Aller au contenu

Cabinet des Tuvalu

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Cabinet est le conseil des ministres des Tuvalu.

Il émane du corps législatif, le Parlement des Tuvalu. Après chaque élection législative, les députés élisent l'un de leurs pairs à la fonction de Premier ministre. Ce dernier choisit alors ses ministres parmi les députés. (Officiellement, le roi nomme les ministres, en accord avec les conseils du premier ministre.) Le nombre des ministres ne peut dépasser un tiers du nombre des députés. Ce dernier étant actuellement fixé à quinze, il ne peut y avoir plus de cinq ministres, outre le premier ministre[1],[2].

Puisqu'il n'y a pas de partis politiques aux Tuvalu, et que les députés sont des indépendants représentant les intérêts de leur île et de leurs électeurs, le premier ministre prend traditionnellement soin de choisir ses ministres parmi des députés originaires de différentes parties du pays[2].

La Constitution dispose que le Cabinet est responsable auprès du Parlement. Celui-ci peut le démettre par une motion de défiance[1].

Cabinet actuel

[modifier | modifier le code]

La majorité sortante remporte les élections législatives de janvier 2024, mais le Premier ministre Kausea Natano perd son siège de député. Feleti Teo lui succède et nomme le gouvernement suivant[3].

Ministre Circonscription Poste Remarques
Feleti Teo Niutao Premier ministre
Panapasi Nelesone Nukufetau Vice-Premier ministre ;
Ministre des Finances et du Développement
Paulson Panapa Vaitupu Ministre des Affaires étrangères et du Commerce extérieur ;
Ministre du Travail
Maina Talia Vaitupu Ministre de l'Intérieur ;
Ministre du Réchauffement climatique et de l'Environnement
Simon Kofe Funafuti Ministre du Transport, de l'Énergie, des Communications et de l'Innovation
Sa'aga Talu Teafa Niutao Ministre du Développement des ressources naturelles
Tuafafa Latasi Funafuti Ministre de la Santé et de la Protection sociale
Hamoa Holona Nanumaga Ministre de l'Éducation et du Développement des ressources humaines

Anciens Cabinets

[modifier | modifier le code]

Cabinet Natano (2019-2024)

[modifier | modifier le code]

L'Opposition, menée par Kausea Natano, remporte les élections législatives de septembre 2019, obtenant dix sièges sur les seize au Parlement. Le gouvernement qui en résulte est le suivant. Neuf des dix députés de la majorité parlementaire obtiennent ainsi un portefeuille ministériel[4].

Ministre Circonscription Poste Remarques
Kausea Natano Funafuti Premier ministre
Minute Taupo Nanumaga Vice-Premier ministre ;
Ministre des Pêcheries et du Commerce extérieur
Simon Kofe Funafuti Ministre des Affaires étrangères, de la Justice et des Communications
Timi Melei Nanumea Ministre de l'Éducation, de la Jeunesse et des Sports
Isaia Taape Vaitupu Ministre de la Santé et de la Protection sociale
Seve Paeniu Nukulaelae Ministre des Finances
Katepu Laoi Niutao Ministre de l'Intérieur et de l'Agriculture
Nielu Meisake Vaitupu Ministre des Transports, du Tourisme et de l'Énergie
Ampelosa Tehulu Nanumea Ministre des Travaux publics, de l'Environnement et des Infrastructures

À la mort du député et ministre Katepu Laoi, Sa'aga Talu Teafa remporte l'élection partielle du 6 juin 2022[5] pour lui succéder comme député de Niutao, et est nommé ministre des Autorités locales, de l'Agriculture et de la Culture[6],[7].

Le vice-Premier ministre Minute Alapati Taupo meurt subitement le à l'âge de 60 ans, durant l'exercice de ses fonctions[8]. Kitiona Tausi, qui remporte le 15 juillet l'élection législative partielle pour lui succéder comme député de Nanumaga[9], est nommé à ses fonctions de vice-Premier ministre et de ministre des Pêcheries et du Commerce extérieur[10].

