyer et d'autres termes apparentés(a consulter). le thème commun tourne autour de l'idée de pureté, propreté, nettoyage. Dans l'origine de cosmos, il est question d'ordre de parure, ornement, organisation. (Cosmétique). Première définition, que signifie la pureté, la propreté, la purgation? Qu'est ce que l'ordre et le désordre pour la seconde ? Fais un rapprochement, et épargne moi la bassesse et les propos de faibles.

  Pour la raison décrite ci-après, une des Pythies a estimé que cette question ne peut pas conduire à une réponse pertinente, et que son maintien sur la page ne présente pas un intérêt collectif. Pour la bonne tenue des lieux, si la question n'évolue pas, l'ensemble sera effacé d'ici 24 h. Quand on préfère ses propres réponses à celles de Pythies, celles-ci n'ont pas lieu de rester, ni les questions

Et en complément, ce bandeau me semble aussi avoir lieu ici :

  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

-O.--M.--H.- 2 juin 2011 à 11:44 (CEST)Répondre

L'idée étant de pouvoir avancer ensemble, à deux nous sommes plus forts. Dommage, je trouvais le sujet pertinent.

Le truc est que l'Oracle n'est pas un forum : nous essayons, selon nos moyens, de répondre à des questions d'ordre encyclopédique et non de nous lancer dans des réflexions qui peuvent être intéressantes mais sortent de ce cadre délimité. -O.--M.--H.- 2 juin 2011 à 17:30 (CEST)Répondre

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Le mot cosmos a une parenté avec << cosmétique >>, c'est parce que qui dit cosmos, dit beauté, harmonie

Le mot monde a une connotation légèrement négative dans le discours monothéiste

Le Christ dit que ses apôtres ne seront pas aimés par le monde, lui-même n'aime pas le monde (= le péché)

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Escape-M.-Escape 2 juin 2011 à 17:58 (CEST)Répondre

Wow, la signature d'Escapin et de Oliver Hammam n'est pas ressemblante! Sapindnoel ou de juin plutôt Parler à un sapin(et avoir l'air fou) 02 juin 2011 à 12:13 (UTC-4) ou 2 juin 2011 à 18:13 (CEST)Répondre
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Ne connaissant que très mal la syntaxe de Wikipedia, j'ai fait du monkey programming...
Préférez-vous cette nouvelle signature, ô Autre Pythie ?
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Escape —— Escape
Très joli. rv1729 2 juin 2011 à 19:13 (CEST) (mais un peu encombrant)Répondre

cours de pilotage auto

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Bonjour je viens de suivre 2 reportages sur la formation des gendarmes et des policiers en conduite rapide, voir extrême. C'est dur. Je me demandais où pouvais s'entrainer ceux qu'ils poursuivent ? Car eux aussi doivent avoir une certaine expérience à la conduite ultra rapide en milieu urbain ou autoroutier. --Kkbs (d) 1 juin 2011 à 11:27 (CEST)Répondre

Peut-être sur des pistes spécialement dédiées à la conduite automobile (je ne pense pas en revanche que l'article circuit automobile soi adapté) ? .Anja. (d) 1 juin 2011 à 11:48 (CEST)Répondre
Si ils sont poursuivis par la police et la gendarmerie, c'est qu'ils ne s'embarrassent généralement pas des contraaintes légales ... Ils peuvent donc "s'entraîner" tous les jours sur routes ouvertes. Pour ceux qui ne sont pas forcément doués au départ, il y a des écoles de pilotage, sur circuit, sur terre, sur glace, ...
Ziron (d) 1 juin 2011 à 15:15 (CEST)Répondre
Aaaah, j'avais mal lu, Kkbs... Où s'entraînent les personnes poursuivies par les policiers/gendarmes > j'avais compris en gros "où s'entraînent les policiers ?" .Anja. (d) 1 juin 2011 à 21:38 (CEST)Répondre

re : mon idée est qu'au départ la plupart des conducteurs essayant d'échapper aux autorités ne sont pas spécialement préparés (nul n'est le Transporteur, ni Taxi 1,2,3,4 ou pilote de formule n'importe quoi)donc celui qui s'enfuit est un monsieur n'importe qui a toutes les chances de se faire rattraper s'il est poursuivi par des spécialistes. Ceux qui y arrivent ce soit être par hasard. J'ai un ami représentant qui a participé à des stages de conduite sur piste payés par son employeur pour maitriser les sur/sous virages par temps de pluie ou de verglas. Stages généralement assez chers.

Mais il est vrai aussi qu'on a les idées un peu (beaucoup) faussées par les poursuites cinématographiques qui ne doivent rien avoir à faire avec la réalité.--Kkbs (d) 2 juin 2011 à 06:48 (CEST)Répondre

C'est ce qu'on appelle le Go fast. Les gofasteurs (quel affreux néologisme !) sont des bandits, il n'y a pas d'école. Je peux imaginer une rotation entre les accompagnateurs qui prennent le volant de la voiture chargée après quelques voyages réussis. Bertrouf 2 juin 2011 à 10:27 (CEST)Répondre

graphène matière de deux dimensions

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Bonjour

J'ai vu dans l'article sur le graphène qu'il est un cristal de deux dimensions, ce que j'ai pas compris. est ce que c'est vrai qu'il a seulement deux dimensions ou bien comme son épaisseur est très petite on dit qu'il est bidimensionnel. Rabah201130 (d) 1 juin 2011 à 12:30 (CEST)Répondre

Il a bien évidemment une épaisseur (tout ce qui existe possède forcément trois dimensions). On le dit bidimensionnel uniquement parce qu'il ne se développe pas en épaisseur (il se développe sur un plan), et que son épaisseur se réduit donc à celle de ces atomes.
C'est le même principe que la peinture : même si celle-ci possède une épaisseur (celle de la couche de peinture), c'est un art en deux dimensions car il ne se développe pas en épaisseur.
En espérant être clair, Agrafian (me parler) 1 juin 2011 à 12:44 (CEST)Répondre
Voilà, c’est une feuille. L’épaisseur est celle d’un seul atome de carbone, donc de l’ordre du nanomètre. C’est en tant que cristal qu’il n’a que deux dimensions, pas en tant qu’objet physique... rv1729 1 juin 2011 à 13:07 (CEST) Et un très bon diaporamaRépondre

Les frères Laparra

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Bonjour ! Quelqu'un a demandé il y a quelques temps si William et Raoul Laparra étaient frères et c'est bien exact. Je crois qu'ils étaient 9 enfants dans la famille, 8 garçons et 1 fille (ma grand mère). Parmi les garçons il y avait William (peintre), Raoul (compositeur), Daniel (médecin à Biarritz, le seul que j'ai connu !), un autre était violoniste (j'ai oublié son prénom) et pour les autres je ne sais rien du tout... Si des détails sur ces autres frères vous passent entre les mains, cela m'intéresse ! Merci !

Je voudrais savoir.........

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Bonjour, Je voudrais savoir combien de spectateurs assistent aux jeux olympiques de 1968?Merci de répondre le plus vite possible si vous savez la réponse Merci de votre coopération.

Jeux olympiques d'été de 1968 à Mexico ou bien jeux olympiques d'hiver de 1968 à Grenoble ? Blue [ -02- ] 1 juin 2011 à 16:38 (CEST)Répondre
Ça doit sûrement être les jeux d'été, sinon il aurai précisé ceux d’hiver. ZXZ♪♫ 1 juin 2011 à 23:18 (CEST)Répondre
Il y avait 80 007 spectateurs. rv1729 1 juin 2011 à 23:24 (CEST)Répondre
M'est avis qu'un bon vieux bandeau
  Désolé, l'Oracle ne divulgue pas les réponses des concours. Bonne chance dans votre recherche.
eut été à sa place ici - ainsi que pour la question pyramidale suivante   -O.--M.--H.- 2 juin 2011 à 08:52 (CEST)Répondre

Pyramide en Eure-et-Loir

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bonjours je voudrais savoir ou ce trouve la pyramide de la marquise aligre rond de preau en eure et loir merci

Si la marquise "Aligre rond de preau" est membre de la famille d'Aligre, il est fort probable que sa pyramide se situe aux environs de Chartres (Eure-et-Loir).--NEUROn (d) 1 juin 2011 à 20:55 (CEST)Répondre
Peut-être y a-t-il également un rapport avec la Famille de Preaulx (alliée, semble-t-il, à la famille d’Aligre) ? rv1729 1 juin 2011 à 23:17 (CEST)Répondre
Par exemple, Marie-Sophie de Preaulx, marquise d'Aligre, est enterrée à Pouancé. rv1729 1 juin 2011 à 23:22 (CEST)Répondre
Pas trouvé d'information exacte mais pour première piste ça semble en rapport avec Senonches ou avec Lèves. -O.--M.--H.- 2 juin 2011 à 04:21 (CEST)Répondre
Senonches, un monument répertétorié comme pyramide-statue de Napoléon Ier mais on dirait une colonne surtout et pas de lien avec la marquise et Lèves commune liée à la Fondation d'Aligre mais point de pyramide, je pencherais du côté du Château des Vaux dont il faudrait explorer les jardins, c'est dommage que ce ne soit pas aussi facile que ça [6]. --Doalex [Indignez-vous!] 2 juin 2011 à 10:32 (CEST)Répondre
Une question en forme d'énigme. En principe, c'est l'oracle qui est sibyllin. Où avez-vous trouvé ces noms que vous accumulez ? De quoi s'agit-il en fait ? d'un tombeau ? --Mistig (d) 2 juin 2011 à 17:11 (CEST)Répondre
C’est parce que le questionneur est un sphinx que sa question est énigmatique. C’est peut-être plus amusant ainsi. rv1729 2 juin 2011 à 19:19 (CEST)Répondre
Tout simple : en associant aligre, pyramide et "Eure-et-Loir" dans une recherche, on tombe immanquablement sur Senonches et Lèves (ma ville de naissance, soit dit en passant, mais je n'y ai passé que mes six premiers mois  ) et sur les familles d'Aligre et de Preaulx. Les faisceaux concordants de faits donnent à croire qu'il s'agit bien de la statue de Napoléon à Senonches, dite « la pyramide » même si ça n'y ressemble guère. -O.--M.--H.- 3 juin 2011 à 05:40 (CEST)Répondre

Chimie nable !

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Bonjour. Erf, oui, je sais, chuis minable parce que je devrais le savoir, mais... Dans une solution d'acide chlorhydrique à N/2, que signifie N/2 ? Cdlt, VonTasha [discuter] 1 juin 2011 à 22:26 (CEST)Répondre

Une solution N ou 1N est une solution normale, dans ce cas c'est une mole (36,5 g d'HCl) par litre de solution, une solution N/2 est demi-normale, donc la moitié. Sauf erreur, je n'ai pas de source biblio sur le sujet...— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Fieux-47 (discuter), le 2 juin 2011 à 08:26 (CET)Répondre
Ouille ! Les cours de chimie sont loin ! Il me semble qu'une solution "normale" est une solution à 1 mole / litre. Pour de l'acide chlorhydrique, ça doit avoir un pH de 0. N/2 ce doit être 1/2 mole par litre... --Serged/ 2 juin 2011 à 08:38 (CEST)Répondre
Les anglophones ont un article en:Normality (chemistry) (mais je ne suis pas chimiste). -- Xofc [me contacter] 2 juin 2011 à 09:22 (CEST)Répondre
Bonjour, quel honneur rendu aux humbles Pythies de visiter leur humble demeure où règne le parfait bonheur, bon, au fait, j'ai trouvé sur google normalité N 2 en chimie (avant piratage par des chinois) une brouette de références d'où se dégage la notion de normalité N et de diacide monoacide, selon certains ce seraient des expressions obsolètes, à trier dans ton jardin.Et trouvé ceci [7]--Doalex [Indignez-vous!] 2 juin 2011 à 09:38 (CEST)Répondre
Juste pour ajouter une précision à Serged, une solution acide (quelle qu'elle soit) ne peut pas avoir un pH égal à zéro dans l'eau. La relation pH = –log([H+]) est vraie uniquement avec [H+] la racine d'un polynôme de degré 2 ou 3 (selon l'approximation que l'ont fait dans le calcul analytique). Une solution 1N de HCl aura un pH égal à 3,50, et une solution N/2 un pH de 3,65. Tachymètre (d) 2 juin 2011 à 14:12 (CEST)Répondre
Il doit y avoir une virgule qui a sauté. O,3 à la limite je veux bien, mais 3,5 c'est aberrant comme résultat. Mon handbook (qui date de 2007, mais ça n'a pas du bouger depuis...) me donne par exemple un pH de 1 pour une concentration de 0,134 mol/L...
La concentration peut s'exprimer en chimie par les termes : molarité (concentration en mole/litre de solvant), molalité (concentration en mole/kilo de solvant) et normalité (concentration en espèce pouvant échanger un proton). Dans le cas de HCl, comme il peut libérer un H+ en solution, 1M = 1N. J'espère que cela répond à la question --130.207.37.76 (d) 2 juin 2011 à 15:35 (CEST)Répondre
Oh ! Merci beaucoup pour toutes vos réponses ! Donc, une demi-mole par litre, terme obsolète, merciiiii ! VonTasha [discuter] 3 juin 2011 à 17:53 (CEST)Répondre

L'Alexandrin

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salut. permettez-moi résumer mon histoire : j’suis canadien, mes parents anglophones (mais locuteurs de français), j’adore la culture et la langue française, mais habitant la region anglophone de Canada je ne l’ai pas parlé ilf ait trop longtemps (donc veuillez excuser les erreurs d’usage que je ne comette ;). Enfin, ma question ! J’ai lu votre page Alexandrin ainsi que sa pareille anglaise en:Alexandrine, les deux indiquants que l’alexandrin est une forme très courante de la poésie française depuis le XVII siècle, mais je n’arrive pas à comprendre juste comment influent est-il. P’tet peut qqn m’en éclairer : par exemple, dans quel pourcentage de la poésie française (~1700-aujourd’hui) le trouverait-on (je ne cherche qu’une estimation) ? merci. Robɛspierre 2 juin 2011 à 04:56 (CEST)Répondre

Bonjour. Un pourcentage précis est peut-être difficile à donner, mais de mes souvenir de cours de lettre, on voit que pratiquement toute la poésie classique (17-19ème) est en alexandrins (à l'exception notable et évidente de La Fontaine et ses vers libres), et la poésie plus moderne (19-20ème) cherche à explorer d'autres formes, mais la première chose que l'on remarque quand on fait l'analyse du texte est que « ça n'est pas en alexandrins mais... ». Les vers de chansons sont en revanche beaucoup plus variables, pour ceux là l'alexandrin n'est pas nécessairement LA référence. S'il fallait compiler le corpus de la poésie française de 1700 à aujourd'hui, je dirais au moins 95%, mais c'est surtout parce que (a) les temps modernes font moins de poésie, donc le poids des âges classiques est proportionnellement plus fort (b) la quasi totalité des poésies de circonstance (discours d'amateurs à une noce, une remise de diplôme...) était autrefois écrite en alexandrins, et ça fait du volume, mais le genre n'est plus guère pratiqué. Dans la poésie honorable consacrée par l'histoire (sondage bêtement scolaire type Lagarde et Michard) je dirais de l'ordre des 2/3 ? Cordialement, Biem (d) 3 juin 2011 à 12:13 (CEST)Répondre
impossible de donner un pourcentage, mais pour 2 balles je dirai 100 % : on en trouve partout, et même quand il n'est pas là il est encore présent comme forme de référence (soit qu'on cherche à s'en écarter, soit qu'on cherche un contraste) gem (d) 4 juin 2011 à 23:47 (CEST)Répondre

