Aller au contenu

« Anne-Yvonne Le Dain » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Celette (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Romanc19s (discuter | contributions)
m →‎Biographie : association créée par des scientifiques de l'écologie dans les années 80) au Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad, un EPIC chargé des
Ligne 44 : Ligne 44 :


== Biographie ==
== Biographie ==
Elle est élue députée ([[Parti socialiste (France)|PS]]) lors des [[Élections législatives françaises de 2012|législatives de 2012]] dans la [[Deuxième circonscription de l'Hérault|{{2e|circonscription}} de l'Hérault]]. Sur le plan professionnel, elle est ingénieure agronome et docteur en sciences de la terre (Claude Allègre était dans son jury de thèse), et a travaillé dès ses études dans le domaine de l'environnement et de la biodiversité. De l'Institut des Aménagements Régionaux et de l'Environnement (IARE, une association crée par des scientifiques de l'écologie dans les années 80) au Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad, un EPIC chargé des recherches scientifiques sur les productions et écosystèmes des pays du Sud), en passant par l'Etat français, elle a aussi eu des engagements associatifs tels la création d'un conseil local FCPE sur sa commune, puis la présidence de la fédération départementale de l'Hérault de cette fédération de parents d'élèves. Elle est également mère de 3 garçons. Sur le plan politique, elle a été repéré par Georges Frêche, maire de Montpellier, alors qu'il était président du Conseil des Rivages Méditerranéen du Conservatoire National des Rivages. Son travail pour entamer une protection douce contre l'érosion des littoraux sableux en utilisant des barrières de bois (ganivelles) face à la mer était, au début des années 1980, novatrice et inattendue. Elle décida, quelques années plus tard, d'arrêter de s'intéresser à ces questions car elle a estimé que les services publics de l'Etat étaient trop lents pour assumer la montée du niveau de la mer et enclencher les attitudes raisonnables et responsables face aux enjeux. Elle retourna alors à la science et, repérée par Hubert Curien alors Ministre de la Recherche et de la Technologie, elle s'intéressa aux investissements scientifiques de l'Etat dans les territoires. Elle est également connue pour avoir crée le premier Villages des Sciences en France, en 1993, lors de la première Fête de la Science, en installant le Radeau des Cîmes dans les jardins du Peyrou à Montpellier, puis en installant une rizière sur la Place de la Comédie de cette ville en 1995. Bien avant les champs de blé des Champs Elysées… Elle prît ensuite la Direction d'un département de recherche du Cirad, puis s'intéressa à l'évaluation des activités scientifiques et des scientifiques eux-mêmes. Parallèlement, elle sera aussi élue municipale puis régionale aux côtés de Georges Frêche et de ses successeurs, avant de devenir députée en 2012.
Elle est élue députée ([[Parti socialiste (France)|PS]]) lors des [[Élections législatives françaises de 2012|législatives de 2012]] dans la [[Deuxième circonscription de l'Hérault|{{2e|circonscription}} de l'Hérault]]. Sur le plan professionnel, elle est ingénieure agronome et docteur en sciences de la terre (Claude Allègre était dans son jury de thèse), et a travaillé dès ses études dans le domaine de l'environnement et de la biodiversité. De l'Institut des Aménagements Régionaux et de l'Environnement (IARE, une association créée par des scientifiques de l'écologie dans les années 80) au Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad, un EPIC chargé des recherches scientifiques sur les productions et écosystèmes des pays du Sud), en passant par l'Etat français, elle a aussi eu des engagements associatifs tels la création d'un conseil local FCPE sur sa commune, puis la présidence de la fédération départementale de l'Hérault de cette fédération de parents d'élèves. Elle est également mère de 3 garçons. Sur le plan politique, elle a été repéré par Georges Frêche, maire de Montpellier, alors qu'il était président du Conseil des Rivages Méditerranéen du Conservatoire National des Rivages. Son travail pour entamer une protection douce contre l'érosion des littoraux sableux en utilisant des barrières de bois (ganivelles) face à la mer était, au début des années 1980, novatrice et inattendue. Elle décida, quelques années plus tard, d'arrêter de s'intéresser à ces questions car elle a estimé que les services publics de l'Etat étaient trop lents pour assumer la montée du niveau de la mer et enclencher les attitudes raisonnables et responsables face aux enjeux. Elle retourna alors à la science et, repérée par Hubert Curien alors Ministre de la Recherche et de la Technologie, elle s'intéressa aux investissements scientifiques de l'Etat dans les territoires. Elle est également connue pour avoir crée le premier Villages des Sciences en France, en 1993, lors de la première Fête de la Science, en installant le Radeau des Cîmes dans les jardins du Peyrou à Montpellier, puis en installant une rizière sur la Place de la Comédie de cette ville en 1995. Bien avant les champs de blé des Champs Elysées… Elle prît ensuite la Direction d'un département de recherche du Cirad, puis s'intéressa à l'évaluation des activités scientifiques et des scientifiques eux-mêmes. Parallèlement, elle sera aussi élue municipale puis régionale aux côtés de Georges Frêche et de ses successeurs, avant de devenir députée en 2012.