Le ministre des Affaires étrangères et de la Justice Simon Kofe démissionne en juillet 2023 pour présider une commission parlementaire chargée de proposer des amendements à la Constitution des Tuvalu[11]. Panapasi Nelesoni est nommé à sa succession[12].

Cabinet Sopoaga II (2015-2019)

[modifier | modifier le code]

Le Premier ministre Enele Sopoaga et son gouvernement remportent les élections de 2015 et conservent le pouvoir. Parmi les ministres sortants, un seul n'est pas réélu député : le vice-Premier ministre Vete Sakaio. Ceci oblige néanmoins le Premier ministre à réorganiser quelque peu son gouvernement[13],[14] :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Enele Sopoaga Nukufetau Premier ministre  ;
Ministre des Travaux publics et des Infrastructures
Précédemment haut diplomate chargé des négociations sur le changement climatique, puis vice-Premier ministre et ministre de l'Environnement en 2010. Chef de l'opposition officielle de 2010 à 2013.
Maatia Toafa Nanumea Vice-Premier ministre ;
Ministre des Finances et du Développement économique
Ancien premier ministre (2004 à 2006, puis 2010).
Satini Manuella Nanumea Ministre de la Santé Élu simple député lors d'une élection partielle en 2014 ;
précédemment président de l'Organisme national du secteur privé
Taukelina Finikaso Vaitupu Ministre des Affaires étrangères, du Commerce extérieur, du Tourisme,
de l'Environnement et du Travail
Porte-parole du gouvernement. Précédemment ministre des Communications de 2006 à 2010.
Monise Laafai Nanumaga Ministre des Communications et des Transports Précédemment ministre des Finances en 2010.
Fauoa Maani Niutao Ministre de l'Éducation, de la Jeunesse et des Sports Précédemment ministre de la Santé en 2010. Avant cela, journaliste et clerk du Parlement (à la tête de l'administration parlementaire).
Namoliki Sualiki Nukulaelae Ministre de l'Intérieur et du Développement rural Enseignant de profession. Précédemment ministre de l'Éducation en 2010.
Elisala Pita Nukufetau Ministre des Ressources naturelles Ancien président de l'Organisme national du secteur privé. Chef de l'opposition officielle de 2004 à 2006.

Cabinet Sopoaga I (2013-2015)

[modifier | modifier le code]

Face à la tentative de Willy Telavi de conserver le pouvoir sans majorité parlementaire, et d'empêcher la tenue de sessions parlementaires avec l'appui de son allié le président du Parlement Kamuta Latasi, l'opposition se tourne vers le gouverneur général, Sir Iakoba Italeli. Le , Telavi annonce son intention de limoger Italeli. Celui-ci prend les devants, et limoge le premier ministre ; il nomme le chef de l'opposition officielle, Enele Sopoaga, premier ministre par intérim[15]. Le , le Parlement confirme Sopoaga au poste de premier ministre, par huit voix contre cinq. Il prête serment et nomme son gouvernement (ci-dessous) le lendemain. En majeure partie, il restaure les ministres du gouvernement Toafa de 2010. L'ensemble des huit membres de sa majorité parlementaire obtiennent un poste au gouvernement[16].

