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'''''Valeurs actuelles''''' est un [[magazine d'actualité]] [[Presse d'opinion|d'opinion]] [[hebdomadaire]] [[France|français]], créé en [[1966]] par [[Raymond Bourgine]].
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À l'origine une [[Liste de la presse économique et financière|revue d'information boursière]] reprenant le contenu de l'hebdomadaire ''Finances'', ''Valeurs actuelles'' devient peu à peu un journal d'opinion et généraliste. Sa ligne éditoriale se radicalise en 2012 avec l'arrivée d'[[Yves de Kerdrel]] à sa tête, passant d'une ligne [[Libéral-conservatisme|libérale-conservatrice]] à un classement plus à l'[[extrême droite]].
À l'origine une [[Liste de la presse économique et financière|revue d'information boursière]] reprenant le contenu de l'hebdomadaire ''Finances'', ''Valeurs actuelles'' devient peu à peu un journal d'opinion et généraliste. Partant d'une ligne éditoriale [[Libéral-conservatisme|libérale-conservatrice]], il se droitise nettement depuis 2012 et l'arrivée d'[[Yves de Kerdrel]] à sa tête.


Il fait partie du groupe Valmonde.
Il fait partie du groupe Valmonde.

Version du 25 avril 2020 à 21:18

Valeurs actuelles
Image illustrative de l’article Valeurs actuelles

Pays Drapeau de la France Frankreich
Langue français
Périodicité Hebdomadaire, parution le jeudi
Genre Magazine d'actualité
Prix au numéro 5,50 €
Diffusion 114 193[1] ex. (2017, en diminution-2,3 %)
Fondateur Raymond Bourgine
Date de fondation 1966 (il y a 58 ans ans)
Ville d’édition Clichy

Propriétaire Groupe Valmonde
Directeur de publication Erik Monjalous
Directeur de la rédaction Geoffroy Lejeune
Rédacteur en chef Mickaël Fonton et Raphaël Stainville (France)
Antoine Colonna (monde)
Frédéric Paya (économie, finance)
Laurent Dandrieu (culture)
Louis de Raguenel (défense, police, justice)
ISSN 0049-5794
Seite web valeursactuelles.com

Valeurs actuelles est un magazine d'actualité d'opinion hebdomadaire français, créé en 1966 par Raymond Bourgine.

À l'origine une revue d'information boursière reprenant le contenu de l'hebdomadaire Finances, Valeurs actuelles devient peu à peu un journal d'opinion et généraliste. Partant d'une ligne éditoriale libérale-conservatrice, il se droitise nettement depuis 2012 et l'arrivée d'Yves de Kerdrel à sa tête.

Il fait partie du groupe Valmonde.

Historique du journal

Années Bourgine

L'origine du titre remonte à la création de l'hebdomadaire Finance en 1957, édité par la Compagnie française de journaux (CFJ).

En 1966, Raymond Bourgine crée le titre Valeurs actuelles. Il le dirigera pendant plus de vingt ans, jusqu'à sa mort en 1990, à l'âge de 65 ans.

De 1966, où le titre devient Valeurs actuelles jusqu'au milieu des années 1980, diverses personnalités, dont Paul Chambrillon qui assure la critique dramatique et la chronique gastronomique, contribuent à l'essor puis au rayonnement de la publication.

L’écrivain antisémite et collaborationniste Lucien Rebatet y a tenu une critique cinéma de la fondation du journal en 1966 à sa mort en 1972, sous le pseudonyme de François Vinneuil[2].

Histoire récente

1990-2006

Passé après la mort de Raymond Bourgine, en 1990, sous le contrôle de Marc Ladreit de Lacharrière[3], le groupe Valmonde est ensuite devenu une filiale à 100 % de la holding Dassault Communication de Serge Dassault.

2006-2012

En janvier 2006, Sud Communication, dont le propriétaire est Pierre Fabre, est devenu actionnaire majoritaire de Valmonde à hauteur de 66,66 % du capital. Les 33,34 % restant détenus par Dassault jusqu'en décembre 2007, puis également cédé à Sud communication. Toutefois, le conseil de surveillance reste présidé par Olivier Dassault, et son directoire par Pierre-Yves Revol. Le groupe Valmonde a été dirigé de 2006 à juillet 2012 par Guillaume Roquette.

