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« Recherche:Collaboration juive sous le nazisme » : différence entre les versions

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Les représentants du second groupe s'opposaient aux autres juifs survivants et utilisaient tous les moyens pour trouver des moyens de survie, parmi ceux-ci principalement ceux menant à une détérioration de la situation ou à la mort des survivants.
Les représentants du second groupe s'opposaient aux autres juifs survivants et utilisaient tous les moyens pour trouver des moyens de survie, parmi ceux-ci principalement ceux menant à une détérioration de la situation ou à la mort des survivants.


== [[Judenräte]] ==
Dans les territoires de l'[[Axe Rome-Berlin-Tokyo|Axe]] et ceux occupés par les nazis, des [[Judenräte|judenrat]]s furent créés à l'initiative des nazis dans les territoires où vivaient une population juive importante. C'étaient des «conseils juifs» des organes d'auto-administration. Leur compétence s'exerçait sur un ghetto, sur une portion de territoire déterminée, sur une région et même sur tout un pays.


Les pouvoirs du judenrat permettaient l'approvisionnement en produits ménagers et le maintien de l'ordre dans le ghetto, la récolte des moyens financiers, le choix des candidats aux travaux ordinaires et aux travaux forcés du camp, l'exécution des ordres des forces d'occupation. La [[Police]] juive était soumise au judenrat et remplissait les fonctions suivantes<ref>{{lien web|url=http://jhist.org/lessons10/10-98.htm|titre=Юденраты и еврейская полиция|série=История антисемитизма и катастрофа|description=По материалам курса [[Открытый университет Израиля|Открытого университета Израиля]](Université ouverte d'Israël) |consulté le=2011-04-02|archiveurl=http://www.webcitation.org/64uV5oIh6|en ligne le=2012-01-23}}</ref>:
* Exécution des ordres des Allemands, transmis par l'intermédiaire du judenrat ou directement reçus des occupants.
* Exécution des ordres du judenrat tels que : récolte des contributions financières ou en valeurs.
* Satisfaire aux besoins internes de la communauté juive : protection des rues du ghetto, des entrées et des sorties de celui-ci.

Les membres des judenrats collaboraient avec les [[nazis]] pour différentes raisons. Certains considéraient que de cette manière ils aidaient la communauté juive à survivre. Cette conception était répandue jusqu'au moment où survinrent les premières campagnes de massacre de masse. Certains collaboraient dans l'espoir de se sauver et de sauver leur famille grâce à leur pouvoir de membres du judenrat ou grâce à des biens matériels<ref>{{ouvrage|url texte=http://www.eleven.co.il/article/14670|titre=Черняков Адам|éditeur=Society for Research on Jewish Communitiesm The Society for Research on Jewish Communities founded in 1957|lieu=Jerusalem|format=The Jewish Encyclopedia in Russion on the Web}}</ref>. Les membres des judenrats collaboraient souvent secrètement avec les clandestins de la résistance aux nazis , comme par exemple dans le ghetto de [[Riga]]. Beaucoup tentaient, par différents moyens, d'alléger le sort des prisonniers du ghettos<ref>{{lien web|url=http://www.shorashim.narod.ru/Berk.htm|titre=Евреи в борьбе с немецким фашизмом в тылу врага|auteur=Беркнер С.|consulté le=2010-03-25|archiveurl=http://www.webcitation.org/6157cKx4e|en ligne le=2011-08-20}}</ref>. Le sort des membres des judenrats s'avéra finalement similaire à celui des autres Juifs : ils furent tués par les nazis<ref>{{lien web|url=http://jhist.org/lessons10/10-98.htm|titre=Юденраты и еврейская полиция|série=Учебные материалы по истории антисемитизма и Шоа|description=По материалам курса [[Открытый университет Израиля|Открытого университета Израиля]]|consulté le=2011-04-02|archiveurl=http://www.webcitation.org/64uV5oIh6|en ligne le=2012-01-23}}</ref>.

