Aller au contenu

« Dépenses publiques » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Huster (discuter | contributions)
Avec la date c'est mieux
Balise : Annulation
Nouill (discuter | contributions)
 
(31 versions intermédiaires par 11 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Ébauche|économie}}
{{Ébauche|économie}}
[[File:Ratio dépenses publiques et PIB.png|thumb|Dépense publique / PIB en Europe]]
[[File:Ratio dépenses publiques et PIB.png|thumb|Dépense publique / PIB en Europe]]

Les '''dépenses publiques''' sont l’ensemble des dépenses réalisées par les [[administrations publiques]]. Leur financement est assuré par les '''[[recettes publiques]]''' ([[impôt]]s, [[taxe]]s, et [[cotisations sociales]]) et par l’excédent public .
Les '''dépenses publiques''' sont l’ensemble des dépenses réalisées par les [[administrations publiques]]. Leur financement est assuré par les '''[[recettes publiques]]''' ([[impôt]]s, [[taxe]]s, et [[cotisations sociales]]) et par l’excédent public .


== En France ==
== En France ==
{{Voir aussi|Finances publiques en France|Fiscalité française}}
{{Voir aussi|Histoire des dépenses publiques françaises|Finances publiques en France}}


Au début des années 1960, la part des dépenses publiques dans le [[Produit intérieur brut|PIB]] est de 35 %<ref name="Visot201702">{{lien web |titre=En 2015, le déficit public s'élève à 3,5 % du pib, le taux de prélèvements…<!-- Vérifiez ce titre --> |url=https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011368 |site=[[Institut national de la statistique et des études économiques|Insee]] |consulté le=24-06-2023}}.</ref>. En 1978, le niveau des dépenses publiques était de 44,4 % du PIB. Comparées à la consommation des familles, ces dépenses en représentent plus de la moitié au début des années 1980<ref>{{Ouvrage|langue=Français|auteur1=[[Jean-Marie Albertini]]|titre=Les rouages de l'économie nationale|passage=285|lieu=Paris|éditeur=Les [[Éditions Ouvrières]]|date=Octobre 1982|pages totales=317|isbn=2-7082-0663-X}}</ref>. La constante augmentation des dépenses publiques depuis 1960 est principalement due à une hausse des versements des prestations sociales et des charges d'intérêt sur la [[dette publique de la France|dette]], l'investissement étant, lui, resté relativement constant<ref>cf. graphique 1 page 2, [http://www.finances.gouv.fr/directions_services/dgtpe/TRESOR_ECO/francais/pdf/2007-020-26.pdf Les facteurs d’évolution de la dépense publique en France : une rétrospective], [[Direction générale du Trésor et de la Politique économique|DGTPE]], Lettre Trésor Eco n°26, décembre 2007</ref>.
En 2016, les dépenses publiques de l'ensemble des administrations françaises ont atteint 56,4 % du PIB, contre 44,3 % pour les prélèvements obligatoires<ref>{{Lien web|langue=|titre=Le Budget de l'État|url=https://www.performance-publique.budget.gouv.fr/budget-comptes-etat/budget-etat/approfondir/fondamentaux/toutes-administrations-publiques#.Wvk8qiARXmQ|site=|date=19/09/2017|consulté le=}}</ref>. Le [[déficit public]] a été de 3,4 % du PIB<ref name="resf">[https://www.performance-publique.budget.gouv.fr/actualites/2017/publication-chiffres-deficit-public-2016-baisse-deficit-a-34-pib-stabilisation-dette-reprise-croissance-a-12#.Wvk9jiARXmQ] Publication des chiffres du déficit public 2016</ref>. La France se situe en matière de niveau de dépenses publiques au deuxième rang de l'[[OCDE]] derrière la [[Finlande]]<ref name="Visot201702">https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011368</ref>.


