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L''''Agence EFE''' est la principale [[agence de presse]] en langue [[espagnol]]e au monde et la quatrième en importance au niveau planétaire. Fondée en [[Espagne]] en [[1939]], c'est une [[société anonyme]] dont l'[[actionnaire]] majoritaire est l'[[État]]{{refnec}}. Elle a pour ancêtre l'[[Agence de presse Fabra]].
L''''Agence EFE''' est la principale [[agence de presse]] en langue [[espagnol]]e au monde et la quatrième en importance au niveau planétaire. Fondée en [[Espagne]] en [[1939]], c'est une [[société anonyme]] dont l'[[actionnaire]] majoritaire est l'[[État]]{{refnec}}. Elle a pour ancêtre l'[[Agence de presse Fabra]].
== Histoire ==
== Histoire ==
L'agence EFE a été fondée en [[Espagne]] en [[1938]], à la fin de la [[Guerre civile espagnole]] par le [[Général Franco]], pour prendre la succession de l'[[Agence de presse Fabra]], jugée trop liée à l'[[Agence Havas]] française, Fabra disposant de très nombreux quotidiens espagnols comme clients<ref>"Méfiance cordiale: Les relations économiques franco-espagnoles", par Jean-Marc Delaunay, Editions L'Harmattan, 2010, page 478, [http://books.google.fr/books?id=2nSHlMoOlm0C&dq=EFE+franco+Fabra&hl=fr&source=gbs_navlinks_s]</ref>. La création de cette nouvelle agence se fait via la fusion entre les deux agences existantes, [[Faro y Febus]] et l'[[Agence de presse Fabra]]. Le premier directeur est [[Vicente Gállego]], qui participe à la créations dans la ville de [[Burgos]], siège des franquistes, fin 1938, avant de s'installer début janvier à [[Madrid]]. Selon les versions, EFE désigne les initiales des agences fusionnées ou de la [[Falange Española Tradicionalista y de las Juntas de Ofensiva Nacional Sindicalista|Falange]].<ref>"El origen franquista de los medios públicos", par Antonio José Chinchetru []</ref>
L'agence EFE a été fondée en [[Espagne]] en [[1938]], à la fin de la [[Guerre civile espagnole]] par le [[Général Franco]], pour prendre la succession de l'[[Agence de presse Fabra]], jugée trop liée à l'[[Agence Havas]] française, Fabra disposant de très nombreux quotidiens espagnols comme clients<ref>"Méfiance cordiale: Les relations économiques franco-espagnoles", par Jean-Marc Delaunay, Editions L'Harmattan, 2010, page 478, [http://books.google.fr/books?id=2nSHlMoOlm0C&dq=EFE+franco+Fabra&hl=fr&source=gbs_navlinks_s]</ref>. La création de cette nouvelle agence se fait via la fusion entre les deux agences existantes, [[Faro y Febus]] et l'[[Agence de presse Fabra]]. Le premier directeur est [[Vicente Gállego]], qui participe à la créations dans la ville de [[Burgos]], siège des franquistes, fin 1938, avant de s'installer début janvier à [[Madrid]]. Selon les versions, EFE désigne les initiales des agences fusionnées<ref>"El predominio matizado de EFE", de Jesús Timoteo Álvarez y otros, Historia de los medios de comunicación en España. Periodismo, imagen y publicidad (1900-1990), Ariel, Barcelona, 1989</ref> ou de la [[Falange Española Tradicionalista y de las Juntas de Ofensiva Nacional Sindicalista|Falange]].<ref>"El origen franquista de los medios públicos", par Antonio José Chinchetru []</ref>