Hollandiste depuis son engagement dans le courant "Démocratie 2000" dans les années 80, puis chez les TransCourants, elle prît ensuite ses distances avec les clubs Témoins, mais eût le soutien du candidat François Hollande pour être investie par le PS en 2012, et lui resta fidèle pendant toute la mandature. Elle soutînt [[Emmanuel Macron]] pour l'[[élection présidentielle française de 2017|élection présidentielle de 2017]]<ref>Romain Berchet, [https://www.francebleu.fr/infos/politique/la-deputee-ps-de-l-herault-anne-yvonne-le-dain-soutient-emmanuel-macron-1490806351 « La députée PS de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain soutient Emmanuel Macron »], francebleu.fr, 29 mars 2017.</ref>. Avant que cela ne soit officialisé par le comité d'investiture d'[[En marche !]], [[Philippe Saurel]] annonce dans la presse qu'il forme pour les [[élections législatives françaises de 2017|prochaines élections législatives]] un ticket avec Anne-Yvonne Le Dain afin de devenir son suppléant sous la bannière du mouvement ; cela suscite des crispations, la référente départementale d'[[La République en marche !|En marche !]] s'opposant à ce tandem, dénonçant un {{Citation|chantage}} et rappelant que la commission d'investiture n'a pas encore tranché sa décision<ref>Marcelo Wesfreid et François-Xavier Bourmaud, [http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/12/35003-20170412ARTFIG00376-les-rivalites-commencent-a-eclater-dans-le-camp-macron.php « Les rivalités commencent à éclater dans le camp Macron »], lefigaro.fr, 12 avril 2017.</ref>. Anne-Yvonne Le Dain reste cependant membre du [[Parti socialiste (France)|Parti Socialiste]] et est investie par ce parti pour les élections législatives après un vote des adhérents<ref>Cédric Nithard, [http://e-metropolitain.fr/2017/04/11/anne-yvonne-le-dain-recadre-coralie-dubost-referente-den-marche-herault/ « Anne-Yvonne Le Dain recadre Coralie Dubost, référente d’En Marche Hérault »], e-metropolitain.fr, 11 avril 2017.</ref> puis finalement désinvestie<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=La députée de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain désinvestie pour son soutien à Macron poursuit le PS - France 3 Occitanie|périodique=France 3 Occitanie|date=30 mai 2017|issn=|lire en ligne=http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier-metropole/montpellier/deputee-herault-anne-yvonne-dain-desinvestie-son-soutien-macron-poursuit-ps-1263763.html|consulté le=2017-06-13|pages=}}</ref>. Le tribunal de grande instance de Paris a condamné cette décision, sans contraindre toutefois le PS à modifier son investiture, sanction que n'avait pas sollicitée la candidate. Elle s'est finalement présentée sous étiquette "divers gauche"<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Victoire symbolique en justice pour Anne-Yvonne Le Dain désinvestie par le PS à Montpellier - France 3 Occitanie|périodique=France 3 Occitanie|date=02 juin 2017|issn=|lire en ligne=http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier-metropole/montpellier/victoire-symbolique-justice-anne-yvonne-dain-desinvestie-ps-montpellier-1266103.html|consulté le=2017-06-13|pages=}}</ref>{{,}}<ref>TGI Paris, 2 juin 2017, n° 17/07437. Lire en ligne : https://www.doctrine.fr/d/TGI/Paris/2017/DE5466239456014965</ref> et a été battue dès le premier tour ainsi que la candidate investie par le PS<ref>{{Lien web|langue=|nom1=Ministère de l'Intérieur|prénom1=|titre=Elections législatives 2017 - Hérault (34) - 2ème circonscription - résultats de la circonscription au 1er tour|url=http://elections.interieur.gouv.fr/legislatives-2017/034/03402.html|site=elections.interieur.gouv.fr|date=|consulté le=2017-06-13}}</ref>.
