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Université Abderrahmane Mira-Bejaia

Faculté des Sciences Humaines et Sociales


Département des Sciences Sociales

En vue de l’obtention du diplôme de master en sociologie du Travail


et ressources humaines.

Option : Sociologie du Travail et Ressources Humaines.

Thème :

« L’impact des TIC sur l’Entreprise »

Préparé par : Encadré par :


-MEFTAH Hanafi Mr.MAKHLOUFI Abdelouhab
-LEKBAL Faiçal

Année 2013 /2014


REMERCIEMENTS

Avant tout je tiens à remercier le bon dieu de m’avoir


accordé la santé, le courage et la volonté pour aboutir à ce
modeste travail.
J’adresse aussi mes remerciement à :
Mon encadreur : M .Makhloufi .A pour ces conseil et ses
orientations qui me sont précieuse.
A La famille LEKBAL et MEFTAH, qui mon aider
par tout les moyens, qui mon soutenu sur tout les niveaux,
et qui mon donner la volonté pour suivre mes étude.
Et a FATIHA ET SARAYOUS qui ma soutenu toujours.
A M. MAOUCHE.F qui m’a aidé à réaliser mon enquête à
l’entreprise SONATRACH.
Et a tout les responsables du service RH de l’entreprise de
SONATRACH.
La liste des abréviations :

TIC Technologie de l’Information et de Communication


PIB Produit intérieur brut

CNI Conseil National de l’Investissement


MENA Middle East and North Africa

ENSI Entreprise Nationale des Systèmes Informatique


Arpt Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications
ADSL Asymmetric Digital Subscriber Line
RFID Radio-fréquence identification
CAO Conception Assistée par Ordinateur
SI Système Informatique
GRH Gestion des Ressources Humaines
RH Ressources Humaines
FD Fraction Diplômées
FND Fraction Non Diplômées
TEP Tonne d'Equivalent Pétrole
DRGB Direction Régionale BEJAIA
CV Curriculum Vitæ
TRC Tous Risques Chantiers
CSP Catégorie Socio -Professionnel
RHU Ressources Humaines
La liste des schémas
N° Titre page
schémas
Schéma Impact des TIC sur l'organisation de l’activité et les 48
1 compétences de l’usager au niveau professionnel et
domestique.
schéma 2 Organigramme de SONATRACH 66
Schéma Organigramme de la direction Régionale TRC/source : 72
3 DRGB/SONATRACH.

schéma 4 Structure du Département des Ressources Humaines et 73


Communication.
La liste des tableaux:
N0 Titre Page
Tableau
1 Effectif de la DRGB 68
2 Ouvrages de la DRGB/SONATRACH 69
3 Effectif du Département par Catégories 73
Socioprofessionnelle (CSP)
4 la répartition de la population étudiée selon le sexe. 76
5 la répartition de la population étudiée selon l’âge. 76
6 présentation de l’échantillon selon le poste occupé 77
7 présentation de l’échantillon selon l’ancienneté 77
8 les TIC sont un moyen de développement dans l’entreprise 78
de SONTRACH.

9 les TIC ; sont un outil indispensable dans l’entreprise 80


SONATRACH.

10 les TIC permettent l’accès rapide à des nouvelles 82


informations dans l’entreprise SONATRACH
11 la maitrise technique des machines et des logiciels permis 84
d’être efficaces dans le contexte professionnel.

12 le processus de communication entre les différentes 87


structures au sein de l’entreprise de SONATRACH avec
l’utilisation des TIC
13 l’amélioration par rapport à la circulation d’information 89
avec l’appropriation des TIC.
14 l’accès à l’information dépend du niveau hiérarchique et de 91
responsabilité

15 . l’accès à l’information par rapport à l’âge, génération, 93


ancienneté.

16 l’utilisation des TIC en relation avec la CSP. 94

17 l’effet des revenus joue un rôle dans l’utilisation des TIC 96


18 le niveau scolaire joue un rôle dans l’usage domestique des 97
TIC
La liste des abréviations

La liste des schémas

Liste des tableaux

Sommaire

Introduction.