Avec le lancement d'une nouvelle formule en décembre 2006, Le titre a accéléré l'augmentation de sa diffusion payée, de + 7,5 % en 2007, et + 8,5 % sur le premier trimestre 2008[4].

La nouvelle formule est marquée par une augmentation de 10 % de la pagination et l'arrivée de nouveaux chroniqueurs.

Le journaliste François d'Orcival signe chaque semaine l'éditorial de Valeurs actuelles. Depuis le 15 décembre 2004, il est président du comité éditorial du groupe Valmonde qui publie également Le Spectacle du monde, disparu en 2014.

Chaque semaine, la lettre de M. de Rastignac, référence à Eugène de Rastignac, personnage d'Honoré de Balzac, présente de façon humoristique l'actualité politique française dans le style de l'écrivain, les noms des personnalités politiques étant modifiés. Nicolas Sarkozy y est par exemple Martial Kropoly.

2012-2015

L'hebdomadaire fut, jusqu'à sa mort, propriété de Pierre Fabre, propriétaire du laboratoire du même nom.

Après l’élection de François Hollande, il se place dans l'opposition, en critiquant régulièrement les politiques de la gauche au pouvoir[5],[6],[7].

Depuis le 1er octobre 2012, le directeur général du groupe est Yves de Kerdrel. Ce dernier est aussi chroniqueur économique au Figaro depuis 2005 après avoir été éditorialiste aux Échos de 1999 à 2005. Yves de Kerdrel a été membre de la Commission pour la libération de la croissance française, membre du Conseil pour la diffusion de la culture économique, et membre de la commission du dialogue économique du Medef. Il est toujours membre du Comité d'éthique de l'instance patronale.

Le , Valeurs actuelles change de formule et vise une diffusion de 100 000 exemplaires[8]. Six mois après le lancement de cette nouvelle formule, les ventes en kiosques affichaient une hausse de 50 % alors que dans le même temps celles du Point et du Figaro Magazine étaient en repli[réf. nécessaire].

Le directeur général Yves de Kerdrel brosse le portrait de son lectorat en 2013 : « le profil type est un Français bourgeois, rural, de profession libérale, avec des préoccupations très provinciales. Il est contre le politiquement correct et contre le parisianisme »[9].

Depuis 2015

Le groupe Pierre Fabre cède en avril 2015 le titre à Privinvest Médias, du Groupe Privinvest, appartenant au trio Iskandar Safa, Étienne Mougeotte et Charles Villeneuve[10].

Yves de Kerdrel, directeur général de l'hebdomadaire, annonce un partenariat avec le site d'actualité Boulevard Voltaire dans le cadre des « Rendez-vous de Béziers », événement à l'initiative du maire de Béziers Robert Ménard, rassemblant divers personnalités et politiques de droite et d'extrême droite[11].

Le 31 mai 2015, Geoffroy Lejeune succède à Yves de Kerdrel.

En octobre 2017, l'éditeur du journal, le groupe Valmonde, porte plainte pour « abus de confiance, escroquerie, faux, usage de faux, complicité et recel de ces délits ». Depuis 2002, plusieurs millions d'euros auraient été détournés par un cadre de Valeurs actuelles grâce à un système de surfacturation, avec la complicité d'une entreprise extérieure. Si le nom du cadre incriminé n'est pas révélé, il s'agirait, selon Libération, d'« un cadre haut placé dans la hiérarchie de l’entreprise, une sorte de numéro 2, qui avait la main sur la gestion des sous-traitants et sur une partie de la comptabilité de l'entreprise »[12],[13].

À l'issue d'un conseil d'administration tenu le 25 mai 2017, le groupe Valmonde & Cie annonce le départ d'Yves de Kerdrel, qui quitte ses fonctions de directeur général « afin de mener à bien de nouveaux projets », mais qui demeure éditorialiste. Il est remplacé par Erik Monjalous, ancien directeur commercial et marketing de l’Agence France-Presse, passé par L'Opinion[14].

Identité visuelle (logotype)

Positionnement politique

Le magazine est défini par le président de son comité éditorial, François d'Orcival, entré au magazine en 1968, comme « libéral en économie et conservateur sur les sujets de société »[15].