En 2010, les dépenses publiques des différentes administrations se décomposaient ainsi : l'État représentait 20,5 % du PIB, contre 11,5 % pour les collectivités locales et 24,6 % pour la Sécurité Sociale. Pour certains économistes, la part des dépenses publiques dans le PIB est un mauvais indicateur car il agrège de manière incohérente des sommes issues de plusieurs approches du PIB : par la production, la demande, par les revenus primaires distribués. Un indicateur rapportant la Demande des administrations publiques (Consommation finale + Investissement des administrations publiques) au PIB serait plus judicieux. Celui-ci serait alors de 27% pour la France même s’il est plus important que pour les autres pays développés sans que les écarts toutefois soient importants<ref>{{Ouvrage|auteur1=Liêm Hoang-Ngoc, Bruno Tinel|titre=Vive la Dépense publique|passage=22, 28|lieu=34380 Saint-Martin-de-Londres|éditeur=H&O éditions|date=Septembre 2021|pages totales=158|isbn=9782845473959}}</ref>.
Au début des années 1960, la part des dépenses publiques dans le [[Produit intérieur brut|PIB]] est de 35 %<ref name="Visot201702"/>. En 1978, le niveau des dépenses publiques était de 44,4 % du PIB. La constante augmentation des dépenses publiques depuis 1960 est principalement due à une hausse des versements des prestations sociales et des charges d'intérêt sur la [[dette publique de la France|dette]], l'investissement étant, lui, resté relativement constant<ref>cf. graphique 1 page 2, [http://www.finances.gouv.fr/directions_services/dgtpe/TRESOR_ECO/francais/pdf/2007-020-26.pdf Les facteurs d’évolution de la dépense publique en France : une rétrospective], [[Direction générale du Trésor et de la Politique économique|DGTPE]], Lettre Trésor Eco n°26, décembre 2007</ref>.


Les dépenses publiques permettent à l'Etat d'influencer l'[[activité économique]]. D'une part, la distribution des [[revenus]] (des [[fonctionnaires]] publics et des [[prestations sociales]]) permettent d'accroître la demande des [[consommateurs|consommateurs sur le marché des biens de consommation]]<ref name=":0">[[Albertini]] 1982, p.118</ref>. D'autre part, les [[investissements]] publics et les aides accordées (les subventions, en particulier), dans ce sens, aux [[entreprises]] du secteur privé permettent d'accroître le [[Produit intérieur brut|PIB]] national. En effet la production supplémentaire de biens et de services ainsi obtenue est facilement écoulée par les baisses de prix que permettent les subventions accordées. Par ailleurs, l'intervention publique dans un secteur plutôt que dans un autre permet à l'État de mieux orienter l'activité économique dans la direction voulue<ref name=":0" />.
En 2010, les dépenses publiques des différentes administrations se décomposaient ainsi: l'Etat représentait 20,5 % du PIB, contre 11,5 % pour les collectivités locales et 24,6 % pour la Sécurité Sociale.


Concernant les [[recettes publiques]], en 1978 le niveau des recettes publiques était de 42,98 % du [[Produit intérieur brut|PIB]]. Il était de 50,83 % en 2011. Ce changement ne s'est pas fait de manière homogène. Ainsi, les recettes de l'État représentaient en 1978 21,41 % du PIB contre 16,37 % en 2011. L'augmentation générale des recettes est donc essentiellement due à l'augmentation des recettes des administrations de sécurité sociale (7 points entre 1978 et 2011) et des administrations publiques locales (5 points entre 1978 et 2011) qui ont vu leurs dépenses augmenter également.
Concernant les [[recettes publiques]], en 1978 le niveau des recettes publiques était de 42,98 % du [[Produit intérieur brut|PIB]]. Il était de 50,83 % en 2011. Ce changement ne s'est pas fait de manière homogène. Ainsi, les recettes de l'État représentaient en 1978 21,41 % du PIB contre 16,37 % en 2011. L'augmentation générale des recettes est donc essentiellement due à l'augmentation des recettes des administrations de sécurité sociale (7 points entre 1978 et 2011) et des administrations publiques locales (5 points entre 1978 et 2011) qui ont vu leurs dépenses augmenter également.
Ligne 20 : Ligne 21 :