Hollandiste depuis son engagement dans le courant "Démocratie 2000" dans les années 80, puis chez les TransCourants, elle prît ensuite ses distances avec les clubs Témoins, mais eût le soutien du candidat François Hollande pour être investie par le PS en 2012, et lui resta fidèle pendant toute la mandature. Elle soutînt [[Emmanuel Macron]] pour l'[[élection présidentielle française de 2017|élection présidentielle de 2017]]<ref>Romain Berchet, [https://www.francebleu.fr/infos/politique/la-deputee-ps-de-l-herault-anne-yvonne-le-dain-soutient-emmanuel-macron-1490806351 « La députée PS de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain soutient Emmanuel Macron »], francebleu.fr, 29 mars 2017.</ref>. Avant que cela ne soit officialisé par le comité d'investiture d'[[En marche !]], [[Philippe Saurel]] annonce dans la presse qu'il forme pour les [[élections législatives françaises de 2017|prochaines élections législatives]] un ticket avec Anne-Yvonne Le Dain afin de devenir son suppléant sous la bannière du mouvement ; cela suscite des crispations, la référente départementale d'[[La République en marche !|En marche !]] s'opposant à ce tandem, dénonçant un {{Citation|chantage}} et rappelant que la commission d'investiture n'a pas encore tranché sa décision<ref>Marcelo Wesfreid et François-Xavier Bourmaud, [http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/12/35003-20170412ARTFIG00376-les-rivalites-commencent-a-eclater-dans-le-camp-macron.php « Les rivalités commencent à éclater dans le camp Macron »], lefigaro.fr, 12 avril 2017.</ref>. Anne-Yvonne Le Dain reste cependant membre du [[Parti socialiste (France)|Parti Socialiste]] et est investie par ce parti pour les élections législatives après un vote des adhérents<ref>Cédric Nithard, [http://e-metropolitain.fr/2017/04/11/anne-yvonne-le-dain-recadre-coralie-dubost-referente-den-marche-herault/ « Anne-Yvonne Le Dain recadre Coralie Dubost, référente d’En Marche Hérault »], e-metropolitain.fr, 11 avril 2017.</ref> puis finalement désinvestie<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=La députée de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain désinvestie pour son soutien à Macron poursuit le PS - France 3 Occitanie|périodique=France 3 Occitanie|date=30 mai 2017|issn=|lire en ligne=http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier-metropole/montpellier/deputee-herault-anne-yvonne-dain-desinvestie-son-soutien-macron-poursuit-ps-1263763.html|consulté le=2017-06-13|pages=}}</ref>. Le tribunal de grande instance de Paris a condamné cette décision, sans contraindre toutefois le PS à modifier son investiture, sanction que n'avait pas sollicitée la candidate. Elle s'est finalement présentée sous étiquette "divers gauche"<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Victoire symbolique en justice pour Anne-Yvonne Le Dain désinvestie par le PS à Montpellier - France 3 Occitanie|périodique=France 3 Occitanie|date=02 juin 2017|issn=|lire en ligne=http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier-metropole/montpellier/victoire-symbolique-justice-anne-yvonne-dain-desinvestie-ps-montpellier-1266103.html|consulté le=2017-06-13|pages=}}</ref>{{,}}<ref>TGI Paris, 2 juin 2017, n° 17/07437. Lire en ligne : https://www.doctrine.fr/d/TGI/Paris/2017/DE5466239456014965</ref> et a été battue dès le premier tour ainsi que la candidate investie par le PS<ref>{{Lien web|langue=|nom1=Ministère de l'Intérieur|prénom1=|titre=Elections législatives 2017 - Hérault (34) - 2ème circonscription - résultats de la circonscription au 1er tour|url=http://elections.interieur.gouv.fr/legislatives-2017/034/03402.html|site=elections.interieur.gouv.fr|date=|consulté le=2017-06-13}}</ref>.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 2 septembre 2017 à 19:01