Ministre Circonscription Poste Remarques
Enele Sopoaga Nukufetau Premier ministre Précédemment haut diplomate chargé des négociations sur le changement climatique, puis vice-Premier ministre et ministre de l'Environnement en 2010. Chef de l'opposition officielle de 2010 à 2013.
Vete Sakaio Niutao Vice-premier ministre ;
Ministre des Travaux publics
Ingénieur des travaux publics de profession. Précédemment ministre des Travaux publics en 2010.
Taukelina Finikaso Vaitupu Ministre des Affaires étrangères Porte-parole du gouvernement. Précédemment ministre des Communications de 2006 à 2010.
Maatia Toafa Nanumea Ministre des Finances et du Développement économique Ancien premier ministre (2004 à 2006, puis 2010).
Monise Laafai Nanumaga Ministre des Communications et des Transports Précédemment ministre des Finances en 2010.
Fauoa Maani Niutao Ministre de l'Éducation, de la Jeunesse et des Sports, et de la Santé Précédemment ministre de la Santé en 2010. Avant cela, journaliste et clerk du Parlement (à la tête de l'administration parlementaire).
Namoliki Sualiki Nukulaelae Ministre de l'Intérieur et du Développement rural Enseignant de profession. Précédemment ministre de l'Éducation en 2010.
Pita Elisala Nukufetau Ministre des Ressources naturelles Ancien président de l'Organisme national du secteur privé. Chef de l'opposition officielle de 2004 à 2006.

Cabinet Telavi (2010-2013)

[modifier | modifier le code]

Après avoir obtenu la destitution du gouvernement Toafa par une motion de confiance le , Willy Telavi fut élu premier ministre par huit députés sur quinze le [17]. Il nomma le Cabinet suivant le même jour[18],[19].

Ministre Circonscription Poste Remarques
Willy Telavi Nanumea Premier ministre ;
Ministre de l'Intérieur
Kausea Natano Funafuti Vice-premier ministre[20] ;
Ministre des Communications,
des Transports et des Travaux publics
Dr. Falesa Pitoi Nanumaga Ministre de l'Education,
de la Jeunesse et des Sports
Dentiste de profession.
Absent du pays pour cause de maladie depuis .
Apisai Ielemia Vaitupu Ministre de l'Environnement,
des Affaires étrangères, du Travail,
du Commerce et du Tourisme
Ancien premier ministre
Lotoala Metia Nukufetau Ministre des Finances Avait été ministre des Finances
d' à .
Décédé en .
Taom Tanukale Nui Ministre de la Santé Démissionne le .
Isaia Italeli Nui Ministre des Travaux
et des Ressources naturelles
Décédé en .
Pas de successeur à ces postes.
Pelenike Isaia est nommée ministre de l'Intérieur.

Isaia Italeli décéda subitement le alors qu'il participait à une conférence régionale à Apia, aux Samoa[21]. En août, sa veuve Pelenike Isaia entra au Parlement par une élection partielle, préservant ainsi la majorité parlementaire du gouvernement. Elle fut nommée ministre de l'Intérieur. Elle n'est que la seconde femme députée, et ministre, dans l'histoire du pays[20].

Le , le décès du ministre des Finances Lotoala Metia prive à nouveau le gouvernement Telavi d'une majorité claire au Parlement : il ne dispose plus que de sept sièges, soit autant que l'opposition. Dès lors, le gouvernement ne convoque plus le Parlement. Une élection partielle doit se tenir pour le siège laissé vacant par Metia, à Nukufetau ; Telavi parvient à retarder sa tenue jusqu'à ce qu'une décision de justice le contraigne à permettre cette élection, le . Le siège est remporté par le candidat de l'opposition, Elisala Pita. L'opposition demande alors que le Parlement soit convoqué, afin que le gouvernement puisse être destitué par une motion de censure déposée par la nouvelle majorité[22]. Telavi répond que la Constitution prévoit que le Parlement siège au minimum une fois par an : il considère donc ne pas avoir à convoquer l'assemblée avant [23]. Le , face à ce refus, le Gouverneur général Iakoba Italeli fait usage de ses prérogatives constitutionnelles pour convoquer le Parlement pour le [24].

