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François-Henri Pinault

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François-Henri Pinault
François-Henri Pinault en 2011
Fonctions
Gérant
Financière Pinault (d)
depuis le
Président-directeur général
Kering
depuis le
Président du directoire
Artémis
depuis
Président-directeur général
Fnac
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (62 ans)
RennesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
François Jean Henri PinaultVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Activités
Période d'activité
Depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
Louise Gautier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Laurence Pinault (d)
Dominique Pinault (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Dorothée Lepère (d) (de à )
Salma Hayek (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
François Pinault (d)
Mathilde Pinault (d)
Augustin James Evangelista (d)
Valentina Paloma Pinault (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Nicolas Tronson (d) (neveu par la sœur)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
HEC Alumni (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction

François-Henri Pinault, né le à Rennes, est un dirigeant d'entreprise et milliardaire français. Il dirige le groupe de luxe Kering (Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga, Bottega Veneta, Creed) depuis 2005, et la société familiale Artémis (Kering, Château Latour, Christie's, Stade Rennais FC, Pinault Collection, Artémis Domaines, Ponant, Creative Artists Agency) depuis 2003.

Son père Francois Pinault est le fondateur du groupe Pinault-Printemps-Redoute devenu Kering en 2013. Il est marié à l'actrice et productrice libano-mexicaine Salma Hayek depuis 2009[1],[2].

Origines et études

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Francois-Henri Pinault est le fils de François Pinault et de Louisette Gautier. Son père est le fondateur et PDG du groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR) devenu Groupe Kering. Né François Pinault, en raison d'une tradition familiale de donner à un des enfants masculins le prénom du père, il change son prénom en François-Henri Pinault pour éviter la confusion lorsqu'il commence à travailler dans le groupe familial[3]. Ses parents se séparent quand il a deux ans. Il grandit à Rennes avec sa mère, sa sœur aînée Laurence (née en 1961) et son frère cadet Dominique (né en 1963)[4]. Il voit alors son père un week-end sur deux[3].

François-Henri Pinault est scolarisé au lycée privé catholique Saint-Vincent Providence de Rennes puis à 17 ans, il rejoint son père qui s'est entre-temps installé à Paris[3] . Il étudie en terminale au Collège Stanislas, un lycée privé catholique[5]. Il suit une classe préparatoire à IPESUP[6] puis sort diplômé d'HEC Paris en 1985[7]. S'adonnant à la programmation informatique, il effectue un stage de développeur de bases de données à Hewlett-Packard à Paris[8].

Après l'obtention de son diplôme, François-Henri Pinault effectue son service national au sein du poste d’expansion économique (service d’appui aux entreprises) du consulat général de France à Los Angeles[9], période pendant laquelle il est notamment chargé d’analyser les tendances de la mode et des nouvelles technologies aux États-Unis[10],[8]. Il songe alors à rester travailler aux États-Unis, mais son père le convainc de rentrer en France, lui indiquant alors qu'il est appelé à terme à lui succéder[3].

François-Henri Pinault commence sa carrière au sein du groupe familial en 1987 comme vendeur chez Pinault Distribution (importation et distribution de bois), au dépôt d'Évreux[6]. Sa carrière commence à la base ; son père commente : « Les diplômes c’est bien, mais il fallait qu’il comprenne tous les métiers, qu’il voie ce que c’est d’être un employé comme les autres »[3]. En 1988, il devient responsable de la centrale d’achat de l’entreprise. En 1989, il devient directeur général de France Bois Industries, puis de Pinault Distribution en 1990[9],[11]. En 1993, il est nommé président de CFAO[11]. En 1997, il devient président-directeur général de la Fnac[11] et lance le site Fnac.com la même année[8]. En , il est nommé membre du conseil d'administration du groupe Bouygues[12].

En , François-Henri Pinault quitte la Fnac pour devenir directeur général adjoint du groupe PPR, chargé du commerce électronique[13], puis entre à son conseil de surveillance en . En , il devient vice-président de PPR et président d’Artemis, holding qui gère les actifs de la famille Pinault[14].