EFE n'a cependant jamais joui d'un strict monopole, même si les [[agence de presse mondiale et généraliste]] ont été limitées dans leurs projets de développement en [[Espagne]]. Cette situation a duré jusqu'à la mort du général Franco en 1975. Ensuite, les agences mondiales ont repris la distribution de leurs informations en Espagne.<ref>Documentation française [http://books.google.fr/books?id=vSgpAQAAMAAJ&q=%22agence+EFE%22+franco+1939&dq=%22agence+EFE%22+franco+1939&hl=fr&sa=X&ei=FX5ZT5XCDamk0QXV78mFAg&sqi=2&ved=0CEEQ6AEwAg]</ref>
EFE n'a cependant jamais joui d'un strict monopole, même si les [[agence de presse mondiale et généraliste]] ont été limitées dans leurs projets de développement en [[Espagne]]. Cette situation a duré jusqu'à la mort du général Franco en 1975. Ensuite, les agences mondiales ont repris la distribution de leurs informations en Espagne.<ref>Documentation française [http://books.google.fr/books?id=vSgpAQAAMAAJ&q=%22agence+EFE%22+franco+1939&dq=%22agence+EFE%22+franco+1939&hl=fr&sa=X&ei=FX5ZT5XCDamk0QXV78mFAg&sqi=2&ved=0CEEQ6AEwAg]</ref>
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Franco a accordé aux journalistes nord- américains ses premiers entretiens après la [[guerre civile espagnole]], afin d'expliquer la position espagnole pendant le conflit mondial. L'[[United Press]] et l'agence EFE ont alors signé un accord sur la réception par la seconde des nouvelles de la première.<ref>"Relations internationales", par Graduate Institute of International Studies (Geneva, Switzerland), S.E.H.R.I.C, Université de Paris I: Panthéon-Sorbonne. Institut d'histoire des relations internationales contemporaines</ref>
Franco a accordé aux journalistes nord- américains ses premiers entretiens après la [[guerre civile espagnole]], afin d'expliquer la position espagnole pendant le conflit mondial. L'[[United Press]] et l'agence EFE ont alors signé un accord sur la réception par la seconde des nouvelles de la première.<ref>"Relations internationales", par Graduate Institute of International Studies (Geneva, Switzerland), S.E.H.R.I.C, Université de Paris I: Panthéon-Sorbonne. Institut d'histoire des relations internationales contemporaines</ref>


En 1944, EFE a accepté de se rapprocher de l'agence britannique [[Reuters]] pour recevoir ses nouvelles internationales, puis distribuer en Espagne les services d'information économique de [[Reuters]] par le biais d'une [[coentreprise]] créée en [[1946]], du nom de [[Comtelsa]] et accueillir [[Reuters]] dans le bâtiment d'EFE à [[Madrid]]. <ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 51</ref>
En 1944, EFE a accepté de se rapprocher de l'agence britannique [[Reuters]] pour recevoir ses nouvelles internationales, puis distribuer en Espagne les services d'information économique de [[Reuters]] par le biais d'une [[coentreprise]] créée en [[1946]], du nom de [[Comtelsa]] et accueillir [[Reuters]] dans le bâtiment d'EFE à [[Madrid]]. <ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 51</ref> En 1966, [[Henry Buckley]], le correspondant de [[Reuters]] en Espagne depuis 1929, qui avait écrit plusieurs livres de référence sur la [[Guerre civile espagnole]] et qui venait de partir à la retraite, a reçu la Croix du cavalier d'Isabelle la Catholique, une importante décoration espagnole.<ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 53</ref>


A la fin des années 1950, au moment de la décolonisation, [[Pedro Gomez Aparicio]], qui a dirigé pendant vingt ans l'agence EFE, de 1938 à 1958, prit sa plume pour soutenir les schémas souhaités par la diplomatie espagnole concernant l'avenir du [[Maroc]].<ref>"Les secrets du Maroc espagnol: l'épopée d'Abd-el-Khaleq Torrès", par Jean Wolf, Editions Eddif, 1994 - page 313 - [http://books.google.fr/books?id=K-kvOWBhGuUC&dq=%22agence+EFE%22+franco&hl=fr&source=gbs_navlinks_s]</ref>
A la fin des années 1950, au moment de la décolonisation, [[Pedro Gomez Aparicio]], qui a dirigé pendant vingt ans l'agence EFE, de 1938 à 1958, prit sa plume pour soutenir les schémas souhaités par la diplomatie espagnole concernant l'avenir du [[Maroc]].<ref>"Les secrets du Maroc espagnol: l'épopée d'Abd-el-Khaleq Torrès", par Jean Wolf, Editions Eddif, 1994 - page 313 - [http://books.google.fr/books?id=K-kvOWBhGuUC&dq=%22agence+EFE%22+franco&hl=fr&source=gbs_navlinks_s]</ref>


