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Que Choisir Santé N°114 mars 2017

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Sommaire
  • p.1

    Vaincre ses dépendances

    Le tabac, l’alcool, les médicaments, etc. peuvent entraîner une dépendance physique et/ou psychologique forte. Malgré ses graves conséquences possibles, ce phénomène n’est hélas pas toujours admis par l’intéressé lui-même. En sortir demande du temps et peut s’accompagner de rechutes. « Que Choisir Santé » s’intéresse, dans ce dossier, aux troubles addictifs les plus répandus, addictions à des substances (tabac, alcool, médicaments anxiolytiques ou somnifères) ou addiction comportementale (jeu pathologique), sous l’angle du sevrage. Mais pourquoi devient-on dépendant ? Après avoir expliqué les mécanismes d’action entrant en jeu, le dossier envisage dans chaque cas les thérapeutiques les mieux adaptées (médicaments, thérapies comportementales, etc.) ainsi que les soutiens (médecins, associations d’aide…) indispensables pour s’en sortir.

  • p.2

    Le grand écart de la presse

    Début janvier, 72 résidents d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) à Lyon ont contracté une infection respiratoire aiguë basse, comme la grippe. L’épidémie a fait 13 victimes dont 6 avaient été vaccinées. Cette surmortalité a entraîné une enquête et relancé le débat sur la vaccination antigrippale. Si certains journaux ont pointé l’insuffisante couverture vaccinale, d’autres sont allés plus loin tel « Le Monde » qui, en se référant aux études de la Collaboration Cochrane, un réseau indépendant de médecins et chercheurs, a souligné le manque de preuves de l’efficacité du vaccin antigrippal pour les plus de 75 ans.

  • p.2

    Le surdiagnostic reconnu

    Le dépistage organisé du cancer du sein existe depuis 17 ans au Danemark. Avec quels résultats ? Dans une étude publiée dans la revue « Annals of Internal Medicine », des chercheurs ont constaté que ce dépistage n’était pas associé à une diminution du nombre de cancers avancés. Une tumeur sur trois diagnostiquée correspondait à un surdiagnostic. Ces résultats remettent en cause la valeur des mammographies périodiques. Du reste, dans un éditorial, Otis Brawley, directeur médical de la Société américaine du cancer, reconnaît que le surdiagnostic remet en question la valeur du dépistage.

  • p.3

    Une exposition à surveiller

    Selon une étude menée par l’Institut national de recherche agronomique (Inra), des rats exposés à du dioxyde de titane (l’E171, un additif utilisé comme colorant alimentaire et excipient dans les médicaments) ont développé des troubles du système immunitaire et des lésions précancéreuses au niveau du côlon. De tels résultats posent question et nécessitent d’évaluer sa dangerosité chez l’homme. À suivre.

  • p.3

    Ce n'est qu'un début...

    Pour ce tout premier classement lancé en France par le Formindep, collectif pour une formation et une information médicale indépendantes en santé, seules 9 facultés de médecine sur 37 ont pris des initiatives pour se prémunir contre les conflits d’intérêts. Un triste bilan, certes, mais qui n’est pas définitif. Le premier classement effectué aux États-Unis avait également été mauvais. Mais 10 ans après, les deux tiers des universités américaines ont obtenu de bonnes notes.

  • p.3

    Pas de bonnes nouvelles

    La revue indépendante « Prescrire » n’a pas, cette année, décerné de pilule d’Or, estimant qu’aucun médicament n’avait, en 2016, apporté un progrès assez décisif pour être distingué. En revanche, dans son 5e bilan des médicaments à écarter, elle a épinglé nombre de spécialités plus dangereuses qu’utiles. La plupart d’entre elles figuraient, hélas, déjà au palmarès en 2013 !

  • p.8

    "Après mon cancer, j'ai envie de tourner la page"

    Après une chirurgie et une chimiothérapie, Sophie pensait que le plus dur était derrière elle, que son cancer du sein appartenait au passé. Mais au bout de sa radiothérapie, alors même qu’elle reprend le chemin du travail, elle s’effondre. Ses angoisses ne la lâchent pas. L’intervention d’une oncopsychologue, une psychologue spécialisée, l’aidera à « mettre sa maladie à distance »… « Que Choisir Santé » explique en quoi l’annonce d’un cancer et la fin des traitements sont des périodes de forte vulnérabilité et montre toute l’importance des soins de support.

  • p.10

    La maladie de Lyme est-elle sous-diagnostiquée ?

    La maladie de Lyme, une infection transmise par la piqûre de tiques – en recrudescence dans les forêts – est au cœur d’une controverse. L’estimation officielle du nombre de cas en France est de 33 000 en 2015. Mais des voix discordantes parmi les médecins dénoncent un sous-diagnostic de la maladie : ils mettent notamment en cause la fiabilité des tests de détection. « Que Choisir Santé » citant le Pr Perronne, chef de service en infectiologie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, s’interroge sur la qualité des tests mis en œuvre. De son côté, le ministère a lancé, en septembre dernier, un plan national de lutte contre la maladie.