Selon Le Monde, Valeurs actuelles a une ligne éditoriale conservatrice, « plus à droite que celle du Figaro », qualifiant le titre de « journal qui veut tirer la droite vers la droite ». Le quotidien observe que cette ligne éditoriale se durcit depuis 2012 et que l'hebdomadaire « multiplie les couvertures « choc » sur l’islam ou l’immigration, autant de signaux envoyés à un électorat de droite radicalisé et parfois tenté par le Front national »[16],[15]. Pour L'Obs, cette radicalisation est concomitante de l'arrivée d'Yves de Kerdrel à la tête de la rédaction en octobre 2012, qui adopte « un axe résolument conservateur, structuré autour de ses obsessions identitaires. Une thématique dans la droite ligne de son poulain Nicolas Sarkozy, ravi d’être régulièrement mis à l’affiche dans la perspective de 2017 »[17].

Selon Libération qui le qualifie de « très réactionnaire », le magazine se situe politiquement à l'extrême droite[18], à la suite d'un repositionnement résultant d'une radicalisation par opportunisme. Le journal cite Yves de Kerdrel : « Il y avait une part de marché à prendre. La France des invisibles gronde, le pays se droitise. Je laboure un terrain plus important qu’en 2012 »[19]. L'Express considère que ce positionnement suit la radicalisation des électeurs et est à l'origine de l'explosion des ventes du journal[20].

Dans Les Années 30 sont de retour, coécrit par les journalistes Renaud Dély et Claude Askolovitch et les historiens Pascal Blanchard et Yvan Gastaut, le repositionnement politique du magazine est mis en perspective avec une autre période historique : « Derrière la radicalisation de Valeurs actuelles, on ne trouve pas un militant marginal d'extrême droite mais un journaliste économique parfaitement intégré, Yves de Kerdrel, passé par le quotidien de référence Les Échos puis Le Figaro, qui a lancé un site internet d'information économique, Wansquare, qui adhère à tous les dogmes libéraux. Cette modernité est aussi un rappel des années 1930, quand la bascule à l'extrême droite se faisait à l'ombre du grand patronat. Il y a, dans l'air du temps, de quoi nourrir, capter, enrichir la radicalisation. Il va la saisir et l'entretenir. À l'été 2014, c'est dans Valeurs actuelles que Nicolas Sarkozy fait miroiter son retour en politique : le point idéologique moyen de la droite a bougé. »[21]

En 2016, Yves de Kerdrel intervient à une réunion de la « droite hors les murs », « frange de la droite qui ne se reconnaît ni dans le Front national ni dans Les Républicains » organisée par Robert Ménard, maire de Béziers. Il y déclare : « Nous sommes conscients que la droite « hors les murs » représente l’essentiel de notre lectorat »[22].

Lors du changement de propriétaires en 2016, onze salariés sur cinquante quittent le journal, en partie pour profiter de conditions avantageuses, en partie contre la nouvelle ligne éditoriale[19].

Valeurs actuelles noue également des liens avec le régime de Bachar el-Assad pour l'organisation en 2019 de voyages touristiques en Syrie[23].

Controverses et condamnations

Valeurs actuelles fait en 2013 l'objet de plaintes de la part des associations de lutte contre le racisme (SOS Racisme et le MRAP), ainsi que l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), à la suite de la parution de certaines unes et certains articles considérées, selon celles-ci, comme de l'incitation à la haine raciale[24]. En retour, Valeurs actuelles a porté plainte contre l’UEJF « pour dénonciation calomnieuse, diffamation et atteinte à la liberté d’expression »[25].

En septembre 2014, Valeurs actuelles diffuse une étude favorable à Nicolas Sarkozy[26] pour l'élection de la présidence de l'UMP, sous le terme « sondage » ; sans indiquer le minimum d'information sur son origine et la méthode employée pour obtenir les résultats, ce qui déclenche une polémique[27]. Convoqués par la Commission des sondages le 5 septembre, les représentants du journal n'ont pas été capables de fournir d'éléments « permettant d’établir, de manière certaine, l’existence de ce sondage électoral », indiquant que Valeurs Actuelles a sciemment diffusé un faux sondage[28],[29].

En octobre 2014, le journal publie un reportage qui détaille les rendez-vous de journalistes du Monde dans leur enquête sur Nicolas Sarkozy, ce qui déclenche une polémique. La direction du Monde annonce le jour même qu'elle allait demander l'ouverture « d'une enquête pour espionnage et déposer une plainte pour diffamation et injure », et la rédaction de 14 grands médias français publie un communiqué commun dénonçant une « atteinte grave au secret des sources »[30]. Réagissant à cette « levée de boucliers de certains professionnels indignés », Gilles-William Goldnadel dans Valeurs actuelles n'y voit que la marque d'une « idéologie sélective »[31].