Dans les années 1960, la stratégie franquiste en matière d'information connaît des évolutions. En décembre 1962, le nouveau ministre de l'information et du tourisme espagnol [[Manuel Fraga Iribarne]], qui souhaitait la modernisation de l'État franquiste et l'essor du tourisme,<ref>"L'administration dans les processus de transition démocratique", par Françoise Dreyfus - 2004 - Page 76 [http://books.google.fr/books?id=ynzbY9dOjIEC&printsec=frontcover&dq=EFE++%22L'administration+dans+les+processus+de+transition+d%C3%A9mocratique%22,&hl=fr&sa=X&ei=mYBZT-KBDYaP0AWT0dzrDQ&ved=0CDQQ6AEwAA#v=onepage&q=76&f=false]</ref> a décidé de faire d'EFE une [[agence de presse]] internationale, pour se développer en [[Amérique latine]]. [[Reuters]] lui a proposé d'être son distributeur sur ce continent, moyennant un partage des revenus. EFE a finalement décidé en 1966, quatre ans après, d'opérer en pour son propre compte en [[Amérique latine]]<ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 52</ref>et le succès fut au rendez-vous une vingtaine d'années plus tard, EFE devenant la première [[agence de presse]] sur ce continent à partir de [[1992]]. En 1966, [[Henry Buckley]], le correspondant de [[Reuters]] en Espagne depuis 1929, qui avait écrit plusieurs livres de référence sur la [[Guerre civile espagnole]] et qui venait de partir à la retraite, a reçu la Croix du cavalier d'Isabelle la Catholique, une importante décoration espagnole.<ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 53</ref>
Dans les années 1960, la stratégie franquiste en matière d'information connaît des évolutions. En décembre 1962, le nouveau ministre de l'information et du tourisme espagnol [[Manuel Fraga Iribarne]], qui souhaitait la modernisation de l'État franquiste et l'essor du tourisme,<ref>"L'administration dans les processus de transition démocratique", par Françoise Dreyfus - 2004 - Page 76 [http://books.google.fr/books?id=ynzbY9dOjIEC&printsec=frontcover&dq=EFE++%22L'administration+dans+les+processus+de+transition+d%C3%A9mocratique%22,&hl=fr&sa=X&ei=mYBZT-KBDYaP0AWT0dzrDQ&ved=0CDQQ6AEwAA#v=onepage&q=76&f=false]</ref> a décidé de faire d'EFE une [[agence de presse]] internationale, pour se développer en [[Amérique latine]]. [[Reuters]] lui a proposé d'être son distributeur sur ce continent, moyennant un partage des revenus. EFE a finalement décidé en 1966, quatre ans après, d'opérer en pour son propre compte en [[Amérique latine]]<ref>"CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par [[Michael Nelson]], décembre 2011, éditions Matador page 52</ref>et le succès fut au rendez-vous une vingtaine d'années plus tard, EFE devenant la première [[agence de presse]] sur ce continent à partir de [[1992]]. EFE dispose d'un réseau puissant en [[Amérique du Sud]], elle bénéficie d'une importante aide gouvernementale à travers le marché réservé de la communication aux représentations du ministère des affaires étrangères dans les différents pays.<ref>"Presse écrite et télévision dans les régions d'Europe", par Pierre Musso,Philippe Souêtre,Lionel Levasseur, page 55 [http://books.google.fr/books?id=tGLsKSBwsKsC&pg=PA55&dq=Agence+EFE+%22am%C3%A9rique+du+sud%22&hl=fr&sa=X&ei=UrtbT8X2F4K3hQe88emoBA&ved=0CFEQ6AEwAQ#v=onepage&q=Agence%20EFE%20%22am%C3%A9rique%20du%20sud%22&f=false]</ref>