La première partie théorique : Cadre méthodologique

1. Les raisons de choix de thème……………………………………………………....2

2. L’objectif de la recherche…………………………………………………………...2

3. La Problématique……………………………………………………………………..3

4. Les hypothèses formulées……………………………………………………………6

5. Analyse conceptuelle des hypothèses...…………………………………………….6

6 .La population d’étude……………………………………………………………….8

7. La méthode et la technique utilisée………………………………………………..8

8. Les obstacles rencontrés……………………………………………………………10

Chapitre 01 : Présentation globale des TIC

Section 01 : nature, outils et caractéristiques des TIC……………………… .13

1 .les TIC : de quoi parle-t-on ?..........................................................................13

2. les outils des TIC…………………………………………………………………….15

3 .les caractéristiques des TIC………………………………………………………..20

Section 02 : enjeux et effets des TIC dans l’entreprise……………… ………22


1. la proposition TIC et la performance de l’entreprise…………………………. 22

2 .les enjeux des TIC pour l’entreprise……………………………………………...22

3. les effets des TIC…………………………………………………………………….26

Chapitre 02 : l’usage des TIC dans l’entreprise.

Section01 : les types de communication dans l’entreprise…………………...29

1 .les types de communication………………………………………………………. 29

2 .les circuits de communication interne……………………………………………31

3 .les TIC et les systèmes de communication……………………………………….32

4 .la communication de crise………………………………………………………….33

Section 02 : les TIC et le système organisationnel de l’entreprise…………. .35

1. recours au TIC au sein des entreprises…………………………………………..35

2 .les TIC permettent de stimuler la réactivité de l’organisation………………..37

3 .les TIC et l’organisation du travail……………………………………………….39

4. TIC et chaine de la valeur………………………………………………………….42

Chapitre 03 :l’impact des TIC sur l’entreprise

Section01 :l’impact des TIC sur les compétences au sein de l’entreprise……44

1. La notion de biais technologique………………………………………………….44

2. les mécanismes de biais technologique………………………………………….45

3. Impact des TIC sur les compétences de l’usager………………………………..45


Section 02 : l’inégalité d’utilisation des TIC au sein de l’entreprise………..55

1. L'accès aux TIC est notamment très sélectif en fonction ……………………..55

a. Niveau de responsabilité hiérarchique……………………………………….55

b.la qualification ou de niveau scolaire………………………………………...55

c. inégalités numériques et rapports sociaux de classe, de sexe et d’âge par


rapport aux TIC………………………………………………………………………56
2. Des clivages dans l'usage domestique des TIC………………………………….57

La deuxième partie pratique :


Chapitre04 : Présentation globale de l’entreprise « SONATRACH »

Section 01 : Historique de SONATRACH……………………………….. …..63


1. Objectifs et évolution………………………………………………………...63
2. Organisation de la société…………………………………………………..65
Section 02 : Présentation de la direction régionale de Bejaia………………..67

1. Historique……………………………………………………………………….67
2. Effectif…………………………………………………………………………...68
3. Situation géographique………………………………………………………..68
4. Activités………………………………………………………………………… 69
5. Organisation de la direction………………………………………………….70
Section 03 : présentation du Département des Ressources Humaines et
Communication ……………………………………………………. ………...73
1. Effectif du Département par Catégories Socioprofessionnelle (CSP)……73
2. Structure du Département des Ressources Humaines et Communication .73
3. Objectifs du Département des Ressources Humaines et Communication...73
4 .Taches du Département des Ressources Humaines………………………….74
Chapitre 05 : analyse et interprétation des résultats de l’enquête.