Le , Yves de Kerdrel, directeur de la publication de Valeurs Actuelles est condamné[32] par la 17e chambre du TGI de Paris à 2 000  d'amendes pour provocation à la haine raciale, à la suite d'une plainte de plusieurs associations (dont l'UEJF) pour sa couverture du qui représentait une Marianne voilée accompagnée du titre « Naturalisés : l'invasion qu'on cache »[33].

Ce jugement est annulé par la Cour de cassation le 7 juin 2017[34],[35].

Le Yves de Kerdrel, directeur de la publication de Valeurs Actuelles est condamné par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris à 3 000  d'amendes pour provocation à la discrimination, la haine ou la violence envers les Roms et diffamation pour un dossier consacré aux Roms[36], intitulé « Roms l'overdose »[37] du . Les juges ont souligné que, dans ce dossier, « la répétition et la juxtaposition de termes censés [être] descriptifs tels que “fléau”, “overdose”, “plaie”, “invasion”, tous évocateurs de maladies ou de catastrophes [...] contribuent nécessairement, par-delà le supposé “constat” à opposer la communauté visée, appréhendée sous un prisme uniquement négatif, à “la France” ou aux “Français” ». Yves de Kerdrel et la société Valmonde, éditrice du journal, ont été condamnés en appel le à verser solidairement 2 000  de dommages et intérêts à la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) et 1 000  à l'association La Voix des Roms[38].

En 2015, l'État institue des subventions aux hebdomadaires, mais en prive Valeurs Actuelles en les déniant aux journaux condamnés pour racisme, incitation à la haine ou à la violence au cours des cinq dernières années. Le journal conteste ces aides devant la justice. En 2017, elles sont invalidées par le Conseil d'État[39].

Le , le visage de Georges Soros apparaît sur la couverture de Valeurs actuelles sous le titre : « Le milliardaire qui complote contre la France, révélations sur Georges Soros le financier mondial de l'islam et de l'islamisme »[40]. La une crée la polémique pour ses accents antisémites, ce dont Geoffroy Lejeune se défend[41]. Mediapart estime que les propos du magazine reprennent « tous les poncifs de l’antisémitisme [...], dans une prose qui fleure bon les années 1930 », et juge cette focalisation sur George Soros « calquée sur les orientations prises par le premier ministre hongrois Viktor Orbán » ; le journal en ligne considère également qu'« il pourrait bien être l’ennemi commun capable de fédérer les extrêmes droites européennes »[42]. Pour le magazine Slate, cette une « remet au goût du jour la ligne éditoriale d'un autre journal de droite extrême, le très polémique Rivarol »[43]. Le mensuel américain The Atlantic estime que le contenu des articles consacrés à Soros reprennent « une rhétorique bien connue, ayant une longue histoire en Europe », et qui « exacerbe les plus sombres courants politiques en Europe de l'Ouest »[44]. Selon le site Conspiracy Watch, le magazine « n’a pas résisté à la tentation d’envelopper son exercice de Soros-bashing dans les langes usés du conspirationnisme »[45]. L'historien Thomas Snégaroff déclare à propos de cette une : « Le vieil antisémitisme n'est pas mort »[46]. Le journaliste Nicolas Chapuis, chef du service politique du journal Le Monde, juge le propos des articles complotiste[47].

Diffusion

Année Diffusion France Payée[1] Évolution annuelle Diffusion Totale[1]
(gratuits inclus)
2012 84 864 - 88 241
2013 94 849 en augmentation + 11,8 % 98 612
2014 110 144 en augmentation + 16,1 % 117 449
2015 116 117 en augmentation + 5,4 % 123 153
2016 116 839 en augmentation + 0,6 % 122 731
2017 113 762 en diminution - 2,7 % 121 604
2018 93 158 en diminution - 22,1 % 96 449
2019 96 627 en augmentation + 3,72 % 99 561

En 2017, Valeurs actuelles a reçu pour la cinquième année consécutive une étoile de l'ACPM (anciennement OJD), pour la progression de sa diffusion, la meilleure de la presse magazine[48].

