« Alphonse-Amédée Cordonnier » : différence entre les versions

Naissance	1er février 1848; La Madeleine (Nord-Pas-de-Calais)
Décès	27 octobre 1930 (à 82 ans); Paris 16e
Nationalité	Frankreich
Activité	sculpteur
Formation	Académie de France à Rome (1878-1881); École nationale supérieure des beaux-arts; École des beaux-arts de Lille
Lieu de travail	Paris
Mouvement	néo-baroque, naturalisme
Distinctions	Prix de Rome (1877); Liste détaillée Atelier Wicar (1872); Prix de Rome (1877); Chevalier de la Légion d'honneur‎ (1888); Officier de la Légion d'honneur‎ (1903)

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Alphonse-Amédée Cordonnier né à La Madeleine le 1^er février 1848 et mort à Paris le 27 octobre 1930^[1] est un sculpteur français.

Biographie

Alphonse-Amédée Cordonnier fait ses études aux Écoles académiques de Lille. Grâce à une bourse du département du Nord, il poursuit ses études à Paris à l'École des beaux-arts où il suit les enseignements d'Auguste Dumont et de Gabriel-Jules Thomas^[2]. Puis il devient pensionnaire de la fondation Wicar à Rome en 1873. Il y reste jusqu'en 1877, année au cours de laquelle il remporte le prix de Rome.

Il expose dès 1874 au Salon des artistes français où il remporte l'année suivante une médaille de 3^e classe puis une de 2^e en 1876 et une médaille de 1^re en 1883 avant de passer en hors-concours. Il reçoit aussi une médaille d'argent à l'Exposition universelle de Paris de 1889 et une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1900. Il expose aussi au Salon des indépendants^[3].

Guillaume Peigné le rattache au mouvement de la sculpture néo-baroque^[4] pour ses statuettes d'éditions dont le style aimable rappelle celui du XVIII^e siècle, mais aussi pour ses œuvres présentées au Salon de 1883 — le marbre du Printemps (hôtel de ville de Château-Thierry) et le groupe de L'Amour et la Folie (plâtre, localisation inconnue) —, le mouvement tournoyant et la grâce souriante de ce dernier se référant à La Danse de Jean-Baptiste Carpeaux. Son groupe en marbre et bois Obsession (1890^[4] ou 1900^[5] Lille Palais des Beaux-Arts) reprend le thème de la tentation de saint Antoine en mettant en scène trois nudités ondoyantes et un démon tourmentant un moine en prière.

Puis il s'inscrira dans le courant naturaliste de la fin du XIX^e siècle^[6] avec de nombreuses sculptures à caractère social, comme Le Semeur^[7], Les Miséreux, Les Pauvres gens, ou L’Inoculation et la Fermentation, conservés au palais des Beaux-Arts de Lille. Il est également l'auteur en 1912 du haut-relief allégorique de La Musique^[8], sur le côté gauche de la façade de l'opéra de Lille.

Son groupe en pierre de la Maternité (1899) orne le square Adolphe-Chérioux à Paris, et sa statue en marbre d’Aède (1924) orne le square de l'Abbaye à Saint-Maur.

Alphonse-Amédée Cordonnier est nommé Rosati d'honneur en 1895^[9].

Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en juillet 1888 et promu officier du même ordre en juillet 1903.

Œuvres

Abel, 1884, marbre, Avignon, musée Calvet.
Tête de condottiere, 1887, grès émaillé de la Manufacture de Sèvres, 32 × 20 cm, Gray, musée Baron-Martin.
Monument d'Achille Testelin, 1894, composé d'une colonne surmontée du buste en marbre de Testelin et entourée d'allégories en bronze rappelant la Défense nationale^[10].
Le Printemps, groupe en marbre, Salon des artistes français de 1883, hôtel de ville de Château-Thierry.
Jeanne d'Arc, statue en marbre, palais des Beaux-Arts de Lille.
Monument à Pasteur, 1899, statues et bas-reliefs en bronze, Lille, angle de la rue Valmy^[11].
L'Éducation et la Vigilance, fronton est de la façade de l'hôtel de ville de Tours.
La Musique, 1912, haut-relief en pierre, façade de l'Opéra de Lille.

Alphonse-Amédée Cordonnier a également peint des aquarelles, dont^[12] :

Un torero, 1874, aquarelle sur papier blanc ;
Personnage en costume du Moyen Âge, 1875, aquarelle sur papier blanc.

Œuvres d'Alphonse-Amédée Cordonnier
Printemps (Salon de 1883), hôtel de ville de Château-Thierry.
Abel (1884), Avignon, musée Calvet.
Obsession (1890 ou 1900), marbre et bois, palais des Beaux-Arts de Lille.
Monument à Louis Pasteur (1899), Lille, place Philippe Lebon.
Maternité (1899), Paris, square de la place Adolphe-Chérioux.
Le Semeur (1907), plâtre, Roubaix, La Piscine.
La Musique (1912), Opéra de Lille.

Notes et références

↑ Archives de Paris, décès du 16^e arrondissement, année 1930, acte n^o 1918, vue 24/31.
↑ Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIX^e siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique… T. 17 Suppl. 2, Paris, Larousse, 1866-1877., 2026 p., p. 918
↑ René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 314.
↑ ^{a et b} Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format n^o 71 », 2012, 559 p. (ISBN 978-2-7355-0780-1, OCLC 828238758, BNF 43504839), p. 134-140.
↑ « Obsession », notice sur pba-opacweb.lille.fr.
↑ « Naturalisme », notice du musée d'Orsay.
↑ Roubaix, La Piscine.
↑ Une jeune femme tenant une lyre.
↑ Liste des Rosati d'honneur depuis 1892, Archives de Fontenay-aux-Roses ([PDF] en ligne sur fontenay-aux-roses.fr).
↑ « Nouvelles. La Chronique des arts et de la curiosité », Gazette des beaux-arts, supplément, Paris, Éd. Gazette des beaux-arts, 8 septembre 1894.
↑ À nos grands hommes sur le site du musée d'Orsay.
↑ Musée Wicar, Notice des dessins, cartons, pastels, miniatures et grisailles exposés à la ville de Lille, Lille, Impr. de A. Massart, 1889, p. 271.

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Alphonse-Amédée Cordonnier, sur Wikimedia Commons

Bibliographie

Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format n^o 71 », 2012, 559 p. (ISBN 978-2-7355-0780-1, OCLC 828238758, BNF 43504839), p. 134-140.

Liens externes

Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
Ressources relatives aux beaux-arts :
Ressource relative au spectacle :
- European Theatre Architecture
Ressource relative à la vie publique :
- base Léonore
« Acte de naissance au 1^er février 1848 d'Alphonse-Amédée Cordonnier ».

[1] Archives de Paris, décès du 16^e arrondissement, année 1930, acte n^o 1918, vue 24/31.

[2] Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIX^e siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique… T. 17 Suppl. 2, Paris, Larousse, 1866-1877., 2026 p., p. 918

[3] René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 314.

[Peigné-4] {a et b} Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format n^o 71 », 2012, 559 p. (ISBN 978-2-7355-0780-1, OCLC 828238758, BNF 43504839), p. 134-140.

[5] « Obsession », notice sur pba-opacweb.lille.fr.

[6] « Naturalisme », notice du musée d'Orsay.

[7] Roubaix, La Piscine.

[8] Une jeune femme tenant une lyre.

[9] Liste des Rosati d'honneur depuis 1892, Archives de Fontenay-aux-Roses ([PDF] en ligne sur fontenay-aux-roses.fr).

[10] « Nouvelles. La Chronique des arts et de la curiosité », Gazette des beaux-arts, supplément, Paris, Éd. Gazette des beaux-arts, 8 septembre 1894.

[11] À nos grands hommes sur le site du musée d'Orsay.

[12] Musée Wicar, Notice des dessins, cartons, pastels, miniatures et grisailles exposés à la ville de Lille, Lille, Impr. de A. Massart, 1889, p. 271.

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 == Biographie ==
-Après ses études aux écoles académiques de [[Lille]], Alphonse-Amédée Cordonnier devient pensionnaire de la [[Atelier Wicar|fondation Wicar]] à Rome en 1873. Il y reste jusqu'en 1877, année au cours de laquelle il remporte le [[prix de Rome]].
+Alphonse-Amédée Cordonnier fait ses études aux [[École des beaux-arts de Lille|Écoles académiques de Lille]]. Grâce à une bourse du département du Nord, il poursuit ses études à [[Paris]] à l'[[École des Beaux-Arts de Paris|École des beaux-arts]] où il suit les enseignements d'[[Auguste Dumont (sculpteur)|Auguste Dumont]] et de [[Gabriel-Jules Thomas]]<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Pierre Larousse|titre=Grand dictionnaire universel du {{s-|XIX}} : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique… T. 17 Suppl. 2|passage=918|lieu=Paris|éditeur=Larousse|date=1866-1877.|pages totales=2026|isbn=|lire en ligne=}}</ref>. Puis il devient pensionnaire de la [[Atelier Wicar|fondation Wicar]] à [[Rome]] en 1873. Il y reste jusqu'en 1877, année au cours de laquelle il remporte le [[prix de Rome]].
+Il expose dès 1874 au [[Salon des artistes français]] où il remporte l'année suivante une médaille de {{3e|classe}} puis une de {{2e}} en 1876 et une médaille de {{1re}} en 1883 avant de passer en hors-concours. Il reçoit aussi une médaille d'argent à l'[[Exposition universelle de Paris de 1889]] et une médaille d'or à l'[[Exposition universelle de 1900]]. Il expose aussi au [[Salon des indépendants]]<ref>René Édouard-Joseph, ''Dictionnaire biographique des artistes contemporains'', tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, {{p.|314}}.</ref>.
-Inscrit dans le courant [[Naturalisme|naturaliste]] de la fin du {{s|XIX}}<ref>[http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/naturalisme.html?S=&print=1&no_cache=1& « Naturalisme »], notice du musée d'Orsay</ref>, Cordonnier est notamment l'auteur de nombreuses sculptures à caractère social, comme ''Le Semeur''<ref>[[La Piscine, Musée d'art et d'industrie]]</ref>, ''Les Miséreux'', ''Les Pauvres gens'', ou ''L’Inoculation et la Fermentation'', conservés au [[palais des beaux-arts de Lille]]. Il est également l'auteur du relief allégorique de ''La Musique''<ref>Une jeune femme tenant une lyre.</ref>, à gauche de la façade de l'[[opéra de Lille]].
+Guillaume Peigné le rattache au mouvement de la sculpture [[néo-baroque]]<ref name="Peigné">{{Ouvrage |langue= |auteur1= Guillaume Peigné|titre= Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914)|éditeur= CTHS|collection= Format {{Numéro}}71|lieu= Paris|année= 2012|pages totales= 559|passage=134-140 |isbn= 978-2-7355-0780-1|oclc= 828238758|bnf= 43504839|lire en ligne= }}.</ref> pour ses statuettes d'éditions dont le style aimable rappelle celui du {{s-|XVIII}}, mais aussi pour ses œuvres présentées au Salon de 1883 {{incise|le marbre du ''Printemps'' ([[hôtel de ville de Château-Thierry]]) et le groupe de ''L'Amour et la Folie'' (plâtre, localisation inconnue)}}, le mouvement tournoyant et la grâce souriante de ce dernier se référant à ''[[La Danse (Carpeaux)|La Danse]]'' de [[Jean-Baptiste Carpeaux]]. Son groupe en marbre et bois ''Obsession'' (1890<ref name="Peigné"/> ou 1900<ref>[http://pba-opacweb.lille.fr/fr/search-notice/detail/2016-7-1-obsess-7b47c « Obsession  »], notice sur ''pba-opacweb.lille.fr''.</ref> Lille Palais des Beaux-Arts) reprend le thème de la tentation de [[Antoine le Grand|saint Antoine]] en mettant en scène trois nudités ondoyantes et un démon tourmentant un moine en prière.
-Sa statue représentant ''La Maternité'' orne le [[square Adolphe-Chérioux]] à Paris.
+Puis il s'inscrira dans le courant [[Naturalisme (Art figuratif)|naturaliste]] de la fin du {{s-|XIX}}<ref>[http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/naturalisme.html?S=&print=1&no_cache=1& « Naturalisme »], notice du musée d'Orsay.</ref> avec de nombreuses sculptures à caractère social, comme ''Le Semeur''<ref>[[Roubaix]], [[La Piscine (musée)|La Piscine]].</ref>, ''Les Miséreux'', ''Les Pauvres gens'', ou ''L’Inoculation et la Fermentation'', conservés au [[palais des Beaux-Arts de Lille]]. Il est également l'auteur en 1912 du haut-relief [[Allégorie|allégorique]] de ''La Musique''<ref>Une jeune femme tenant une lyre.</ref>, sur le côté gauche de la façade de l'[[opéra de Lille]].
-Alphonse-Amédée Cordonnier est nommé [[Rosati]] d'honneur en 1895<ref>{{référence insuffisante|Archives de la ville de Fontenay-aux-Roses}}.</ref>.
+Son groupe en pierre de la ''Maternité'' (1899) orne le [[square Adolphe-Chérioux]] à Paris, et sa statue en marbre d’''Aède'' (1924) orne le square de l'Abbaye à [[Saint-Maur-des-Fossés|Saint-Maur]].
-==Galerie==
+Alphonse-Amédée Cordonnier est nommé [[Rosati]] d'honneur en 1895<ref>Liste des Rosati d'honneur depuis 1892, Archives de Fontenay-aux-Roses ({{pdf}} [http://www.fontenay-aux-roses.fr/fileadmin/fontenay/MEDIA/decouvrir_la_ville/histoire/Rosati_d_honneur_01.pdf en ligne sur ''fontenay-aux-roses.fr'']).</ref>.
+Il est nommé chevalier de la [[Légion d'honneur]] en {{date-|juillet 1888}} et promu officier du même ordre en {{date-|juillet 1903}}.
+== Œuvres ==
+<!-- Liste non exhaustive -->
+* ''Abel'', 1884, marbre, [[Avignon]], [[musée Calvet]].
+* ''Tête de condottiere'', 1887, grès émaillé de la [[Manufacture de Sèvres]], {{Dunité|32|20|cm}}, [[Gray (Haute-Saône)|Gray]], [[musée Baron-Martin]].
+* ''Monument d'[[Achille Testelin]]'', 1894, composé d'une colonne surmontée du buste en marbre de Testelin et entourée d'allégories en bronze rappelant la Défense nationale<ref>« ''Nouvelles''. La Chronique des arts et de la curiosité », ''Gazette des beaux-arts'', supplément, Paris, Éd.  Gazette des beaux-arts, {{date-|8 septembre 1894}}.</ref>.
+* ''Le Printemps'', groupe en marbre, [[Salon des artistes français]] de 1883, [[hôtel de ville de Château-Thierry]].
+* ''Jeanne d'Arc'', statue en marbre, [[palais des Beaux-Arts de Lille]].
+* ''Monument à [[Louis Pasteur|Pasteur]]'', 1899, statues et bas-reliefs en bronze, Lille, angle de la rue Valmy<ref>[https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/4061 ''À nos grands hommes''] sur le site du musée d'Orsay.</ref>.
+* ''L'Éducation et la Vigilance'', [[Fronton (architecture)|fronton]] est de la façade de l'[[hôtel de ville de Tours]].
+* ''La Musique'', 1912, haut-relief en pierre, façade de l'[[Opéra de Lille]].
+Alphonse-Amédée Cordonnier a également peint des aquarelles, dont<ref>Musée Wicar, ''Notice des dessins, cartons, pastels, miniatures et grisailles exposés à la ville de Lille'', Lille, Impr. de A. Massart, 1889, {{p.|271}}.</ref> :
+* ''Un torero'', 1874, [[aquarelle]] sur papier blanc ;
+* ''Personnage en costume du Moyen Âge'', 1875, aquarelle sur papier blanc.
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 <gallery mode="packed" heights="200" caption="Œuvres d'Alphonse-Amédée Cordonnier">
-Fichier:Alphonse-Amedee Cordonnier - Printemps.jpg|''Printemps'' (Salon de 1883).
+Fichier:Alphonse-Amedee Cordonnier - Printemps.jpg|''Printemps'' (Salon de 1883), [[hôtel de ville de Château-Thierry]].
+File:Alphonse-Amédée Cordonnier - Abel - Calvet.jpg|''Abel'' (1884), [[Avignon]], [[musée Calvet]].
-File:Lille monument Pasteur.JPG|''Monument à Louis Pasteur'' (1899), [[Lille]].
-File:Maternité par Alphonse-Amédée Cordonnier.jpg|''Maternité'', [[Paris]], square de la [[place Adolphe-Chérioux]].
+File:Lille PdBA cordonnier obsession.jpg|''Obsession'' (1890 ou 1900), marbre et bois, [[palais des Beaux-Arts de Lille]].
+File:Lille monument Pasteur.JPG|''Monument à Louis Pasteur'' (1899), [[Lille]],  place Philippe Lebon.
-Fichier:Le SemeurMuséePiscineRoubaix.jpg|''Le Semeur'' (1907), plâtre, [[Roubaix]], [[La Piscine, Musée d'art et d'industrie]].
+File:Maternité par Alphonse-Amédée Cordonnier.jpg|''Maternité'' (1899), [[Paris]], square de la [[place Adolphe-Chérioux]].
+Fichier:Le SemeurMuséePiscineRoubaix.jpg|''Le Semeur'' (1907), plâtre, [[Roubaix]], [[La Piscine (musée)|La Piscine]].
+File:Lille Opera Statue left.JPG|''La Musique'' (1912), [[Opéra de Lille]].
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 == Notes et références ==
+{{références|taille=30}}
-<references />
 == Annexes ==
-=== Liens externes ===
 {{Autres projets
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 }}
+=== Bibliographie ===
+* {{Ouvrage |langue= |auteur1= Guillaume Peigné|titre= Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914)|éditeur= CTHS|collection= Format {{Numéro}}71|lieu= Paris|année= 2012|pages totales= 559|passage=134-140 |isbn= 978-2-7355-0780-1|oclc= 828238758|bnf= 43504839|lire en ligne= }}.
+=== Liens externes ===
 * {{Autorité}}
+* {{Bases}}
-* [http://www.culture.gouv.fr/LH/LH045/PG/FRDAFAN83_OL0589097v012.htm Acte de naissance de Cordonnier sur culture.gouv.fr]
+* {{Base Léonore|LH/589/97|Acte de naissance au {{1er}} février 1848 d'Alphonse-Amédée Cordonnier|source=non}}.
 {{Portail|sculpture|Lille|histoire de l'art}}
@@ Ligne 61 : / Ligne 87 : @@
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+[[Catégorie:Décès à 82 ans]]