En 1993, l'agence EFE est au coeur d'un projet de création d'une fondation pour la défense de la langue, l'associant, ainsi que l'académie, plusieurs ministères et entreprises publiques.<ref>"La culture espagnole: les mutations de l'après-franquisme (1975-1992)", par Bernard Bessières, pager 183 [http://books.google.fr/books?id=UL1hgIgNSFEC&pg=PA183&dq=%22agence+EFE%22+franquiste&hl=fr&sa=X&ei=z7dbT4T5Oo60hAf1keWoBA&ved=0CEIQ6AEwAg#v=onepage&q=%22agence%20EFE%22%20franquiste&f=false]</ref> L'Agence avait déjà créé à partir de 1985 un service d'analyse du style permettant de répondre à toutes les questions de tous les journalistes sur l'utilisation de la langue espagnole.

== Présidents successifs ==
== Présidents successifs ==
* [[1938]] à [[1944]] : [[Vicente Gállego]]
* [[1938]] à [[1944]] : [[Vicente Gállego]]

Version du 10 mars 2012 à 22:39

EFE
logo de EFE (agence de presse)
illustration de EFE (agence de presse)

Création 1919 : Agence Fabra
1939 : Agence EFE
Fondateurs Ramón Serrano Súñer
Forme juridique Société anonyme
Slogan Eso es.
Siège social Madrid, Communauté de Madrid
Drapeau de l'Espagne Espagne
Direction Álex Grijelmo, Président exécutif
Président Gabriela Cañas (d) (-)[1] et Miguel Ángel Oliver (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires Gouvernement de l'EspagneVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité Agence de presse
Produits Agence de presseVoir et modifier les données sur Wikidata
Société mère Sociedad Estatal de Participaciones IndustrialesVoir et modifier les données sur Wikidata
Seite web http://www.efe.com
Société précédente Agencia Febus (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

L'Agence EFE est la principale agence de presse en langue espagnole au monde et la quatrième en importance au niveau planétaire. Fondée en Espagne en 1939, c'est une société anonyme dont l'actionnaire majoritaire est l'État[réf. nécessaire]. Elle a pour ancêtre l'Agence de presse Fabra.

Histoire

L'agence EFE a été fondée en Espagne en 1938, à la fin de la Guerre civile espagnole par le Général Franco, pour prendre la succession de l'Agence de presse Fabra, jugée trop liée à l'Agence Havas française, Fabra disposant de très nombreux quotidiens espagnols comme clients[2]. La création de cette nouvelle agence se fait via la fusion entre les deux agences existantes, Faro y Febus et l'Agence de presse Fabra. Le premier directeur est Vicente Gállego, qui participe à la créations dans la ville de Burgos, siège des franquistes, fin 1938, avant de s'installer début janvier à Madrid. Selon les versions, EFE désigne les initiales des agences fusionnées[3] ou de la Falange.[4]

EFE n'a cependant jamais joui d'un strict monopole, même si les agence de presse mondiale et généraliste ont été limitées dans leurs projets de développement en Espagne. Cette situation a duré jusqu'à la mort du général Franco en 1975. Ensuite, les agences mondiales ont repris la distribution de leurs informations en Espagne.[5]

Franco a accordé aux journalistes nord- américains ses premiers entretiens après la guerre civile espagnole, afin d'expliquer la position espagnole pendant le conflit mondial. L'United Press et l'agence EFE ont alors signé un accord sur la réception par la seconde des nouvelles de la première.[6]

