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'''''Causeur''''' est un [[magazine d'actualité]] en ligne créé le {{date|15|novembre|2007}} par la journaliste [[Élisabeth Lévy]], l'historien Gil Mihaely, les philosophes [[Alain Finkielkraut]], [[Paul Thibaud]] et [[Peter Sloterdijk]]. Il se présente comme un « salon de réflexions ». Le magazine est classé à [[Droite (politique)|droite]] et se revendique [[Pluralisme|pluraliste]], [[Anticonformisme|anticonformiste]] et [[réactionnaire]], et il est considéré d'[[extrême droite]] par plusieurs journalistes.


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Version du 30 décembre 2020 à 12:41

Causeur
Image illustrative de l’article Causeur

Pays France
Langue Français
Périodicité Mensuel
Format Magazine d'actualité
Prix au numéro 5,90 € papier (prix en kiosque)
4,49 € numérique
Fondateur Élisabeth Lévy
Date de fondation (il y a 16 ans ans)
Ville d’édition Paris

Propriétaire Actionnaire principal : Gérald Penciolelli[1]
+ Actionnaires divers
Directeur de publication Gil Mihaely
Rédacteur en chef Martin Pimentel (site Internet)
Comité éditorial Gil Mihaely, Élisabeth Lévy, Jeremy Stubbs, Martin Pimentel.
Site web causeur.fr

Causeur est un magazine d'actualité en ligne créé le par la journaliste Élisabeth Lévy, l'historien Gil Mihaely, les philosophes Alain Finkielkraut, Paul Thibaud et Peter Sloterdijk. Il se présente comme un « salon de réflexions ». Le magazine est classé à droite et se revendique pluraliste, anticonformiste et réactionnaire, et il est considéré d'extrême droite par plusieurs journalistes.

Une version mensuelle sur papier est publiée depuis juin 2008, et distribuée chez les marchands de journaux depuis le 4 avril 2013.

Le média

Ligne éditoriale

Le slogan « Surtout si vous n'êtes pas d'accord » résume le parti pris éditorial d'un certain pluralisme. Causeur publie des articles polémiques[2],[3] ou des tribunes qui vont à l'encontre de ce qu'il appelle le « prêt-à-penser médiatique », avec par exemple tout un dossier publié en 2015 jugé antiféministe par L'Express[2]. Il laisse s'exprimer un ensemble de sensibilités, du libéral Georges Kaplan[4] à l'écrivain communiste Jérôme Leroy[3]. Si Causeur se positionne comme politiquement inclassable, on peut identifier une dominante conservatrice, souverainiste et républicaine à travers les nombreuses critiques de la mondialisation, de la construction européenne et des réformes sociétales qui y sont publiées.

Pour Isabelle Hanne de Libération, Causeur est « marqué à droite » et « se revendique réac et anticonformiste »[1]. Pour Le Monde c'est « une revue vendue à 10 000 exemplaires volontiers réactionnaire et ouverte aux infréquentables jusque dans son capital »[3]. Politis qualifie Causeur de « réactionnaire »[5]. Le politologue Olivier Roy estime que les « réactionnaires » viennent de traditions très différentes, et que, s'ils se retrouvent chez Causeur, ils n'ont pas pour autant le même programme politique, par exemple en ce qui concerne le mariage homosexuel. Ils se rejoignent cependant tous « sur la critique du temps présent et de l’essence même de cette modernité contemporaine »[6]. En 2016, le magazine Causeur fait partie des études de cas réalisées par un collectif de chercheurs venus de l'ensemble de la francophonie dans l'ouvrage Le Discours « néo-réactionnaire ». Ils affirment notamment que Causeur s'est fait connaître « pour ses positions très affirmées sur la question de l'identité nationale, mais aussi pour son opposition au mariage homosexuel, ou son europhobie - et plus précisément sa germanophobie - déclarée »[7],[8]. En janvier 2018, Acrimed parle d'une « parole réactionnaire en roue libre », estimant que Causeur vient de publier de nombreuses tribunes hostiles à #MeToo. Par exemple, Élisabeth Lévy critique ce qu'elle appelle un « harcèlement féministe » et affirme que « les magistrates de #balancetonporc » ont « condamné la gent masculine »[9]. Acrimed présente Causeur comme faisant partie des « médias de la droite décomplexée »[10].