1. analyse et interprétation des résultats de l’enquête de deux hypothèses……76

2 .la discussions des résultats de deux hypothèses…………………………………99

Conclusion ………………………………………………………… 101

La liste bibliographique

Annexes
Introduction
Au cours des dernières années, les Technologies de l'Information et de la
communication (TIC) sont devenues un nouveau vecteur de changement plus en
plus important de la croissance économique de l'entreprise, elles ont transformé
la planète en un petit village. Ces TIC ont changé le comportement du personnel
(structure transversale). L'association de l'informatique et des communications a
permis de circuler l'information dans le monde, celui qui la détient à le pouvoir,
l'information est la matière première du futur. Elles ont un fort impact sur le
quotidien des individus et notamment sur leurs usages et habitudes donc exigent
des compétences élevées et la maîtrise1.
Dans le cadre des évolutions technologiques et de la diversification des
relations et de l'organisation du travail, les salariés algériens sont confrontés à
une plus grande mobilité interne et externe à l'entreprise, géographique et
professionnelle ainsi qu'au besoin d'entretenir et d'améliorer leurs niveaux de
compétences et de qualifications. Pour gagner la bataille il faut que le personnel
de l'amont jusqu'à l'aval participe pour le développement de l'entreprise. Au
cours de ce siècle on assiste au passage de l'économie matérielle à une économie
immatérielle, qui consiste à chercher une productivité de plus en plus croissante.

Le développement de la nouvelle économie dépend des connaissances et


de la créativité de l'être humain que des ressources naturelles. Cette nouvelle
tendance de l'économie mondiale se trouve en pleine mouvance c'est-à-dire une
mutation d'une économie de production à une économie d'information et de
savoir. L'économie du marché est une économie de réseaux de services ou
l'information est la source moyenne de création de la valeur ajoutée. Ainsi le
partage de l'information et le partenariat s'impose au sein de l'organisation. Face
à ces exigences telle que (mondialisation: ouverture du marché, alliance

1
Abdelkader RACHEDI, L'impact des TIC sur l'entreprise, Université de Saida - Magister 2006.
partenariat..), l'entreprise algérienne doit s'adapter et adapter son organisation
avec les outils appropriés. En cela les Technologies de l'Information et de la
Communication; abréviation souvent utilisée (TIC) offrent une meilleure
opportunité pour l'entreprise algérienne. L'économie du III millénaire ne peut
être en dehors du contexte de la globalisation des économies et la mondialisation
des échanges et l'accélération de ces TIC parce que la compétitivité des
entreprises se fait grâce à l'innovation et les techniques2.
A propos de tout ce qu’on a relaté sur les TIC au cours de notre recherche
bibliographique, on est serré d’analyse leur impact sur les compétences dans
l’entreprise, dans cet objectif, on est procédé a une méthodologie qui définissent
les TIC et laquelle indique les grandes lignes de son impact sur l’entreprise,
cela nous incite à répondre sur tout les segments des concepts par un analyse
détaillé.
Pour cela on a divisé notre travail en Trois (03) parties, et cinq (05) chapitres :
.la première partie c’est la partie méthodologique ,qu’est en attribution des
étapes qu’on a suivi dans notre recherche et comment on a procédé a le choix de
notre population d’étude, la méthode et le lieu de recherche.
.La deuxième partie c’est la partie théorique laquelle on a divisé en trois (03)
chapitres.
-Chapitre 01 : Nous représente en générale notre thème qu’il est l’usage des TIC
dans l’entreprise et leurs effets, outils et caractéristiques et leurs enjeux, présenté
en deux sections.
-Chapitre 02 : Ce chapitre représente l’usage des TIC dans l’entreprise er leurs
influences sur la politique de communication et le changement organisationnel
et aussi on est le devisé en deux section.
-Chapitre 03 : Dans ce chapitre on va parler sur l’impact des TIC sur les
compétences et comment les employer s’approprient-ils les TIC, ce dernier
est divisé en deux sections.
2
Op .cit p80 .
.La troisième partie c’est la partie pratique qu’on a divisé en deux (02)
chapitres qui sont :

- Chapitre 04 : on a consacré se chapitre pour représenté l’entreprise, dans la


quelle on est effectue notre recherche de terrain .l’entreprise « Direction
Régional de SONATRACH de Bejaia (Société Nationale pour le Transport
et la Commercialisation des Hydrocarbures », l’histoire de cette géante
entreprise, leur organigramme et la situation géographique et les différents
critères.
-Chapitre 05 : ce chapitre est une bordure pour l’analyse des résultats qu’on a
obtenue par la recherche exécuté au sein de l’entreprise SONATRACH avec
ses employés.
Nous terminons notre travail par une conclusion générale, dont on va
tenter de répondre à la question de départ qui concerne l’impact des TIC sur
l’entreprise, et de confirmer ainsi nos hypothèses.
1-les raisons de choix du thème :

