« Fernand Gambiez » : différence entre les versions

	Fernand Gambiez
	; Fernand Gambiez (1961)
Naissance	27 février 1903; Lille (Frankreich)
Décès	29 mars 1989 (à 86 ans); Saint-Mandé (Frankreich)
Origine	Frankreich
Allégeance	Troupes de choc
Arme	Infanterie
Grade	Général d'armée
Années de service	1921 – 1965
Commandement	Troupes de choc et commandos
Conflits	Seconde Guerre mondiale
Faits d'armes	Opération Vésuve : libération de la Corse et de l'île d'Elbe
Distinctions	Grand croix Légion d'honneur
Hommages	1re Classe d'Honneur de la Légion étrangère (1954)
Autres fonctions	Historien militaire
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Fernand Gambiez, né le 27 février 1903 à Lille et mort le 29 mars 1989 à Saint-Mandé, est un général français, grand-croix de la Légion d'honneur.

Il est notamment connu pour avoir été le commandant du bataillon de choc en Corse pendant la Seconde Guerre mondiale puis général pendant la guerre d'Algérie et historien militaire.

Biographie

Formation

Fernand Gambiez est Saint-Cyrien. En 1935, il est officier de la Légion au Sahel, puis stagiaire à l'École supérieure de guerre.

Seconde Guerre mondiale

Capitaine commandant de compagnie du 310 ème ri en mai-juin 1940. Puis il est chargé de créer une unité de choc. Intégré à l'armée d'armistice du Régime de Vichy, il quitta la France pour rejoindre les Forces françaises libres mais fut arrêté en Espagne où il fut maintenu 8 mois en détention avant de pouvoir rejoindre l'Afrique du Nord

Il est alors commandant du bataillon de choc en 1943 et participe notamment aux combats de libération de la Corse.

Fin octobre 1944, le bataillon de choc et les Commandos de France forment la "demi-brigade de choc" aux ordres du lieutenant-colonel Gambiez (dite "demi-brigade de choc Gambiez").

À la suite de la réorganisation opérée début janvier 1945, le lieutenant-colonel Gambiez commande le 1er groupement de choc, qui comprend le 1er bataillon de choc et le 3e bataillon de choc (ex-Commandos de France) et fait partie de la 1ère armée française^[1].

Sur le territoire de la commune de Bourbach-le-Haut (Haut-Rhin), au col du Hundsruck, se trouve le Monument national des troupes de choc (parfois appelé « Monument Gambiez »), dont le socle est orné d’une plaque portant l’inscription suivante : « A tous ceux qui sont morts pour la France dans les rangs des unités de choc et au général d’armée Fernand Gambiez, grand Croix de la légion d’honneur (1903-1989), père des troupes de choc / D’Afrique à ce jalon dressé par le 1er Choc sur cette haute porte d’Alsace forcée le 28.11.1944, cent soixante chasseurs avaient déjà sacrifié leur vie^[2]. »

Guerre d'Indochine

Grand spécialiste des commandos et des maquis autochtones, il rejoint ensuite l'Indochine (actuel Vietnam), où le général de Lattre de Tassigny, commandant en chef du corps expéditionnaire français, le place à la tête de la région à majorité catholique de Ninh Binh, avec ses évêchés de Phat Diem et de Bui Chu, à 120 km au sud de Hanoi, une région-clé car elle est le passage obligatoire entre le centre de l'Indochine (Annam) et le nord.

Ayant perdu son fils Alain ( lieutenant ) à Dîen Bîen Phú , il est à l ' origine de l ' envoi du capitaine Belmont ( auteur du rapport du même nom ) sur le site de la bataille , un an plus tard , pour retrouver le maximum de sépultures ou de dépouilles ( celle de son fils sera retrouvée sur Isabelle , au sud du camp retranché ) , le documentaire de Patrick Jeudy ( les fantômes du Tonkin) traitant de cet épisode .

Guerre d'Algérie

Il est ensuite envoyé en Algérie, où il commande la 11^e Division d'Infanterie en 1957-1958. Général de corps d'armée en 1958, il est commandant en chef du corps d'armée d'Oran en 1959, général d'armée puis inspecteur général de l'infanterie en 1960, et commandant en chef des forces armées en Algérie le 1^er février 1961^[3]. Il est arrêté par les généraux rebelles lors du putsch d'Alger. Outré par son arrestation, il interpelle un officier putschiste du 1er REP : « De mon temps, les lieutenants n’arrêtaient pas les généraux ». Il s'attire la réponse suivante : « De votre temps, les généraux ne vendaient pas l’Algérie… »^[4].