Ce jour-là, alors que l'opposition s'apprête à déposer une motion de censure, le ministre de la Santé Taom Tanukale démissionne de son poste de député, et donc également de son ministère. À la suite de la mort de Metia, et le ministre de l'Éducation Falesa Pitoi étant à l'étranger pour cause de maladie depuis , le démission de Tanukale ne laisse que quatre ministres en poste et actifs : le premier ministre ; le vice-premier ministre Kausea Natano ; le ministre des Affaires étrangères Apisai Ielemia ; et la ministre de l'Intérieur Pelenike Isaia. Le gouvernement, désormais nettement minoritaire, dispose par ailleurs du soutien du président du Parlement, mais n'a aucun simple député dans son camp[25]. Le lendemain, la raison de la démission de Tanukale est révélée. Le président du Parlement, Kamuta Latasi, rejette la demande de l'opposition qu'une motion de censure soit votée ; il évoque l'existence d'un siège vacant. Latasi ajourne le Parlement, statuant que celui-ci ne se réunira à nouveau qu'après la tenue d'une élection partielle dans la circonscription de Tanukale. Il prolonge ainsi la survie politique du gouvernement Telavi[26].

Le Cabinet Telavi à cette date, juste avant sa destitution, est ainsi le suivant :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Willy Telavi Nanumea Premier ministre
Kausea Natano Funafuti Vice-premier ministre ;
Ministre des Communications,
des Transports et des Travaux publics
Dr. Falesa Pitoi Nanumaga Ministre de l'Education,
de la Jeunesse et des Sports
Absent du pays pour cause de maladie depuis .
Apisai Ielemia Vaitupu Ministre de l'Environnement,
des Affaires étrangères, du Travail,
du Commerce et du Tourisme
Pelenike Isaia Nui Ministre de l'Intérieur

Cabinet Toafa (2010)

[modifier | modifier le code]

Ce Cabinet fut nommé par le premier ministre Maatia Toafa le , à la suite des élections législatives du . Il sélectionna, outre deux ministres sortants, plusieurs députés qui faisaient leur entrée au Parlement, et qui lui avaient apporté leur soutien lorsqu'il briguait le poste de premier ministre[27],[28]. Ce Cabinet fut destitué en décembre lorsque le Ministre de l'Intérieur, Willy Telavi, rejoignit les rangs de l'opposition, instituant une motion de confiance qui démit le gouvernement[17].

Ministre Circonscription Poste Remarques
Maatia Toafa Nanumea Premier ministre Avait été premier ministre une première fois
de 2004 à 2006
Enele Sopoaga Nukufetau Vice-premier ministre ;
Ministre des Affaires étrangères,
de l'Environnement et du Travail
Député pour la première fois
Diplomate, chargé de représenter les Tuvalu
dans les négociations sur le changement climatique ;
décrit comme un « héros national »[29]
Namoliki Sualiki Nukulaelae Ministre de l'Éducation, de la Jeunesse et des Sports Enseignant
Monise Laafai Nanumaga Ministre des Finances Député pour la première fois
Vete Sakaio Niutao Ministre des Travaux publics et
des Ressources naturelles
Député pour la première fois
Taukelina Finikaso Vaitupu Ministre des Communications,
des Transports et des Pêcheries
Ministre sortant des Communications,
des Transports et du Tourisme
Willy Telavi Nanumea Ministre de l'Intérieur Ministre sortant de l'Intérieur
et du Développement rural
Fauoa Maani Niutao Ministre de la Santé Ancien journaliste et clerk du Parlement
(à la tête de l'administration parlementaire)

Cabinet Ielemia (2006-2010)

[modifier | modifier le code]

Le premier ministre Apisai Ielemia (2006-2010) choisit le Cabinet suivant[30] :

Ministre Poste
Apisai Ielemia Premier ministre ;
Ministre des Affaires étrangères et du Travail
Tavau Teii Vice-premier ministre ;
Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement
Taukelina Finikaso Ministre des Communications, des Transports
et du Tourisme
Iakoba Taeia Italeli Ministre de l'Education, des Sports et de la Santé
Lotoala Metia Ministre des Finances et de la Planification économique
Willy Telavi Ministre de l'Intérieur et du Développement rural
Kausea Natano Ministre des Travaux publics et de l'industrie

Cabinet Toafa (2004-2006)

[modifier | modifier le code]

Le gouvernement Sopoanga est démis par le Parlement en [31], et Maatia Toafa lui succède. Il n'y a que peu d'indications sur la composition de son gouvernement, dont on sait qu'il inclut Bikenibeu Paeniu ainsi que Saufatu Sopoanga lui-même[32].

