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« Charles Müller (peintre) » : différence entre les versions

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{{Voir homonymes|Müller}}
{{Voir homonymes|Charles Müller|Müller}}
{{Infobox Artiste
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'''Charles-Louis Lucien Müller''' né à [[Paris]] le {{date de naissance|22|décembre|1815}} et mort dans la même ville le {{date de décès|9|janvier|1892}}<ref>[[Archives de Paris]], État-civil numérisé du {{8e|arrondissement}} de Paris, V2E 6154, registre des décès de l'année 1892, acte {{numéro|107}} du {{date-|11 janvier 1892}}, vue 15 de la numérisation.</ref> est un [[Artiste peintre|peintre]] [[France|français]].
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| nom de naissance = Charles-Louis Müller
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[[Fichier:Pinel fait enlever les fers aux aliénés de Bicetre-Charles-Louis Mullet.jpg|vignette|''Pinel fait enlever les fers aux aliénés de Bicêtre'', hall de réception de l'[[Académie nationale de médecine]], [[rue Bonaparte]] à Paris.]]


== Biographie ==
'''Charles-Louis Müller''', né à [[Paris]] le {{date de naissance|28|décembre|1815}} et mort le {{date de décès|9|janvier|1892}} dans le [[8e arrondissement de Paris]]<ref>[[Archives de Paris]], État-civil numérisé du {{VIIIe}} arrondissement de Paris, V2E 6154, registre des décès de l'année 1892, acte {{numéro|107}} du 11 janvier 1892, vue 15 de la numérisation.</ref>, est un [[Artiste-peintre|peintre]] [[Nationalité française|français]].
Élève de deux maîtres réputés de la [[peinture néo-classique]] et [[peinture romantique|préromantique]], [[Antoine-Jean Gros]] et [[Léon Cogniet]], Charles Müller s'impose comme un talent polyvalent, à la fois [[peinture d'histoire|peintre d'histoire]], [[Scène de genre|peintre de genre]], [[portrait]]iste et décorateur. Présenté au [[Salon de peinture et de sculpture|Salon]] dès 1834, il y expose jusqu'à sa mort et y est récompensé à plusieurs reprises, obtenant une médaille de {{3e|classe}} au Salon de 1838, une de {{2e|classe}} à celui de 1846, et deux de {{1e|classe}} en 1848 puis et 1855<ref name="Gazette">[https://books.google.fr/books?id=gWcgAQAAMAAJ&pg=PA49&dq=Annuaire+publié+par+la+Gazette+des+beaux-arts+1870+MULLER+Charles+Louis&hl=fr&sa=X&ei=7Pn5TtKZHsG2hQe4zMnSAQ&ved=0CDQQ6AEwAA#v=onepage&q&f=false ''Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts'', année 1870, {{p.|49}}.]</ref>.


Il bénéficie aussi d'une forte reconnaissance institutionnelle. Il est nommé inspecteur des travaux d'art à la [[Manufacture des Gobelins]]. Élu membre de l'[[Académie des beaux-arts (France)|Académie des beaux-arts]] en 1864, Charles Müller siège comme membre des comités d'admission pour l'[[Exposition universelle de 1878]] à Paris. Décoré de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]] en 1849, il est promu au rang d'officier du même ordre en 1859<ref name="Gazette"/>.
== Biographie<ref>[http://books.google.fr/books?id=gWcgAQAAMAAJ&pg=PA49&dq=Annuaire+publié+par+la+Gazette+des+beaux-arts+1870+MULLER+Charles+Louis&hl=fr&sa=X&ei=7Pn5TtKZHsG2hQe4zMnSAQ&ved=0CDQQ6AEwAA#v=onepage&q&f=false ''Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts'', année 1870, p.49.]</ref> ==
Élève de deux maîtres réputés de la [[peinture néoclassique]] et [[peinture romantique|préromantique]], [[Antoine-Jean Gros]] et [[Léon Cogniet]], il s'impose comme un talent polyvalent, à la fois [[peinture d'histoire|peintre d'histoire]], [[peinture de genre|peintre de genre]], [[portrait]]iste et décorateur. Présenté au [[Salon de peinture|Salon]] dès 1834, il y expose jusqu'à sa mort et y est récompensé à plusieurs reprises, obtenant une médaille de 3{{e}} classe au Salon de 1838, une de 2{{e}} classe à celui de 1846, et deux de 1{{e}} classe en 1848 puis et 1855.