Nous avons choisi de traiter ce sujet car c’est pour nous un sujet très
intéressant car il est en évolution , ainsi Il ya plusieurs facteurs qui nous a
motiver à choisir et a faire une recherche sur le thème « l’impact des TIC sur
l’entreprise » parmi eux :

-Acquérir et élargir nos connaissances dans le domaine des ressources humaines.

- connaitre aussi l’impact des technologies de l’information et de la


communication sur les compétences et les métiers au sein de l’entreprise.

2-l’objectifs de la recherche :

Toutes les recherches scientifiques conduisent à des objectifs destinés et


fixés donc les buts de notre recherche se résume comme suivant :

-Connaitre la place et le rôle des TIC au sein dans l’entreprise.

-Découvrir les différentes sources utilisée par l’entreprise pour atteindre une
performance maximale.

-permettre aux futurs chercheurs de consulter notre travail dans le but d’enrichir
leurs études.

-stage de fin d’étude pour me faciliter l’intégration dans le domaine de travail.

-approfondir mes connaissances acquises mon cursus.


3-LA PROBLIMATIQUE

Bien que les technologies de l’information et de la communication (TIC)


d’aujourd’hui se situent dans la continuité de générations technologiques
antérieures, l’évolution de leurs performances facilite des transformations qui
dépassent largement le cadre sectoriel des industries de l’information et de la
communication et affectent l’ensemble de l’économie. Liées à l’introduction et à
la diffusion des TIC, ces transformations modifient de façon si profonde le
fonctionnement de l’économie que certains y voient la naissance d’un nouveau
paradigme économique que l’on appelle, tout comme le secteur qui le porte,
“nouvelle économie”. Peut-être y a-t-il là quelque exagération, mais les
transformations en cours seront durables et amèneront la plupart des professions
à évoluer. Les TIC sont nés au cours des vingt-cinq dernières années de la fusion
des télécommunications, de l’électronique, de des technologies de numérisation
de l’information, en particulier de l’information audiovisuelle. Le mariage de
l’informatique et du matériel audiovisuel a donné naissance aux disques et
lecteurs compacts. Le rapprochement de l’informatique et des
télécommunications a permis la mise en place des réseaux électroniques
interactifs comme l’Internet.
Comme le rappelle Patrice Flichy, ce réseau des réseaux, né de la
recherche publique militaire américaine, s’est développé pendant près de vingt
ans dans les milieux universitaires en dehors de l’économie de marché autour
d’une culture de la gratuité et de la coopération3.

3
Michel Matthieu SUNGU MUANDA NTELA, Les nouvelles organisations et transformations du travail: Les
metiers face aux nouvelles technologies de l'information et de la communication, Université Protestante au
Congo - Licence 2007.
Aujourd’hui, des produits multimédias “en ligne” combinent du matériel
audiovisuel, de l’informatique et des télécommunications. Les TIC se diffusent
largement, en particulier vers les médias, la publicité et la distribution.
La définition des TIC peut influencer sensiblement les conclusions des
études économiques et la croissance des TIC à la cour des années récentes.
Apparaît leur inclusion essentielle.
De même, l’inclusion de l’audiovisuel et du commerce de gros n’est pas
neutre lorsque l’on compare l’évolution du poids des TIC aux États-Unis et en
France : en 1998, ces deux secteurs représentaient 1,6 % du PIB américain contre
seulement 0,6 % du PIB français. Selon Ali Kahlane qui et un expert algérien en
TIC, et président de la société de services et solutions internet Satlinker trouve que,
le développement des TIC on Algérie s’est adonné à ce délicat exercice. Ce dernier,
est revenu sur l’histoire des TIC en Algérie, où le pays est passé du statut de
pionnier en Afrique et au Moyen-Orient en matière d’usage de ces technologies, à
celui de bon dernier en dépit du potentiel et des moyens financiers disponibles.
4
Selon l’expert, l’histoire des TIC a commencé en Algérie au lendemain de
l’indépendance, avec la création du Commissariat national à l’informatique (CNI),
un des premiers organismes dédié aux technologies dans le continent et la région
MENA et qui s’est lancé dans un audacieux projet pour la fabrication de 1.000
ordinateurs.
La décennie 1980 a vu la naissance des premières sociétés publiques et
privées spécialisées en services informatiques, à l’image de la prestigieuse Ecole
nationale des services informatiques (ENSI). Certaines activent encore sur le marché
tandis que d’autres ont tout simplement disparu. La décennie 1990 a vu la
restructuration de l’ENSI en société autonome de prestations de services et
d'ingénierie en informatique, chargée d'accompagner l'informatisation des
institutions publiques. Cette période a toutefois coïncidé avec les premiers départs