Mediapart souligne en janvier 2018 que « depuis le grand virage à droite qui a suivi la reprise en main du titre du groupe Le Figaro par Yves de Kerdrel en 2012, les ventes ont fortement progressé : elles sont passées de 87 000 cette année-là à 125 000 l'été dernier »[49].

Éditions

La diffusion est initialement tournée essentiellement vers l'abonnement. Avec l'avancement de la date de parution d'une journée, au jeudi, Valeurs actuelles accroît sa diffusion au numéro.

En 2016, la vente par abonnement représente 73,84 % des ventes totales, la vente au numéro 25,10% et les versions numériques 1,06%[1].

Résultats financiers

Avec un chiffre d'affaires de 18 millions d'euros en 2015, Valeurs actuelles a réalisé un bénéfice de plus d'1 million d'euros[Passage à actualiser][19].

Collaborateurs

Direction

Directeur général

Directeur de la rédaction

Le titre a fourni trois directeurs au Figaro Magazine : Patrice de Plunkett, Alexis Brézet et Guillaume Roquette, son directeur actuel, ainsi qu'un rédacteur en chef, Henri-Christian Giraud[15].

Équipe de rédaction

Éditorialistes

Chroniqueurs hebdomadaires

Chroniqueurs réguliers

Groupe Valmonde

Valeurs actuelles est propriété du groupe Valmonde.

Celui-ci édite la revue Marine & Océans depuis 2016[50]. En juin 2017, il acquiert le mensuel économique Mieux vivre votre argent à SFR Presse, et cède les titres Jours de Chasse et Jours de Cheval au groupe immobilier de luxe Barnes[51].

Actionnaire majoritaire

L'actionnaire principal du groupe Valmonde est :