Il est inhumé à Paris au [[cimetière du Père-Lachaise]] ({{56e|division}})<ref name=Moiroux/>.
Il bénéficie aussi d'une forte reconnaissance institutionnelle. Il est nommé inspecteur des travaux d'art à la [[Manufacture des Gobelins]]. Élu membre de l'[[Académie des beaux-arts (France)|Académie des beaux-arts]] en 1864, Charles Müller siège comme membre des comités d'admission pour l'[[Exposition universelle de 1878]] à Paris. Décoré de la Légion d'honneur en 1849, il est élevé au rang d'officier du même ordre en 1859.


== Œuvre ==
Il est inhumé au [[cimetière du Père-Lachaise]] ({{56e}} division).
[[Fichier:Pinel fait enlever les fers aux aliénés de Bicetre-Charles-Louis Mullet.jpg|vignette|''Pinel fait enlever les fers aux aliénés de Bicêtre'', [[Paris]], hall de réception de l'[[Académie nationale de médecine]].]]


== Son œuvre ==
=== Méthodes de travail ===
{{section à sourcer|date=septembre 2013}}
[[Peinture académique|Peintre académique]] de qualité, il a travaillé avec l'architecte [[Hector-Martin Lefuel|Hector Lefuel]] lors de la création du Nouveau-[[Musée du Louvre|Louvre]] (1854-1857) pour [[Napoléon III]]. Il a notamment décoré le plafond du salon Denon<ref>Toujours en place.</ref>, ainsi que la salle des États<ref>Où est actuellement conservée [[la Joconde]].</ref>, dont le décor a été détruit par un incendie.
Charles Müller accorde une grande attention aux visages et aux expressions de ses personnages. Ainsi, il commence toujours par faire des études poussées (dessins ou peintures) des parties expressives du corps (visage, mains, positions) avant de se préoccuper des vêtements et du décor.

[[Art académique|Peintre académique]] de qualité, il a travaillé avec l'architecte [[Hector-Martin Lefuel|Hector Lefuel]] lors de la création du [[Musée du Louvre|Nouveau-Louvre]] (1854-1857) pour [[Napoléon III]]. Il a notamment décoré le plafond du salon Denon<ref group="Note">Toujours en place.</ref>, ainsi que la salle des États<ref group="Note">Où est actuellement conservée [[la Joconde]].</ref>, dont le décor a été détruit par un incendie.


=== Salon Denon ===
=== Salon Denon ===
La décoration de cette salle a été réalisée de 1863 à 1866. Elle est dédiée au mécénat artistique des souverains français [[Louis IX de France|Saint Louis]], [[François Ier de France|François {{Ier}}]], [[Louis XIV de France|Louis XIV]] et [[Napoléon Ier|Napoléon {{Ier}}]]. Une composition centrale représente ''Napoléon III écrivant'', symbolisant la France.
La décoration de cette salle a été réalisée de 1863 à 1866. Elle est dédiée au mécénat artistique des souverains français [[Louis IX|Saint Louis]], [[François Ier (roi de France)|François {{Ier}}]], [[Louis XIV]] et [[Napoléon Ier|Napoléon {{Ier}}]]. Une composition centrale représente ''Napoléon III écrivant'', symbolisant la France.


Chaque règne est dépeint dans un compartiment semi-circulaire surmontant deux figures féminines représentant chacune une allégorie relative aux qualités des périodes de l'art des règnes représentés, symbolisant ''L'Observation'', ''L'Étude'', ''La Naïveté'', ''La Fantaisie'', ''La Pensée'', ''L'Inspiration'', ''Le Goût'' et ''L'Invention''.
Chaque règne est dépeint dans un compartiment semi-circulaire surmontant deux figures féminines représentant chacune une allégorie relative aux qualités des périodes de l'art des règnes représentés, symbolisant ''L'Observation'', ''L'Étude'', ''La Naïveté'', ''La Fantaisie'', ''La Pensée'', ''L'Inspiration'', ''Le Goût'' et ''L'Invention''.