Noms d'articles concernant des petites localités catalanes espagnoles

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Bonjour. Je suis perplexe sur le nom La Bisbal del Ampurdán (renommé hier par Servitje (d · c · b) en La Bisbale-en-Empourdan, de même Puigcerdà en Puycerdan, j'ai laissé un message aussi sur cette PdD). Quel nom doivent porter les articles de petites villes catalanes/espagnoles ? Merci pour votre réponse... Jack ma ►discuter 2 juin 2011 à 09:52 (CEST)Répondre

C’est plutôt une question pour Le Bistro. Néanmoins, mes deux balles : le renommage est inapproprié, le nom local doit prévaloir (sauf pour des capitales ou des grandes villes dont le nom francisé est dans les ouvrages de référence depuis des siècles, comme Varsovie) ; la bonne solution est une redirection, et dans l’introduction une mention du genre (en français : Puy Cerdan ou Puycerdan). rv1729 2 juin 2011 à 10:56 (CEST)Répondre
Le problème est réglé de toutes façons, sauf que Jack ma n'a pas eu le temps de nous en prévenir  , ensuite il faut voir les contributions sur tous les wikis pour se rendre compte des dégâts causés par Servitje (d · c · b), par exemple et rien à voir avec la Catalogne voir ce diff. Zarautz donc en fait, on est en face d'un vandale, la langue n'a rien à voir avec cette affaire.--Doalex [Indignez-vous!] 2 juin 2011 à 13:42 (CEST)Répondre

Vie extra-terrestre et religion

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Bonjour,

Ma question peut paraître curieuse mais je n'ai rien d'un illuminé. Je ne trouve simplement pas d'éléments de réponse à un questionnement intellectuel : L'hypothèse de la vie extraterrestre est-elle compatible avec la foi religieuse ?

Merci d'avance.

Ça dépend à quelle époque, et quelle foi (chrétienne ?). On en a brûlés pour moins que ça.
Aujourd’hui, beaucoup de gens ont une foi light qui leur permet de ne pas prendre les textes au pied de la lettre, et de considérer que le Créateur de toutes choses a pu créer bien d’autres mondes. rv1729 2 juin 2011 à 10:51 (CEST)Répondre
(conflit d'édition) L'immense avantage de la foi religieuse, c'est qu'aucune hypothèse ne peut être incompatible avec celle-ci puisque toute nouvelle théorie ou hypothèse sera interprétée dans le cadre de cette foi. Ainsi, toutes les découvertes qui pourraient remettre en question la théorie de la création de la Terre il y a seulement quelques milliers d'années peuvent l'être (par exemple, l'apparition des fossiles et du pétrole date du déluge, au cours duquel les animaux et les végétaux ont été compressés par les flots d'eau et les mouvements de roches). L'apparition d'une vie extra-terrestre pourrait elle aussi s'interpréter dans le cadre de cette foi, d'une manière ou d'une autre (les débats théologiques permettraient de trouver, j'en suis sûr, d'excellentes raisons à l'existence de cette vie hors de la Terre).Agrafian (me parler) 2 juin 2011 à 10:56 (CEST)Répondre
Âme, Extra-terrestres, les questions religieuses foisonnent ; je n'ai pas regardé si les IP sont les mêmes. Je vais essayer de faire une réponse circonstanciée : la religion n'essaye plus, depuis la quasi reconnaissance du Darwinisme par Jean-Paul II (« ...plus qu'une hypothèse. »), de se placer sur le plan de la physique. Ainsi ce que la religion appelle l'âme n'a pas de localisation, le déluge et la création de la terre en 7 jours ne sont pas des faits mais des images. Ainsi pour répondre simplement : aucun problème, la foi n'est pas plus incompatible avec les hommes verts que la philosophie et les mathématiques. Le sous-entendu de la question est plus pernicieux, et la réponse d'Agrafian le prouve. Si la question est : "Comment un fondamentaliste religieux, qui croit en l'existence physique d'un Dieu assis sur un nuage avec une barbe, peut-il intégrer dans cette pensée les autres mondes ?" Alors la bonne réponse est certainement "Il trouvera une solution, nul n'est plus aveugle que quelqu'un qui ne veut pas voir". Bertrouf 2 juin 2011 à 11:39 (CEST)Répondre
Mes deux centimes : Les grandes religions actuelles ne se sont pas posées la question, alors ça pourrait ne pas être incompatible, mais en même temps, la plupart placent l'homme (au sens humanité mais aussi au sens du genre masculin d'ailleurs) au centre de tout. D'ailleurs personne n'aimerait souscrire à une religion qui lui dirait qu'il est une espèce de troisième classe dans l'univers. Bref, le dogme ne dit rien, mais certaines raisons qui donnent envie d'avoir la foi (je suis important car je suis la créature favorite d'une puissance impossible à prouver, donc j'ai le droit de battre ma femme - en gros c'est ça, les monothéismes dominants, non ?) sont incompatibles avec cette idée. (->Jn) (d) 2 juin 2011 à 12:20 (CEST)Répondre
La réponse n'est pas simple, comme l'indiquent celles déjà données : il n'y a pas d'incompatibilité de principe entre foi religieuse et foi en la science, laquelle science permet de supposer avec cohérence que des formes de vie sont apparues ailleurs que sur notre planète (on en a des indices avec des traces d'éléments biotiques sur certaines météorites). Maintenant, il existe toute une variété de formes de croyances, et dans le cadre du christianisme, l'attitude des jésuites et celle des fondamentalistes sont opposées quant à leurs rapports à la science. Mais même parmi les fondamentalistes il y a des attitudes divergentes : même si on les classe dans le même groupe, les partisans du dessein intelligent et les créationnistes littéralistes il y a autant de distance qu'entre les premiers et les tenants du darwinisme : contrairement aux « designers intelligents » les littéralistes les plus radicaux ne font aucune place aux données de la science qui viennent en contradiction avec une lecture littérale de la Bible, spécialement de la Genèse.
Cela dit, et pour rester dans le cadre du christianisme, même une lecture littérale de la Genèse n'exclut pas l'existence d'une vie extraterrestre : ce que le Dieu de la Genèse a fait pour la Terre, il peut l'avoir fait pour d'autres astres. En restant dans le même cadre, il y a donc des lectures non littérales qui permettent de penser le discours de la Bible comme principalement symbolique. Puis quand on sort du cadre du christianisme et autres religions de même source, de nombreuses cosmogonies, même très éloignées de la science, supposent l'existence d'autres mondes ou permettent de les supposer.
Bref, sauf pour une frange relativement réduite de croyants de toutes religions, il n'y a le plus souvent rien dans les dogmes qui étaie l'exclusion de toute idée d'existence de vie extraterrestre. Je dirai même que c'est plutôt pour les scientifiques les plus rigoureux que l'hypothèse d'une vie extraterrestre, pour vraisemblable qu'elle puisse leur paraître, est la plus douteuse, puisqu'on n'en a pas encore de preuve empirique déterminante. -O.--M.--H.- 2 juin 2011 à 12:28 (CEST)Répondre

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La vie extra-terrestre est déjà compatible avec les données de la religion

Les chrétiens ont : Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. (Jn 14:2)

Les musulmans parlent d'Allah, Seigneur des Univers.

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Escape

La réponse est en réalité très simple
Autant il me paraît évident que toutes les religions constatent (ce qui est de sens commun) qu'il y a de la vie sur Terre, autant il me paraît non moins évident qu'aucune religion n'a pu primitivement décréter qu'il n'y a pas de vie en dehors de la Terre, sur les autres planètes, pour la simple raison que les autres planètes ne sont pas perceptibles (et il n'y a pas si longtemps, il n'y avait même pas de preuve expérimentales que d'autres planètes genre terrestre existassent dans l'univers, alors...). Donc, aucune religion n'exclura une vie extra-terrestre par l'un de ses dogme primitif, et par conséquent toutes s'en accommoderont. Sans même parler de ces « religions » modernes qui se fondent explicitement sur l'existence de civilisations extra-terrestres.
En soi, la vie extra-terrestre ne heurte pas plus la religion, quelle qu'elle soit, que la vie terrestre. L'existence d'un chou-fleur en Bretagne est compatible avec toutes les religions ; si on découvre une sorte de genre de chou-fleur poussant sur une planète de proxima du Centaure, et alors? Quelle différence cela fait-il? Mais la vie végétale n'est peut-être pas un défi suffisant. S'agit-il alors d'une vie animale ? D'une vie intelligente? D'êtres vivant en société et capables de fonder une culture, une civilisation ? Et encore une fois, quelle différence cela ferait-il, que cette vie soit extra-terrestre, par rapport au fait de trouver l'équivalent sur Terre?
En réalité, les « extra-terrestres » de ce point de vue sont probablement déjà parmi nous, les dauphins sont réputés intelligents et les macaques ont des formes embryonnaires de comportements culturellement acquis - même si on n'est pas (encore?) en train de discuter philo avec le Rhesus du coin. Dans cet ordre d'idée, les évolutions imaginées dans demain les chiens ou dans La Planète des singes offrent des perspectives nettement plus intéressantes : si demain nous rencontrons une espèce avec laquelle on puisse discuter, quelle qu'en soit l'origine, y compris artificielle, quelle sera l'attitude de l'humanité vis-à-vis de cette "découverte", et quel discours théologique verra-t-on sur leur compte ?
Clairement, pour un discours théologique, la capacité à discerner sa conscience et à s'engager sur une voie de progression spirituelle sera un critère important : fondamentalement, si un "alien / étranger" lit et comprend des écritures saintes, est capable d'en discuter, en fait son profit, et déclare vouloir y adhérer, comment faut-il le recevoir ?
En termes chrétiens, c'est ce qui est donné dans l'histoire du baptême de l'eunuque éthiopien (actes 8:34-39) : sachant que dans le loi judaïque, un eunuque n'avait pas le droit d'être admis dans l'Assemblée (Knesset / Ecclésia / Église...), il fallait être un "homme complet" (Dt 23:2), ce passage des actes des apôtres montre par opposition que rien dans la nature de la personne ne s'oppose au baptême, parce que sa conclusion est lumineuse de simplicité : « Si tu crois de tout ton coeur, tu peux être baptisé ». De ce point de vue, la transposition aux extra-terrestres est évidente, voire théologiquement nécessaire : la parole de Dieu s'adresse à tous les "étrangers", si loin fussent-ils, car « leur voix parvient jusqu'aux confins de la terre et leurs accents dans tout l'univers » (Ps 19:5), donc y compris chez les extra-terrestres, pas de problème particulier. S'ils peuvent demander le baptême, ils peuvent l'être, et de ce fait être appelés « fils de Dieu » tout autant que nous (mais évidemment, pas de la même Mère  ).
Ça me rappelle la fois ou discutant d'intelligence artificielle je faisais la remarque que les ordinateurs actuels n'ont pas particulièrement de vie spirituelle ou de conscience morale, mais si demain on en voit du niveau de HAL 9000, et qu'il se mette à demander le baptême - comment fera-t-on ? (et mon interlocuteur de répondre : « tu seras encore plus emmerdé s'il demande à être circoncis »  ).
Bonnes méditations, Michelet-密是力 (d) 3 juin 2011 à 13:05 (CEST)Répondre
CQui (d) Je propose de bruler tous ceux qui suposent que Dieu, le seul, le vrai, n'est pas assez puissant pour avoir cree la vie sur plein d'autres planetes. --3 juin 2011 à 17:16 (CEST)Répondre
Z'y va, mets le feu au bistro ! le sourcier [on cause ?] 3 juin 2011 à 19:43 (CEST)Répondre

Henri Vincenot et les chemins de fer

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Salut ô Oracles. Je cherche à me remémorer une anecdote, et peut-être pourra-t-on m'aider ici. Je suis presque sûr que c'était dans un roman d'Henri Vincenot mais je ne me souvient plus bien. Voilà : ça raconte l'histoire de quelqu'un qui n'a que quelques minutes pour acheter un billet impossible, partant d'une toute petite gare et allant à une autre, par plusieurs correspondances, billet que le guichetier des chemins de fer, avec ses gros bottins d'horaires, arrive à faire assez brillamment.
La question est : quelqu'un se souvient-il de ça ? Dans quel roman ? Est-ce bien du Vincenot ? Merci d'avance pour ceux qui pourront m'aider.
(->Jn) (d) 2 juin 2011 à 12:14 (CEST)Répondre

En attendant une réponse, une petite histoire qui se passe en Chine, un voyageur se trouvant à Zigong décide de rentrer chez lui en France et d'effectuer son voyage par le train, en s'adressant au guichetier dans sa langue et sans s'en rendre compte il demande un aller pour Versailles et l'employé lui répond « — Versailles-Chantiers ou Versailles-Rive-Droite, monsieur? » --Doalex [Indignez-vous!] 2 juin 2011 à 16:05 (CEST)Répondre
joli :-) 86.72.115.177 (d) 2 juin 2011 à 16:30 (CEST) Répondre
Il existe une version provençale de cette histoire avec "L'Estaque-Ville" et "L'Estaque-Plage". --Arcane17 d 2 juin 2011 à 19:00 (CEST)Répondre
Henri Vincenot superbe écrivain de la Bourgogne et d'un livre La vie quotidienne au temps des chemins de fer au XIXè siècle, à lire absolument. Mike Coppolano (d) 2 juin 2011 à 19:20 (CEST) Mon préféré c’est Le Pape des escargots. rv1729Répondre
Il y a aussi une version belge : un habitant de Flémalle demande au guichet un billet pour Moscou, l'employé lui répond en wallon « Moscou, wice don ? » (Moscou, où est-ce donc ?) ; lorsqu'il achète son billet de retour à Moscou, l'employé lui demande en français « Flémalle-Haute ou Flémalle-Grande ? » - Cymbella (répondre) - 2 juin 2011 à 20:41 (CEST)Répondre
CQui (d) La version lyonnaise de l'histoire parle de Givors-Ville, Givors-Canal, elle commence quand il part de France ou person ne sait ou se trouve la Chine... --3 juin 2011 à 17:10 (CEST)
Bonjour Jean-no. Si c'est bien Vincenot, et si il est fiable dans notre cas, google donne trois réponses à +guichet+train. Mike en ayant lu un d'eux, il en reste deux : Rempart de la miséricorde ou La Vie quotidienne des paysans bourguignons au temps de Lamartine. Piero (d) 4 juin 2011 à 08:51 (CEST)Répondre
Merci Piero, je les lirais avec plaisir   Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 13:34 (CEST)Répondre

les grandes surfaces n'ont pas la monnaie

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Bonjour

Je voudrais savoir comment faire pour ne plus rencontrer ce problème : cela fait au mois 5 ou 10 fois que je fais mes courses dans des grandes surfaces à l'enseigne très bien et et très connu. et dans des enseignes différentes, et je paye, et la caissière n'a pas la monnaie : les pièces de 1 centime. comment se fait il que des grandes enseignes ne peuvent pas rendre la monnaie au client ? cela m'est arrivé 10 fois. je ne vais pas me plaindre pour des pièces de 1 centime mais je voudrais savoir si c'est normal et comment faire pour râler ?