L'enquêteur américain Iashiel Trunk a rassemblé les données suivantes sur le sort de 720 membres de judenrats en Pologne<ref>Кардаш А.(Kardache):Judenrat-Юденрат [http://gazeta.rjews.net/udenrat.shtml] éditions Вести (газета, Израиль-revue, Israël) Вести revue 2006</ref>
[[File:Bundesarchiv Bild 101I-134-0792-28, Polen, Ghetto Warschau, Ghettopolizei.jpg|thumb|300px|Police juive dans le ghetto de Varsovie]]
{| class="wikitable"
|-
! Sort
! Nombre
! Pourcentage
|-
| Destitués
| 21
| 2,9
|-
| Arrêtés
| 13
| 1,8
|-
| Expulsés pour extermination
| 182
| 25,3
|-
| Tues ou déportés
| 383
| 53,2
|-
| Suicides
| 9
| 1,2
|-
| Mort naturelle
| 26
| 3,6
|-
| Survivants
| 86
| 12
|-
| Total
| 720
| 100
|}

Les membres des judenrats se comportèrent de différentes manières vis-à-vis de la résistance clandestine armée dans le ghetto. Dans certaines situations ils créèrent des liens et collaborèrent avec les clandestins et les partisans, dans d'autres ils empêchèrent les actions de la résistance craignant que les Allemands ne se vengent sur tous les membres du ghetto<ref name="Rozenblat" />.

== Collaborateurs notoires ==
L'histoire de Jacob Gens, d'abord chef de la Police juive puis dirigeant du judenrat du [[Ghetto de Vilnius]] est un exemple d'ambiguïté et de sort tragique. Pour sauver des habitants du ghetto, il livra aux nazis le chef des clandestins, {{lien|Itzak Vittenberg|trad=Yitzhak Wittenberg|lang=en}}. À plusieurs reprises, il envoya au peloton d'exécution des malades chroniques et des vieillards à la place de femmes et d'enfants en expliquant qu'il tentait de sauver « le peuple juif du futur »<ref>{{ouvrage|auteur=Телушкин, Джозеф (Joseph Télouchkine)|chapitre=Катастрофа (Shoah). Глава 190. Judenrat - Юденрат. Капо|titre=Еврейский мир|lire en ligne=http://jhist.org/teacher/07_190.htm|responsabilité1=пер. с англ. Н. Иванова, В. Владимирова|éditeur=Мосты культуры|année=2009|passage=623|isgn=978-5-93273-292-2|année=2000}}</ref>. Le 14 septembre 1943, Gens fut exécuté par la gestapo pour collaboration avec les clandestins<ref>{{lien web|consulté le=2013-11-28|url=http://www.nationalassembly.ru/4829FD5798996/486A2DB9E6B19.html|titre=Уточнения к статье Ю. Мухина|=Ихлов, Евгений Витальевич|Ихлов Е. В.|accessdate=2010-03-23|archiveurl=http://www.webcitation.org/6157cuhSp|archivedate=2011-08-20}}</ref>.

{| class="toccolours" style="float: right; margin-left: 1em; margin-right: 2em; font-size: 85%; background:#ffffff; color:black; width:30em; max-width: 40%;" cellspacing="5"
| style="text-align: left;" |{{lien|Eliezer Berkovits|trad=Eliezer Berkovits|lang=en}} [http://gazeta.rjews.net/Lib/berkovich/ber33.html '''Вера после Катастрофы:''' ''' La foi après la Shoah''']<br />
« ...Toutes les cruautés accomplies par les prisonniers du camp vis-à-vis de leurs camarades, ce sont les Allemands qui en sont responsables et c'est leur plus grand crime. Celui qui compare les policiers du ghetto avec les chefs allemands, ne se rend pas compte de la monstruosité des crimes nazis contre l'humanité. Il existe une énorme différence entre la cruauté du bourreau et la cruauté des victimes. Les premiers sont convaincus d'être les maîtres du monde, engraissés par leurs pillages, qui ont choisi de leur plein gré de choisir le service du mal. Les seconds, malheureuses victimes, dont le moral est brisé avec une barbarie monstrueuse. La cruauté des premiers est contre-nature. Celle des seconds est le résultat naturel de crimes d'une inhumanité inimaginable. Et, au contraire, il est impossible de comprendre comment la majorité des prisonniers a pu conserver une mentalité humaine jusqu'à la fin et même atteindre un niveau aussi élevé du sens du sacrifice de soi ! »
|}