== Évolution internationale ==
== Évolution internationale ==
Beaucoup de pays de l'[[OCDE]] ont réduit leurs dépenses publiques depuis quinze ans. Elles sont ainsi passées de 50,4 % du PIB en 1990 dans la zone euro à 46,1 % en 2008 (prévision de l'OCDE). L’Allemagne est passée de 49,3 % en 1996 à 44,3 % en 2008. La Suède de 72,4 % en 1993 à 53,8 % en 2008. La France de 54,8 % en 1993 à 52,6 % en 2007. De 2010 à 2014, la France est le seul grand pays européen à avoir augmenté ses dépenses publiques (hors inflation), alors qu'ailleurs, elles connaissent des baisses de 2 à 12 %<ref name="Visot201702"/>.
Beaucoup de pays de l'[[OCDE]] ont réduit leurs dépenses publiques depuis quinze ans. Elles sont ainsi passées de 50,4 % du PIB en 1990 dans la zone euro à 46,1 % en 2008 (prévision de l'OCDE). L’Allemagne est passée de 49,3 % en 1996 à 44,3 % en 2008. La Suède de 72,4 % en 1993 à 53,8 % en 2008. La France de 54,8 % en 1993 à 52,6 % en 2007. De 2010 à 2014, la France est le seul grand pays européen à avoir augmenté ses dépenses publiques (hors inflation), alors qu'ailleurs, elles connaissent des baisses de 2 à 12 %<ref name="Visot201702"/>.


Des pays comme la [[Suède]] connaissent des baisses significatives de leurs dépenses publiques. Alors que celles-ci se situent à 63 % du PIB entre 1986 à 1995, elles se réduisent à 53,5 % en 2000 pour s'établir à 50,5 % en 2015<ref name="Visot201702"/>.
Des pays comme la [[Suède]] connaissent des baisses significatives de leurs dépenses publiques. Alors que celles-ci se situent à 63 % du PIB entre 1986 à 1995, elles se réduisent à 53,5 % en 2000 pour s'établir à 50,5 % en 2015<ref name="Visot201702"/>.


En 2016, les dépenses publiques de la France représentent 56 % du PIB contre 44 % en Allemagne<ref>[http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2016/08/29/31007-20160829ARTFIG00291-baisser-les-depenses-les-impots-et-les-taxes-il-va-falloir-sortir-la-hache-et-non-le-rabot.php Baisser les dépenses, les impôts et les taxes : il va falloir sortir la hache et non le rabot], [[Charles Wyplosz]], lefigaro.fr, 29/08/2016</ref>. En 2015, la France se situe 8,5 points au-dessus de la zone euro<ref name="Visot201702"/>.
En 2016, les dépenses publiques de la France représentent 56 % du PIB contre 44 % en Allemagne<ref>[http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2016/08/29/31007-20160829ARTFIG00291-baisser-les-depenses-les-impots-et-les-taxes-il-va-falloir-sortir-la-hache-et-non-le-rabot.php Baisser les dépenses, les impôts et les taxes : il va falloir sortir la hache et non le rabot], [[Charles Wyplosz]], lefigaro.fr, 29/08/2016</ref>. En 2015, la France se situe 8,5 points au-dessus de la zone euro<ref name="Visot201702"/>.

Malgré ces baisses, les dépenses publiques concernent, essentiellement, le [[développement]] du pays. Si aux États-Unis les deux tiers des dépenses relatives à la [[recherche scientifique]] sont effectués par l'État au début des années 1980, la participation de celui-ci est de 75 % pour la France dans la même période<ref name=":1">[[Albertini]] 1982, p. 286</ref>. Aussi bien la production des [[biens collectifs]], la formation et l'éducation que la [[régulation]] de la population nationale (en agissant sur les flux migratoires et les [[prestations familiales]]) sont effectuées grâce à des dépenses publiques<ref name=":1" />.