Fin de carrière

Le général Gambiez fut directeur de la Commission nationale d'histoire militaire de 1969 à 1989. Il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 1974.

À sa mort, il fut inhumé dans le cimetière communal de Méricourt-l'Abbé (Somme), village d'où son épouse était originaire et où ils possédaient une résidence secondaire.

Récompenses

1^re classe d'honneur de la Légion étrangère en 1954

Décorations

Ouvrages

L'Épée de Damoclès, la guerre en style indirect , 1967, avec le colonel Maurice Suire
Histoire de la Première Guerre mondiale, 2 volumes, 1968, avec le colonel Maurice Suire
« Français sous l'uniforme : Les commandos », dans Jacques Meyer (dir.) et alii, Vie et mort des Français (1939-1945), Paris, Hachette (réimpr. 1980) (1^re éd. 1971), 614 p., p. 479-496.
Libération de la Corse, Paris, Hachette-Littérature, coll. « La libération de la France », 1973, 318 p. (lire en ligne).

Bibliographie

Nicole Pietri et Jacques Valette (a cura di), Les guerres du général Gambiez, Esprit du Livre, 2009

Liens externes

Ressources relatives à la recherche :
- La France savante
- Persée
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Pays-Bas
- Pologne
- NUKAT
- WorldCat
(fr) Recension du livre Les guerres du général Gambiez sur le site de France Catholique, avec une brève biographie

Notes et références

↑ Raymond Muelle, Bataillons de Choc et Commandos de la 1ère Armée. Des Vosges à l'Allemagne, 1944-45, Presses de la Cité, 1997, p. 10-11 et p. 289 et suivantes ("état signalétique sommaire des Commandos de France").
↑ « Col du Hundsruck » (consulté le 3 octobre 2019)
↑ « Chronologie événements 1961 », dans Mémorial de notre temps, vol. V - 1961-1962-1963, Paris Match éditions Pierre Charron, 1971, 625 p., p. 14-19
↑ Paul Gardy, Memento personnel sur les événements d’avril 1961, juin 1961.
↑ « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°10 du 22/04/1960 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 24 avril 2024)

[1] Raymond Muelle, Bataillons de Choc et Commandos de la 1ère Armée. Des Vosges à l'Allemagne, 1944-45, Presses de la Cité, 1997, p. 10-11 et p. 289 et suivantes ("état signalétique sommaire des Commandos de France").

[2] « Col du Hundsruck » (consulté le 3 octobre 2019)

[3] « Chronologie événements 1961 », dans Mémorial de notre temps, vol. V - 1961-1962-1963, Paris Match éditions Pierre Charron, 1971, 625 p., p. 14-19

[4] Paul Gardy, Memento personnel sur les événements d’avril 1961, juin 1961.

[5] « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°10 du 22/04/1960 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 24 avril 2024)