4
Ali Kahlane , LE DEVELOPPEMENT DES TIC ET LA TRANSITION NUMERIQUE EN ALGERIE,
HOTEL HILTON – SALLE ROSA – ALGER,2013.
des cadres algériens en informatique à l’étranger, fuyant la violence pour des cieux
plus cléments. Pas de réveil technologique L’avènement des années 2000 devait
sonner le « réveil » technologique algérien, avec comme première mesure la
création de l’Autorité de régulation de la Poste et des Télécommunications (Arpt).
Cette période a vu l’ouverture du secteur des télécoms aux investisseurs étrangers,
en particulier la téléphonie mobile, dont le taux de pénétration atteint aujourd’hui
98%.
À l'origine, le réseau était censé permettre aux chercheurs de l'Arpa de faire des
sérieux calculs à distance, sur des logiciels qu'ils ne possédaient pas, mais que leurs
collègues, à l'autre bout du pays, pouvaient avoir sur leurs ordinateurs .
L’émergence des TIC offre une base de donner alimenter par tous et qui développe
un sentiment d’appartenance a l’entreprise et une solidarité entre les hommes par le
bon fonctionnement des TIC au sein de l’entreprise qui facilite le fonctionnement des
groupes de travail et son rôle de satisfaire les besoins et agit sur le capital humain
parce que notre sous-développement réside dans le sens de l’utilisation des ressources
humaines.
A cet égard, les TIC et les transformations organisationnelles liées à leur
diffusion conduisent à des transformations de métiers qui touchent l’ensemble des
collectifs de travail, y compris les salariés qui ne les utilisent pas directement.
Ainsi, la maîtrise des TIC dépend de fait du capital culturel personnel de chacun
et de la place qu'il occupe dans l'entreprise, mais plus on utilise les TIC plus on les
maîtrise (apport de l'expérience) d'où un accroissement des clivages dans les modes
d'usage des outils.
Nous souhaitons à travers notre modeste recherche répondre à la question
suivante :
-Quel est l’impact des TIC sur l’entreprise ?
A partir de cette problématique découle d’autres questions secondaires qui
pourront nous servir dans notre travail de recherche. Nous citons :
-Quelle est l’influence des TIC sur les compétences au sein de l’entreprise
-Comment les employés s’approprient-ils les TIC ?

4- Les hypothèses formulées :