  • p.11

    Je tousse et je crache

    Une bronchite aiguë est une inflammation de la trachée et des bronches. D’origine virale la plupart du temps, elle se manifeste par une gêne respiratoire et une toux sèche puis grasse, accompagnée de crachats. Fréquente, elle se guérit naturellement en une dizaine de jours. Souvent, pourtant, pour soulager et stopper la toux, notamment la nuit, on recourt à des antibiotiques. À bon escient ? Ce « Mieux se connaître » met en garde contre les antitussifs et fluidifiants bronchiques à l’efficacité limitée. D’autres traitements d’appoint peuvent aider à soulager la fièvre et les douleurs ou encore calmer la toux naturellement. L’important est de ne pas passer à côté d’une pneumonie.

  • p.13

    Attention à la banalisation des traitements neuroleptiques

    Autrefois réservé aux pathologies psychiatriques, l’usage des neuroleptiques s’est, avec le temps, banalisé. En France, en 2014, on estime que près de 2 millions de personnes en ont consommé. Excessif et « préoccupant », alertent des chercheurs de l’Inserm de Bordeaux devant l’Académie de médecine. Mais pourquoi utilise-t-on ces médicaments ? Sont-ils vraiment sur-prescrits ? Et à quels risques exposent-ils ? « Que Choisir Santé » explique comment l’arrivée des neuroleptiques dits de seconde génération a modifié la donne, jusqu’à être prescrits hors autorisation de mise sur le marché y compris chez les enfants et adolescents. Méfiance.

  • p.16

    La sieste

    Si, sous d’autres latitudes, la pratique de la sieste est répandue et bien acceptée, elle n’est guère prise au sérieux ici. Pourtant, nombreux sont les Français qui souffrent de manque de sommeil, se plaignent d’être fatigués en journée et stressés. Ce « Gros plan sur… » expose tous les bienfaits de ce « repos diurne » qui serait très bénéfique aux personnes âgées. De la micro-sieste à la sieste royale, découvrons toutes les vertus de la sieste… sans culpabiliser !

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Les plus du magazine

  • Une information fiable et indépendante sur votre santé
  • Une expertise de praticiens reconnus : médecins, chercheurs, pharmacologue
  • Un décryptage objectif des maux courants qui nous empoisonnent la vie (douleurs musculaires, migraines…) et des sujets d’actualité
  • Une fiche médicaments pour éviter les effets secondaires et les interactions fâcheuses

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  • p.1

    Vaincre ses dépendances

    Le tabac, l’alcool, les médicaments, etc. peuvent entraîner une dépendance physique et/ou psychologique forte. Malgré ses graves conséquences possibles, ce phénomène n’est hélas pas toujours admis par l’intéressé lui-même. En sortir demande du temps et peut s’accompagner de rechutes. « Que Choisir Santé » s’intéresse, dans ce dossier, aux troubles addictifs les plus répandus, addictions à des substances (tabac, alcool, médicaments anxiolytiques ou somnifères) ou addiction comportementale (jeu pathologique), sous l’angle du sevrage. Mais pourquoi devient-on dépendant ? Après avoir expliqué les mécanismes d’action entrant en jeu, le dossier envisage dans chaque cas les thérapeutiques les mieux adaptées (médicaments, thérapies comportementales, etc.) ainsi que les soutiens (médecins, associations d’aide…) indispensables pour s’en sortir.

  • p.2

    Le grand écart de la presse

    Début janvier, 72 résidents d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) à Lyon ont contracté une infection respiratoire aiguë basse, comme la grippe. L’épidémie a fait 13 victimes dont 6 avaient été vaccinées. Cette surmortalité a entraîné une enquête et relancé le débat sur la vaccination antigrippale. Si certains journaux ont pointé l’insuffisante couverture vaccinale, d’autres sont allés plus loin tel « Le Monde » qui, en se référant aux études de la Collaboration Cochrane, un réseau indépendant de médecins et chercheurs, a souligné le manque de preuves de l’efficacité du vaccin antigrippal pour les plus de 75 ans.

  • p.2

    Le surdiagnostic reconnu

    Le dépistage organisé du cancer du sein existe depuis 17 ans au Danemark. Avec quels résultats ? Dans une étude publiée dans la revue « Annals of Internal Medicine », des chercheurs ont constaté que ce dépistage n’était pas associé à une diminution du nombre de cancers avancés. Une tumeur sur trois diagnostiquée correspondait à un surdiagnostic. Ces résultats remettent en cause la valeur des mammographies périodiques. Du reste, dans un éditorial, Otis Brawley, directeur médical de la Société américaine du cancer, reconnaît que le surdiagnostic remet en question la valeur du dépistage.