PDG de Kering

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Le 19 mai 2005 François-Henri Pinault devient président-directeur général du groupe PPR[15]. Depuis sa prise de contrôle de Gucci et d'Yves Saint Laurent en 1999, le groupe se désengage progressivement de la distribution et effectue des acquisitions dans le secteur du luxe (Boucheron, Balenciaga, Bottega Veneta). Il poursuit cette transformation avec notamment les cessions de Printemps, Conforama, CFAO, la Fnac, La Redoute, et les acquisitions de Qeelin, Brioni, Christopher Kane, Pomellato[16],[17]. Il crée la fondation Kering en 2009 qui combat les violences faites aux femmes[18] et organise le programme annuel Women In Motion en 2015 (avec le festival de Cannes[19], puis les Rencontres d'Arles à partir de 2019[20]). Favorable au progrès écologique[21], il implémente dans le fonctionnement de Kering le « compte résultat environnemental » qui mesure et monétise l'impact environnemental d'une entreprise de bout-en-bout de sa chaîne d'approvisionnement[22],[23]. En 2013, il renomme le groupe PPR en Kering et se concentre sur son développement organique[17]. Ses principales marques traversent un ou plusieurs cycles de croissance[24], dont Gucci qui atteint un chiffre d'affaires de 10 milliards d'euros en 2022[25].

Il a misé sur des directeurs artistiques peu connus[26] comme Alessandro Michele chez Gucci et Demna Gvasalia chez Balenciaga en 2015[27], puis Daniel Lee chez Bottega Veneta en 2018[28]. De 2004 à 2014, le chiffre d’affaires du groupe est divisé par deux, mais sa rentabilité est multipliée par trois[29]. En 2016, il déménage le siège du groupe dans l’ancien hôpital Laennec, un monument historique du XVIIe siècle situé dans le 7e arrondissement de Paris[30]. Le groupe enregistre 15,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur 2017 (+27 % par rapport à 2016)[24],[31], puis 13,66 milliards d'euros de chiffre d'affaires sur les ventes de marques de luxe uniquement en 2018[32]. En mars 2021, il élargit le scope des activités de Kering en reprenant 5 % du site d'articles de luxe d’occasion Vestiaire Collective[33].

Membre de la BTeam créée par Richard Branson depuis 2013[34], il coproduit les films Home de Yann Arthus-Bertrand (2009) et La Glace et le Ciel de Luc Jacquet (2015)[35]. Après avoir été mandaté par le président français Emmanuel Macron pour mobiliser les acteurs de la mode sur les bonnes pratiques environnementales, il présente le Fashion Pact au G7 à Biarritz en 2019 visant à atteindre zéro émission nette de CO2 en 2050[36] et signé par 56 groupes de la mode[37].

Président d’Artémis

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En , François-Henri Pinault est nommé président d’Artémis[14], société familiale notamment propriétaire de Kering, Château Latour, Christie's, du Stade rennais FC, de la Compagnie du Ponant[38], et des projets artistiques de la famille Pinault (Pinault Collection). En 2016, il s'engage aux côtés de son père dans la transformation de la Bourse de commerce de Paris en musée d'art contemporain en assurant la présidence du conseil d'administration du futur bâtiment culturel[39],[40]. Il admet cependant être plus timide que son père sur les volumes d'art qu'il collectionne à titre personnel[41]. En , il lance par Red River West, un fonds d'investissement ciblant le secteur des nouvelles technologies[42].

Le , François-Henri Pinault célèbre la victoire du Stade rennais FC à la Coupe de France face au Paris Saint-Germain, la première victoire du club dans cette compétition depuis son acquisition par la famille Pinault en 1998[43], et la première saison du club sous sa présidence directe[44]. En , il annonce le départ d'Olivier Létang, président du club alors chargé de dynamiser ce dernier[45]. Il est remplacé par Jacques Delanoë, qui est chargé d'assurer l'intérim puis par Nicolas Holveck en [46]. En octobre 2020, le Stade rennais FC joue son premier match de Ligue des champions de son histoire[47].