Notes et références

  1. a b c et d ACPM Diffusion France payée moyenne, 2017.
  2. Pascal Ifri, Les Deux Étendards de Lucien Rebatet : dossier d'un chef-d'œuvre maudit, page 27, Éditions l'Âge d'Homme, 2001
  3. Faits et Documents, N° 321, 15 au 30 septembre 2011, page 2
  4. OJD DDT 1er trimestre 2008.
  5. https://www.valeursactuelles.com/haro-%E2%80%9Criches%E2%80%9D20130724.html
  6. https://www.valeursactuelles.com/pierre-berg%C3%A9-parrain-gauche20130723.html
  7. https://www.valeursactuelles.com/boucs-%C3%A9missaires-gauche20130724.html-0
  8. Alexandre Debouté, « « Valeurs actuelles » veut être un « news » à part entière », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  9. Delphine Legouté, « On est allé voir pourquoi Valeurs actuelles a été rebaptisé Valeurs poubelle », sur lelab.europe1.fr, (consulté le )
  10. « Communiqué de presse de Valeurs Actuelles », sur valeursactuelles.com, (consulté le )
  11. « A Béziers, rendez-vous manqué pour « l'union des droites » », sur liberation.fr, (consulté le )
  12. « Un cadre de Valeurs Actuelles aurait détourné "plusieurs millions d'euros" », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. « Escroquerie : « Valeurs actuelles » accuse un ennemi de l’intérieur », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. « Départ du directeur de l’hebdomadaire « Valeurs actuelles », Yves de Kerdrel », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. a b et c Xavier Ternisien, « Une filière "Valeurs actuelles" à la tête du "Figaro" », sur lemonde.fr, (consulté le )
  16. « « Valeurs actuelles » en passe d’être vendu », sur LeMonde.fr,
  17. Marie Vaton, « "Valeurs Actuelles" : enquête sur une extrême droitisation », sur Teleobs, (consulté le )
  18. Taubira et le laxisme : quatre ans d'intox de la droite, Libération, 27/1/2016.
  19. a b et c Jérôme Lefilliâtre, « «Valeurs actuelles» : dans la rédac des ultraréacs », sur liberation.fr, (consulté le )
  20. Renaud Revel, « Valeurs Actuelles, l'attrape-droites », sur lexpress.fr, (consulté le )
  21. Les Années 30 sont de retour, ouvrage collectif, Flammarion, octobre 2014.
  22. Olivier Faye (Béziers, envoyé spécial) et Alexandre Piquard, « “Valeurs actuelles”, le journal qui veut tirer la droite vers la droite », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  23. Maxime Macé et Pierre Plottu, Extrême droite: les liaisons dangereuses entre Valeurs actuelles et le régime syrien, France Soir, 7 août 2019.
  24. Marianne voilée : la nouvelle une « haineuse » de « Valeurs actuelles », Le Nouvel Obs, 26 septembre 2013
  25. Valeurs Actuelles porte plainte contre l’UEJF, valeursactuelles.com, 25 septembre 2013
  26. « Valeurs Actuelles / L'Opinion : le sondage Sarkozy était bidon », sur arretsurimages.net, Arrêt Sur Images, (consulté le ).
  27. Va-t-on savoir qui a payé le mystérieux sondage pro-Sarkozy ?, Marianne, 3 septembre 2014
  28. Un sondage pas si confidentiel (suite et fin), Observatoire des sondages, 8 septembre 2014
  29. « Le sondage de Valeurs Actuelles sur Sarkozy était bidon », sur 20minutes.fr, 20 Minutes, (consulté le ).
  30. Les rédactions de 14 médias dénoncent les méthodes de "Valeurs actuelles", Le Point, 17 octobre 2014
  31. Goldnadel : "Des journalistes auraient-ils plus de droits que les hommes politiques ?", Gilles-William Goldnadel, valeursactuelles.com, 20 octobre 2014
  32. « Marianne voilée : le directeur de « Valeurs actuelles » condamné », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  33. « "Valeurs Actuelles" condamné pour sa une à la Marianne voilée », Télérama,‎ (lire en ligne)
  34. « Valeurs actuelles fait appel d'un jugement qui "entrave la liberté de la presse" », valeursactuelles.com, 3 février 2015.
  35. Voir sur valeursactuelles.com.
  36. Julie Mendel, « Sondage de Valeurs actuelles sur les Roms : metronews a vérifié les chiffres », metronews,‎ (lire en ligne).
  37. « «Valeurs actuelles» condamné pour provocation à la haine envers les Roms », sur liberation.fr, (consulté le )
  38. AFP, « Le directeur de la publication de “Valeurs actuelles” condamné pour provocation à la haine envers les Roms », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  39. « Presse : les aides aux hebdomadaires annulées pour « procédure irrégulière » », sur lemonde.fr,
  40. « Cette semaine dans Valeurs : George Soros, le milliardaire qui complote contre la France », Valeurs actuelles,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. Départ du directeur de l’hebdomadaire « Valeurs actuelles », Yves de Kerdrel, Le Monde, 25 mai 2018.
  42. Lucie Delaporte et Amélie Poinssot, « George Soros, nouvelle cible de l’extrême droite française », sur Mediapart, (consulté le ).
  43. Rivarol, l'antisémitisme comme idée fixe, Slate, 11 mai 2018.
  44. (en) Rachel Donadio, « How Hungary Ran George Soros Out of Town », sur theatlantic.com, (consulté le )
  45. « Valeurs actuelles » contre la « machination Soros », Conspiracy Watch, 12 mai 2018.
  46. Thomas Snégaroff, « Le vieil antisémitisme n'est pas mort. Valeurs Actuelles est à la traîne sur ce coup-là. Ça fait des semaines qu'Orban fait son beurre là-dessus. », Twitter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Nicolas Chapuis, « Pour Valeurs actuelles, les "prétendus paradise papers" du Monde et les révélations de @Mediapart sont de la "désinformation" financée par Soros, destinée notamment à déstabiliser Bernard Arnault. Ça doit être fatigant d'être complotiste au quotidien... », Twitter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. http://www.acpm.fr/L-observatoire/Les-Etoiles-ACPM
  49. Lucie Delaporte et Loup Espargilière, « L’union des droites commence par les médias », sur Mediapart, (consulté le ).
  50. « Privinvest Médias acquiert Marine & Océans », sur offremedia.com, (consulté le )
  51. Jérôme Lefilliâtre, « Le groupe de l'«antisystème» «Valeurs actuelles» rachète un magazine financier », sur liberation.fr, (consulté le )
  52. « Fimalac Communication prend le contrôle de Valmonde », sur lesechos.fr, (consulté le )
  53. https://www.lesechos.fr/09/01/1998/LesEchos/17560-052-ECH_dassault-a-finalise-le-rachat-de---valeurs-actuelles---et-du---journal-des-finances--.htm
  54. Fabienne Schmitt, « L'hebdo « Valeurs actuelles » change de propriétaire », sur lesechos.fr, (consulté le )

Lien externe