== Notes et références ==
{{Références}}


== Voir aussi ==
== Voir aussi ==
{{Autres projets|commons=Category:Public expenditure}}
{{Autres projets|commons=Category:Public expenditure}}

=== Articles connexes ===
* [[Finances publiques]]
* [[Finances publiques]]
* [[Budget de l'État]]
* [[Budget de l'État]]
Ligne 36 : Ligne 44 :
* [[Loi de Wagner (économie)|Loi de Wagner]]
* [[Loi de Wagner (économie)|Loi de Wagner]]


== Liens externes ==
=== Liens externes ===
* {{Autorité}}
{{trop de liens|date=janvier 2019}}
* {{Dictionnaires}}
* http://www.fondafip.org (site entièrement consacré aux finances publiques)
* {{Bases}}
*[http://www.performance-publique.gouv.fr Forum de la performance publique], Site internet de la direction du Budget
* [http://www.gouvernement.fr/action/la-reduction-des-depenses-publiques Réduire les dépenses publiques], les actions du gouvernement sur la lutte contre le déficit public, Projet porté par Manuel Valls, Michel Sapin, Christian Eckert, 23 mai 2016
* [http://fvergara.com/partdesdepensespubliques.pdf « La "part" des dépenses publiques dans le PIB (Un éclaircissement) »], Francisco Vergara, le.monde.fr, 14 novembre 2011.
* [http://fvergara.com/DepensespubliquesAllemagne.doc « La Depense Publique Allemande : A-t-elle vraiment diminué ?]», Francisco Vergara, ''[[Alternatives économiques]]'', octobre 2012.
* [http://insee.fr/fr/themes/theme.asp?theme=16&sous_theme=3.2 Dépenses et recettes des administrations publiques]

=== Notes et références ===
{{Références}}


=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
Ligne 53 : Ligne 54 :


{{Portail|économie|Finance|politique}}
{{Portail|économie|Finance|politique}}

[[Catégorie:Finances publiques| ]]
[[Catégorie:Finances publiques| ]]
[[Catégorie:Fiscalité|*]]
[[Catégorie:Fiscalité|*]]

Dernière version du 5 février 2024 à 00:03

Dépense publique / PIB en Europe

Les dépenses publiques sont l’ensemble des dépenses réalisées par les administrations publiques. Leur financement est assuré par les recettes publiques (impôts, taxes, et cotisations sociales) et par l’excédent public .

Au début des années 1960, la part des dépenses publiques dans le PIB est de 35 %[1]. En 1978, le niveau des dépenses publiques était de 44,4 % du PIB. Comparées à la consommation des familles, ces dépenses en représentent plus de la moitié au début des années 1980[2]. La constante augmentation des dépenses publiques depuis 1960 est principalement due à une hausse des versements des prestations sociales et des charges d'intérêt sur la dette, l'investissement étant, lui, resté relativement constant[3].

En 2010, les dépenses publiques des différentes administrations se décomposaient ainsi : l'État représentait 20,5 % du PIB, contre 11,5 % pour les collectivités locales et 24,6 % pour la Sécurité Sociale. Pour certains économistes, la part des dépenses publiques dans le PIB est un mauvais indicateur car il agrège de manière incohérente des sommes issues de plusieurs approches du PIB : par la production, la demande, par les revenus primaires distribués. Un indicateur rapportant la Demande des administrations publiques (Consommation finale + Investissement des administrations publiques) au PIB serait plus judicieux. Celui-ci serait alors de 27% pour la France même s’il est plus important que pour les autres pays développés sans que les écarts toutefois soient importants[4].

Les dépenses publiques permettent à l'Etat d'influencer l'activité économique. D'une part, la distribution des revenus (des fonctionnaires publics et des prestations sociales) permettent d'accroître la demande des consommateurs sur le marché des biens de consommation[5]. D'autre part, les investissements publics et les aides accordées (les subventions, en particulier), dans ce sens, aux entreprises du secteur privé permettent d'accroître le PIB national. En effet la production supplémentaire de biens et de services ainsi obtenue est facilement écoulée par les baisses de prix que permettent les subventions accordées. Par ailleurs, l'intervention publique dans un secteur plutôt que dans un autre permet à l'État de mieux orienter l'activité économique dans la direction voulue[5].