Une vingtaine de dessins ou peintures préparatoires à la décoration du plafond de la salle Denon sont conservés au [[département des arts graphiques du musée du Louvre]].
== Ses méthodes de travail ==
{{section à sourcer}}
Charles Müller accorde une grande attention aux visages et aux expressions de ses personnages. Ainsi, il commence toujours par faire des études poussées (dessins ou peintures) des parties expressives du corps (visage, mains, positions) avant de se préoccuper des vêtements et du décor.


== Collections publiques ==
=== Peinture ===
<!-- Liste non exhaustive chronologique -->
* Une vingtaine de dessins ou peintures préparatoires à la décoration du plafond de la salle Denon sont conservés au département des Arts Graphiques du musée du Louvre.
* ''Appel des dernières victimes de la Terreur dans la prison de Saint-Lazare, 9 thermidor (1794)'', [[Versailles]], [[Musée de l'Histoire de France (Versailles)|musée de l'Histoire de France]]
* ''L'Appel des dernières victimes de la Terreur dans la prison de Saint-Lazare, 9 thermidor (1794)'', [[Vizille]], [[musée de la Révolution française]] ;
* ''Le Martyre de saint Barthélémy'', 1838, [[Héry (Yonne)|Héry]], église Saint-Sébastien et Saint-Louis<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_8=REF%2cREFA&VALUE_8=PA00113973&NUMBER=13&GRP=0&REQ=%28%28PA00113973%29%20%3aREF%2cREFA%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous ''Le Martyre de saint Barthélémy''], fiche sur ''culture.gouv.fr''.</ref> ;
* ''Appel des dernières victimes de la Terreur dans la prison de Saint-Lazare, 9 thermidor (1794)'', Versailles, [[musée Lambinet]]
* ''L’Entrée du Christ à Jérusalem'', 1844, [[Riom]], [[église Notre-Dame-du-Marthuret]] ;
* ''Lady Macbeth'', 1849, Amiens , Musée de Picardie ;
* ''Une odalisque'', vers 1850, huile sur toile, {{Dunité|30|27|cm}}, [[Londres]], [[Wallace Collection (musée)|Wallace Collection]]<ref>{{Lien web |titre=Collection |url=https://www.wallacecollection.org/art/ |site=Wallace Collection |consulté le=28 Mars 2021}}.</ref> ;
* ''Madame Mère, 1822'', (de Napoléon) vers 1860, huile sur toile, [[musée d'Art et d'Histoire de Dreux]].

== Distinction ==
* [[Fichier:Chevalier Ordre de Leopold.png|65px]] : chevalier de l'[[ordre de Léopold]] le {{date-|14 décembre 1860}}<ref name="jbruxellesrecompenses">{{Article |auteur1=Rédaction |titre=Exposition nationale des beaux-arts |périodique=Journal de Bruxelles |numéro=352 |date=17 décembre 1860 |pages=1 |lire en ligne=https://uurl.kbr.be/1339367 |consulté le=1 juin 2024 }}.</ref>.


== Notes et références ==
== Notes et références ==
=== Notes ===
<references />
{{Références|groupe=Note}}


== Lien externe ==
=== Références ===
{{Références|références=
{{autres projets|commons=category:Charles-Louis Muller}}
<ref name=Moiroux>{{ouvrage |prénom1=Jules |nom1=Moiroux |titre=Le cimetière du Père Lachaise |lieu=Paris |éditeur=S. Mercadier |année=1908 |lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6423517n/f269 |passage=259}}</ref>
*[http://www.culture.gouv.fr/LH/LH171/PG/FRDAFAN83_OL1963049V001.htm Dossier de Légion d'honneur de Charles-Louis Müller.]
}}

== Liens externes ==
{{autres projets|commons=category:Charles-Louis Müller}}
{{liens}}
* Détails des peintures du plafond de la salle Denon. {{Base Atlas|16337}}
* Détails des peintures du plafond de la salle Denon. {{Base Atlas|16337}}
{{Palette Membres de la section de peinture de l'Académie des beaux-arts}}{{Portail|peinture|France au XIXe siècle}}