merci

Il y a des grandes surfaces qui font ça, en effet, mais à part confirmer je ne peux rien te dire...! Il est difficile de râler, si tu y fais des achats 20 fois par mois ça doit représenter moins de 50 centimes au bout du mois... si ça te gêne pour le principe, tu peux toujours t’arranger pour avoir plein de monnaie et faire l’appoint. Si tu as envie d’un affrontement tu peux arrondir une somme du genre 8,62 à 8,60 ; si la caissière te dit qu’il en manque, tu dis « oh pardon », tu lui donnes 5 centimes et tu attends tes 3 centimes... tu auras au moins une explication claire de la politique du magasin. rv1729 2 juin 2011 à 18:58 (CEST)Répondre
Ça dépend dans quel pays. Si on prend, tout-à-fait au hasard, disons, la France, l'article L112-5 du Code monétaire et financier énonce « En cas de paiement en billets et pièces, il appartient au débiteur de faire l'appoint. » Si un client choisit de faire ses achats chez un commerçant qui ne rend pas la monnaie et qu'il choisit de ne pas payer le montant exact, il donne quelques centimes lors de chaque achat. Multipliez cela par un million d'achats par l'ensemble des clients d'un commerce et cela fait quelques dizaines de milliers d'euros. Si les clients choisissent d'acheter chez un commerçant qui ne rend pas la monnaie, celui-ci n'a aucun incitatif à changer sa politique. Si toutes choses sont égales par ailleurs, la façon de râler c'est d'aller faire ses achats ailleurs chez un commerçant qui accepte de rendre la monnaie. Mais ce ne sera rentable pour le client qu'à condition que ce commerçant ne lui vende pas les mêmes produits plus cher que l'autre. Et ce n'est qu'un élément parmi d'autres, pas nécessairement le plus important, dans le choix que le client fait d'acheter dans un commerce plutôt que dans un autre. Le client peut préférer acheter chez le commerçant qui ne lui rend pas la monnaie de quelques centimes sur chaque achat si ce commerce présente plus d'avantages par rapport à d'autres facteurs tels le choix des produits, la proximité relative des commerces, etc. -- Asclepias (d) 3 juin 2011 à 02:42 (CEST) _ Au sujet de ton commentaire dans l'historique: Désolé je veux bien prendre ça sur le dos car il arrive qu'en sélectionnant une partie de section et compte tenu du peu de visibilité des lignes hors cadre on dérape sans le savoir, toutes mes excuses.--Doalex (d) 3 juin 2011 à 23:50 (CEST)Répondre
CQui (d) Pour info, aux Pays-Bas, seuls les services d'état et certains ALDI rendent au centime près, les autres arrondissent à 0 de 8 à 2 et à 5 de 3 à 7... J'en connais qui payent en pièces quand cela finit par 1, 2, 6 et 7, et par carte bancaire quand ce serait arrondis au 5 centimes supérieurs. --3 juin 2011 à 17:02 (CEST)Répondre
J'ai moi-même compté au centime près ce que me coûterait mon passage en caisse pendnant des années(il doit y avoir une vieille question de moi sur l'oracle où je demandais dans quelle mesure le magasin était obligé de vendre au prix affiché), mais j'y ai renoncé, fatigué de perdre (une fois sur deux) 10 minutes pour être remboursé de 10 centimes. Quelque part, le fait que beaucoup de zupermarks pratiquent la pesée des légumes à la caisse me soulage d'un calcul mental assez pénible.... Une solution pour vous (pour autant que vous renonciez aux concombres et autres légumes... ah non, les concombres se vendent à la pièce), c'est de calculer la congruence modulo 100 du prix en centimes de vos achats et de vous débrouiller pour tomber sur un chiffre rond. S.M. | D.S.M. 3 juin 2011 à 19:41 (CEST)Répondre
Si gain il y a, il est plus à chercher sur l'incitation à l'emploi de cartes bancaires que sur l'accumulation de centimes. Un ordre de paiement bancaire, ça ne se braque pas, ça ne prend pas de place, ça ne pèse rien, ça se transfère immédiatement etc. Apollon (d) 3 juin 2011 à 20:00 (CEST)Répondre
D’accord avec Apollon. Perso, il m’arrive souvent à la taverne du musée, de voir des gens payer en « pièces rouges » - pour un café, ça va, pour plus de 10 euros j’apprécie moins... -. J’accepte et me sers de ces pièces pour les achats en grande surface. Le principe est simple : 26,78 euros ? Je commence par sortir les pièces correspondant à 78 centimes, puis je fais l’appoint.  Je n’ai jamais eu de problème ainsi mais... si je sors d’abord deux billets (style un de 20 et un de dix, ou deux de dix), puis l’appoint en centimes, oui j’entends parfois râler et refuser...   Si le truc peut vous servir... Amclt, --Égoïté (d) 4 juin 2011 à 00:09 (CEST)Répondre
Oui la véritable explication à la rareté ponctuelle de centimes en grande surface, c'est certainement que les centimes inférieurs c'est agaçant (pour rester poli). Quand j'étais serveur un type m'avait d'ailleurs payé avec un tas de centimes... Heureusement il fallait rendre la monnaie à son voisin et j'avais donc essentiellement fait une translation de la pile du premier vers le deuxième. Je n'ai pas oublié la tête qu'il avait fait... Apollon (d) 4 juin 2011 à 01:2au moins 52 (CEST)
Peut-être donc une question d’optimisation du paramètre clients / caissier.heure... rv1729 4 juin 2011 à 16:41 (CEST)Répondre
CQui (d) Je ne sait pas par chez-vous, mais il y a de plus en plus d'automates de caisses, en Irlande comme aux Pays-Bas. J'y passe toute ma petite monaie. Il y est meme possible de payer une partie en pieces et le reste par carte. Il m'est deja arrivé deux fois en un ans qu'ils soient obligés de vider la machine apres moi.  (bon, en fin de journée...) --7 juin 2011 à 18:27 (CEST)

test de proportionnalité des nombres

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Bonjour je voudrais savoir comment fonctionne le test qui permet de montrer si un nombre (ou plusieurs nombres) est (sont) proportionnel(s) ou non merci. 86.69.154.159 (d) 2 juin 2011 à 18:30 (CEST)Répondre

Bonjour, peux-tu donner un exemple de ce que tu veux tester, car là ça n’est pas très clair... Peut-être ceci : (1:2:5) est proportionnel à (3:6:15) avec un coefficient de proportionnalité de trois, tu peux le vérifier en faisant les quotients terme à terme. rv1729 2 juin 2011 à 18:53 (CEST)Répondre
Proportionnalité--NEUROn (d) 2 juin 2011 à 22:50 (CEST)Répondre

tutoiement, vouvoiement

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bonjour

j'ai lu l'article les concernant, mais je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Depuis quand estime t-on qu'il est plus poli de vouvoyer que de tutoyer ?--Kkbs (d) 2 juin 2011 à 18:55 (CEST)Répondre

L’article anglais est plus informatif. On y apprend que d’après les linguistes Brown et Gilman, on a commencé à parler au pluriel à l’empereur romain vers le 4e siècle de l’ère chrétienne. Cela a été en usage pour d’autres grosses légumes, comme le pape Grégoire premier. L’usage se serait fixé bien plus tard, entre les douzième et quatorzième siècles seulement. rv1729 2 juin 2011 à 19:03 (CEST)Répondre

Merci Hervé, mais comment invente t-on un pluriel, le "nous" et le "ils" existaient déjà à l'époque. C'est donc arbitraire de considérer le "vous" comme signe de politesse. --Kkbs (d) 2 juin 2011 à 20:24 (CEST)Répondre

Justement, apparemment les usages ont fluctué, d’ailleurs ils varient d’une langue romane à une autre, et ne sont pas toujours définitivement fixés ; en espagnol usted, une troisième personne au singulier, rivalise avec vos, équivalent de notre vous (en castillan officiel et livresque, c’est usted, mais vos est préféré localement, et surtout en Amérique du Sud) ; en italien lei et voi, même chose, sauf que dans ce cas lei a déjà gagné... En français, dans certains milieux on utilise également la troisième personne : « Et qu’est-ce qu’il boit ? »... rv1729 2 juin 2011 à 21:00 (CEST)Répondre
Langue germanique : le flamand possède je ou jij pour le tu familier et U pour le vous au singulier, mais je constate de plus en plus que, dans le langage parlé, la forme familière prime même lorsqu’on s’adresse à quelqu’un qu’on ne connait pas. Et il est fréquent, depuis de longues années, d’entendre un Flamand qui maitrise mal le français utiliser en français le tutoiement à la place du vouvoiement lorsqu’il s’adresse à un francophone ; maintenant je ne sais, mais il y a quelques années encore, ce tutoiement était très mal ressenti par les francophones. --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 07:25 (CEST)Répondre
Voici un résumé des infos que donne Grevisse à ce sujet : le vouvoiement est souvent considéré comme une extension du nous de majesté, qui vient d'un usage latin qui remonte à l'époque des empereurs romains et plus précisément de Gordien III (IIIe siècle). Cependant, on trouve des exemples de vouvoiement antérieurement, chez Ovide. Grevisse note qu'en ancien français il n'y avait aucune règle pour délimiter l'emploi du tu et du vous. Il donne l'exemple suivant : « Pren la couronne, si seras couronnez ; / O se ce non, filz, laissiez la ester : / Je vos defent que vos n'i adesez. » (Le Couronnement de Louis, [8]). On y passe du tu au vous, sans aucune intention particulière. C'est au XVIIe siècle que la langue de la cour répandit l'usage du vous de politesse. Jusqu'à la révolution, les « honnêtes gens » se vouvoyaient entre eux, mais tutoyaient les gens du peuple. En l'an II, la République établit la règle du tutoiement général, mais sous l'empire, on en revint à l'usage d'Ancien Régime. Rāvən (d) 3 juin 2011 à 08:33 (CEST)Répondre

Merci pour vos réponses, donc cela existait depuis longtemps et il a fallut attendre le XVII siecle pour que cela devienne un manière polie de s'adresser à des étrangers ou des supérieurs. Pour les flamands, d'accord ils tutoient généralement. De la même manière qu'il zappent facilement monsieur ou madame pour utiliser directement le prénom.

Personnellement, je n'ai jamais su appelé mon patron par son prénom sans ajouter monsieur devant, quoiqu'il soit 40 ans plus jeune que moi. Les autres employés de l'usine le faisait sans que cela ai l'air de le perturber outre mesure. Par contre, les ouvriers lui répondaient en disant monsieur --Kkbs (d) 4 juin 2011 à 05:37 (CEST)Répondre

Ce qui prouve que les usages continuent à fluctuer ! rv1729 4 juin 2011 à 13:29 (CEST)Répondre
À part ça, Grevisse est quand-même en flagrante contradiction avec les linguistes cités par l’article anglais. Je ne suis pas certain de lui faire davantage confiance, je me demande s’il est là tout à fait dans son domaine de compétence... rv1729 4 juin 2011 à 13:30 (CEST)Répondre
Personnellement, je ne vois pas de grosses contradictions entre les deux (voir en:T–V distinction). Voici un texte assez complet à ce sujet, qui cite à la fois Brown et Gilman et Grevisse : [9] (certaines pages ne sont malheureusement pas accessibles en ligne). J'ajoute que la théorie de Brown et Gilman a le défaut de ne pas faire de distinction entre les langues. Rāvən (d) 4 juin 2011 à 14:57 (CEST)Répondre

Désolé, j'ai oubliez dans ma dernière intervention de signaler que je travaillais en Flandre et que j'étais le seul technicien francophone. Donc, tous les autres qui tutoyais le patron étaient de flamands. --Kkbs (d) 5 juin 2011 à 14:34 (CEST)Répondre

Frau Griffen, base de sous-marins

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Bonsoir, dans une histoire complète du journal Tintin, est racontée le fait que la propriété de Madame Griffen, située sur la côte en Floride, servait de base de ravitaillement pour des sous-marins allemands lors de la seconde guerre mondiale. Cette citoyenne américaine, d'origine allemande, condammée à 30 années de prison, se pendit dans sa cellule. Je pense que cette histoire est vraie, mais je n'arrive pas à en trouver confirmation. Si l'on pouvait m'indiquer des sites qui en parlent. Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (d) 2 juin 2011 à 20:39 (CEST)Répondre

Rien avec « Griffen U-boot » ou « Griffen U-boat », y compris dans Google Books : je n’y crois pas. rv1729 2 juin 2011 à 21:03 (CEST)Il est vrai que les résultats sont brouillés par le verbe allemand griffen, attaquer...Répondre
Vous faites peut-être référence à l'Opération Pastorius et au débarquement à Ponte Vedra Beach, mais où aucun Griffen n'est mentionné, ni quelconque [Edit :] plus qu'improbable « base ». On signale toutefois plusieurs légendes urbaines (p. 156, dernier §) au sujet de sous-marins allemands en Floride. Piero (d) 4 juin 2011 à 08:24 (CEST)Répondre
Ça me parait loufoque. Les militaires en général, et les sous-mariniers en particulier, prennent déjà bien assez de risques rien que dans leurs opérations normales, alors partir en mission en escomptant se ravitailler à terre en territoire ennemi ... Il y a tellement de choses qui peuvent foirer (je vous laisse imaginer) qu'il faudrait être bien fondu pour seulement imaginer un scénario pareil. Ça vaut le fameux sous-marin utilisée pour la traite des blanches à Orléans...
En revanche j'imagine assez bien qu'une madame Griffen, habitant en Floride et plus ou moins germanique, se soit retrouvée internée (ou emprisonnée) dans le cadre du en:German American internment (il nous manque l'article mais nous avons celui qui concerne les japonais) au milieu de rumeurs idiotes, et finisse par se pendre. Ça au moins c'est plausible, mais il y a peu de chance pour qu'une bonne âme est fait l'effort de documenter la chose.
gem (d) 5 juin 2011 à 00:33 (CEST)Répondre

Emploi de la locution : être heuré..( être à l'heure ou a une heure précise)

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Bonjour,

C'est un sujet pour lequel vous allez pouvoir sans doute m'éclairer.