Cabinet Sopoanga (2002-2004)

[modifier | modifier le code]

Après les élections législatives de juillet 2002, le Parlement nomme Saufatu Sopoanga premier ministre, et ce dernier nomme le gouvernement suivant[33] :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Saufatu Sopoanga Nukufetau Premier ministre
Maatia Toafa Nanumea Vice-premier ministre ;
Ministre des Communications et des Transports
Samuelu Teo Niutao Ministre des Ressources naturelles
Bikenibeu Paeniu Nukulaelae Ministre des Finances et de la Planification économique
Alesana Seluka Nui Ministre de la Santé, de l'Éducation et des Sports

Après le décès de Ionatana Ionatana en , Lagitupu Tuilimu est premier ministre par intérim jusqu'en , lorsque Faimalaga Luka est choisi par le Parlement pour diriger le pays. En , le Parlement démet Luka et choisit Koloa Talake pour le remplacer[34]. Talake est premier ministre jusqu'aux élections législatives de . Cette encyclopédie n'a pas trace actuellement de la composition des gouvernements durant cette période.

Cabinet Ionatana (1999-2000)

[modifier | modifier le code]

Le , le premier ministre Bikenibeu Paeniu est démis par le Parlement, qui nomme Ionatana Ionatana à sa succession treize jours plus tard. Le nouveau premier ministre nomme le gouvernement suivant[35] :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Ionatana Ionatana Funafuti Premier ministre
Lagitupu Tuilimu Nanumea Vice-premier ministre ;
Ministre des Finances
Faimalaga Luka Nukufetau Ministre des Ressources naturelles
Teagai Esekia Vaitupu Ministre de l'Éducation et de la Santé
Samuelu Teo Niutao Ministre des Travaux publics Député pour la première fois ;
fils de l'ancien Gouverneur-général Sir Fiatau Penitala Teo[36]

Cabinet Paeniu (1998-1999)

[modifier | modifier le code]

Reconduit à la tête du gouvernement à la suite des législatives de mars 1998, avec le soutien quasi unanime du Parlement, Bikenibeu Paeniu nomme le gouvernement suivant, très similaire à son gouvernement précédent[37] :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Bikenibeu Paeniu Nukulaelae Premier ministre
Kokea Malua Nanumea Vice-premier ministre ;
Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement ;
Ministre de l'Intérieur et du Développement rural
Ionatana Ionatana Funafuti Ministre de la Santé, des Femmes et des Affaires communautaires ;
Ministre de l'Éducation et de la Culture
Dr. Alesana Kleis Seluka Nui Ministre des Finances et de la Planification économique ;
Ministre du Tourisme et du Commerce
Otinielu Tauteleimalae Tausi Nanumaga Ministre des Travaux publics, de l'Énergie et des Communications

Cabinet Paeniu (1996-1998)

[modifier | modifier le code]

La liste complète de ce gouvernement manque, mais il incluait les ministres suivants[37] :

Ministre Circonscription Poste Remarques
Bikenibeu Paeniu Nukulaelae Premier ministre
Ionatana Ionatana Funafuti Ministre de la Santé, des Femmes et des Affaires communautaires ;
Ministre de l'Éducation et de la Culture ;
Ministre du Tourisme et du Commerce
Dr. Alesana Kleis Seluka Nui Ministre des Finances et de la Planification économique
Otinielu Tauteleimalae Tausi Nanumaga Ministre des Ressources naturelles et de l'Environnement