Le chef du [[ghetto de Varsovie]], [[Adam Czerniaków]], est un des représentant les plus connus de la collaboration juive. Il se suicida après qu'il eut appris que les déportations, l'établissement des listes sur lesquelles il apposait sa signature signifiaient la mort de milliers de juifs<ref>{{ouvrage|url texte=http://www.eleven.co.il/article/14670|titre=Черняков Адам|éditeur=Society for Research on Jewish Communitiesm The Society for Research on Jewish Communities founded in 1957|lieu=Jerusalem|format=The Jewish Encyclopedia in Russion on the Web}}</ref>. Le chef du [[ghetto de Lodz]], Khaïm Roumkovsky, se fit une triste réputation en collaborant activement avec les nazis et en prononçant son discours devant les prisonniers du ghetto en répétant sans fin : «Donnez-moi vos enfants!» tentant de persuader les prisonniers qu'au prix de la vie des enfants ils sauveraient ceux qui restaient <ref>{{lien web
| auteur =
| lien auteur =
| datepublished =
| url = http://www.datasync.com/~davidg59/rumkowsk.html
| titre = Rumkowski's "Give Me Your Children" Speech
| format =
| série =
| périodique = datasync.com
| consulté le = 2011-10-22
| lang = en
| description =
| archiveurl = http://www.webcitation.org/6AKkrLKY8
| en ligne le = 2012-08-31
}}</ref>.

Une série de collaborateurs avec les nazis (par exemple {{lien|Alfred Nossig|trad= Носсиг, Альфред|lang=ru}}) furent exécutés par les clandestins juifs. Il est également établi qu'il existe une série d'exemples des juifs-collaborateurs qui ont pris part aux crimes nazis, en ce compris les massacres de masse<ref name="jew.spb.ru">{{ouvrage|langue=ru|titre=Шехтман Г.(G.Chekhtman : В паутине свастики: евреи-коллаборационисты (collaboration juive)|lire en ligne=http://www.jew.spb.ru/ami/A404/A404-041.html|format=газета|издание=Народ мой|lieu=Saint-Pétersbourg|année=30.08.2007|выпуск=16 (404)}}</ref>. Par exemple, Khaïm Sygal, natif de [[Lvov]] (son nom complet : «Cyril Nikolaievitch Sygolenko»), peu après le début de la Seconde Guerre mondiale, entra dans les rangs des organisations nationalistes ukrainiennes appelées [[Sitch de Polésie]] (UPA-УПА-ПС) et pendant l'été et l'automne 1941, prit une part active à leurs activités (le 18 septembre 1941 il fut nommé chef d'escadron, durant quelques temps il fut adjudant de [[Taras Borovets]] (dit «Boulba»). Le 16 novembre 1941, il passa au service des Allemands et travailla comme interprète à la gendarmerie de la ville de [[Sarny]] ([[Oblast de Lvov]]). De l'été 1942 à 1943, il fut commandant de la police de Doubrovitsy. En 1944-1945 il devint collaborateur actif au sein du [[Sicherheitsdienst]] (СД|СД). À plusieurs reprises, il prit part à des fusillades de citoyens soviétiques, parmi lesquelles des tueries massives (comme le 19.11.1941 dans la ville d'[[Olevsk]] où il commanda la fusillade de 535 personnes et l'été 1942 quand il commanda de fusiller plus de 70 citoyens soviétiques au cimetière de Doubrovitsy) <ref>dont 69 étaient juifs /при этом, 69 расстрелянных являлись местными жителями, евреями по национальности</ref> Après la guerre, il vécut à [[Berlin-Ouest]]. En 1951, lors d'une visite en [[République démocratique allemande]] (ГДР) il fut arrêté par les services de sécurité allemands et transféré en [[URSS]]. Après enquête, il fut fusillé en 1952<ref>Чекисты рассказывают / сб., сост. В. Листов, ред. И. Стабникова. Книга 6. М., «Советская Россия», 1985. стр.146-155</ref>{{,}}<ref>Сергей Чуев. Диверсионные службы третьего рейха против СССР // Сб. «Диверсанты третьего рейха», М., «Эксмо», «Яуза», 2003. стр.381-400</ref>.