J'ai lu et j'emploie de temps à autre la locution "être heuré" ( être à l'heure , ou à une heure précise).Dans mon métier d'imprimeur à l' O.C.D.E, des mémos que l'on recevait nous indiquaient ": les dossiers doivent impérativement être datés et heurés Il me semble que cette locution soit d'origine argotique professionnelle, mais d'après un professeur de Français elle n'entache en rien la langue française ? Locution vicieuse ? Il est vrai que sur le Net j'ai eu une certaine difficulté à trouver ces termes, mais il existent. Est-ce un participe passé, un adjectif ? Pourriez vous apporter de l'eau à mon moulin, car dernièrement j'ai employé ce terme avec un professeur (agrégé de mathématiques.)..qui ne me comprenait pas.,quand je lui ai demandé si du fait de son départ de chez moi assez rapide ,si elle était heurée!Et j'ai eu l'impression de passer pour un "banlieusard" ! Bien que cette personne fasse partie de la famille.En un mot est-ce du Français? Je suis c'est évident un" banlieusard",mais j'aimerais lui démontrer si cela est exact, que je ne dis pas que des imbécillités.( en terme correct! ) Si votre réponse va dans le sens que j'espère, je me précipiterais pour la lui montrer avec une certaine condescendance..amicale ! Espérant une réponse de votre part , avec mes remerciements ,je vous prie de croire à l'expression de mes salutations distinguées.

Monsieur PREVOST Jean-Claude.

Bonjour,
pour vos mémos cela voulait dire qu’ils devaient porter date et heure, ce qui n’est pas ce que vous vouliez dire à ce prof de maths !
Votre sens me paraît être un régionalisme ou un archaïsme, ce qui ne lui retire pas sa légitimité... Ce dictionnaire de 1845, là : http://books.google.fr/books?id=lfcFAAAAQAAJ&pg=PA212 connaît un sens proche de celui que vous donnez à ce mot :
Heuré, e, part. pass. et adj. ; qui est fait à une heure fixée, qui a une heure fixée, qui est assujetti à l’heure : des repas exactement heurés : des ouvriers rigoureusement heurés.
Ça n’a pas encore tout à fait ça. Ou bien si ? Je continue à chercher. rv1729 2 juin 2011 à 22:31 (CEST)Répondre
J’ai fait le tour de mes dictionnaires, je ne trouve rien que ce « Désheurer : retarder (un train) par rapport à son horaire normal », dans le dictionnaire historique de la langue française, d’Alain Rey, qui semble « en creux » indiquer l’existence du verbe « heurer »... rv1729 2 juin 2011 à 22:52 (CEST)Répondre
Émile Littré ne connait pas heurer, mais bien désheurer ! au sens de « 1°V. a. Déranger l'heure, les heures de certaines occupations habituelles, particulièrement celles des repas. Cette visite me désheure. 2°V. n. On dit qu'une horloge, une pendule désheure, quand elle sonne une heure autre que celle qui est marquée par les aiguilles. 3° Se désheurer, v. réfl. Être hors de ses heures habituelles. Remarque : Ce mot, comme beaucoup d'autres, s'emploie de préférence dans les locutions négatives : il n'aime pas à se désheurer. »
Il connait aussi heurette qui est la « division de l'heure en usage en Flandre, qui est la demie. » Dans le supplément, on note « Il y a belle heurette, locution familière qui signifie il y a longtemps. » Bien à vous, --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 06:27 (CEST)Répondre
Le Dictionnaire général de la langue française et vocabulaire universel des sciences, des arts et des métiers de F. Raymond ne donne que désheurer (déranger les heures ordinaires des occupations) et se désheurer (se déranger de ses heures accoutumées).
À noter dans le Dictionnaire étymologique, critique, historique, anecdotique et littéraire de François Noel : « BONHEUR, s. m. vient du latin bona hora (bonne heure), comme malheur du latin mala hora (mauvaise heure). On trouve fréquemment heur et eur pour félicité, chance, bonheur; et bon heur écrit de deux mots dans nos anciens auteurs qui ont dit aussi à la male heure pour malheureusement. L'opinion vulgaire où l'on était jadis, que l'heure de la naissance influait sur tout le reste de la vie a fait prendre ce mot en cette acception, et de là les expressions de bonheur, bona hora, malheur ou mauvaise heure mala hora. « Guillot qui point d'eur bon n'as ( Guillot qui n'a point de bonheur). Le Dit des rues de Paris, par Guillot de Paris, écrivain du treizième siècle. De ce mot heur pour bonheur nos pères avaient dérivé le verbe heurer, rendre heureux et le participe heure, rendu heureux ; bien heuré et mal heuré pour heureux et malheureux. »
Le Dictionnaire universel de la langue française de Pierre Claude Victor Boiste donne aussi « rendre heureux ou malheureux (une affaire), etc. » pour heurer, tandis que désheurer signifie changer les heures du travail, du repas. --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 07:16 (CEST)Répondre
Edmond Morin, auteur du Dictionnaire de l’imprimerie, 2e éd., Librairie des arts graphiques, Bruxelles, 1933, ne donne aucune entrée pour heurer. J’ai consulté cinq autres dicos de métiers - en vain. J’ai l’impression que votre usage de heurer doit relever d’un jargon professionnel local. Bien à vous, --Égoïté (d) 4 juin 2011 à 00:00 (CEST)Répondre

Question sur Lilith

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Pouvez vous m expliquer l'existence de Lilith alors que le premier couple à avoir été crée est Adam et Eve ?? Question d'Amine croatoan déplacée par Eutvakerre (d) 2 juin 2011 à 22:21 (CEST)Répondre

Dans une nouvelle de Primo Lévi, celui-ci rapporte une interprétation traditionnelle (Cabale ? Talmud ?) des deux récits de la création dans la Genèse (à lire) :
En 1:27, Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme, et en 2:21-23, Alors l'Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L'Éternel Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. Et l'homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! on l'appellera femme, parce qu'elle a été prise de l'homme.
L'interprétation est la suivante : Dieu à d'abord créé un homme (Adam) et une femme (Lilith), égaux, créés ensemble à l’image de Dieu ; ça n’a pas trop collé entre eux, alors Dieu a créé une autre femme (Eve) à partir d’une côte de l’homme (elle lui est donc inférieure).
Bon, je n’ai pas d’autre référence que Primo Lévi, mais je crois volontiers que ça n’est pas lui qui a inventé ça. rv1729 2 juin 2011 à 22:45 (CEST)Répondre
Ah. Euh, je viens seulement d’aller voir l’article. Bon, oubliez ça, la bonne réponse est : lisez ce p**** d’article, c’est expliqué avec un grand luxe de détails ! rv1729 2 juin 2011 à 22:47 (CEST)Répondre
euhh c eve ki a été tire de la cote d adam et pa lilith. Amine croatoan  (d · c · b) 3 juin 2011 à 22:23 (CEST)Répondre
C b1 C k G ékri rv1729 4 juin 2011 à 00:55 (CEST)Répondre
heiiiin ? .Anja. (d) 4 juin 2011 à 11:12 (CEST) Répondre
« C'est bien ce que j’ai écrit. » rv1729

Impérialistes et bonapartistes

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Fresnette Pisani-Ferry dans son livre sur le général Boulanger écrit alternativement "bonapartistes" et "impérialistes". Sans expliquer le sens qu'elle donne à impérialiste. Quelqu'un saurait-il m'expliquer la différence, s'il y en a une ? Merci.Philippe Nusbaumer (d) 2 juin 2011 à 23:38 (CEST)Répondre

Impérialiste = partisan de l'empereur, tout simplement. Il est vrai qu'on ne trouve plus le mot employé de cette manière aujourd'hui, sans doute parce qu'il n'y a plus d'empereur ou d'aspirant à le devenir aujourd'hui, et que la qualité d'empire, si elle existe, est informelle. Apollon (d) 3 juin 2011 à 15:24 (CEST)Répondre
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Aujour'hui, "l'impérialisme est une stratégie, une manière ou une doctrine politique de conquête, visant la formation d'un empire, ou d'une domination". (ici)

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Les impérialistes seraient ceux qui aspirent à la conquête et à la dommination. (Une sorte de fascistes).Un bonapartiste diffère d'un impérialiste en se que le premier est favorable au culte de Bonaparte sans forcément souhaiter son retour alors que le second désire surtout son retour ou plus généralement le retour d'un régime autoritariste, à mon avis, à vérifier dans le texte lu.--Jxwww (d) 3 juin 2011 à 19:35 (CEST)Répondre

Directrice => proviseur

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Bonsoir. Pour les lycées à partir de quand parle-t-on du chef d'établissement comme d'un proviseur ? Pour des documents que je feuillète, en 1968, je lis Directrice du lycée Molière. A la fin des années 1970, je lis proviseur. Saurait-on si une loi change ce statut et par la même occasion le terme employé ? Cordialement, Celette (d) 3 juin 2011 à 01:18 (CEST)Répondre

La réponse est ici : « Fonctionnaire chargé de l'administration et de la direction d'un lycée de garçons ou d'un lycée mixte. » […] « Jusqu'à une période très récente, on appelait directrice la femme qui remplissait cette fonction dans un lycée de filles. ». D'autres explications sont données. Agrafian (me parler) 3 juin 2011 à 01:38 (CEST)Répondre
PS : pour aller droit au but, disons qu'avant la mixité dans les lycées, on utilisait le terme de proviseur pour les hommes (dirigeant les lycées de garçons) et celui de directrice pour les femmes (dirigeant les lycées de filles), et qu'après (et cela s'est sans doute fait progressivement) le seul terme de proviseur est resté. Agrafian (me parler) 3 juin 2011 à 01:41 (CEST)Répondre
Merci pour la question et la réponse. Je découvre cet endroit, c'est intéressant  . Cdlt Asram (d) 3 juin 2011 à 02:59 (CEST)Répondre
En Belgique francophone, au moins de 1955 à 1971, directeur-directrice étant utilisé pour les années primaires ; en humanités, c'était préfet dans les athénées (pour garçons) et préfète (dans les lycées pour filles). --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 06:17 (CEST)Répondre
Et chez les féministes on dit "proviseuse", "proviseure", proviseresse" ? --Serged/ 3 juin 2011 à 08:24 (CEST)Répondre
Madame la proviseure, apparemment pas que chez les féministes ;-) p-e 3 juin 2011 à 08:30 (CEST)Répondre
Quand j'étais au lycée (il y a longtemps!), il y avait également un "censeur". Et on parlait de "Madame la censeur[e]"   --Serged/ 3 juin 2011 à 14:41 (CEST)Répondre
Parce que pour le lycée Molière, sur lequel je suis en train de finaliser l'article, le lycée devient mixte en 1973 ; or, le premier "proviseur" (homme) est nommé en 1978. Ne disposant pas de documents entre les deux dates mais seulement avant et après, je me demandais si entre temps, on continuaistà appeler la chef d'établissement "directrice" (la prochaine, en 1992, est clairement appelée "proviseure"). Mais merci pour cette réponse ! Cordialement, Celette (d) 4 juin 2011 à 01:16 (CEST)Répondre

Standard Beaverette

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Bonjour,

Dans l'article anglais, il est écrit "The first version of the vehicle was built in 1940 by Standard Motor Company at the instigation of Lord Beaverbrook, then Minister of Aircraft Production (hence the name Beaverette).". Je n'arrive pas a trouver la signification de Beaverette, Beaver = castor, j'imagine que c'est peut être un dérivé mais alors quel lien avec l'aéronautique? Skiff (d) 3 juin 2011 à 08:51 (CEST)Répondre

Le nom Beaverette doit être perçu comme un dérivé de Beaver par un anglophone, mais ce que l’article anglais explique c’est que c’est un dérivé de Beaverbrook. Je sais pas comment mieux dire, je ne vois pas ce que tu trouves obscur en fait... rv1729 3 juin 2011 à 09:08 (CEST)Répondre
Bon sang mais c'est bien sur, je cherchais un rapport avec l'aéronautique, alors qu'il fallait y voir une relation avec le nom du ministre. Merci beaucoup, Herve1729. Skiff (d) 3 juin 2011 à 09:42 (CEST)Répondre
Hi hi, pas de quoi ! rv1729 3 juin 2011 à 10:49 (CEST)Répondre

Verre standard / unité alcool

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Bonjour les Pythies. L’une d’entre vous sait-elle s’il existe une abréviation pour le « verre standard » également appelé « unité alcool » ? UA ? Merci déjà, --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 16:28 (CEST)Répondre

