Les danses qui mimaient les mouvements de l’accouplement comme les ’upa’upa, furent interdites et les autres danses dans le même élan.— (Patrick Cerf, La domination des femmes à Tahiti, 2007)
De grandes festivités suivent le pillage, en particulier les ’upa’upa, jeux et danses de la société des ’Arioi avec simulacres de combat entre des champions des hommes et des champions des dieux comme nous le verrons infra.— (Christine Pérez, « Les rituels festifs de type "carnavalesque" », dans Marguerite Garrido-Hory et autres, Histoire, Espaces et Marges de l’Antiquité, 2004)
L’un des premiers gestes du premier gouverneur français de Tahiti est de réautoriser (en 1845, aux fêtes du « protectorat ») les danses ’upa’upa interdites pour cause de « lascivité ».— (Paul de Deckker et Pierre-Yves Toullelan, La France et le Pacifique, 1990)