Le , le jour de l'incendie de Notre-Dame de Paris, la famille Pinault annonce une donation de 100 millions d'euros, via sa société d'investissement Artémis, pour participer à l'effort de reconstruction de la cathédrale[48]. Jean-Jacques Aillagon propose de faire bénéficier les donateurs d’une réduction d’impôt de 90 % au lieu de 60 %[49], mais la famille Pinault y renonce[50] et procède au premier paiement de 10 millions d'euros deux mois plus tard[51]. En 2021, il entre au capital du média en ligne Brut[52],[53] puis, avec Matthieu Pigasse, il participe au lancement de la SPAC I2PO, dotée de 300 millions d'euros et ciblant le secteur du divertissement en Europe[54],[55]. Fin 2023, Artémis devient actionnaire majoritaire de l'agence d'artistes Creative Artists Agency[56].

Vie privée

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François-Henri Pinault est père de quatre enfants : d’un premier mariage avec Dorothée Lepère sont nés François le et Mathilde le [57],[58] ; Augustin James né en 2006 d'une relation avec Linda Evangelista révélée publiquement en 2011 lorsque Linda réclame une pension alimentaire ; Valentina Paloma née en 2007 de sa relation avec l’actrice et productrice mexicaine Salma Hayek qu'il épouse[59],[60], le à la mairie du 6e arrondissement de Paris[61],[62]. En , ils renouvellent leurs vœux de mariage[63].

Principales fonctions

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Estimations

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Forbes estime la fortune de la famille Pinault à 35,3 milliards d'euros en 2021[64]. Selon le Sunday Times of London, la fortune cumulée de François-Henri Pinault et de sa femme Salma Hayek atteint 8,68 milliards de livres sterling en 2021[65]. Selon Sportune, la famille Pinault est le plus riche propriétaire au monde d'un club de football (Stade Rennais)[66].

En 2018, sa rémunération est fixée à 5,8 millions d’euros lors de l’assemblée générale du groupe Kering[67] puis atteint 21,8 millions d’euros en raison d'une rémunération variable pluri-annuelle[68],[69]. En 2019, il perçoit un salaire de 16,6 millions d'euros[70].

En 2011, François-Henri Pinault achète à Londres une maison de deux chambres (bâtie en 1868 par Philip Webb pour George Price Boyce) pour 20 millions de livres sterling (plus de 23 millions d'euros)[71].

Résidence fiscale

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Il s'installe à Londres en septembre 2014[72] mais déclare rester résident fiscal français[73],[74]. Selon Challenges, il vit à Londres pour faciliter la carrière anglophone de sa femme Salma Hayek[75]. En 2015, il déclare toujours payer ses impôts en France[76].

À partir d', il renonce à 25 % de son salaire fixe, ainsi qu'à l'intégralité de sa rémunération variable[77],[78]. À partir de 2016, le fisc britannique lui demande de payer ses impôts au Royaume-Uni. Les Britanniques le jugent redevable car il réside principalement à Londres, et les Français le jugent redevable car son activité professionnelle principale est basée en France. Il répartit alors ses fonctions entre les deux pays pour diviser ses impôts. La France refuse cependant cet argument jugé insuffisant et demande des arriérés de paiement sur l'intégralité des impôts dûs en France[79],[80].

Évasion fiscale de Kering

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Selon une enquête de Mediapart, le groupe Kering a pratiqué une évasion fiscale de 2,5 milliards d’euros d'impôts depuis 2002[81],[82], et a écopé en 2019, en Italie d'un redressement fiscal de 1,25 milliard d'euros[83],[84]. Toujours selon Mediapart, François-Henri Pinault aurait validé un montage d’évasion fiscale au bénéfice du PDG de Gucci, Marco Bizzarri[85].

En 2023, Mediapart publie un enregistrement, datant de 2016, de François-Henri Pinault qui prouve qu’il était au courant des pratiques d’évasion fiscale de son groupe en Suisse. Ces dernières ont continué pendant plusieurs années, jusqu’à ce que les justices françaises et italiennes interviennent. Au total, l’opération a permis à Kering d’éluder 2,5 milliards d'euros d’impôts[86].

Distinctions

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Notes et références

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  4. Thomas Romanacce, « L’énorme pactole que vont toucher le frère et la sœur de François-Henri Pinault », sur Capital.fr, (consulté le )
  5. Stéphane Lauer, François-Henri Pinault, l'exigence en héritage, Le Monde, 21 mars 2005
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Articles connexes

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Liens externes

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