En 1944, EFE a accepté de se rapprocher de l'agence britannique Reuters pour recevoir ses nouvelles internationales, puis distribuer en Espagne les services d'information économique de Reuters par le biais d'une coentreprise créée en 1946, du nom de Comtelsa et accueillir Reuters dans le bâtiment d'EFE à Madrid. [7] En 1966, Henry Buckley, le correspondant de Reuters en Espagne depuis 1929, qui avait écrit plusieurs livres de référence sur la Guerre civile espagnole et qui venait de partir à la retraite, a reçu la Croix du cavalier d'Isabelle la Catholique, une importante décoration espagnole.[8]

A la fin des années 1950, au moment de la décolonisation, Pedro Gomez Aparicio, qui a dirigé pendant vingt ans l'agence EFE, de 1938 à 1958, prit sa plume pour soutenir les schémas souhaités par la diplomatie espagnole concernant l'avenir du Maroc.[9]

Dans les années 1960, la stratégie franquiste en matière d'information connaît des évolutions. En décembre 1962, le nouveau ministre de l'information et du tourisme espagnol Manuel Fraga Iribarne, qui souhaitait la modernisation de l'État franquiste et l'essor du tourisme,[10] a décidé de faire d'EFE une agence de presse internationale, pour se développer en Amérique latine. Reuters lui a proposé d'être son distributeur sur ce continent, moyennant un partage des revenus. EFE a finalement décidé en 1966, quatre ans après, d'opérer en pour son propre compte en Amérique latine[11]et le succès fut au rendez-vous une vingtaine d'années plus tard, EFE devenant la première agence de presse sur ce continent à partir de 1992. EFE dispose d'un réseau puissant en Amérique du Sud, où elle bénéficie d'une importante aide gouvernementale à travers le marché réservé de la communication aux représentations du ministère des affaires étrangères dans les différents pays.[12]

En 1993, l'agence EFE est au coeur d'un projet de création d'une fondation pour la défense de la langue, l'associant, ainsi que l'académie, plusieurs ministères et entreprises publiques.[13] L'Agence avait déjà créé à partir de 1985 un service d'analyse du style permettant de répondre à toutes les questions de tous les journalistes sur l'utilisation de la langue espagnole.

Présidents successifs

Références

  1. « https://www.eldiario.es/politica/gobierno-propone-exsecretario-miguel-angel-oliver-nuevo-presidente-agencia-efe_1_10748165.html »
  2. "Méfiance cordiale: Les relations économiques franco-espagnoles", par Jean-Marc Delaunay, Editions L'Harmattan, 2010, page 478, [1]
  3. "El predominio matizado de EFE", de Jesús Timoteo Álvarez y otros, Historia de los medios de comunicación en España. Periodismo, imagen y publicidad (1900-1990), Ariel, Barcelona, 1989
  4. "El origen franquista de los medios públicos", par Antonio José Chinchetru []
  5. Documentation française [2]
  6. "Relations internationales", par Graduate Institute of International Studies (Geneva, Switzerland), S.E.H.R.I.C, Université de Paris I: Panthéon-Sorbonne. Institut d'histoire des relations internationales contemporaines
  7. "CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par Michael Nelson, décembre 2011, éditions Matador page 51
  8. "CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par Michael Nelson, décembre 2011, éditions Matador page 53
  9. "Les secrets du Maroc espagnol: l'épopée d'Abd-el-Khaleq Torrès", par Jean Wolf, Editions Eddif, 1994 - page 313 - [3]
  10. "L'administration dans les processus de transition démocratique", par Françoise Dreyfus - 2004 - Page 76 [4]
  11. "CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par Michael Nelson, décembre 2011, éditions Matador page 52
  12. "Presse écrite et télévision dans les régions d'Europe", par Pierre Musso,Philippe Souêtre,Lionel Levasseur, page 55 [5]
  13. "La culture espagnole: les mutations de l'après-franquisme (1975-1992)", par Bernard Bessières, pager 183 [6]
Bureaux de l'agence à Oviedo

Lien externe