Élaborer les variables d’une hypothèse c’est transformée des faits plus au
moins abstrait a des faits plus au moins concret à observer aux dimensions qu’on
peut mesurer et apporter les indicateurs précis5.
A fin de bien cerné notre problématique nous avons choisis d’orienter
notre travail en formulant les hypothèses suivantes :
-l’existence d’un biais technologique spécifique aux TIC influe sur les
compétences au sein de l’entreprise.
-La diffusion très rapide de l’information au sein des entreprises Algériennes ne
s’est pas traduite par une égalisation des chances d’accès entre les différentes
catégories de salariés.
5-définitions des hypothèses :
Les concepts que nous allons définir sont : l’impact, TIC, compétences,
entreprise, inégalité.
L’analyse conceptuelle est un processus graduel de concrétisation de ce qu’on
veut observer dans la réalité.
Pour l’élaboration de notre thème de recherche, nous devrons d’abord
donner définitions pour chacun des concepts qui ont été faites par des différents
auteurs des sciences humaines, et des sciences économiques sur les quelles nous
avons appui à fin de prendre la définition la plus adéquate à notre travail de
recherche, on commençant par :
-L’impact : le terme impact désigne les effets, les conséquences d’une action,
d’une décision, d’un message, d’une réforme institutionnelle, sur les individus
5
- OMAR AKTOUF, « méthodes des sciences sociales et approches qualitatives des
organisations »édition, presse de l’université de Québec, boul. laurier Sain Foy, Québec. 1992. p11
et sur le milieu social. utilisé avec précaution en sociologie du fait de la
complexité des retentissements, directs et indirects, immédiats et lointains, d’une
action, il est retenu dans les études socioéconomiques et économico-politiques
pour étudier les conséquence de modifications économiques, technologique,
organisationnelles.6
Technologies de l’information de la communication :
C’est l’ensemble des technologies utilisées dans le fonctionnement, et la
transformation et le stockage sous forme électronique, elles englobent les
technologies des ordinateurs et les communications et le réseau que relient les
appareils.
Selon CHARPENTIER « les TIC sont un ensemble de technologies utilisées
pour traiter, modifier et échanger de l’information plus spécifiquement des
données numérisées .la naissance des TIC est due notamment à la convergence
de trois activités, la télécommunication (équipement), l’information(les services
et les logiciel), l’audiovisuel (la production et les services audiovisuels) »7
-Entreprise : Elle est définie par sa fonction économique. C’est une
organisation qui transforme des ressources on les combinant pour obtenir des
produits sous forme de bien et services marchands8.
-Compétence : D’après A. Akoun et A. Pierre les compétences sont les
aptitudes, connaissances général et professionnel, théorique de nature plu
Adaptation et efficacité d’une certaine forme d’organisation du système de
production et de système de travail par apport aux normes et aux objectifs9.
Dans le Traité des sciences et des techniques de la Formation, coordonné par
Philippe Carré et Pierre Caspar, Sandra Bélier propose cette définition de la
6
AKOUN .A et ANSART.P et autres, Dictionnaire de Sociologie, GONZAGUE RAYNAUD (le
ROBERT-SEUIL), Octobre 1999, P272.
7
P.CHARPENTIER, « économie et gestion de l’entreprise »NATHAN, juin 2000.P133.

8
-M.DARBELET, et autres « l’essentiel sur le management » 5eme édition, Berti édition, Alger,
2007.p.24.
9
-A.AKOUN, A.PIERRE « dictionnaire de sociologie » édition le REBERT, Seuil, France.1999.SP.
Compétence :"La compétence permet d'agir et/ou de résoudre des problèmes
professionnels de Manière satisfaisante dans un contexte particulier, en
mobilisant diverses capacités
De manière intégrée".10
-Inégalité: distribution non uniforme d’un bien matériel ou symbolique
socialement valorisé parmi les membres d’une société .les inégalités sociales :
origines individuelles et sociales.les inégalités sociales existant entre les
individus peuvent affecte n’importe quelle espèce de possessions (richesse,
instruction, information).11
-Salarie : Le salarié est celui qui effectue une prestation de travail sur demande
de son employeur en contrepartie d'une rémunération.
-communication : est l'action de communiquer, de transmettre des
informations ou des connaissances à quelqu'un ou, s'il y a échange, de les
mettre en commun (ex : le dialogue).
6-la population d’étude :
Notre population mère contient 813 Salariés, ils sont répartir comme
suit : agents d’exécution, agents de maitrise, cadres intermédiaire, et cadres
supérieur.
Notre enquête porte sur un nombre 10 salariés travaillant dans
l’entreprise SONATRACH de Bejaia. Le choix de notre population d’études
s’est fait de manières non probabiliste, se sont des agents de maitrise, cadre
intermédiaire, et des cadre supérieurs.