Le journal en ligne compte parmi ses sources de financement des personnalités aussi diverses que Charles Beigbeder ou Xavier Niel[1], et n'en revendique pas moins l'éclectisme de ses participants. Gérald Penciolelli, actionnaire de référence de Causeur avec 44 % des parts, est l'ancien repreneur de l'hebdomadaire d'extrême-droite Minute[3] et ancien membre de la direction d’Ordre Nouveau et du Parti des Forces Nouvelles[11]. D'après Le Monde, Gérald Penciolelli a été présenté à Causeur par deux actionnaires fondateurs et collaborateurs du journal : « Basile de Koch, l'ex-plume de Charles Pasqua, marié à Frigide Barjot, et Marc Cohen, l'ancien communiste de L'Idiot international »[3]. La femme d'affaires Anne Meaux, également ancienne membre dirigeante du Parti des Forces Nouvelles, compte parmi les actionnaires[11]. Le journaliste René Monzat, soutient que Causeur, malgré la présence de personnalités d’extrême droite parmi ses actionnaires et rédacteurs, n'est pas un nouveau Minute [11].

Les personnes participant à la rédaction de Causeur s'opposent parfois sur un même sujet, tel que l'islam en France[12],[13],[14]. Guillaume Erner et Élisabeth Lévy ont également croisé le fer sur le multiculturalisme.

Au sein de la rédaction, la gauche est notamment représentée par Jérôme Leroy, communiste, qui y intervient comme critique littéraire[15],[16]. [réf. nécessaire]

Classement à l'extrême droite controversé

Fin 2009, l'association antiraciste MRAP inclue Causeur dans sa liste noire des sites d'extrême droite en indiquant que le contenu du site n'appelait pas d'observations[17],[18]. Arrêt sur images s’interroge sur ce classement qu'il qualifie de «curieux»[18]. Pour Hugues Serraf pour le site Rue89 Causeur est parfois « un peu réac » mais n'est pas « extrémiste de droite »[19] ce qui contesté par Guillaume Weill-Raynal dans une réponse sur le même site, déclarant « Le Mrap aurait donc pu avoir de très bonnes raisons de souligner que Causeur.fr n’est pas un site toujours respectable. »[20]

En septembre 2012, L'Obs cite Élisabeth Lévy et Causeur, dans un dossier sur les « nouveaux fachos et leurs amis » avec Alain Soral, Robert Ménard ou encore Éric Zemmour, Renaud Camus et Richard Millet[21]. Cela provoque plusieurs réponses sur Causeur[22]. Et pour Christian Millau dans Atlantico « Le Nouvel Observateur ne fait pas tant du journalisme que de la propagande[23]. ».

En 2019, le journal Libération considère Causeur comme un média d’extrême droite, au même titre que Valeurs actuelles[24],[25]. Télérama qualifie le site de « réactionnaire » et d'« extrême droite »[26].

Rédaction

La direction[27] est composée d'Élisabeth Lévy (directrice de la rédaction)[28], Gil Mihaely (président et directeur de la publication)[29], Jeremy Stubbs (directeur adjoint de la rédaction et rédacteur en chef), Martin Pimentel (rédacteur en chef du site causeur.fr) et Jérôme Leroy, poète et romancier (rédacteur en chef culture)[30].

Causeur compte parmi ses collaborateurs réguliers : Alain Finkielkraut, le chroniqueur Basile de Koch, Bruno Maillé, Cyril Bennasar, David Desgouilles, Eugénie Bastié, François-Xavier Ajavon, Hadrien Desuin, l'écrivain Roland Jaccard, l'essayiste et journaliste catholique Jacques de Guillebon, Luc Rosenzweig ancien journaliste de Libération et ancien rédacteur en chef du Monde, Patrick Mandon, Emmanuel Legeard, le philosophe Paul Thibaud, Renaud Chenu, l'historien des idées Philippe Raynaud, l'avocat Régis de Castelnau, l'essayiste québécois Jérôme Blanchet-Gravel.