{{DEFAULTSORT:Müller, Charles Louis}}
{{Portail|peinture|France au XIXe siècle}}

{{DEFAULTSORT:Muller, Charles Louis}}


[[Catégorie:Peintre français du XIXe siècle]]
[[Catégorie:Peintre français du XIXe siècle]]
[[Catégorie:Peintre d'histoire français]]
[[Catégorie:Peintre d'histoire français]]
[[Catégorie:Peintre académique français]]
[[Catégorie:Peintre académique français]]
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[[Catégorie:Élève de l'École nationale supérieure des beaux-arts au XIXe siècle]]
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[[Catégorie:Académie des beaux-arts (France)]]
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[[Catégorie:Naissance en décembre 1815]]
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[[Catégorie:Naissance dans l'ancien 6e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Décès à Paris]]
[[Catégorie:Décès en janvier 1892]]
[[Catégorie:Personnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 56)]]
[[Catégorie:Décès dans le 8e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Décès à 76 ans]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 56)]]

Dernière version du 2 juin 2024 à 08:41

Charles Müller
Charles Müller photographié par Étienne Carjat (entre 1865 et 1870), Paris, BnF.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Charles, Louis MüllerVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Muller de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Membre de
Mouvement
Maîtres
Genres artistiques
Distinction
Vue de la sépulture.

Charles-Louis Lucien Müller né à Paris le et mort dans la même ville le [1] est un peintre français.

Élève de deux maîtres réputés de la peinture néo-classique et préromantique, Antoine-Jean Gros et Léon Cogniet, Charles Müller s'impose comme un talent polyvalent, à la fois peintre d'histoire, peintre de genre, portraitiste et décorateur. Présenté au Salon dès 1834, il y expose jusqu'à sa mort et y est récompensé à plusieurs reprises, obtenant une médaille de 3e classe au Salon de 1838, une de 2e classe à celui de 1846, et deux de 1re classe en 1848 puis et 1855[2].

Il bénéficie aussi d'une forte reconnaissance institutionnelle. Il est nommé inspecteur des travaux d'art à la Manufacture des Gobelins. Élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1864, Charles Müller siège comme membre des comités d'admission pour l'Exposition universelle de 1878 à Paris. Décoré de la Légion d'honneur en 1849, il est promu au rang d'officier du même ordre en 1859[2].

Il est inhumé à Paris au cimetière du Père-Lachaise (56e division)[3].

Pinel fait enlever les fers aux aliénés de Bicêtre, Paris, hall de réception de l'Académie nationale de médecine.

Méthodes de travail

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Charles Müller accorde une grande attention aux visages et aux expressions de ses personnages. Ainsi, il commence toujours par faire des études poussées (dessins ou peintures) des parties expressives du corps (visage, mains, positions) avant de se préoccuper des vêtements et du décor.

Peintre académique de qualité, il a travaillé avec l'architecte Hector Lefuel lors de la création du Nouveau-Louvre (1854-1857) pour Napoléon III. Il a notamment décoré le plafond du salon Denon[Note 1], ainsi que la salle des États[Note 2], dont le décor a été détruit par un incendie.

Salon Denon

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La décoration de cette salle a été réalisée de 1863 à 1866. Elle est dédiée au mécénat artistique des souverains français Saint Louis, François Ier, Louis XIV et Napoléon Ier. Une composition centrale représente Napoléon III écrivant, symbolisant la France.

Chaque règne est dépeint dans un compartiment semi-circulaire surmontant deux figures féminines représentant chacune une allégorie relative aux qualités des périodes de l'art des règnes représentés, symbolisant L'Observation, L'Étude, La Naïveté, La Fantaisie, La Pensée, L'Inspiration, Le Goût et L'Invention.

Une vingtaine de dessins ou peintures préparatoires à la décoration du plafond de la salle Denon sont conservés au département des arts graphiques du musée du Louvre.

Distinction

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Notes et références

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  1. Toujours en place.
  2. Où est actuellement conservée la Joconde.

Références

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  1. Archives de Paris, État-civil numérisé du 8e arrondissement de Paris, V2E 6154, registre des décès de l'année 1892, acte no 107 du , vue 15 de la numérisation.
  2. a et b Annuaire publié par la Gazette des beaux-arts, année 1870, p. 49.
  3. Jules Moiroux, Le cimetière du Père Lachaise, Paris, S. Mercadier, (lire en ligne), p. 259
  4. Le Martyre de saint Barthélémy, fiche sur culture.gouv.fr.
  5. « Collection », sur Wallace Collection (consulté le ).
  6. Rédaction, « Exposition nationale des beaux-arts », Journal de Bruxelles, no 352,‎ , p. 1 (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes

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