10
CARRE (P) et CASPAR (P), Traité des sciences et techniques de la formation
Paris, Dunod, 1999
11
AKOUN .A et ANSART.P et autres , op .cit.P281
7- La méthode et la technique utilisée :
Dans toute recherche scientifique, il est nécessaire d’employer une
méthode qui permet de guider le chercheur dans sa quête de la réalisation de ces
objectifs.
Dans son sens plus large la méthode est : « un ensemble de règles ou de
procédés pour atteindre dans les meilleures conditions un objet12 ».
On a procéder la méthode qualitative pour collecte des informations et des
données sur le thème qu’on à chosée, le choix de la méthode n’est pas fait en
hasard, mais la nature de thème choisie, aussi la qualité des objectifs à atteindre,
et les résultats qui nous orientent à cette méthode.
Définitions de la méthode qualitative : Elle est utilisé pour l’étude des
phénomènes complexe ou les sujets libres, la conception de la réalité, la vision
de monde, le système de valeur et de croyances .le choix de cette méthode n’est
pas fait ou hasard mais la nature de sujet et notre objectif pour savoir plus sur la
qualité des fonctionnalités TIC et approfondir nos connaissances et nos
informations au sein de l’entreprise dont nous avons choisi la technique
d’entretien que nous avons mène sur un groupe restreins constitue 10 salaries
,l’entretien est duré entre 20 à 30mn pour chaque interviewé . Nous avons aussi
utilisé une observation directe pour concrétiser et soutenir notre recherche
documentaire.
La technique utilisée :
La technique de recherche constitue un moyen de considération de la méthode
choisie, ainsi elle permet de recueillir des informations sur le terrain et de
reprendre au problème posé.
Le choix d’une technique d’investigation ne se fait pas d’une manière
aléatoire, mais en considération aux objectifs poursuivis et surtout le type de
dominer à recueillir, nous avons choisi l’investigation par l’entretien semi
12
- GRAWITIZ Madeleine « Lexique des sciences sociales », 7emeédition, Dalloz, 1999.
directif « c’est une technique qui instaure en principe un véritable échange au
cours du quel l’interlocuteur exprime ses perception et ses expériences tandis
que la chercheure facilite cette expression13» et l’observation participante.
Cette technique à comme avantage la flexibilité qui veut dire la possibilité
de reformuler les questions pour la compréhension de l’enquête des réponses
mensongères, il y a aussi la crainte des enquêtes de réponse sur certaines
questions.
Cela dans le but de savoir, si les TIC influe sur les métiers et les
compétences au sein de l’entreprise, et aussi s’avoir si il ya une égalisation des
chances d’accès au TIC entre les différents salariés.
La pré-enquête :
Selon GRAVEL « le but de la pré-enquête est tout d’abord de vérifier sur le
terrain si l’instrument élabore est d’une part, suffisant, d’autre part, correct pour
recueillir les données dont on a besoin. On verra donc si les questions sont
comprises dans le sens ou elles ont été élaborées14» Notre pré-enquête
s’articulait sur plusieurs questions adressées aux enquêtes, la chose qui nous a
aidés à l’élaboration finale de guide d’entretien en rapport directe avec nos
hypothèses.
8- les obstacles rencontrés :
Toute recherche scientifique rencontre des obstacles, les notre sont les suivants :
-le manque de données statistiques relatives au développement des TIC (chiffres
comparatifs) dans l’entreprise de SONATRACH.
-l’échappement des cadres de leurs faires l’entretien, en raison de l’occupation
ou l’indisponibilité de temps, et c’est très difficile de trouvé la personne qui
accepte de répondre aux questions.