Site

Les articles publiés sur Causeur.fr sont majoritairement en accès libre, les articles publiés dans le magazine étant verrouillés et réservés aux abonnés.

Durant la campagne précédant l'élection présidentielle française de 2012, une « battle » (bataille) hebdomadaire opposait un journaliste de Causeur à un représentant de Rue89, en partenariat avec Yahoo[31].

Magazine

Depuis juillet 2008, Causeur magazine est la déclinaison papier mensuelle du site causeur.fr. À mi-chemin entre la revue d’idées et le magazine d’actualité, c’est la première publication papier d'un site d'actualité « pure-player » en France. Il est disponible en kiosques depuis avril 2013, ainsi que sur la boutique du site. Composé d'articles inédits, Causeur magazine donne régulièrement la parole à des personnalités du monde intellectuel telles qu'Alain Finkielkraut, Jean-Claude Michéa, Marcel Gauchet, Paul Thibaud, Philippe Raynaud, ou l'économiste Jean-Luc Gréau. François Taillandier et Roland Jaccard y tiennent des chroniques régulières. Parmi ses contributeurs occasionnels, on trouve Benoît Duteurtre, Chantal Delsol, le romancier David di Nota, Malika Sorel, Natacha Polony ou encore Pascal Bruckner.

Causeur magazine est constitué de trois parties : un tour d'horizon de l'actualité politique et internationale, un dossier central sur un grand sujet d’actualité, et des pages « humeurs » consacrées à la culture, que coordonne Jérôme Leroy. Parmi la cinquantaine de numéros de Causeur magazine publiés, figurent un hommage à Philippe Muray (Muray revient) en septembre 2010, un numéro autour de Jean-Claude Michéa (Pour en finir avec la gauche) d'octobre 2011, le numéro sur le « vivre-ensemble » incluant la leçon d'Alain Finkielkraut (novembre 2011), ou encore le dossier sur la culture générale en février 2012 (Crime contre les humanités).

Blogs

Causeur héberge plusieurs blogs, dont Antidote, animé par David Desgouilles, ancien militant gaulliste-souverainiste et Asile de Blog du chroniqueur Basile de Koch. En septembre 2012, l'essayiste spécialiste de l'éducation Jean-Paul Brighelli a transféré son blog "Bonnet d'Âne" sur Causeur.

Audience, ventes et résultats financiers

Selon l'étude publiée par Médiamétrie-Netratings en mars 2009, Causeur a réuni 250 000 visiteurs uniques et le nombre de pages vues s'est élevé à 3 017 000[réf. à confirmer][32].

En 2018, Causeur revendique 7 800 abonnés ; ses ventes en kiosque varient entre 6 500 et 9 000 exemplaires « pour les bons numéros » selon Élisabeth Lévy[33].

Élisabeth Lévy indique en 2018 que Causeur perd 120 000 euros par an[33].

Histoire

Causeur est créé le par la journaliste Élisabeth Lévy, l'historien Gil Mihaely, les philosophes Alain Finkielkraut, Paul Thibaud et Peter Sloterdijk[34].

Une version mensuelle sur papier est publiée depuis juin 2008[14], et distribuée chez les marchands de journaux depuis le 4 avril 2013.

Controverses

Polémique lors d’une pétition favorable à la prostitution

En octobre 2013, Causeur lance une pétition contre une proposition de loi de la députée socialiste Maud Olivier visant la pénalisation des clients de la prostitution. Le titre, « Touche pas à ma pute, le manifeste de 343 salauds »[35], suscite de nombreuses réactions dans la presse[36],[37] et un débat très vif. En effet, la double référence au Manifeste des 343 pour le droit à l'avortement, rédigé en 1971 par Simone de Beauvoir et publié par Le Nouvel Observateur, et au slogan de SOS Racisme « Touche pas à mon pote », est considérée par certains observateurs comme scandaleuse[38],[39]. Dans un article de L'Express par exemple, les « 343 salauds » sont comparés à des « noctambules cocaïnés », n'ayant pas compris que les femmes ne sont pas des « marchandises »[40].