Je n'ai pas la réponse à ta question, mais :
  • UA est l'abréviation de unité astronomique même si je ne suis pas sûr qu'il s'agisse d'une unité du système international, mais son abréviation n'en est pas moins réservée dirais-je ;)
  • En médecine, quand on fait une observation où l'alcool ait son importance (patient cirrhotique, psychiatrie, etc.), on utilise comme unités le verre et le gramme, et c'est la consommation en grammes d'alcool/jour qui fait référence.
Je suis désolé de ne pas répondre réellement à ta question, mais j'espère faire modestement avancer le schmilblick. S.M. | D.S.M. 3 juin 2011 à 17:58 (CEST)Répondre
Une réponse ici (en tapant décilitres + verre standard) [10] et aucune abréviation ne semble y être associée, VS ? Plus logique ?.--Doalex (d) 3 juin 2011 à 22:59 (CEST) en anecdote mais tu dois le savoir [11].Répondre
Merci pour vos réponses. Je n’ai rien trouvé comme abréviation, de mon côté, et cette sorte de mesure me parait, perso, des plus loufoques lorsqu’on se réfère à un verre standard - car 1/ le standard n’existe pas ! cherchez et comparez les contenances d’un simple verre ballon dans différents pays francophones et vous serez convaincus et 2/ utiliser un verre d’un certain type n’implique pas qu’on y serve ce pourquoi il est censé servir de contenant. Je saurais gré à D.S.M. de bien vouloir développer la méthode utilisée en médecine, pour notre information à tous et pour la mienne en particulier. Et de me dire s’il est possible de « conscientiser » quelqu’un (qui a l’habitude de boire) au calcul de sa consommation en grammes d’alcool/jour. Je précise que ma question n’a rien de personnel ; elle découle de ce désir étiquetage des boissons alcoolisées dont font état des hommes politiques, en Belgique notamment, et dont j’ose remettre, à titre personnel, l’efficacité en cause. Merci déjà, --Égoïté (d) 3 juin 2011 à 23:46 (CEST)Répondre
La « formule » qu'on utilise, c'est consommation quotidienne = volume de boisson (en décilitres) x degré alcoolique de la boisson x 0,8 ;
Par exemple, pour quelqu'un qui boirait une bouteille de rosé à 12° et une pinte de bière à 5° par jour, on calculerait 7,5 x 12° x 0,8 + 5 x 5° x 0,8 = 92 g d'alcool. (en réalité, les quantités réelles sont presque toujours nettement supérieures à celles que le patient avoue à l'examinateur et à lui-même, mais on a un ordre de grandeur).
De l'idée que je m'en fais (expérience très approximative non validée par des études cliniques), en dessous de 60 g/j (chez l'homme), les complications hépatiques (cirrhose) sont assez peu probables, et au dessus de 100 g/j, elles deviennent assez possibles (ce ne sont que des ordres de grandeur, il y a une grande variabilité d'un individu à l'autre). Il faut évidemment prendre en compte la durée de l'alcoolisation chronique (<10 ans ou >20 ans je dirais) et les éventuelles comorbidités (hépatites virales, médicaments hépatotoxiques...)
Pour la corrélation entre la consommation alcoolique et les effets neurologiques (polyneuropathie, encéphalopathie de Gayet-Wernicke, delirium tremens), c'est plus compliqué, et ça dépend notamment de l'état nutritionnel du patient.
Enfin, les psychiatres utilisent moins la consommation quantitative que des critères qualitatifs (tels que ceux du DSM-IV) et des scores (voir par ex. le poly national d'hépato-gastro http://www.snfge.asso.fr/05-Interne-Chercheurs/0B-internes-etudiants/abrege/PDF/CDU_1_item_45.pdf) pour définir un usage abusif ou un syndrome de toxicomanie. S.M. | D.S.M. 4 juin 2011 à 02:54 (CEST)Répondre
Le verre standard est évidemment une unité à la grosse mode, mais elle permet d’aider les consommateurs peu portés sur la règle de trois à chiffrer leur consommation, de façon bien plus parlante qu’en grammes/jour — unité de toute façon impropre également, tant il faudrait prendre en compte le métabolisme, la masse musculaire, etc, de l’individu.
Dans un contexte d’épidémiologie où l’auto-évaluation des consommations, par questionnaire ou par une entrevue avec un soignant, est le plus souvent le seul moyen de mesure, c’est également souvent la seule unité utilisable, de toute façon. rv1729 4 juin 2011 à 13:24 (CEST)Répondre
PS : « utiliser un verre d’un certain type n’implique pas qu’on y serve ce pourquoi il est censé servir de contenant » : en général, on précise, 2 à 4 cl d’alcool fort, 10 à 15 cl de vin, 20 à 33 cl de bière... ce qui correspond à peu près au volume servi de façon standard au bistro. Le gars qui utilise une de:Maßkrug pour consommer son whisky sait qu’il triche en déclarant qu’il ne boit même pas un verre ! rv1729 4 juin 2011 à 14:01 (CEST)Répondre
CQui (d) Il me semble que le verre standard soit l'unité dans certain pays, comme l'Irlande, pour limiter la taille des boissons servies dans les debits de boisson, que l'on prenne une bierre, un verre de vin ou un alcool fort, la taille du verre servi est limité pour que la quantité d'alcool soit la meme. Maintenant, ne buvant (presque) plus d'alcool, je ne me suis pas encore renseigné. --9 juin 2011 à 15:52 (CEST)Répondre

Lancement d'une souscription

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Bonjour à tous ! C'est la première fois que je vous contacte, aussi, j'ai peur de mal faire !... Je voudrais savoir quelles sont les obligations légales (s'il y en a !) pour pouvoir lancer une souscription dont les fonds récoltés me permettraient de payer la fabrication d'un prototype pour pouvoir présenter la réalisation d'un sytème que j'ai breveté... En espèrant une réponse, je vous en remercie à l'avance et, dans ce cas, je prévois de vous contacter encore ensuite... Salutations

Bonsoir, en tout premier lieu il faut avoir une existence légale, je crois, le reste c'est la visibilité, ensuite ce n'est pas sur wikipédia que vous trouverez les souscripteurs.--Doalex (d) 3 juin 2011 à 22:53 (CEST)Répondre
L'article 'Financement', via sa version anglaise, mène à 'en:Crowd funding' dont l'équivalent français est 'Production communautaire'. -- Xofc [me contacter] 4 juin 2011 à 07:08 (CEST)Répondre

apprendre les signes et se qu'ils veulent dire (débutant extrème)

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dû @ la perte de langue ,, si vous pouviez m'aidez @ débuter,, se serait vivement apprécier Merci @ Vous André — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 96.22.243.89 (discuter), le 4 juin 2011 à 05:44 (CET)Répondre

  Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.
Sinon, le caractère typographique '@' appartient à la catégorie:Symbole typographique où l'on peut en trouver d'autres. Ou, peut-être, vous intéressez-vous aux émoticônes? -- Xofc [me contacter] 4 juin 2011 à 06:54 (CEST)Répondre
Perte de langage = apprendre le langage des signes. Je n’ai pas de réponse, mais un médecin pourra certainement vous aider. Morburre (d) 4 juin 2011 à 10:11 (CEST)Répondre
(conf d'éd) Vous cherchez peut-être des renseignements sur la langue des signes ? J'ai trouvé ça. le sourcier [on cause ?] 4 juin 2011 à 10:17 (CEST)Répondre
Oups!  . Voir aussi 'Langue des signes française' (LSF), 'Langue des signes québécoise' (LSQ) (,'Langue des signes américaine (ASL)). Elle s'apprend aussi dans les écoles (parfois en cours du soir) comme les langues étrangères. Voir, par exemple : ici sur http://surdite.org (c'est au Québec). -- Xofc [me contacter] 4 juin 2011 à 11:56 (CEST)Répondre
ƝEMOI – J’avais plutôt l’impression que la question évoquait le langage SMS, ainsi que peut-être les émoticônes, et particulièrement les usages typographiques particuliers induits. Remarquons qu’originellement, cela n’est pas dû « @ la perte de langue », mais plutôt à des contraintes sur le nombre de caractères d’un message, que nous n’avons pas ici sur l’Oracle. Ce 7 juin 2011 à 01:13 (CEST).

Origine d'une expression

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Bonjour . Je me suis posé un tas de question ces derniers temps et on m'a répondu dans L'Oracle avec des réponses qui m'ont bien aidée jusqu'à maintenant, mais là, je me demande si j'aurai une réponse, car l'expression que je connais, n'est semble-t'il, pas très connue selon moi (j'espère me tromper), donc voilà: cette expression signifie soit flemmard, soit imbécile ou idiot, je ne me rappelle plus très bien. D'où viens l'expression "espèce de peigne-cul"? Merci d'avance, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 4 juin 2011 à 09:38 (CEST)Répondre

D'ou ça vient je ne sais pas, mais voici le TFLI : [12] Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 10:01 (CEST)Répondre
 
le mien est bleu.
Il me semble que l'expression trouve ses origines dans les années 80, quand Pierre Bellemare a présenté dans sa télé-boutique cet objet très commun outre-Atlantique. À l'époque, une offre spéciale proposait d'acquérir un jeu de peigne-cul de différentes couleurs afin que chaque membre de la famille puisse avoir le sien (comme la brosse à dents, le peigne-cul est strictement personnel). S.M. | D.S.M. 4 juin 2011 à 10:49 (CEST)Répondre
Absolument pas d'accord avec toi. Dans le lien que j'ai donné Céline l'emploie déjà. Et ici en 1866. A proprement parler, le peigne-cul ne trouve d'autre occupation dans la vie que de peigner des poils de cul. Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 11:12 (CEST)Répondre
J'aime beaucoup ici la meilleure réponse elle est parfaite pour beaucoup d'entre nous (oui je sais, on avait dit pas les noms, donc pas de noms!)  .--Doalex (d) 4 juin 2011 à 12:35 (CEST)Répondre
Selon le dictionnaire historique de la langue française, cette expression date de 1790, mais d'où ? Je ne préfère pas le savoir. Elle a pour équivalent peigne-chose, qui désigne un individu méprisable ou grossier.--NEUROn (d) 4 juin 2011 à 14:22 (CEST)Répondre
Sans oublier La Guerre des boutons (publié en 1912) où l'on apprend que "les Velrans sont des peigne-cul". --Serged/ 4 juin 2011 à 15:13 (CEST)Répondre
N'empêche, n'empêche faut vraiment être maniaque pour se peigner les poils du cul. En plus il faut en avoir un maximum. Drôle d'expression ! Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 15:47 (CEST)Répondre
Ouais, justement, je subodore que l’idée est que c’est un boulot de fainéant, de bon à rien : y a pas de cheveux sur un cul... rien à peigner. rv1729 4 juin 2011 à 16:32 (CEST)Répondre
De jeunes peigne-culs nous montrent leur derrière / en nous chantant / les bourgeois c’est comm’les cochons. etc. Jacques Brel, 1962. Morburre (d) 4 juin 2011 à 18:04 (CEST)Répondre

Épilepsie chez le chien (pas d'avis médical)

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Bonjour,

Mon chien vient de faire une crise d'épilepsie. Atroce, il était couché par terre et a commencé à trembler et faire semblant de courir. Cela a duré moins d'une minute et il n'a pas l’air de réaliser ce qui s'était passé, je crois même qu'il ne s'en souvient pas. J'étais à ses côtés.Il a saigné de la babine et j’ai dû, avec un gant de toilette, palper la blessure en m'éclaboussant de son sang.

Il y a trente secondes, il aboyait comme un fou, sortait puis rentrait. Là, il se promène dehors (avec quelqu'un).

Voilà, j'ai vraiment paniqué et donc je veux savoir ce que j'aurais dû faire dans ces moments. Quels risques ? Quels facteurs ? Merci. -- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 17:57 (CEST)Répondre

Ben dès que tu vois les premiers prémices, tu vas vers lui et tu lui tiens la langue pour pas qu'il l'avale ! Fais attention si c'est un berger allemand ! Mais là bon remets toi, ne panique pas et emmène le dès que possible dans une clinique vetérinaire. Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 18:00 (CEST)Répondre
Pas de souci, c'est un dogue, un molosse. J'ai vraiment eu peur. J'ai oublié de dire qu'il avait bavé, une vraie mousse dans sa gueule. Je vais lui donner des pilules contre les crises pour chien en doublant la dose. Pour l'instant, il ne fait qu'aboyer. Quelle catégorie est-ce de crise d'épilepsie ?-- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 18:13 (CEST)Répondre
Mets lui un peu de crème fraiche avec du sucre dans ses croquettes le matin, ça lui adoucira le caractère (surtout si c'est un molosse !) Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 18:27 (CEST)Répondre
Merci   de m'avoir répondu. Je vais voir avec mon vétérinaire demain ou lundi. -- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 18:41 (CEST)Répondre
Je vais lui donner des pilules contre les crises pour chien en doublant la dose. Des médicaments qu'il prend déjà ? Non, on ne double pas les doses avant l'avis d'un spécialiste (si tu as voulu dire que tu voulais doubler les doses dès maintenant). Tu l'as peut-être déjà trouvé, mais l'ENVA dispose de ceci (site bien complet) : http://epilepsie.vet-alfort.fr/ (si jamais c'est bien une crise d'épilepsie, et non une crise convulsive isolée). .Anja. (d) 4 juin 2011 à 21:04 (CEST)Répondre
Il vient de recommencer !!! Je crois qu'il urinât. Je suis très très angoissé. Peut-il mourir ?-- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 22:02 (CEST)Répondre
Emmène le tout de suite chez un véto ! Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 22:05 (CEST)Répondre
Peux pas, peux pas, je ne peux pas bouger de chez moi (raison personnelle) ! Il fait des petites crises en série. Il aboie, aboie, aboie après longuement. Par contre, j'appelle mon vétérinaire pour savoir quel médicament lui donner (vétérinaire que je connais depuis longtemps). J'irai envoyer quelqu'un l'emmener chez le vétérinaire. Mais, est-ce dû à l'obésité ?-- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 22:11 (CEST)Répondre
Faut pas trop nourrir un chien et lui faire faire de l'exercice. Il va mieux ? Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 22:26 (CEST)Répondre
(conflit) Non, l'épilepsie c'est le cerveau. Tu fais bien d'appeler ton véto, pour la conduite à tenir. C'est quelque chose de très impressionnant, mais nécessite des investigations urgentes et une hospitalisation [13]. Bon courage, .Anja. (d) 4 juin 2011 à 22:33 (CEST)Répondre
Oui, c'est bien entendu le cerveau, mais Morphynos dit que son chien est obèse. Une bête faut pas la gaver, t'es de mon avis Anne ? Moi Morphynos, puisque tu es en Allemagne, il y en a des véto là-bas, emmène le vite chez le véto ! Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 22:37 (CEST)Répondre
Je ne suis pas en Allemagne, quelle idée ! Je suis dans un trou isolé et loin. J'ai fait ce que j'ai pu : éteint les lumières, fermé la télévision et donné un comprimé. Je n'ai pas changé d'eau, ni rajouté à manger. Cela fait plus de deux de mois, je crois, qu'il n'a pas fait de crise. -- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 22:43 (CEST)Répondre
Faudrait savoir ! T'as déménagé ? Tu m'as dit il y a 3 mois que tu étais en Allemagne Mike Coppolano (d) 4 juin 2011 à 22:53 (CEST)Répondre
H. S. : je voyage souvent en Allemagne pour le travail et le plaisir, mais je réside ailleurs. Mais je passe trois-quatre mois en Allemagne par an. Mais ce n'est pas ce qui intéresse. J'ai oublié de signaler quelque chose : mon chien est consanguin et dysplasique.-- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 4 juin 2011 à 23:02 (CEST)Répondre
Pour info, lis les romans de Daniel Pennac, le chien y fait aussi des crises d'épilepsie et il me semble que la description qu'il en donne est très réaliste. - Cymbella (répondre) - 4 juin 2011 à 23:09 (CEST)Répondre
On m'a donné du Vallium. Mais je veux pas lui faire subir des opérations, il en a déjà eu. Ce pauvre chien, je lui donne ses médicaments et m’occupe de lui jusqu'à la fin de ses jours. Ce serait pire s'il se faisait opérer encore une fois. Merci à vous tous.-- Mit freundlichen Grüßen, Morphypnos [Dieu mortellement ennuyeux...]. 5 juin 2011 à 08:37 (CEST)Répondre

Bonjour, le 21 juillet 1963, mon chien Tommy, un cokker a fait une crise d'épilepsie, rentrait et sortait, se cachait en dessous des meubles en bavant et en mordant dans le vide. Le vétérinaire est venu et l'a endormi définitivement. --Kkbs (d) 5 juin 2011 à 14:39 (CEST)Répondre

Bonjour également, moi c'était en juin 2003, mon chien bavait et marchait sans savoir où il allait, quand il n'était pas avachi par terre, on a fini par l'emmener chez le vétérinaire où il est resté dans un état que l'on pourrait qualifier de « légume » (ne bougeait même plus) jusqu'à son dernier souffle, 4 jours plus tard... On n'a jamais su pourquoi, toutefois l'on sait que la veille des symptômes il venait de se faire vacciner (évidemment le vétérinaire a dit que cela n'avait rien à voir - on ne saura jamais). Désolé mais tant qu'à faire si tu demandes des avis et expériences, voici celle-là... =/   --Floflo (d) 5 juin 2011 à 18:27 (CEST)Répondre

Série TV L'Ile au Trésor

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Bonsoir, Suite à une longue discussion à propos de l'origine de la chanson "Quinze marin" de Michel Tonerre, j'étais le seul à affirmer que cette chanson avait été écrite spécialement pour une série TV française (production ORTF) des années 70 inspirée du roman L'Ile au Trésor. Nous sommes donc venus sur votre site pour essayer de trouver réponse à nos doutes. Hélas pas de trace de cette série TV sur votre site. Cette série TV a-t'elle bien existé ? Et cette chanson a-t'elle été écrite pour la série ? La question n'est pas de grande importance, mais je vous saurais gré de lever le doute. Merci d'avance

Si vous lisez l’anglais, voyez en:Dead Man's Chest. En gros, cette chanson a été écrite par Robert Louis Stevenson pour son roman L’Île au trésor. En ce qui concerne la série tv, je suppose que vous avez trouvé cette page d’homonymie tout seul. rv1729 4 juin 2011 à 21:43 (CEST)Répondre
PS: Sur le site officiel de Michel Tonnerre, on apprend que sa version date de 1993 ([14]). Difficile qu’elle ait été utilisée pour une série des années 70 ! rv1729 4 juin 2011 à 21:52 (CEST)Répondre
Puisque cette série n'existe pas, est-il possible que vous pensiez aux 6 épisodes de Deux ans de vacances (1974) d'après le roman de Jules Verne ? Dans ce cas la musique serait d'Alain Le Meur. Mais je doute beaucoup de mon hypothèse, car les mélodies sont bien différentes. Piero (d) 4 juin 2011 à 23:26 (CEST)Répondre
Ou peut-être au Kyrie du Requiem de Ligeti, qui accompagne les apparition du monolithe dans 2001, l’Odyssée de l’espace ? rv1729 4 juin 2011 à 23:31 (CEST)Mais c’est vrai que ça ressemble pas des masses  Répondre
Pour la chanson je ne sais pas, pour la série elle a bien existé, j'en ai souvenir, c'était une adaptation française en noir et blanc du roman. Pas sûr à 100% que ce fut positivement une série, peut-être un téléfilm en deux ou trois parties, à la fin des années 1960 ou au début des années 1970. M'en vas aller à la pêche aux infos.
Finalement, ça semble une adaptation allemande et elle date de 1966 (apparemment diffusée en France en 1967). Ce qui m'a trompé est qu'on y voit des acteurs français, entre autres Jacques Dacqmine (voir sa bio). Assez bonne adaptation dans mon souvenir. -O.--M.--H.- 5 juin 2011 à 01:36 (CEST)Répondre

Statistiques sociologiques amoureuses

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Bonjour. À votre connaissance, existe-t-il des études portant sur la comparaison statistique d'hommes et de femmes amenés par les circonstances de la vie à choisir entre deux partenaires aimés ? Pour formuler autrement, a-t-on pu établir statistiquement que davantage d'hommes ou de femmes, vivant en couple hétérosexuel, se sont trouvés devant le dilemme du choix posé par un amour nouveau ?

Questions subsidiaires : Il me semble qu'au cinéma, la proportion des sujets traités pencherait fortement pour le groupe des femmes (plus de films proposent le thème du dilemme posé aux femmes). Me trompé-je ? Si oui (si je ne me trompe pas), pourquoi ? En est-il de même, selon vous, dans les autres arts ? Merci pour vos réponses, --Égoïté (d) 5 juin 2011 à 00:40 (CEST) P.S. Le bandeau « devoir » n’est pas applicable ici, je ne vais plus à l'école depuis un certain temps  Répondre

Et le bandeau concours, hein ?   Sinon, je n'ai pas de réponse à ta question, désolé. -O.--M.--H.- 5 juin 2011 à 01:08 (CEST)Répondre
Le bandeau concours n'était pas utile, non plus   C'est juste le résultat d'une réflexion perso après avoir visionné L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux. Merci Olivier, --Égoïté (d) 5 juin 2011 à 22:57 (CEST)Répondre
Bonjour, Égoïté, quelques réflexions et réponses personnelles
En première approche, il n'y a rien de très différent entre la nature d'un homme et celle d'une femme : tout ce que peut faire un home, une femme peut le faire autant, et tout ce que peut faire une femme, un homme peut aussi bien le faire (à part être enceinte) ; alors indépendamment du sexe, si quelqu'un se trouve face à un carrefour majeur entre deux êtres qu'il(elle) aime, le dilemme sera essentiellement le même, homme ou femme.
En deuxième approche, la Femme est plutôt axée psychologiquement sur le "être", et l'Homme sur le "faire" : de ce point de vue, un « dilemme alternatif » de partenaire, pour un Homme revient souvent à se "faire" une conquête potentielle, ce qui est relativement facile et sans avenir ; pour une Femme la question est plutôt d'"être" aimée par un autre, ce qui est comparativement plus complexe et engage l'avenir - donc, bêtement, prend du temps. De ce point de vue, les statistiques devraient être qu'il est beaucoup plus facile de trouver un homme infidèle qu'une femme infidèle, pas forcément parce que la Femme serait intrinsèquement de nature plus fidèle, mais parce que la cause de l'infidélité du mâle est très épidermique, et engage beaucoup moins de conséquences à long terme que celle de la femme - laquelle du coup hésite plus.
En troisième approche, ce qui pousse « les hommes » ou « les femmes » à envisager favorablement ou non un amour nouveau est de toute manière, pour une très large part, le résultat d'une construction sociale de ce que doit être l'homme ou la femme, et de ce que doit être l'avenir d'un couple établi. Là, il y a clairement une différence entre des statistiques sociologiques et ce qui fait l'intérêt d'un sujet. Si la formation d'un couple alternatif est clairement "no future" pour un protagoniste, ce scénario sera statistiquement défavorisé, mais au contraire vendeur pour les vendeurs de drames.
Dans une société (genre chinoise transitionnel) où les femmes ne sortent guère et où les mâles peuvent avoir des aventures « sans conséquences », il y aura évidemment beaucoup plus d'occasions de choix côté mâle, et un choix éventuel sera beaucoup plus dramatique côté femelle, et donc le traitement du cinéma privilégiera probablement l'aspect dramatique, De ce point de vue, la prééminence cinématographique (éventuelle) d'un choix féminin reflète surtout l'intérêt narratif, pas nécessairement la réalité statistique.
Cordialement, et bonnes méditations, Michelet-密是力 (d) 6 juin 2011 à 00:44 (CEST)Répondre
"En première approche", homme et femme ont une différence fondamentale, qui se décline sur de nombreux aspects, dont un taux de testostérone bien plus fort pour les premiers que pour les seconds (voir l'article pour les implications amoureuses) et des conséquences de l'amour bien plus fortes pour les femmes que pour les hommes (la grossesse rend plus dépendant, plus vulnérable et moins mobile).
Et pourquoi "choisir" ? Le dilemme ne nait que de l'incompatibilité, qui se décline en un ultimatum : "c'est moi ou c'est l'autre". Un tel ultimatum n'existe que dans des conditions très spécifique : monogamie stricte, relations qui ne restent pas cachées, capacité à jouer un rôle actif, normes sociales laissant un choix. Le Cid ne se pose aucune question : la norme sociale importe plus que l'amour qu'il voue à Chimène, à elle de suivre. Et elle suit. Le dilemme est tranché vite fait bien fait. Tout le drame ne nait que parce que la possibilité d'un choix est posé, ce qui n'a rien d'évident ; et le drame se dissout parce que les protagonistes suivent leur "devoir" malgré tout.
tu es une femme et il est possible que tu soit plus sensible aux drames féminins, sans qu'ils soient nécessairement plus représentés au cinéma. Ce serait alors un biais de cognitif. Mais je vois quant même deux bonnes raisons pour que le cinéma place plus de femmes dans ce genre de situation que les hommes : une, les femmes sont meilleurs public des drames sentimentaux que les hommes et s'identifieront plus facilement à une femme dans cette situation qu'à un homme, et deux le dilemme pose la question du choix et du rôle actif ou passif dans le pilotage de la relation, question qui ne va pas de soi de par l'existence de cette conception (vraie ou fausse, peu importe) où la femme est un enjeu entre mâles qui se battront entre eux -- et non "contre l'ange", c'est à dire sur le terrain psychologique dans l'esprit de la femme -- pour emporter la décision ; alors qu'on supposera que l'homme fera facilement son choix (y inclus l'absence de choix). gem (d) 6 juin 2011 à 11:17 (CEST)Répondre
Merci pour vos réponses. J'y réfléchis... Existe-t-il des statistiques sur les causes de divorce dans les pays occidentaux qui pourraient donner des infos dans le cadre de ma première question ? --Égoïté (d) 6 juin 2011 à 13:45 (CEST)Répondre
Réflexion faite...je me demande si vraiment il faut être femme pour se poser ce genre de questions - statistiques. Vu vos réponses, je dois être d’un genre à part, ni femme ni homme puisqu’apparemment, il n’y a pas ce type de statistique. Cela me convient parfaitement, merci.  
Quant à la première approche, et en dehors du fait de la grossesse et de l’enfantement qui est encore du domaine réservé au sexe féminin (car est-on femme quand, encore enfant, on porte un bébé ?), je n’ai a priori, et perso, pas de classification des sexes en ce qui concerne la douleur morale et mentale - la douleur de la perte d’un être cher me semble être un commun dénominateur à l’espèce humaine, tous sexes et toutes cultures confondues, par exemple. Donc d’accord avec ta première approche, Michelet. En ce qui concerne la seconde, « pour une Femme la question est plutôt d'"être" aimée par un autre», je biaise : il me semble qu’effectivement le terme « aimé » est central mais je ne suis vraiment pas certaine du tout que le désir - ou le besoin - d’être aimé soit particulier à la femme ! J’aurais plutôt tendance à exprimer un match nul sur ce coup là entre sexes. (Et cette façon de considérer les choses me semble expliquer pas mal de comportements pour chacun des sexes). Quant aux obligations sociales - et j’ajoute religieuses ! - , il est évident et clair qu’elles influencent une majorité d’entre nous. Quant à aux relations épidermiques, franchement, il ne faudrait pas que j’évoque certaines confidences féminimes car cela risquerait de perturber ton raisonnement - et ce ne pourrait être sourcé  
Te réponse est bien différente, Gem. J’y lis un raisonnement basé sur le scientifique (testostérone) et le sociologiquement traditionnel en même temps (la grossesse rend plus dépendant, plus vulnérable et moins mobile - ce qui est vrai... pendant une relativement courte période de la vie !) Mais tu as raison,àmha, en disant « ultimatum : "c'est moi ou c'est l'autre" » : c’est le fondement même de l’acte de choix même en dehors des conditions que tu cites. Quant à la norme sociale, même si elle est toujours prégnante, dans d’autres valeurs que celle du XVIIe s.  , donc oui. Sauf que... « l’émancipation » de la femme me semble (même si elle n’est pas aboutie sur le plan du travail par ex.) avoir modifier la donne, d’autant qu’on peut y ajouter l’évolution de la société due à internet... J’ai l’impression qu’on retourne en arrière, d’une certaine façon un retour aux valeurs primitives de la gauche où la femme pourrait vraiment avoir sa place...
Tout ceci sortant des réponses encyclopédiques dues à l’Oracle, je vous saurais infiniment gré de continuer, si vous le désirez - vous et ceux qui me lisent ici - cette discussion sur ma page de discussion car, profondément, ce sujet m’intéresse et je serais ravie d’en prolonger l’examen. Très amclt, --Égoïté (d) 7 juin 2011 à 00:19 (CEST)Répondre
Je ne connais pas d’étude portant spécifiquement sur la question qui t’intéresse. Par contre, depuis que des études sur la sexualité sont menées, elles font toutes apparaître le fait suivant : quelque soit le niveau moyen, les hommes indiquent avoir eu beaucoup plus de partenaires sexuels que les femmes -souvent par une différence importante. Il est évident que ce résultat est impossible : si l'on met de côté les hommes pratiquant l’homosexualité, qui sont une trop faible minorité pour expliquer une telle différence, pour qu'un homme ait un partenaire sexuel, il faut qu'une femme ait un partenaire sexuel. Autrement dit, les femmes ont, selon toute vraisemblance, eu autant de partenaires sexuels que les hommes. Pourquoi ces réponses systématiquement biaisées ? Probablement parce que les hommes surestiment le nombre de partenaires, et les femmes le sousestiment. Les femmes ne comptent comme partenaires que les hommes avec lesquels elles ont eu des relations complètes ou qui leur ont semblé vraiment importants. Ce qui renvoie à une représentation de la sexualité où ce qui compte avant tout est la nature des sentiments qui unissent les partenaires dans l’acte sexuel. Les femmes minorent également parce que, socialement, avoir de nombreux partenaires sexuels fait d’elles des femmes aux moeurs légères, à la morale incertaine. Les hommes, au contraire, se vantent de leurs "exploits sexuels" (je ne reviens pas sur les raisons de cette différence). Cela me conduit à la réponse à ta question : quelque soit la manière dont les uns et les autres vivent leur dilemme moral, il faut un homme pour qu’une femme ait un dilemme, et il faut une femme pour qu’un homme ait un dilemme. Les femmes qui trompent leur conjoint, et le quittent, sont donc aussi nombreuses que les hommes qui trompent leur conjointe. Que les hommes construisent leur sexualité sur une dissociation beaucoup plus grande entre l’acte purement sexuel et la relation sentimentale qui peut accompagner cet acte (ce qui est largement établi) leur rend probablement le fait de tromper leur conjoint beaucoup plus facile qu’aux femmes, pour qui la trahison sentimentale est toujours plus prégnante dans tout acte sexuel "illégitime". Mais, au final, cela ne fait aucune différence en pratique puisqu’il faut bien une femme pour qu’un homme trompe sa propre femme. (Ceci dit, je te conseille de lire le livre de Michel Bozon, Sociologie de la sexualité). gede (d) 7 juin 2011 à 00:56 (CEST)Répondre
Merci pour le conseil, je vais essayer de trouver le livre. Bonne journée, --Égoïté (d) 8 juin 2011 à 08:51 (CEST)Répondre
Pour ma part, je pense tout d'abord qu'il n'existe pas de statistiques à propos de ce dont tu parlais dans la question (j'ai en plus dû m'y prendre à plusieurs fois pour la comprendre  ). En plus, une telle étude serait certainement extra-compliquée à élaborer je pense  .
J'suis pressée, donc, juste quelques remarques à la dernière intervention de Gede qui me paraît assez pertinente (et je m'excuse de reprendre possiblement des choses ayant déjà été dites, et de dériver de la question d'origine d'Egoïté) :
• « (…) Les femmes ne comptent comme partenaires que les hommes avec lesquels elles ont eu des relations complètes ou qui leur ont semblé vraiment importants. » Ça fait tiiiilt dans ma tête, j'ai retrouvé ça : « Sur le nombre de partenaires que les femmes peuvent avoir au cours de leur vie l'enquête ACSF donne le chiffre de 3,3 contre 11 pour les hommes. Mais les auteurs signalent qu'ils ont plafonné à 200 [sic   ? en fait, il s'agit d'un rééquilibrage, entre les hommes ayant fait appel à des prostituées, alors que les prostituées (s'il y en a qui ont été interrogées) n'auraient pas déclaré leur "profession" et fait état d'un nombre plus faible de partenaires qu'en vrai] le nombre de partenaires déclarés par les personnes interrogées. [...] De fait, les femmes comptent "ceux qui ont compté" et ont tendance à oublier ceux qui n'ont pas eu beaucoup d'importance, même lorsqu'il s'agissait nettement plus qu'une aventure d'une nuit [...] » (mag. Sciences Humaines, HS n°4, p.76, Janine Mossuz-Lavau, 2005)
• « (…) parce que les hommes surestiment, et les femmes sousestiment » (c'est d'ailleurs écrit dans ces termes exacts dans le magazine que j'ai cité ci-dessus : trop fort   !).
Pour ma part, je pense que c'est d'abord l'héritage social et moral. Pendant plusieurs siècles, on a appris aux femmes à se soumettre aux hommes (d'abord dans sa famille d'origine au père, puis au mari par le mariage, et si elle devient veuve, au fils aîné ou au beau-frère...). Toute sa vie, la femme était sous la tutelle de l'homme. Elle était en gros considérée comme une "mineure" à vie. Dans les familles nobles, c'était à l'homme le privilège de choisir son épouse (dont on exigeait la virginité, alors que lui il pouvait courir tous les jupons qu'il voulait tant que ça ne faisait pas de scandale). Tout ceci dans le cadre d'une monogamie stricte, du moins côté femme, ou en apparence côté homme (bon, c'est romancé, mais Une vie de Maupassant ou certains romans de Zola peuvent illustrer cet exemple). D'ailleurs, l'adultère féminin était davantage condamné que l'adultère masculin.
L'homme aux multiples conquêtes pouvait être valorisé (gage de virilité par exemple). Don Juan, séducteur, au pire, "cavaleur", les adjectifs sont pas trop péjoratifs, pour les femmes, on parlera plutôt de dévergondée, coureuse, catin (voire dans certains cas de trainée, quand ce ne sera pas de salope, si on veut l'insulter - même en dehors de tout aspect sexuel), et du côté religieux, ce sera une coupable ("pécheresse", "tentatrice").
La femme était la première qui pouvait subir les conséquences d'une aventure, bien sûr. Une grossesse sans père, hors "des liens sacrés du mariage", c'était la honte quasi-suprême (pour la fille) et le déshonneur (pour la famille).
Pendant (encore) longtemps, on a considéré (à travers les religions par exemple) que la femme avait pour rôle premier d'être une bonne épouse, féconde, et une bonne mère. Une femme était bien considérée parc qu'elle accomplissait bien son "devoir". Dans la religion chrétienne, la sexualité est un péché, et la femme est la "tentatrice" qui mène l'homme à sa perte. Sauf si c'est pour former une famille (avec des enfants !). Voir également les opinions d'un certain Émile Zola, grand réprobateur de la sexualité féminine et pour qui la finalité première de la femme est en gros(se ?), d'enfanter, jamais d'avoir du plaisir (pour lui, plaisir = débauche, cf. Nana par ex.)... Bref, la sexualité féminine a longtemps été niée ^^.
L'émancipation sociale des femmes est d'abord toute récente (globalement l'entre-deux guerres, l'après-guerre, les années 60-70), et l'émancipation morale l'est encore plus (notamment avec l'affirmation du droit à la contraception, à l'avortement, mais les mœurs ont encore mis plus de temps à évoluer dans certains milieux).
En France, la femme a acquis le droit de vote en 1945 (en France), le droit d'ouvrir un compte bancaire depuis 1943 (même si l'accord de principe du mari a encore été demandé longtemps par les banques), le droit de travailler sans l'accord de son époux depuis 1965, et l'égalité au sein du couple depuis les années 70 (comme la notion de chef de famille...). Bref, d'une part, la tutelle sociale de l'homme n'est pas si lointaine, et l'acceptation de la parité, moderne. On ne leur épargne la procréation obligatoire que depuis 1967 (loi Neuwirth), et la possibilité d'avorter depuis 1974 (France aussi, désolée pour le franco-centrage !). Ce n'est que depuis une trentaine d'années (sinon, qu'on me corrige!) qu'une homme et une femme peuvent vivre ensemble sans être mariés, et sans que ce soit moralement réprouvé (mes grands parents se sont mariés à leur majorité, et il aurait été impensable de ne pas passer à l'église et chez le maire, et mes parents ne se sont mariés qu'après une vingtaine d'années communes ; quelle différence en l'espace d'une seule génération !)... Bien qu'on constate globalement une certaine prégnance morale de cet héritage, j'ai tendance à penser que petit à petit, en avoir connaissance permet dans une certaine mesure de s'en affranchir (même si pas forcément pour faire autrement). Punaise, tout ça pour dire "ça fait peu de temps que les femmes sont globalement libres de faire ce qu'elle veulent mais sont encore assez conditionnées" ou comment faire simple quand on peut faire compliqué...
.Anja. (d) 11 juin 2011 à 23:18 (CEST) PS: il y a peut-être des répétitions dans mon texte, désolée !Répondre

question sur la gravité et les champs électromagnétiques

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Bonjour,

Je voudrais savoir s'il est possible que l'on réponde à une de mes questions qui est: qu'est ce qui pourrait modifier le champs magnétique voir la gravité sur Terre dans un endroit précis alors qu'à 2km la loi de la gravité est "normale" Je fais référence à cette célébre route en pente en France ou les voitures, au lieu de descendre la pente lorsqu'on enlève le frein à main, monte la côte ...

Merci d'avance pour votre réponse

… oula, pour la route, pour les routes devrait-on dire, c'est une illusion d'optique. La pente de la deuxième donne l'impression que la première monte, alors qu'elle a aussi un dénivelé très légèrement descendant. Pas de gravité et de champs électromagnétiques inhabituels là dedans. — Hautbois [canqueter] 5 juin 2011 à 06:07 (CEST)Répondre
… une explication à Curiosité de Lauriole, Cassagnoles (Hérault), ou encore plus complète . — Hautbois [canqueter] 5 juin 2011 à 06:37 (CEST)Répondre
Pour le champ magnétique : un aimant. thilp !? 5 juin 2011 à 18:45 (CEST)Répondre
Oui, mais le champ magnétique n’a rien à voir avec les routes en pente. rv1729 5 juin 2011 à 21:13 (CEST)Répondre
Une anomalie de la gravitation non-plus: cela existe tout en étant imperceptible sans outillage exemple du Canada. ViZiT (d) 5 juin 2011 à 21:52 (CEST)Répondre
Une « anomalie » de la gravitation, la Lune en crée une en permanence...
Il faut bien se dire une chose : ce que nous percevons comme horizontal, c’est ce qui est perpendiculaire au lignes de champ gravitationnel. Pour que ça pose un gros problème, il faudrait que la direction du champ de gravitation varie beaucoup à l’échelle où nous observons, disons de plusieurs degrés en quelques centaines de mètres... et pour obtenir ça, il faudrait faire intervenir des objets extrêmement denses. rv1729 5 juin 2011 à 22:26 (CEST)Répondre
Et pour les Anomalie magnétique, on a des exemple comme l'anomalie magnétique de Koursk gem (d) 6 juin 2011 à 11:23 (CEST)Répondre

Contrat « facturation à l'atterrissage avion »

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Bonjour,

Dans sa lettre aux actionnaires de mars 2011, en page 7, l'entreprise Michelin cite un contrat de type « facturation à l'atterrissage avion » ; l'une des Pythies saurait-elle en quoi ce contrat consiste ?

Merci de vos réponses. –

Doc103 (d) 5 juin 2011 à 12:48 (CEST)Répondre

À mon avis ça veut dire qu'il a été convenu que Michelin facture ses prestations (la fourniture de pneus d'avions) à Air France-KLM uniquement en fonction du nombre d'atterrissages et pas en fonction du nombre effectif de pneus livrés. Rāvən (d) 5 juin 2011 à 13:50 (CEST)Répondre
Je pense aussi à quelque chose comme ça, ou peut-être : une somme x pour chaque pneu, et une somme y pour chaque atterrissage.
Le contrat inclut sans doute des clauses sur la maintenance, les critères de changement de pneus... rv1729 5 juin 2011 à 13:59 (CEST)Répondre
Non, l'illustre corbeau a raison.
L'usure des pneus d'avion dépend essentiellement du nombre d'atterrissages qu'ils ont supporté (en termes de kilomètres leur résistance est particulièrement ridicule) ; il faut les changer après un certain nombre d'atterrissages, et de temps en temps il y en a un qui éclate (et doit évidemment être changé tout de suite). De ce fait, le poste "pneus" du compte d'exploitation comprend une part relativement fixe de remplacement systématique, mais aussi une part fortement aléatoire, dépendant de la résistance des pneus.
Un contrat facturant non pas les pneus mais le nombre d'atterrissage permet à la compagnie aérienne de transférer le risque chez le fabriquant de pneus, qui du coup supporte tout seul le risque d'un éclatement. Inversement, un contrat où le fabricant de pneus peut facturer au nombre d'atterrissages (le remplacement des pneus usés étant financièrement "transparent" pour la compagnie aérienne) lui permet de bénéficier de la meilleure qualité de ses pneus : moins ils éclatent, plus ils sont robustes, et plus il se fait d'argent. Ce type de contrat est donc une prime à la qualité.
Cordialement, Biem (d) 6 juin 2011 à 09:28 (CEST)Répondre
Merci d'avoir satisfait ma curiosité. Cordialement -- Doc103 (d) 6 juin 2011 à 12:36 (CEST)Répondre

si j'aurais

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Bonjour cher oracle, je voudrai savoir, pourquoi les « si j'aurais » sont employé couramment au Québec (je sais pas si il y a aussi ce problème en Europe), au lieu de « si j'avais ». Est-ce parce que au temps du français moyen, c'étais en vogue? Merci et bonne journée ZXZ♪♫ 5 juin 2011 à 15:41 (CEST)Répondre

Ils sont aussi répandus en Europe (en tout cas en France), malheureusement... Et il n’y a pas à chercher d’explication particulière à mon avis : c’est juste une faute de grammaire courante, malgré sa laideur. Aadri (d) 5 juin 2011 à 18:06 (CEST)Répondre
Je confirme, cela se dit aussi en Europe ; et je rajouterais même: au sein de mes proches (si ce n'est pas malheureux  ) Mais bon   --Floflo (d) 5 juin 2011 à 18:30 (CEST)Répondre
« Aurais » est du conditionnel : il y a sûrement un mélange, au moment de la formulation des idées, entre le message qu’on veut faire passer (fondamentalement, une situation conditionnelle : « si j’avais eu des palmes, j’aurais pu gagner » / « j’aurais eu des palmes, j’aurais pu gagner ») et la structure grammaticale demandée par la préposition si (avec imparfait). On observe souvent des erreurs dues à l’application exagérée d’une « règle » logique ou mnémotechnique, en l’occurrence situation conditionnelle   phrase au conditionnel. C’est peut-être ça. thilp !? 5 juin 2011 à 18:34 (CEST)Répondre
… « Si j'aurais su, j'aurais po v'nu » — petit Gibus [canqueter] 5 juin 2011 à 19:52 (CEST)Répondre
C'est évident que le français n'admet pas une subordonnée au condtionnel quand l'action de la principale dépend de cette condition. Mais il y a une explication à cette tendance populaire. Au XIXe siècle, on a pris l'habitude d'employer le conditionnel pour remplacer, dans certaines tournures, le subjonctif (considéré à tort comme lourd et laid[réf. nécessaire]) : « j'avoue que je n'ai pas fait tout le travail que j'aurais dû faire » [ou : que j'eusse dû faire]. En français classique, la conditionnelle est logiquement au subjonctif puisqu'il s'agit d'un fait supposé (« si le nez de Cléopâtre eût été plus court, etc. »).
P.-S. : il y a un exemple, où le conditionnel remplace le subjonctif, plus convaincant du fait de sa construction, c'est l'interrogation indirecte : « Je me demande si je l'aurais su, si tu ne me l'avais pas dit ». Il induit plus certainement en erreur. Mais, dans ce cas, le « si » n'introduit plus une condition. ---Mistig (d) 5 juin 2011 à 23:35 (CEST)Répondre
A noter que ce type d'erreur se rencontre aussi en anglais. Après avoir poser une question (sur le Reference Desk, linguistic) pour avoir des infos parmi des phrases du genre.

1) If I was rich I would buy a car. 2) If I were rich ... (la 2 est la meilleure mais la 1 est fréquente). J'ai appris qu'eux aussi, hélas, sont confrontés à des "If I would be rich...". Joël Deshaies.--80.236.117.41 (d) 6 juin 2011 à 12:10 (CEST)Répondre

En effet. L'anglais (surtout britannique) a pratiquement abandonné un subjonctif qui n'était plus que rarement utilisé, alors qu'en français il fait partie du génie de la langue. --Mistig (d) 6 juin 2011 à 14:04 (CEST)Répondre
@Mistig : la grammaire française veut qu'on emploie l'indicatif (et non le subjonctif) après la conjonction si et ce depuis le XIIe siècle, d'après Grevisse (§ 1155, H1). À cette règle, il y a une seule exception : « Lorsqu'il s'agit du passé, la langue littéraire admet le plus-que-parfait du subjonctif, soit à la fois après si et pour le verbe principal, soit pour l'un des deux seulement. (§ 1155, b, 3) » C'est de cette exception que relève la citation de Pascal. Ton premier exemple (« le travail que j'aurais dû faire ») relève d'un autre procédé. Il s'agit dans cette phrase d'un conditionnel passé, qui peut toujours dans la langue soignée être remplacé par un subjonctif plus-que-parfait (on appelle parfois ce procédé conditionnel passé deuxième forme). Cependant, il y a un fond de vérité dans ce que tu écris : Grevisse signale que jusqu'au XVIe siècle, on pouvait employer l'imparfait du subjonctif à la fois dans les propositions conditionnelles introduites par si et dans les principales (mais on utilisait aussi l'indicatif, comme aujourd'hui) : Si je trouvasse / Ung sergent, je le fisse prendre ! (La Farce de Maître Pathelin). Rāvən (d) 6 juin 2011 à 19:37 (CEST)Répondre
Je n'avais à parler que du sujet abordé, et non de faire de la grammaire. --Mistig (d) 6 juin 2011 à 20:45 (CEST)Répondre

Test de l’« étanchéité électromagnétique » du four à micro-ondes avec un téléphone portable

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Bonjour chères Pythies,

J’ai découvert aujourd’hui ce qui m’est d’abord apparu comme une grosse légende urbaine : pour vérifier l’efficacité d’un four à micro-ondes à arrêter les ondes qu’il émet en fonctionnement, il suffirait d’appeler un téléphone portable placé dans son enceinte fermée ; s’il sonne, c’est que les ondes électromagnétiques arrivent jusqu’à lui, et donc traversent le blindage électromagnétique du four, ce qui impliquerait réciproquement des fuites lorsque le four à micro-ondes fonctionne.

