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« Mouvement de libération nationale des Comores » : différence entre les versions

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Le '''Mouvement de la Libération Nationale des Comores''' (Molinaco) est un parti politique de l'[[Archipel des Comores]] fondé en 1962. Ses membres, pour les plus connus, sont des réfugiés de [[Dar Es Salam]] en [[Tanzanie]], et ils prônaient l'indépendance de l'Archipel vis à vis de la [[France]], vu comme [[colonisation|puissance coloniale]]. Ils ont œuvré auprès de l'[[Organisation de l'unité africaine]]<ref>{{lien web|url=http://countrystudies.us/comoros/4.htm|titre=The Break with France}}</ref>. [[Abou Bacar Boina]] en a été l'un des leaders. [[Mohamed Ali Mbalia]] en a été membre avant de fonder son propre parti le [[Parti socialiste des Comores|Pasoco]].
Le '''Mouvement de la Libération Nationale des Comores''' (Molinaco) est un parti politique de l'[[Archipel des Comores]] fondé en 1962. Ses membres, pour les plus connus, sont des réfugiés de [[Dar Es Salam]] en [[Tanzanie]], et ils prônaient l'indépendance immédiate de l'Archipel vis à vis de la [[France]], une coupure franche avec la métropole, vu comme [[colonisation|puissance coloniale]]. Ils ont œuvré auprès de l'[[Organisation de l'unité africaine]]<ref>{{lien web|url=http://countrystudies.us/comoros/4.htm|titre=The Break with France}}</ref>. [[Abou Bacar Boina]] en a été l'un des leaders. [[Mohamed Ali Mbalia]] en a été membre avant de fonder son propre parti le [[Parti socialiste des Comores|Pasoco]].





Version du 19 janvier 2014 à 15:41

Le Mouvement de la Libération Nationale des Comores (Molinaco) est un parti politique de l'Archipel des Comores fondé en 1962. Ses membres, pour les plus connus, sont des réfugiés de Dar Es Salam en Tanzanie, et ils prônaient l'indépendance immédiate de l'Archipel vis à vis de la France, une coupure franche avec la métropole, vu comme puissance coloniale. Ils ont œuvré auprès de l'Organisation de l'unité africaine[1]. Abou Bacar Boina en a été l'un des leaders. Mohamed Ali Mbalia en a été membre avant de fonder son propre parti le Pasoco.


Entre 1964 et 1968, Saïd Mohamed Cheikh, président du conseil des Comores, doit gérer l'expulsion des Comoriens de Tanzanie, et plus précisément de Zanzibar après la Révolution menée par l'ASP[2].

Voir aussi

Références