Immigration musulmane et grand remplacement

Le 10 septembre 2017, Causeur publie sur son site un article signé par Charles Gave et titré « Demain, le suicide démographique européen », où l'auteur émet plusieurs hypothèses sur la démographie européenne à venir. Reprenant un billet de son blog, il affirme notamment que « dans 40 ans au plus tard, il est à peu près certain que la majorité de la population sera d’origine musulmane, en Autriche, en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Belgique, en Hollande »[41], en se basant sur des taux de natalité non sourcés[42]. Plusieurs personnalités d’extrême droite, dont l'ancien candidat aux législatives et membre du Front National Jean Messiha, partagent l'article sur les réseaux sociaux[42]. Le 13 septembre, Libération attaque l'article en le qualifiant d'« article délirant » avec des « calculs foireux » qui cherche à « démontrer avec des chiffres la réalité du “grand remplacement” », une théorie de l'écrivain Renaud Camus que Charles Gave ne cite pas dans son article. Libération présente cette théorie comme ayant un « sous-texte raciste (et en l’espèce islamophobe) » et déplorant « la contamination d’une population “de souche” fantasmée (blanche, chrétienne) par l’étranger (ou, ici, le musulman)[43]. » La journaliste de Libération, Pauline Moullot, prend appui sur d'autres études démographiques (un rapport de l'Institut Montaigne pour l'IFOP sur le nombre de musulmans en France[44], les données sur la démographie française de l'INSEE[45], les données sur la démographie des étrangers du ministère de l'Intérieur[46], l'enquête TeO de l'Ined de 2008) et le point de vue des démographes de l'Ined Patrick Simon et Michèle Tribalat[42].

Publication d’une fausse information et plainte en diffamation de Ladj Ly

Le 17 décembre 2019, Causeur publie un article ayant pour titre « Ladj Ly a fait de la prison pour complicité de tentative de meurtre. », et évoque une raison religieuse en affirmant notamment « Quand Ladj Ly faisait appliquer la charia… ». L’article est ensuite repris par Valeurs actuelles, et se répand alors sur les réseaux sociaux[47]. Libération écrit le lendemain : « Contrairement à ce qu’écrivent les médias d’extrême droite, il n’est pas question de « tentative de meurtre » dans cette condamnation. » Le journal ajoute que dans les articles d'époque qu'il a consulté, il n'existe pas de « lien avec la religion musulmane ayant motivé les faits »[24]. Selon Le Point, l'article de Causeur transforme « largement les faits »[48] et selon Le Monde et L'Obs, il comporte « plusieurs approximations »[47],[49].

Les articles parus dans les magazines font référence à une affaire d'octobre 2009, où Ladj Ly s'est trouvé impliqué dans une expédition punitive aux côtés de deux personnes[49],[50],[51],[47]. Bien qu'ils soient dans un premier temps, mis en examen pour enlèvement, séquestration, tentative d’assassinat et violences aggravées[47], les poursuites sont requalifiées lors de l’instruction et Ladj Ly est condamné le 2 mars 2011 pour « arrestation, enlèvement, séquestration »[47],[24]. Cette requalification n’est pas mentionnée dans l’article initial de Causeur[47],[49]. Causeur affirme également que les actes de Ladj Ly ont une cause religieuse et évoque la charia. En parlant de la sœur d’un des membres du groupe qui a eu une relation extra-conjugale avec le mari de sa cousine et qui a motivée l'expédition, Causeur déclare dans son article : « Elle n’est plus vierge, elle n’est pas mariée. Selon la religion musulmane, cela porte un nom, la fornication. Comme il y va de l’honneur d’une famille, c’est une transgression qui doit être sévèrement punie. La charia doit s’appliquer. »[47] Or, cet aspect religieux n’apparaît dans aucun des articles rendant compte du procès à l’époque[47].

