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Les '''adhérents directs de l'[[Union pour la démocratie française|UDF]]''' ('''UDF-AD''') regroupent tous les membres de l'[[Union pour la démocratie française]] (UDF) n'adhérant pas à l'une des formations de la confédération.


== Historique ==
Les '''adhérents directs de l'[[Union pour la démocratie française|UDF]]''' regroupaient, sous le sigle UDF-AD, tous les membres de l'UDF n'adhérant pas à l'une des formations de la Confédération. Une tentative de fusion avec le [[Parti radical valoisien]] au sein d'un mouvement baptisé ''Réforme et République'' échoue. [[Philippe Mestre]] fut le délégué général de cette composante dont la majorité des membres, à l'instar d'[[Hervé Mariton]] et [[Pierre-André Wiltzer]], a par la suite rejoint l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]].

=== Débuts ===
En 1991, lors des élections internes, les adhérents directs recueillent 8,6 % des voix<ref name=":0">{{Lien web |titre=Chronologie de l'Union pour la Démocratie Française UDF |url=https://www.france-politique.fr/chronologie-udf.htm |site=www.france-politique.fr |consulté le=2023-01-01}}</ref>.

Une tentative de fusion avec le [[Parti radical (France)|Parti radical « valoisien »]], au sein d'un mouvement baptisé « Réforme et République », échoue en août 1995, lors de l'université d'été du parti<ref name=":0" />.

=== Ascension et disparition ===
Plusieurs personnalités politiques rejoignent les adhérents directs, comme [[Charles Millon]], [[Gratien Ferrari]], [[Amédée Imbert]], [[Hervé Mariton]], [[Michel Meylan]], [[Alain Moyne-Bressand]], [[Jean Proriol]], [[Francis Galizi]], [[Dominique Paillé]], [[François Loos]] ou [[Aymeri de Montesquiou]]<ref name=":0" />.


Le bulletin du courant, intitulé ''Convictions'', paraît sous la direction d'[[Ernest Cartigny]], assisté de Jean-Michel Genestier et [[Michel Gillibert|Françoise Barquin]].
Le bulletin du courant, intitulé ''Convictions'', paraît sous la direction d'[[Ernest Cartigny]], assisté de Jean-Michel Genestier et [[Michel Gillibert|Françoise Barquin]].


En 1998, la Force démocrate (FD), le Pôle républicain, indépendant et libéral (PRIL-UDF) et les « adhérents directs » (AD) fusionnent dans « la Nouvelle UDF »<ref name=":0" />.
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[[Philippe Mestre]] est le délégué général de cette composante dont la majorité des membres, à l'instar d'[[Hervé Mariton]] et [[Pierre-André Wiltzer]], rejoint par la suit l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]]{{Ref nec|date=1 janvier 2023}}.

== Références ==
<references />

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Dernière version du 8 septembre 2024 à 11:37

Adhérents directs de l'UDF
Cadre
Sigle
UDF-ADVoir et modifier les données sur Wikidata
Typ
Pays

Les adhérents directs de l'UDF (UDF-AD) regroupent tous les membres de l'Union pour la démocratie française (UDF) n'adhérant pas à l'une des formations de la confédération.

En 1991, lors des élections internes, les adhérents directs recueillent 8,6 % des voix[1].

Une tentative de fusion avec le Parti radical « valoisien », au sein d'un mouvement baptisé « Réforme et République », échoue en août 1995, lors de l'université d'été du parti[1].

Ascension et disparition

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Plusieurs personnalités politiques rejoignent les adhérents directs, comme Charles Millon, Gratien Ferrari, Amédée Imbert, Hervé Mariton, Michel Meylan, Alain Moyne-Bressand, Jean Proriol, Francis Galizi, Dominique Paillé, François Loos ou Aymeri de Montesquiou[1].

Le bulletin du courant, intitulé Convictions, paraît sous la direction d'Ernest Cartigny, assisté de Jean-Michel Genestier et Françoise Barquin.

En 1998, la Force démocrate (FD), le Pôle républicain, indépendant et libéral (PRIL-UDF) et les « adhérents directs » (AD) fusionnent dans « la Nouvelle UDF »[1].

Philippe Mestre est le délégué général de cette composante dont la majorité des membres, à l'instar d'Hervé Mariton et Pierre-André Wiltzer, rejoint par la suit l'UMP[réf. nécessaire].

Références

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  1. a b c et d « Chronologie de l'Union pour la Démocratie Française UDF », sur www.france-politique.fr (consulté le )