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@@ Ligne 6 : / Ligne 6 : @@
  | légende           = Fernand Gambiez (1961)
  | surnom            =
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 }}
-'''Fernand Gambiez''', né à [[Lille]] le {{date|27|février|1903}} et mort le {{date|29|mars|1989}} à [[Saint-Mandé]], est un militaire français, commandant d'un bataillon de choc en [[Corse]] pendant la [[Seconde Guerre mondiale]], général pendant la [[guerre d'Algérie]], et [[historien]] militaire.
+'''Fernand Gambiez''', né le {{date de naissance|27 février 1903}} à [[Lille]] et mort le {{date de décès|29 mars 1989}} à [[Saint-Mandé]], est un [[général]] français, [[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|grand-croix de la Légion d'honneur]].
+Il est notamment connu pour avoir été le commandant du [[1er bataillon parachutiste de choc|bataillon de choc]] en [[Corse]] pendant la [[Seconde Guerre mondiale]] puis général pendant la [[guerre d'Algérie]] et [[historien]] militaire.
 == Biographie ==
+=== Formation ===
-[[Fichier:1er BPC - Colmar fev 1945.jpg|thumb|Gambiez et le 1er BPC (Colmar, 1945)]]
-Fernand Gambiez est [[Écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan|Saint-Cyrien]]. En [[1935]], il est officier de la [[légion étrangère|Légion]] au [[Maroc]], puis stagiaire à l'[[École supérieure de guerre]], capitaine commandant de compagnie en mai-juin [[1940]]. Puis il est chargé de créer une unité de choc. Il est alors [[commandant]] du [[1er bataillon parachutistes de choc|bataillon de choc]] en [[1943]] et participe notamment aux combats de [[libération de la Corse]].
+Fernand Gambiez est [[Écoles militaires de Saint-Cyr Coëtquidan|Saint-Cyrien]]. En [[1935]], il est officier de la [[légion étrangère|Légion]] au [[Sahel]], puis stagiaire à l'[[École supérieure de guerre]].
-Fin octobre 1944, le [[1er bataillon parachutiste de choc|bataillon de choc]] et les [[Commandos de France]] forment la "demi-brigade de choc" aux ordres du lieutenant-colonel Gambiez (dite "demi-brigade de choc Gambiez"). Suite à la réorganisation opérée début janvier 1945, le lieutenant-colonel Gambiez commande le 1er groupement de choc, qui comprend le 1er bataillon de choc et le 3e bataillon de choc (ex-Commandos de France) et fait partie de la [[1re armée (France, 1944-1945)|1ère armée française]]<ref>Raymond Muelle, ''Bataillons de Choc et Commandos de la 1ère Armée. Des Vosges à l'Allemagne, 1944-45'', Presses de la Cité, 1997, p. 10-11 et p. 289 et suivantes ("état signalétique sommaire des Commandos de France").</ref>.
+=== Seconde Guerre mondiale ===
-Sur la commune de [[Bourbach-le-Haut]] ([[Haut-Rhin]]), au [[col du Hundsruck]], se trouve le Monument national des troupes de choc (parfois appelé "Monument Gambiez"), dont le socle est orné d’une plaque portant l’inscription suivante : « A tous ceux qui sont morts pour la France dans les rangs des unités de choc et au général d’armée Fernand Gambiez, grand Croix de la légion d’honneur (1903-1989), père des troupes de choc / D’Afrique à ce jalon dressé par le [[1er bataillon parachutiste de choc|1er Choc]] sur cette haute porte d’Alsace forcée le 28.11.1944, cent soixante chasseurs avaient déjà sacrifié leur vie<ref>{{Lien web|langue=|auteur1=|titre=Col du Hundsruck|url=https://sentheim.pagesperso-orange.fr/doller/hunds.htm|site=|périodique=|date=|consulté le={{safesubst:Aujourd'hui}}}}</ref>{{,}}<ref>« Plus tard [le 3 novembre 1944 au soir, après l'engagement au Haut-du-Tôt, sur la commune de [[Sapois (Vosges)|Sapois]]], le colonel Gambiez vient féliciter Vallon, le commandant du groupe de commandos, et je suis témoin de l'échange suivant : Le commandant : "Merci, mon colonel, maison nous avons subi de lourdes pertes en hommes et en officiers." Le colonel, lui mettant la main sur l'épaule : "Ah, Vallon, vous serez toujours un sentimental." » Extrait de Jean-Mathieu Boris, ''Combattant de la France libre'', éd. Tempus/Perrin (poche), 2013, p. 165.</ref>. »