Par la suite, Causeur corrige son article[52], écrivant que Ladj Ly a été condamné pour « enlèvement et séquestration » et non pas « tentative de meurtre »[50] et publie une «mise au point»[52] titrant « Ladj Ly: Libération confirme l’information révélée par Causeur » et en déclarant notamment « Pour résumer, l’essentiel de nos informations étaient donc exactes, ce que confirme l’enquête publiée par Checknews, même si les chefs d’accusation de la condamnation finale ne seraient pas ceux qu’indiquait notre article. »[53].

Le 19 décembre 2019, Ladj Ly poursuit en «diffamation » et « diffamation raciale » les magazines Causeur et Valeurs actuelles[24],[47]. Les avocats de Ladj Ly déclarent qu'« aucune violence n’a été reprochée personnellement [à Ladj Ly] dans cette affaire, et a fortiori pas de complicité de tentative de meurtre, ni évidemment d’avoir voulu “faire appliquer la charia”. »[54],[24],[55].

Notes et références

  1. a b et c « Causeur l’ouvre en kiosques », Libération, 3 avril 2013.
  2. a et b « La charge anti-féministe de Causeur, la réponse vernis de Causette », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. a b c d et e Ariane Chemin, Elisabeth Lévy, causeuse de troubles, lemonde.fr, 12 décembre 2013
  4. « Georges Kaplan », Atlantico.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « « Causeur », farceurs », sur Politis.fr, (consulté le )
  6. « Comment pensent les « néo-réacs », par Olivier Roy », sur L'Obs, (consulté le )
  7. Pascal Durand et Sarah Sindaco, Le discours « néo-réactionnaire », CNRS Editions, (ISBN 978-2-271-08899-4, lire en ligne)
  8. « Sur la planète des néo-réactionnaires », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  9. « Violences faites aux femmes : le festival des éditocrates réactionnaires », sur Acrimed | Action Critique Médias, (consulté le )
  10. Julien Salingue, « Quand Causeur et Valeurs actuelles s'essaient à la critique des médias », sur Acrimed | Action Critique Médias (consulté le )
  11. a b et c « Qui soutient la presse d’extrême droite ? Un voyage dans les droites radicales depuis 60 ans », sur Le Numéro Zéro,
  12. François Miclo, « Touche pas à mon Coran ! », publié le même jour, défendant une position très différente.
  13. Cyril Bennasar, « Coran, un dossier brûlant », causeur.fr, publié le 7 octobre 2010.
  14. a et b Cyril Bennasar, « L'Inquisition, c'est fini ! », publié le même jour, en réponse à François Miclo.
  15. « Jérôme Leroy, franc-tireur mélancolique », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  16. « Le FN gonflé à "Bloc" : entretien avec Jérôme Leroy », Bibliobs,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. « Causeur à l’Index ? - Quand le MRAP fait des listes noires » sur Causeur.fr.
  18. a et b « Causeur.fr, site raciste ? Le MRAP dérape », arretsurimages.net.
  19. « En ajoutant Causeur.fr à sa liste noire de sites, le Mrap dérape », Rue89, 26 février 2010.
  20. « Le mauvais procès fait au Mrap, réponse à Hugues Serraf », sur L'Obs (consulté le )
  21. « Les nouveaux fachos et leurs amis », Le Nouvel Observateur, 20 septembre 2012.
  22. « Quand Le Nouvel Obs traque les néo-fachos », causeur.fr, 20 septembre 2012.
  23. « Avec son dossier sur les "néo-fachos", le Nouvel Obs fait-il preuve d'aveuglement ou de mauvaise foi », Christian Millau, atlantico.fr, 24 septembre 2012.
  24. a b c d et e Cédric Mathiot et Fabien Leboucq, « Ladj Ly a-t-il fait de la prison pour tentative de meurtre, comme l'écrivent «Causeur» et «Valeurs actuelles» ? », sur Libération.fr, (consulté le )