Concernant les recettes publiques, en 1978 le niveau des recettes publiques était de 42,98 % du PIB. Il était de 50,83 % en 2011. Ce changement ne s'est pas fait de manière homogène. Ainsi, les recettes de l'État représentaient en 1978 21,41 % du PIB contre 16,37 % en 2011. L'augmentation générale des recettes est donc essentiellement due à l'augmentation des recettes des administrations de sécurité sociale (7 points entre 1978 et 2011) et des administrations publiques locales (5 points entre 1978 et 2011) qui ont vu leurs dépenses augmenter également.

Évolution des dépenses et des recettes publiques des administrations publiques françaises (1993-2006).

Dépenses des administrations locales

[modifier | modifier le code]

Les régions, départements et communes de France représentent plus de 20 % des dépenses publiques. En 2009 les administrations locales ont dépensé 228 des 1067,7 milliards d'euros dépensés par l'ensemble des administrations publiques[6].

Évolution internationale

[modifier | modifier le code]

Beaucoup de pays de l'OCDE ont réduit leurs dépenses publiques depuis quinze ans. Elles sont ainsi passées de 50,4 % du PIB en 1990 dans la zone euro à 46,1 % en 2008 (prévision de l'OCDE). L’Allemagne est passée de 49,3 % en 1996 à 44,3 % en 2008. La Suède de 72,4 % en 1993 à 53,8 % en 2008. La France de 54,8 % en 1993 à 52,6 % en 2007. De 2010 à 2014, la France est le seul grand pays européen à avoir augmenté ses dépenses publiques (hors inflation), alors qu'ailleurs, elles connaissent des baisses de 2 à 12 %[1].

Des pays comme la Suède connaissent des baisses significatives de leurs dépenses publiques. Alors que celles-ci se situent à 63 % du PIB entre 1986 à 1995, elles se réduisent à 53,5 % en 2000 pour s'établir à 50,5 % en 2015[1].

En 2016, les dépenses publiques de la France représentent 56 % du PIB contre 44 % en Allemagne[7]. En 2015, la France se situe 8,5 points au-dessus de la zone euro[1].

Malgré ces baisses, les dépenses publiques concernent, essentiellement, le développement du pays. Si aux États-Unis les deux tiers des dépenses relatives à la recherche scientifique sont effectués par l'État au début des années 1980, la participation de celui-ci est de 75 % pour la France dans la même période[8]. Aussi bien la production des biens collectifs, la formation et l'éducation que la régulation de la population nationale (en agissant sur les flux migratoires et les prestations familiales) sont effectuées grâce à des dépenses publiques[8].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d « En 2015, le déficit public s'élève à 3,5 % du pib, le taux de prélèvements… », sur Insee (consulté le ).
  2. Jean-Marie Albertini, Les rouages de l'économie nationale, Paris, Les Éditions Ouvrières, , 317 p. (ISBN 2-7082-0663-X), p. 285
  3. cf. graphique 1 page 2, Les facteurs d’évolution de la dépense publique en France : une rétrospective, DGTPE, Lettre Trésor Eco n°26, décembre 2007
  4. Liêm Hoang-Ngoc, Bruno Tinel, Vive la Dépense publique, 34380 Saint-Martin-de-Londres, H&O éditions, , 158 p. (ISBN 9782845473959), p. 22, 28
  5. a et b Albertini 1982, p.118
  6. http://www.dgcl.interieur.gouv.fr/sections/a_votre_service/statistiques/collectivites_locale/les_ciollectivites_l/view
  7. Baisser les dépenses, les impôts et les taxes : il va falloir sortir la hache et non le rabot, Charles Wyplosz, lefigaro.fr, 29/08/2016
  8. a et b Albertini 1982, p. 286

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Michel Bouvier, Marie-Christine Esclassan, Jean-Pierre Lassale, Manuel de Finances publiques, Lextenso-LGDJ, 2012, 11e édition
  • Revue Française de Finances Publiques (www.fondafip.org)