  • p.3

    Une exposition à surveiller

    Selon une étude menée par l’Institut national de recherche agronomique (Inra), des rats exposés à du dioxyde de titane (l’E171, un additif utilisé comme colorant alimentaire et excipient dans les médicaments) ont développé des troubles du système immunitaire et des lésions précancéreuses au niveau du côlon. De tels résultats posent question et nécessitent d’évaluer sa dangerosité chez l’homme. À suivre.

  • p.3

    Ce n'est qu'un début...

    Pour ce tout premier classement lancé en France par le Formindep, collectif pour une formation et une information médicale indépendantes en santé, seules 9 facultés de médecine sur 37 ont pris des initiatives pour se prémunir contre les conflits d’intérêts. Un triste bilan, certes, mais qui n’est pas définitif. Le premier classement effectué aux États-Unis avait également été mauvais. Mais 10 ans après, les deux tiers des universités américaines ont obtenu de bonnes notes.

  • p.3

    Pas de bonnes nouvelles

    La revue indépendante « Prescrire » n’a pas, cette année, décerné de pilule d’Or, estimant qu’aucun médicament n’avait, en 2016, apporté un progrès assez décisif pour être distingué. En revanche, dans son 5e bilan des médicaments à écarter, elle a épinglé nombre de spécialités plus dangereuses qu’utiles. La plupart d’entre elles figuraient, hélas, déjà au palmarès en 2013 !

  • p.8

    "Après mon cancer, j'ai envie de tourner la page"

    Après une chirurgie et une chimiothérapie, Sophie pensait que le plus dur était derrière elle, que son cancer du sein appartenait au passé. Mais au bout de sa radiothérapie, alors même qu’elle reprend le chemin du travail, elle s’effondre. Ses angoisses ne la lâchent pas. L’intervention d’une oncopsychologue, une psychologue spécialisée, l’aidera à « mettre sa maladie à distance »… « Que Choisir Santé » explique en quoi l’annonce d’un cancer et la fin des traitements sont des périodes de forte vulnérabilité et montre toute l’importance des soins de support.

  • p.10

    La maladie de Lyme est-elle sous-diagnostiquée ?

    La maladie de Lyme, une infection transmise par la piqûre de tiques – en recrudescence dans les forêts – est au cœur d’une controverse. L’estimation officielle du nombre de cas en France est de 33 000 en 2015. Mais des voix discordantes parmi les médecins dénoncent un sous-diagnostic de la maladie : ils mettent notamment en cause la fiabilité des tests de détection. « Que Choisir Santé » citant le Pr Perronne, chef de service en infectiologie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, s’interroge sur la qualité des tests mis en œuvre. De son côté, le ministère a lancé, en septembre dernier, un plan national de lutte contre la maladie.

  • p.11

    Je tousse et je crache

    Une bronchite aiguë est une inflammation de la trachée et des bronches. D’origine virale la plupart du temps, elle se manifeste par une gêne respiratoire et une toux sèche puis grasse, accompagnée de crachats. Fréquente, elle se guérit naturellement en une dizaine de jours. Souvent, pourtant, pour soulager et stopper la toux, notamment la nuit, on recourt à des antibiotiques. À bon escient ? Ce « Mieux se connaître » met en garde contre les antitussifs et fluidifiants bronchiques à l’efficacité limitée. D’autres traitements d’appoint peuvent aider à soulager la fièvre et les douleurs ou encore calmer la toux naturellement. L’important est de ne pas passer à côté d’une pneumonie.

  • p.13

    Attention à la banalisation des traitements neuroleptiques

    Autrefois réservé aux pathologies psychiatriques, l’usage des neuroleptiques s’est, avec le temps, banalisé. En France, en 2014, on estime que près de 2 millions de personnes en ont consommé. Excessif et « préoccupant », alertent des chercheurs de l’Inserm de Bordeaux devant l’Académie de médecine. Mais pourquoi utilise-t-on ces médicaments ? Sont-ils vraiment sur-prescrits ? Et à quels risques exposent-ils ? « Que Choisir Santé » explique comment l’arrivée des neuroleptiques dits de seconde génération a modifié la donne, jusqu’à être prescrits hors autorisation de mise sur le marché y compris chez les enfants et adolescents. Méfiance.

  • p.16

    La sieste

    Si, sous d’autres latitudes, la pratique de la sieste est répandue et bien acceptée, elle n’est guère prise au sérieux ici. Pourtant, nombreux sont les Français qui souffrent de manque de sommeil, se plaignent d’être fatigués en journée et stressés. Ce « Gros plan sur… » expose tous les bienfaits de ce « repos diurne » qui serait très bénéfique aux personnes âgées. De la micro-sieste à la sieste royale, découvrons toutes les vertus de la sieste… sans culpabiliser !

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