  25. Samuel Piquet, « Ladj Ly : Quand des journalistes revendiquent le droit de ne pas informer », sur www.marianne.net, 2019-12-21utc16:54:21+0000 (consulté le )
  26. « Ladj Ly, le réalisateur des “Misérables”, victime de la France rance », sur Télérama, (consulté le )
  27. Mentions légales sur causeur.fr.
  28. Élisabeth Lévy sur causeur.fr.
  29. Gil Mihaely sur causeur.fr.
  30. Causeur.fr, « Jérôme Leroy, Auteur à Causeur », sur Causeur (consulté le )
  31. Voir sur fr.news.yahoo.com.
  32. « Causeur, nouvelle formule du mensuel », publié le 8 mai 2009.
  33. a et b Lucie Delaporte et Loup Espargilière, « L’union des droites commence par les médias », sur Mediapart, (consulté le ).
  34. Paris Communiqués.
  35. « Manifeste des 343 salauds »..
  36. Nathalie Heinich, « Prostitution : une proposition de loi culpabilisante », lemonde.fr, 7 novembre 2013.
  37. Dominique Simonnet, « Invoquer la “liberté” d’user du corps d’une autre est une véritable honte », lemonde.fr, 7 novembre 2013.
  38. « Manifeste des 343 salauds : un site les appelle des "connards" et invite à leur répondre », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  39. « Frédéric Beigbeder, Nicolas Bedos... 343 salauds en coeur : 'Touche pas à ma pute' », Purepeople,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « Manifeste des 343 salauds: "Ils parlent de ces femmes comme s'il s'agissait de marchandises" », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. Causeur.fr, « Demain, le suicide démographique européen | Causeur », sur www.causeur.fr (consulté le )
  42. a b et c Pauline Moullot, « Les calculs foireux de «Causeur» pour tenter de démontrer le «grand remplacement» », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  43. « Les calculs foireux de «Causeur» pour tenter de démontrer le «grand remplacement» - Œil sur le front », sur oeilsurlefront.liberation.fr, (consulté le )
  44. « Un islam français est possible », sur Institut Montaigne (consulté le ).
  45. « Bilan démographique 2016 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
  46. Ministère de l'Intérieur, « La fécondité des descendantes d’immigrés est proche de celle de la population majoritaire », sur immigration.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  47. a b c d e f g h et i « Le réalisateur Ladj Ly porte plainte contre « Causeur » et « Valeurs actuelles » », sur L'Obs, (consulté le )
  48. Marc Leplongeon, « Prison : quand Costa-Gavras volait au secours du réalisateur des « Misérables » », sur Le Point, (consulté le )
  49. a b et c « Le réalisateur des « Misérables » porte plainte après la publication d’articles sur son passé judiciaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  50. a et b « Ladj Ly poursuit en diffamation Causeur et Valeurs actuelles après des articles sur son passé judiciaire », sur BFM TV, (consulté le )
  51. Samuel Piquet, « Ladj Ly : Quand des journalistes revendiquent le droit de ne pas informer », sur www.marianne.net, 2019-12-21utc16:54:21+0000 (consulté le )
  52. a et b Causeur.fr et Anne-Sophie Nogaret, « Ladj Ly a fait de la prison pour complicité d'enlèvement », sur Causeur, (consulté le )
  53. Causeur.fr et La rédaction, « Ladj Ly: Libération confirme l'information révélée par Causeur », sur Causeur, (consulté le )
  54. « Le réalisateur des "Misérables" Ladj Ly porte plainte contre "Causeur" et "Valeurs actuelles" après la publication d'articles sur son passé judiciaire », sur Franceinfo, (consulté le )
  55. « "Affaire Ladj Ly" : le poison des mots ? », sur France Culture, (consulté le )

Annexes

Lien externe