En Israël, après la guerre, eurent lieu différents procès et inculpation pour des actes de collaboration des judenrats. Environ 40 juifs furent accusés de complicité avec les nazis et condamnés à des peines de prison<ref name="jew.spb.ru"/>. Le nom de [[Rudolf Kastner]], leader des juifs hongrois, fut l'objet d'un retentissement particulier. Bien qu'il fut acquitté par la Cour suprême d'Israël, trois ans après sa mort, lors du procès d'[[Adolf Eichmann]] des témoignages furent entendus à propos de l'assistance apportée par Kastner aux nazis : en échange de l'envoi d'environ un millier de juifs en Palestine il accepta la «déportation» d'autres Juifs<ref>{{lien web|url=http://www.jewish.ru/history/facts/2009/10/news994279408.php|titre=Рудольф Кастнер: негодяй или герой?|auteur=Савельева Я.|date=28 октября 2009|série=Jewish.ru|périodique=ФЕОР|consulté le=2010-07-03|archiveurl=http://www.webcitation.org/6157fpNdT|en ligne le=2011-08-20}}</ref>

En [[Belgique]], [[Icek Glogowski]], le ''«gros Jacques»'', était un Juif belge. Traître notoire, collaborateur Nazi à la solde de la [[Sicherheitspolizei|SIPO-SD]], il avait ses bureaux au siège de la [[gestapo]], [[Avenue Louise]] à [[Bruxelles]]. Le duo qu'il formait avec [[Kurt Assche]] avait une terrible réputation<ref name="Schreiber">Marion Schreiber, Rebelles silencieux, éditions Lannoo, 2000 - 316 pages</ref> et fut responsable de la déportation de centaines de Juifs.

== Association des Juifs en Belgique ==

Sur un plan plus institutionnel, l'[[Association des Juifs en Belgique]] (AJB) était un organisme, composé de ressortissants juifs, qui fut créé par une ordonnance allemande durant la [[Seconde Guerre mondiale]] son rôle fut largement dénoncé par la résistance juive qui y voyait un organe destiné à faciliter à l'autorité allemande le contrôle de la population juive de Belgique<ref>Pierre Broder - "Des Juifs debout contre le nazisme" - Éditions EPO, 1994, {{p.|126}} et sq. {{ISBN|2872620826}}</ref> . Il s'agissait en effet de ''faire assumer par les juifs eux-mêmes les conséquences de la politique allemande tant sur les aspects relatifs à leur survie provisoire que ceux liés à leur élimination programmée''<ref name="Dico">Paul Aron, José Gotovitch, Dictionnaire de la Seconde Guerre mondiale en Belgique, éditions André Versaille, Bruxelles, 2008, {{ISBN|9782874950018}}</ref>. L'association fut dissoute par ses dirigeants quinze jours avant la libération. Une enquête fut ouverte après-guerre pour élucider son rôle, elle déboucha sur un [[Non-lieu en procédure pénale en Belgique|non-lieu]]<ref> [http://www.kazernedossin.eu/fr/content/10-les-archives-de-l%E2%80%99association-des-juifs-en-belgique-institut-martin-buber Kazerne Dossin, fonds d'archives Martin Buber]</ref>.


== Organisation Zagiev ==
== Organisation Zagiev ==

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La collaboration juive pendant la Seconde Guerre mondiale est l'aide apportée par des Juifs aux forces d'occupation du Troisième Reich durant la Seconde Guerre mondiale, particulièrement dans le cadre des organes d'auto-gouvernement (Judenrats) imposés aux Juifs dans les territoires occupés.

Particularités

La collaboration juive, à la différence de la collaboration des non-juifs n'avait jamais en-soi de bases idéologiques. En outre, les judenrats, à la différence d'autres organes de collaboration locale, étaient la plupart du temps, mis en place sous la contrainte des Nazis[1].

Ainsi, selon Vassili Grossman, à Minsk les Allemands arrêtèrent simplement dans la rue les 10 premiers hommes juifs qui leur tombèrent sous la main et leur firent savoir qu'ils constitueraient le conseil juif, obligé d'obéir aux ordres des Allemands. Girch Smoliar[2], le chef des résistants du Ghetto de Minsk affirme que les Allemands demandèrent seulement au groupe de juifs : «Qui connaît l'allemand?». Ilia Michkin fit un pas en avant et fut nommé chef du ghetto[3].