Anne-Yvonne Le Dain
Illustration.
Anne-Yvonne Le Dain en juin 2012.
Fonctions
Députée de la 2e circonscription de l'Hérault
-
(5 ans)
Prédécesseur André Vézinhet
Successeur Muriel Ressiguier
Biographie
Date de naissance (69 ans)
Lieu de naissance Versailles (Yvelines)
Nationalité Française
Parti politique PS

Anne-Yvonne Le Dain, née le à Versailles (Seine-et-Oise), est une femme politique française.

Biographie

Elle est élue députée (PS) lors des législatives de 2012 dans la 2e circonscription de l'Hérault. Sur le plan professionnel, elle est ingénieure agronome et docteur en sciences de la terre (Claude Allègre était dans son jury de thèse), et a travaillé dès ses études dans le domaine de l'environnement et de la biodiversité. De l'Institut des Aménagements Régionaux et de l'Environnement (IARE, une association créée par des scientifiques de l'écologie dans les années 80) au Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement (Cirad, un EPIC chargé des recherches scientifiques sur les productions et écosystèmes des pays du Sud), en passant par l'Etat français, elle a aussi eu des engagements associatifs tels la création d'un conseil local FCPE sur sa commune, puis la présidence de la fédération départementale de l'Hérault de cette fédération de parents d'élèves. Elle est également mère de 3 garçons. Sur le plan politique, elle a été repéré par Georges Frêche, maire de Montpellier, alors qu'il était président du Conseil des Rivages Méditerranéen du Conservatoire National des Rivages. Son travail pour entamer une protection douce contre l'érosion des littoraux sableux en utilisant des barrières de bois (ganivelles) face à la mer était, au début des années 1980, novatrice et inattendue. Elle décida, quelques années plus tard, d'arrêter de s'intéresser à ces questions car elle a estimé que les services publics de l'Etat étaient trop lents pour assumer la montée du niveau de la mer et enclencher les attitudes raisonnables et responsables face aux enjeux. Elle retourna alors à la science et, repérée par Hubert Curien alors Ministre de la Recherche et de la Technologie, elle s'intéressa aux investissements scientifiques de l'Etat dans les territoires. Elle est également connue pour avoir crée le premier Villages des Sciences en France, en 1993, lors de la première Fête de la Science, en installant le Radeau des Cîmes dans les jardins du Peyrou à Montpellier, puis en installant une rizière sur la Place de la Comédie de cette ville en 1995. Bien avant les champs de blé des Champs Elysées… Elle prît ensuite la Direction d'un département de recherche du Cirad, puis s'intéressa à l'évaluation des activités scientifiques et des scientifiques eux-mêmes. Parallèlement, elle sera aussi élue municipale puis régionale aux côtés de Georges Frêche et de ses successeurs, avant de devenir députée en 2012.

Hollandiste depuis son engagement dans le courant "Démocratie 2000" dans les années 80, puis chez les TransCourants, elle prît ensuite ses distances avec les clubs Témoins, mais eût le soutien du candidat François Hollande pour être investie par le PS en 2012, et lui resta fidèle pendant toute la mandature. Elle soutînt Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle de 2017[1]. Avant que cela ne soit officialisé par le comité d'investiture d'En marche !, Philippe Saurel annonce dans la presse qu'il forme pour les prochaines élections législatives un ticket avec Anne-Yvonne Le Dain afin de devenir son suppléant sous la bannière du mouvement ; cela suscite des crispations, la référente départementale d'En marche ! s'opposant à ce tandem, dénonçant un « chantage » et rappelant que la commission d'investiture n'a pas encore tranché sa décision[2]. Anne-Yvonne Le Dain reste cependant membre du Parti Socialiste et est investie par ce parti pour les élections législatives après un vote des adhérents[3] puis finalement désinvestie[4]. Le tribunal de grande instance de Paris a condamné cette décision, sans contraindre toutefois le PS à modifier son investiture, sanction que n'avait pas sollicitée la candidate. Elle s'est finalement présentée sous étiquette "divers gauche"[5],[6] et a été battue dès le premier tour ainsi que la candidate investie par le PS[7].

Notes et références

  1. Romain Berchet, « La députée PS de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain soutient Emmanuel Macron », francebleu.fr, 29 mars 2017.
  2. Marcelo Wesfreid et François-Xavier Bourmaud, « Les rivalités commencent à éclater dans le camp Macron », lefigaro.fr, 12 avril 2017.
  3. Cédric Nithard, « Anne-Yvonne Le Dain recadre Coralie Dubost, référente d’En Marche Hérault », e-metropolitain.fr, 11 avril 2017.
  4. « La députée de l'Hérault Anne-Yvonne Le Dain désinvestie pour son soutien à Macron poursuit le PS - France 3 Occitanie », France 3 Occitanie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « Victoire symbolique en justice pour Anne-Yvonne Le Dain désinvestie par le PS à Montpellier - France 3 Occitanie », France 3 Occitanie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. TGI Paris, 2 juin 2017, n° 17/07437. Lire en ligne : https://www.doctrine.fr/d/TGI/Paris/2017/DE5466239456014965
  7. Ministère de l'Intérieur, « Elections législatives 2017 - Hérault (34) - 2ème circonscription - résultats de la circonscription au 1er tour », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes