« José María Ponce » : différence entre les versions
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'''José María Ponce y Almiñana''', né à [[Cadix]] ([[Espagne]]) le {{date|31 mars 1830}}, mort à [[Lima]] ([[Pérou]]) le {{date|14 juillet 1872}}, était un [[matador]] espagnol. |
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Selon la légende, José María Ponce se serait fait matador pour l'amour d’une sœur des célèbres [[banderillero]]s « El Lillo » et « El Cuco » ; ceux-ci auraient exigé, pour qu’ils consentent au mariage, qu’il se fasse matador. |
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Il commence sa carrière comme banderillero, dans toutes les places d’[[Andalousie]]. Il prend une première [[Alternative (corrida)|alternative]] à [[Madrid]] (Espagne) le {{date|3 août 1856}}, alternant avec « [[El Salamanquino (Julián Casas del Guijo)|El Salamanquino]] » dans la ''[[lidia]]'' de quatre [[Toro de lidia|taureaux]] de Don Justo Hernández, suivie de celle de quatre autres de Don Gaspar Muñoz, combattus par « [[Desperdicios]] » et « [[El Panadero]] ». Le {{date|2 octobre 1859}}, il prend une seconde alternative à [[Séville]] (Espagne), avec comme parrain « Desperdicios ». |
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Le {{date|2 juin 1872}}, dans les arènes de [[Lima]] ([[Pérou]]), il est gravement blessé par un [[Toro de lidia|taureau]] de la ''[[ganadería]]'' de Bujama. Il meurt à Lima le {{date-|14 juillet}} suivant<ref>Refilon, « L'Évolution de la tauromachie du Cid Campeador à Luis Miguel Dominguin », préface du Duc [[Antoine de Lévis-Mirepoix|de Lévis de Mirepoix]] de l'[[Académie française]], éditions Gründ, Paris, 1960, {{p.}}29,30</ref>. |
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Dernière version du 6 février 2020 à 19:47
José María Ponce y Almiñana, né à Cadix (Espagne) le , mort à Lima (Pérou) le , était un matador espagnol.
Présentation
[modifier | modifier le code]Selon la légende, José María Ponce se serait fait matador pour l'amour d’une sœur des célèbres banderilleros « El Lillo » et « El Cuco » ; ceux-ci auraient exigé, pour qu’ils consentent au mariage, qu’il se fasse matador.
Il commence sa carrière comme banderillero, dans toutes les places d’Andalousie. Il prend une première alternative à Madrid (Espagne) le , alternant avec « El Salamanquino » dans la lidia de quatre taureaux de Don Justo Hernández, suivie de celle de quatre autres de Don Gaspar Muñoz, combattus par « Desperdicios » et « El Panadero ». Le , il prend une seconde alternative à Séville (Espagne), avec comme parrain « Desperdicios ».
Le , dans les arènes de Lima (Pérou), il est gravement blessé par un taureau de la ganadería de Bujama. Il meurt à Lima le suivant[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Refilon, « L'Évolution de la tauromachie du Cid Campeador à Luis Miguel Dominguin », préface du Duc de Lévis de Mirepoix de l'Académie française, éditions Gründ, Paris, 1960, p. 29,30