+Capitaine commandant de compagnie du 310 ème ri en mai-juin [[1940]]. Puis il est chargé de créer une unité de choc. Intégré à l'armée d'armistice du [[Régime de Vichy]], il quitta la France pour rejoindre les [[Forces françaises libres]] mais fut arrêté en Espagne où il fut maintenu 8 mois en détention avant de pouvoir rejoindre l'Afrique du Nord
-Grand spécialiste des commandos et des maquis autochtones, il rejoint ensuite l'Indochine (actuel Vietnam), où le [[général de Lattre de Tassigny]], commandant en chef du corps expéditionnaire français, le place à la tête de la région à majorité catholique de Ninh Binh, avec ses évêchés de Phat Diem et de Bui Chu, à 120 km  au sud de Hanoi, une région-clé car elle est le passage obligatoire entre le centre de l'Indochine (Annam) et le nord. Il est ensuite envoyé en Algérie, où il commande la {{11e}} Division d'Infanterie en 1957-1958.
+Il est alors [[commandant]] du [[1er bataillon parachutistes de choc|bataillon de choc]] en [[1943]] et participe notamment aux combats de [[libération de la Corse]].
-Général de [[corps d'armée]] en [[1958]], il est [[commandant]] en chef du corps d'armée d'[[Oran]] en [[1959]], général d'armée puis inspecteur général de l'[[infanterie]] en [[1960]], et commandant en chef des forces armées en [[Algérie]] en [[1961]]. Il est arrêté par les généraux rebelles lors du [[Putsch des généraux|putsch d'Alger]].
+Fin {{date-|octobre 1944}}, le [[1er bataillon parachutiste de choc|bataillon de choc]] et les [[Commandos de France]] forment la "demi-brigade de choc" aux ordres du lieutenant-colonel Gambiez (dite "demi-brigade de choc Gambiez").
-Il est directeur de la [[Commission nationale d'histoire militaire (France)|Commission nationale d'histoire militaire]] de [[1969]] à [[1989]].
+[[Fichier:1er BPC - Colmar fev 1945.jpg|vignette|gauche|Gambiez et le 1er BPC (Colmar, 1945)]]
+À la suite de la réorganisation opérée début {{date-|janvier 1945}}, le lieutenant-colonel Gambiez commande le 1er groupement de choc, qui comprend le 1er bataillon de choc et le 3e bataillon de choc (ex-Commandos de France) et fait partie de la [[1re armée (France, 1944-1945)|1ère armée française]]<ref>Raymond Muelle, ''Bataillons de Choc et Commandos de la 1ère Armée. Des Vosges à l'Allemagne, 1944-45'', Presses de la Cité, 1997, p. 10-11 et p. 289 et suivantes ("état signalétique sommaire des Commandos de France").</ref>.
+Sur le territoire de la commune de [[Bourbach-le-Haut]] ([[Haut-Rhin]]), au [[col du Hundsruck]], se trouve le Monument national des troupes de choc (parfois appelé « Monument Gambiez »), dont le socle est orné d’une plaque portant l’inscription suivante : « A tous ceux qui sont morts pour la France dans les rangs des unités de choc et au général d’armée Fernand Gambiez, grand Croix de la légion d’honneur (1903-1989), père des troupes de choc / D’Afrique à ce jalon dressé par le [[1er bataillon parachutiste de choc|1er Choc]] sur cette haute porte d’Alsace forcée le 28.11.1944, cent soixante chasseurs avaient déjà sacrifié leur vie<ref>{{Lien web|titre=Col du Hundsruck|url=https://sentheim.pagesperso-orange.fr/doller/hunds.htm|date=|consulté le=2019-10-03}}</ref>. »
+=== Guerre d'Indochine ===
+Grand spécialiste des commandos et des maquis autochtones, il rejoint ensuite l'Indochine (actuel Vietnam), où le [[général de Lattre de Tassigny]], commandant en chef du corps expéditionnaire français, le place à la tête de la région à majorité catholique de Ninh Binh, avec ses évêchés de Phat Diem et de Bui Chu, à 120 km  au sud de Hanoi, une région-clé car elle est le passage obligatoire entre le centre de l'Indochine (Annam) et le nord.
+Ayant perdu son fils Alain ( lieutenant ) à Dîen Bîen Phú , il est à l ' origine de l ' envoi du capitaine Belmont ( auteur du rapport du même nom ) sur le site de la bataille , un an plus tard , pour retrouver le maximum de sépultures ou de dépouilles ( celle de son fils sera retrouvée sur Isabelle , au sud du camp retranché ) , le documentaire de Patrick Jeudy ( les fantômes du Tonkin) traitant de cet épisode .
+=== Guerre d'Algérie ===
+Il est ensuite envoyé en Algérie, où il commande la {{11e}} Division d'Infanterie en 1957-1958. Général de [[corps d'armée]] en [[1958]], il est [[commandant]] en chef du corps d'armée d'[[Oran]] en [[1959]], général d'armée puis inspecteur général de l'[[infanterie]] en [[1960]], et commandant en chef des forces armées en [[Algérie]] le {{date-|01|02|1961}}<ref>{{chapitre |titre chapitre=Chronologie événements 1961 |titre ouvrage=Mémorial de notre temps |éditeur=Paris Match éditions Pierre Charron |année=1971 |volume=V - 1961-1962-1963 |pages totales=625 |passage=14-19 |consulté le=17 août 2021}}</ref>. Il est arrêté par les généraux rebelles lors du [[Putsch des généraux|putsch d'Alger]]. Outré par son arrestation, il interpelle un officier putschiste du [[1er REP]] : « De mon temps, les lieutenants n’arrêtaient pas les généraux ». Il s'attire la réponse suivante : « De votre temps, les généraux ne vendaient pas l’Algérie… »<ref>Paul Gardy, ''Memento personnel sur les événements d’avril 1961'', juin 1961.</ref>.
+=== Fin de carrière ===
+Le général Gambiez fut directeur de la [[Commission nationale d'histoire militaire (France)|Commission nationale d'histoire militaire]] de [[1969]] à [[1989]].
 Il est élu membre de l'[[Académie des sciences morales et politiques]] en [[1974]].
+À sa mort, il fut inhumé dans le cimetière communal de [[Méricourt-l'Abbé]] ([[Somme (département)|Somme]]), village d'où son épouse était originaire et où ils possédaient une résidence secondaire.
 == Récompenses ==
 {{1re|classe}} d'honneur de la [[Légion étrangère]] en 1954
+== Décorations ==
+* {{Déco GCLH}}
+* [[Fichier:Ordre du Merite civil Commandeur ribbon.svg|sans_cadre|50x50px]] [[Ordre du Mérite civil (France)|Commandeur de l'ordre du Mérite civil]] (1960)<ref>{{Lien web |titre=Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°10 du 22/04/1960 - Légifrance |url=https://www.legifrance.gouv.fr/liste/bodmr?sortValue=PUBLICATION_DATE_ASC&pageSize=100&page=3&tab_selection=all#bodmr |site=www.legifrance.gouv.fr |consulté le=2024-04-24}}</ref>
 == Ouvrages ==
-* ''L'Épée de Damoclès, la guerre en style indirect'', 1967, avec le colonel Maurice Suire
+* ''L'Épée de Damoclès, la guerre en style indirect'' , 1967, avec le colonel [[Maurice Suire]]
-* ''Histoire de la première guerre mondiale'', 2 volumes, 1968, avec le colonel Maurice Suire
+* ''Histoire de la Première Guerre mondiale'', 2 volumes, 1968, avec le colonel Maurice Suire
+* {{Chapitre |titre chapitre=Français sous l'uniforme | sous-titre chapitre=Les commandos |auteurs ouvrage= [[Jacques Meyer (homme de lettres)|Jacques Meyer (dir.)]] et alii|titre ouvrage=Vie et mort des Français (1939-1945) |lieu= Paris|éditeur=[[Hachette Livre|Hachette]] |année première édition=1971 |réimpression= 1980|pages totales= 614 |page début chapitre= 479|passage= 479-496 }}.
-* ''Libération de la [[Corse]]'', 1973
+* {{Ouvrage|  titre= Libération de la Corse| lieu = Paris| éditeur =  Hachette-Littérature| collection = La libération de la France| année =  1973| année première édition = | réimpression  = | pages totales = 318 | lire en ligne  =https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3359872q  | passage =  | id  = }}.
 == Bibliographie ==
@@ Ligne 58 : / Ligne 85 : @@
 == Liens externes ==
-* {{autorité}}
+{{Liens}}
 * {{fr}} [http://www.france-catholique.fr/Les-guerres-du-general-Gambiez.html Recension du livre ''Les guerres du général Gambiez'' sur le site de ''France Catholique'', avec une brève biographie ]
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 {{DEFAULTSORT:Gambiez, Fernand}}
 [[Catégorie:Général français du XXe siècle]]
 [[Catégorie:Militaire français de l'armée de Vichy]]
-[[Catégorie:Personnalité de la guerre d'Algérie]]
+[[Catégorie:Militaire français de la guerre d'Algérie]]
 [[Catégorie:Grand-croix de la Légion d'honneur]]
 [[Catégorie:Élève de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr]]