L'historien Eugène Rozenblat partage les collaborateurs juifs en deux groupes[1] :

  • les partisans d'une stratégie de survie collective.
  • les personnes à la recherche d'une stratégie individualiste de survie.

Le premier groupe s'identifiait à tous les habitants survivants du ghetto et essayait, dans la mesure du possible, d'arriver à un système selon lequel étaient données des chances supplémentaires de survie à toute une catégorie de la population juive. Par exemple, par la tutelle des judenrats sur les familles nombreuses, les nécessiteux, les vieillards, les invalides et les isolés. Les représentants du second groupe s'opposaient aux autres juifs survivants et utilisaient tous les moyens pour trouver des moyens de survie, parmi ceux-ci principalement ceux menant à une détérioration de la situation ou à la mort des survivants.


Organisation Zagiev

L'organisation Zagiev, créée par les nazis avec les Juifs polonais collabora avec la gestapo dans le but de découvrir des Polonais qui cachaient des Juifs pour leur éviter le ghetto. Beaucoup de membres de «Zagiev» étaient liés au «Groupe 13» d'Abraham Gancwajch organisation collaborationniste juive du ghetto de Varsovie. Tadeusz Bednartchik, combattant polonais de la résistance, affirmait que cette organisation comprenait 1 000 agents de la Gestapo d'origine juive[4] Quelques uns de ces agents étaient autorisés à posséder une arme à feu. Sous le même nom il existait une revue dont le rédacteur était Chain, qui adressait des slogans provocateurs à l'extrême gauche[5].

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Des juifs dans la collaboration : l'UGIF (1941-1944) : précédé d'une courte étude sur les juifs de France en 1939, Paris, EDI : Études et documentation internationales (notice BnF no FRBNF346373394), puis l'Harmattan (notice BnF no FRBNF350803654), 1er janvier 1980, contient un choix de témoignages et documents (ISBN 2-85139-057-0 et 978-2851390578) (OCLC 6892798) (notice BnF no FRBNF36255558g) [lire en ligne], p. 5 
Citation
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  • (en) Isaiah Trunk (préf. Jacob Robinson), Judenrat: the Jewish councils in Eastern Europe under Nazi occupation, Macmillan (New York) & Collier-Macmillan (London), coll. « Bison books », 1972 (réimpr. 1974, 1977, 1979, puis 1996 (LCCN 95049993) c/o University of Nebraska Press: introduction to the
Citation
Edition by Steven T. Katz), 663-664 p. (ISBN 080329428X et 9780803294288) (OCLC 482285) (notice BnF no FRBNF35305271v) (LCCN 70173692) 
  • (ru) Михман Д. (Mikhman D.), Катастрофа европейского еврейства, t. 4, Тель-Авив, Открытый университет Израиля (université ouverte d'Israël) - издательство, 2001 (ISBN 965-06-0233-X), p. 263 
  • (ru) Розенблат Е. С.(Rozenblat E.) : Юденраты в Беларуси: проблема еврейской коллаборации (problèmes de la collaboration juive : les judenrats en Biélorussie), Ковчег (Kovtheg), 2009. ISBN 978-985-6756-81-1.

Liens

  • (ru) Сост. Басин, Яков Зиновьевич, издание=Уроки Холокоста: история и современность, Ковчег (Kovtheg), 2009, Сборник научных работ (ISBN 978-985-6756-81-1) [lire en ligne] 

Références

  1. 1,0 et 1,1 Розенблат Е. С. (Rozenblat E. c.) : Юденраты в Беларуси: проблема еврейской коллаборации (problème de la collaboration - les Judenrats en Biélorussie), Ковчег, 2009, издание=Уроки Холокоста: история и современность - auteur Басин, Яков Зиновьевич (ISBN 978-985-6756-81-1) [lire en ligne] 
  2. (ru) « Григорий Давидович Смоляр в Минском гетто (Grigori Davidovitch Smoliar dans le ghetto de Minsk ) », sur minsk-old-new.com
  3. Mikhman 2001
  4. (en) Tadeusz Piotrowski, Poland's Holocaust: Ethnic Strife, Collaboration with Occupying Forces and Genocide…, Jefferson, NC and London, McFarland & Company, 1997 (ISBN 0-7864-0371-3), p. 74 
  5. Все мы — солдаты страшного фронта. М. В. Алексеев

Source

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