J’ai d’abord pensé que c’était ridicule car les ondes utilisées pour la téléphonie mobile ont une fréquence assez différente de celle des fours : respectivement 800 MHz et (d’après WP) 2450 MHz ; dans mon idée, il était tout à fait possible qu’un blindage, grâce à sa composition, arrête les ondes dont la fréquence est comprise « autour » de 2450 MHz seulement.

Cependant, je lis dans l’article Blindage électromagnétique que de telles protections fonctionnent en fait grâce à des trous et qu’il suffit, à moins d’utiliser des ondes radio ou des rayons gamma, que ces trous soient significativement plus petits que la longueur d’onde de l’onde à intercepter (donc, pour arrêter 2450 MHz, environ deux fois plus petits que 12,24 cm). Soit une onde de fréquence telle que cette onde n’est pas arrêtée par un blindage donné (trous du blindage trop larges) ; toute onde de fréquence plus élevée (longueur d’onde plus faible) ne doit donc pas être arrêtée par le même blindage. En revenant à notre expérience avec le téléphone portable, cela implique que, si les ondes du portable traversent le blindage, les ondes du four à micro-ondes, de fréquence plus élevée, le traversent aussi !

Il y a certainement une erreur dans ce raisonnement, car je ne peux concevoir que les fabricants de fours à micro-ondes se fatiguent (et surtout perdent de l’argent) à ajouter à leurs produits un blindage inutile ; ni que les diverses institutions médicales, de normalisation, etc., aient laissé passer ce genre de choses. Par surcroît, j’ai bien évidemment mené l’expérience et mon téléphone sonne dans le four à micro-ondes ; cependant, même le nez collé à la vitre du four en fonctionnement (je sais que l’amplitude d’une onde diminue avec le carré de sa distance), je n’ai jamais ressenti le moindre effet.

C’est pourquoi je m’en remets à vous, Pythies, après avoir été déçu par les réponses données ailleurs sur le Web (la plus avancée que j’aie trouvée étant celle dont je vous ai fait part). Je suis persuadé que cette histoire n’est qu’une légende urbaine, ce dont j’ai horreur, mais ne pas trouver le « truc » (comme dans les tours de magie), ça m’énerve… Vous êtes mon dernier recours ! Cordialement, thilp !? 5 juin 2011 à 16:10 (CEST)Répondre

Tu vas t'exploser la tronche si tu tentes une expérience pareille, ton micro-ondes explosera. Mike Coppolano (d) 5 juin 2011 à 16:25 (CEST)Répondre
L’expérience se fait bien entendu micro-ondes éteint !   Je ne crois pas que le blindage ait besoin d’être alimenté. thilp !? 5 juin 2011 à 16:42 (CEST)Répondre
Je trouve que l'expérience est incomplète : tu as prouvé que les ondes entraient dans ton four à micro-ondes, mais pas qu'elles en sortaient... Or, c'est ça qui est important!   Il va te falloir trouver un four à micro-onde assez grand pour que tu puisses essayer de téléphoner de l'intérieur. Cela dit, maintenant, sans rire (mais sans être trop sûr non plus), le GSM fonctionne dans une vaste gamme de conditions de réception. Comme la puissance d'émission est limitée, cela se traduit par une très grande sensibilité à la réception. Voir, par exemple Base Transceiver Station#BTS normales, mauvais exemple, mais ça donne une idée : on a une émission qui se compte en dizaine de dBm et qu'on a une sensibilité de réception à, disons, -104 dBm. Ce qui fait un bilan de liaison du genre 130 décibels. 3 dB correspond à un doublement de puissance, 30 dB à une puissance multipliée/divisée par 1000. Si le blindage du four atténue les ondes dans un facteur 1000 (, 100 000, un million), il est possible que le GSM fonctionne toujours bien qu'il n'y ait plus que 1/0.01/0.001 watt d'énergie qui sorte d'un four de 1000 watts (et, tu n'as peut-être pas mis ton œil au bon endroit.  ;-). Ce serait peut-être (?) mieux que rien ne sorte, mais (à mon sens), le fait que le GSM sonne ne veut pas dire que le four est nocif. Il y a sûrement des normes à respecter et il faudrait fouiller d'avantage pour prouver que le test est un peu trop simpliste. -- Xofc [me contacter] 5 juin 2011 à 17:42 (CEST)Répondre
C’est une idée intéressante ! Merci !   thilp !? 5 juin 2011 à 18:38 (CEST)Répondre

Entretien de l'argenterie

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Bonjour,

J'ai peur de poser une question qui a déjà reçu une réponse ici (il y a longtemps). Je possède une pièce de 50 kopecks 1922, apparemment en argent (ou en un de ses alliages). Sa tranche était noircie quand je l'ai reçue, et sa face et son revers se sont rapidement ternis cette année. Je voulais savoir comment retirer la couche d'oxyde sans trop l'abîmer, n'ayant pas une grande variété de produits d'entretien à ma disposition (mais je peux avoir accès à des produits de laboratoire si je demande la permission à mes enseignants). J'aimerais aussi savoir comment prévenir cette oxydation : contact avec d'autres métaux, protection contre l'air dans un sachet plastique ? Cdlt, Tachymètre (d) 5 juin 2011 à 16:13 (CEST)Répondre

dans mon jeune temps on vendait un produit spécial pour l'argenterie (j'étais préposé chaque semaine à faire les cuivres et l'argenterie à la maison) les deux matières ternissent rapidement. Depuis un moment, on nous bassine à la TV avec un produit miracle, il suffit de tremper quelques secondes et l'argent redevient comme neuf, c'est tout au moins ce que l'on voit. Rien à faire pour éviter que cela noircisse. J'ai des couverts en argent, tant que je les utilisent il reste brillant, dans le tiroir ils noircissent. Je crois qu'un jour je vais convertir cet argent en monnaie, cela me sera plus utile --Kkbs (d) 6 juin 2011 à 08:25 (CEST)Répondre
J'ai le souvenir pas si lointain de ma mère passant régulièrement ses cuivres et son argenterie au Miror (celui-ci semble consacré à l'argenterie). Fu Manchu (d) 6 juin 2011 à 23:24 (CEST)Répondre
pour ma part j'utilise une pierre d'argile [15] avec une vieille brosse à dent... --absinthologue j'aime pas les majuscules 10 juin 2011 à 22:46 (CEST)Répondre

question sur le triangle des bermudes, disparitions inexpliquées ...et divers autres questions

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Bonjour,

Vous devez tous connaître l'histoire du triangle des Bermudes : boussoles qui se déregles... Mais à quoi cela est-il dû ? des problémes de champs magnétiques ? Mais pourquoi là exactement, qui est-ce qui a pu pertuber à ce point le champs magnétique ou je ne sais quoi ? il a du se produire un évenement étrange qui à déboussssoler tout cela ? des tas d'avions ont disparut sans laisser de traces ! est ce qu'il serait possible que cela soit dû à une sorte de porte qui mène à un autre monde ou alors l'intervention d'extraterrestres ou je ne sais quoi ?

Il y a eu aussi des disparitions d'avions étranges pendant la seconde guerre mondiale et je ne vois personnellement qu'une seule explication : les extra-terrestre. Il faut y croit, on ne peut pas etre seul dans l'univers ! même l'eglise a admise ce fait

il y a eu forcement des interventions d'eux, en plus il est possible qu'il y des fissures spatio-temporelles, des mondes parallèles ?? Tout ce que l'homme a imaginé dans des films ou livres c'est réalisé: voyage dans l'espace, découverte de planète habitable, rayon laser, reconnaissance rectinienne...

Alors pourquoi pas pour le reste ?

il parait aussi que si on tourne à une certaine vitesse autour de notre chère Terre, on peut "retourner dans le passé" en quelque sorte et voir l'époque de la préhistoire, est-il possible en utilisant cette manière d'aller dans le futur ?

merci d'avance

et la marmotte, elle l'emballe dans du papier d'alu...   Cobra Bubbles°°° Dire et médire 5 juin 2011 à 17:53 (CEST)Répondre
Je réponds juste aux 3e et 4e paragraphes : « pourquoi pas le reste ? » D’abord, tout ce que l’homme imagine ou a imaginé ne s’est évidemment pas réalisé. De plus, les faits que tu évoques (voyage dans l’espace, découverte de planète habitable, laser, reconnaissance rétinienne) n’ont jamais été interdits par les théories physiques des époques précédentes, ce qui explique qu’on en ait éventuellement parlé avant qu’elles ne soient construites. (Cela dit, je doute que beaucoup de gens aient précisément imaginé disposer dans le futur d’un faisceau de lumière monochromatique cohérente avant l’invention du laser ; de même que nous n’avons pas encore découvert de planète habitable à proprement parler : on sait juste qu’elles sont grosso-modo dans la bonne fourchette de températures.)
En revanche, le retour dans le passé ou le voyage dans le futur, par exemple, sont strictement interdits par le principe de causalité. Cela ne signifie pas que c’est absolument impossible, mais qu’il faudrait alors changer toutes les mathématiques et la physique. De même que le mouvement perpétuel, etc.
Pour le reste, fissures spatio-temporelles, mondes parallèles, etc. ne sont ni prédits de façon sûre ni strictement invalidés par la physique moderne. D’abord parce que la physique moderne est loin d’être « terminée » (il reste beaucoup à découvrir) et ensuite parce que les mondes parallèles peuvent très bien exister (ou ne pas exister, ou exister un peu, ou parfois, etc.) sans pour autant être détectables par nous : il est possible qu’il n’existe aucune liaison entre de tels univers et le nôtre !
En conclusion, il ne faut ni être trop catégorique (tout n’est pas encore expliqué par la physique), ni trop crédule (face aux phénomènes clairement niés par la science ou reliés à d’autres préoccupations – commerciales, politiques, etc.). thilp !? 5 juin 2011 à 18:03 (CEST)Répondre
P.-S. : « il parait aussi que si on tourne à une certaine vitesse autour de notre chère Terre, on peut "retourner dans le passé" en quelque sorte et voir l'époque de la préhistoire, est-il possible en utilisant cette manière d'aller dans le futur ? »   ça, tu peux l’oublier ! En plus d’entrer en conflit avec le principe de causalité, je ne vois pas ce que ça changerait de tourner autour de la Terre ou d’un pot de chambre. D’après la théorie de la relativité, tu ne peux pas aller plus vite que la lumière (tu ne peux déjà pas aller aussi vite qu’elle, puisque tu as une masse) et, même si tu atteignais cette vitesse, tu aurais juste l’impression que le temps s’est arrêté (si j’ai bien compris). Pas question d’observer ton arrière-arrière-grand-père à travers un télescope ! Les rayons lumineux qui ont « rebondi » sur lui ont continué leur course à la vitesse de la lumière : si tes yeux devaient les capter, cela signifierait :
  • soit qu’ils ont été ralentis dans l’air bien au-dessous de 300 000 km/s (impossible d’après Einstein) ;
  • soit que tu t’y trouvais déjà (impossible selon le principe de causalité et la thermodynamique).
thilp !? 5 juin 2011 à 18:15 (CEST)Répondre
Enfin, le voyage dans le futur est parfaitement possible, c’est juste qu’en général ça va pas très vite (60 secondes pour franchir une minute vers le futur) et surtout qu’on ne peut pas revenir à son point de départ. Si vous êtes plus pressé, adressez-vous aux jumeaux de Langevin. rv1729 5 juin 2011 à 21:09 (CEST)_Voir Métrique d'Alcubierre développée magistralement en hard SF par Stephen Baxter dans ce livre Ark, en français Arche Presses de la Cité 2010 qui est la suite de Déluge Presses de la Cité 2009.--Doalex (d) 6 juin 2011 à 10:57 (CEST)Répondre
Ah, et au fait, bien entendu, lisez d’abord Triangle des Bermudes. rv1729 5 juin 2011 à 21:20 (CEST)Répondre
Et puis, les extra-terrestres, ils sont forcément là, David Vincent, les a vus. --PatSchW (d) 5 juin 2011 à 23:10 (CEST)Répondre
 
Localisation du triangle des Bermudes.
Salut questionneuse ou questionneur. Régulièrement, nous avons sur l'Oracle des questions relatives à des mythes, des légendes, des rumeurs, des légendes urbaines, des croyances magiques ou religieuses, des pseudosciences et autres choses du même ordre. Les pythies sont, dans l'ensemble, plutôt rationalistes et si certaines ont des croyances, elles sont d'ordre raisonnable.
Comme dit dans l'article indiqué par rv, « Le journaliste du Los Angeles Times Howard Rosenberg publia en 1974 un article[1] estimant que plus de 190 navires et 80 avions y auraient disparu au cours des cent années précédentes et que les garde-côtes américains ont répondu à plus de 8 000 appels de détresse dans ce secteur ». La zone considérée (voir illustration ci-contre) se trouve dans un secteur très fréquenté par la navigation de plaisance, de commerce et de guerre où croisent chaque jour des milliers de bâtiments de toute taille, dans une région du monde où la navigation aérienne civile et militaire est assez dense et concerne des centaines d'aéronefs. Chaque année donc, ce sont des centaines de milliers, plus probablement des millions de croisières maritimes, des dizaines de milliers, plus probablement des centaines de milliers de passages aériens, qui se font dans cette zone. La raison fait dire que la disparition de 190 navires et 80 avions sur 100 ans est de l'ordre du raisonnable et même, d'un sens, de l'ordre du déraisonnable inverse : ça fait somme toute assez peu d'incidents pour une zone maritime et aérienne très fréquentée, d'une telle superficie et dans une région ou les ouragans très violents sont assez fréquents. Le principal mystère dans tout ça est cette invention du « mystère du triangle des Bermudes ».
Désolé, je crains que les Pythies, qui ne croient qu'à un autre genre de mystères soient dans l'incapacité de proposer une explication pour des fables qu'elles ne considèrent pas être des faits sinon des faits culturels, ceux d'un certain folklore où les disparitions inexpliquées ont leur place, mais sont de l'ordre du conte merveilleux. -O.--M.--H.- 6 juin 2011 à 04:37 (CEST)Répondre
"il parait aussi que si on tourne à une certaine vitesse autour de notre chère Terre" Ça, c'est dans Superman, la scène où il fait tourner la Terre en sens inverse. De plus si le voyage dans le temps est possible, comment se fait-il que personne ne soit jamais venu du futur (ou du passé) pour nous le prouver, hein, d'abord ? Fu Manchu (d) 6 juin 2011 à 23:38 (CEST)Répondre
Fu Manchu, cette question est attribuée à Stephen Hawking (Ici) comme une variante du paradoxe de Fermi. Bertrouf 10 juin 2011 à 17:26 (CEST)Répondre