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b (en) Constitution des Tuvalu
  2. a et b (en) "Tuvalu country brief", Ministère australien des Affaires étrangères
  3. (en) "Cabinet lineup of new Tuvalu government unveiled", Radio New Zealand, 28 février 2024
  4. (en) "New Tuvalu Government suspends Chief Justice", Radio Tuvalu, 23 septembre 2019
  5. (en) / (tvl) "By-election promo", Tuvalu TV, 6 juin 2022
  6. « Le ministre des Tuvalu dévoile le plan d'une île entièrement biologique à l'occasion d'une visite de fermes pendant de la semaine de l'agriculture et de la foresterie du Pacifique », Communauté du Pacifique, 14 mars 2023
  7. (en) "UNESCO World Conference on Cultural Policies and Sustainable Development MONDIACULT 2022", UNESCO, p.2
  8. (en) "Tuvalu mourns Deputy Prime Minister", Radio New Zealand, 25 mai 2022
  9. (en) "Chair of the Tuvalu Broadcasting Corporation wins Nanumaga by-election", Radio Tuvalu, 16 juillet 2023
  10. (en) "Tuvalu - Heads of Government Listing", ministère australien des Affaires étrangères
  11. (en) "Pacific climate campaigner resigns as Tuvalu foreign minister", BenarNews, 30 juillet 2023
  12. (en) "Tuvalu - minister resigns", Radio New Zealand, 31 juillet 2023
  13. (en) "Prime Minister Hon Enele Sosene Sopoaga named his Cabinet", Fenui News, 16 avril 2015
  14. (en) Annonce du nouveau gouvernement, Fenui News, 10 avril 2015
  15. (en) "GG appoints Sopoaga as Tuvalu’s caretaker PM", Islands Business, 1 août 2013
  16. (en) "ENELE SOPOAGA SWORN-IN TODAY AS TUVALU’S NEW PM", Islands Business, 5 août 2013
  17. a et b (en) "Willie Telavi the new prime minister in Tuvalu", Radio New Zealand International, 24 décembre 2010
  18. (en) "New Tuvalu government sworn in", Radio New Zealand International, 29 décembre 2010
  19. (en) Tuvalu: Cabinet, CIA World Factbook
  20. a et b "Composition du gouvernement des îles Tuvalu", Ministère français des Affaires étrangères et européennes, 23 septembre 2011
  21. (en) "Samoa police rule out foul play in death of Tuvalu minister", Radio New Zealand International, 21 juillet 2011
  22. (en) "Tuvalu’s Opposition waiting to hear from GG", Islands Business, 1 juillet 2013
  23. (en) "Parliament needs one yearly meeting only says defiant Tuvalu PM", Radio New Zealand International, 2 July 2013
  24. (en) "Tuvalu’s parliament convenes July 30", Islands Business, 3 juillet 2013
  25. (en) "Tuvalu govt bombshells", Islands Business, 30 juillet 2013
  26. (en) "Tuvalu in constitutional crisis, says opposition", Radio New Zealand International, 31 juillet 2013
  27. (en) "New-look government for Tuvalu", Radio New Zealand International, 29 septembre 2010
  28. (en) "New Tuvalu PM Maatia Toafa names cabinet", ABC Radio Australia, 29 septembre 2010 (audio)
  29. (fr) "Elections à Tuvalu", Australian Broadcasting Corporation
  30. (en) Tuvalu: Cabinet, Central Intelligence Agency
  31. (en) "Tuvalu PM loses vote of no-confidence", Agence France-Presse, 26 août 2004
  32. (en) "Election Results Bring Changes", Tuvalu News, 3 août 2006
  33. (en) "Cabinet Ministers Appointed by Sopoanga Government", Tuvalu Online, 7 août 2002
  34. (en) "NEW TUVALU PRIME MINISTER: KOLOA TALAKE", Radio Australia, 14 décembre 2001
  35. (en) "IONATANA IONATANA ELECTED PM", Tuvalu Online, 26 avril 1999
  36. (en) "TUVALU ELECTS 12 MEMBERS OF PARLIAMENT", PacNews, 27 mars 1998
  37. a et b (en) "PAENIU RE-ELECTED TUVALU PRIME MINISTER", PacNews, 8 avril 1998