13
- ANGERS Maurice « Initiation Pratique à la Méthodologie des Sciences Sociales », édition
Casbah, Alger, 1997.p 66.
14
- GRAVEL Robert « Guide méthodologique de la recherche », PUQ, Québec.1978, p20.
-l’indisponibilité des ouvrages et des livres qui parlent sur les TIC, soit a
l’université ou a l’extérieur.
Introduction.
La première partie :
partie théorique
Partie méthodologique
Chapitre 01 : Présentation
globale des TIC.
Chapitre 02 : l’usage des
TIC dans l’entreprise.
Chapitre 03 :l’impact des
TIC sur l’entreprise.
La deuxième partie :
pratique
Chapitre04 : Présentation
globale de l’entreprise
« SONATRACH ».
Chapitre 05 : Analyse et
interprétation des résultats de
l’enquête.
Conclusion
La liste
bibliographique
Annexes
Section 01 : nature outils et caractéristiques des tics
1. Les TIC : de quoi parle –ton ?
TIC : sous ce single se cachent les technologies de l’information et de la
communication, que nous sommes de plus en plus nombreux a utiliser chaque
jour, au travail ou a la maison Courriels, réseaux sociaux, recherche
d’information sur internet commence en ligne, conférence vidéo ou audio15
……. 1ces nouvelles pratiques ont considérablement amélioré les échange, elles
facilitent le partages de l’information et sont très rapides, elles contribuent
potentiellement a éviter le déplacement et permettant de favoriser le télétravail
ces dernières années, elles se sont imposer aussi bien dans notre vie
professionnelle que dans nos maison.
L’analyse de leur cycle de vie montre cependant qu’elles génèrent des
16
impacts spécifique (consommation de matière première et d’énergie, gestion
de d’cet souvent dangereux ….) la consommation électrique due aux tics
augmenter de 10% par an environ depuis 10 ans et les connexions ADSL,
souvent allumées 24heures sur 2417 se généralisent. De plus en les bénéficient
environnementaux qu’elles faisaient espérer doivent être nuancés : la
consommation de papier et les déplacements ne semblent pas diminue autant
18
qu’on aurait pu l’espérer personnes ne s’accorde véritablement sur la
définition des technologies de l’information et de la communication (tic) dans
une définition au sens large certains désignent les tics comme tout ce qui se
rapporte au matérielle informatique et bureautique. Ils comprennent ainsi les
technologies réaliser depuis la naissance de la société de l’information, certains

15
H.BUREAU. nouveau usages, les TIC, quels impact, agence de l’environnement et de maitrise de l’énergie
(ADAME) guide pour les bons usages, nouvelles technologie, France, juillet 2010, p03 et 04
2
Ibid.
3
Ibid, p04
outils considères comme traditionnelles (manuels, fax ……..) ont été exclus du
champ des tics.
Les TIC regroupent les outils utilisée pour la collecte, le stockage, le
traitement, et la diffusion des informations citons, comme exemple, les sites
l’agences TIC bourgogne a établit une classification de la filière TIC qui se
décompose en 7 segment19.
1.2 Information : il regroupe notamment les prestataires de services
informatique ainsi que les activités liées aux logiciels, a la sécurité
informatique, à l’infogérances.
1.3 Communication : ce segment s’intéresse aussi bien aux operateurs de
services, fournisseurs d’accédé qu’au prestataire de l’exploitation de
serveurs.
1.4 E-marketing : Conception de Système de Vente EN Ligne : il prend en
compte les activités de commerce et des centres d’appelles.
1.5 MultiMedia : sont regréées dans ce secteur les activités de création de
contenues, d’édition mais aussi les secteurs de l’- communication, de
l’image et du son.
1.6 Matériels pour les tics : on retrouve dans ce segment essentiellement
des activités de fabrication de matérielles informatiques, de
périphériques de support de stockages d’équipement électronique et de
communication (RFID).
1.7 Ingénierie des savoirs et de la connaissance : ce segment concerne le
e-Learning et la gestion électronique du document.
1.8 Imagerie, technologie de visualisation et de contrôle : dans ce
dernière segment, sont concernées les activités d’imagerie médicales,
de télésurveillance ou encor de modélisation (CAO…..).

19
CERCI Bourgogne, la filière des nouvelles technologie de l’information et de la communication(NTIC)en
bourgogne, Enquête TIC, France ,octobre 2008,p05.
Dans l’entreprise comme dans le grand public, une large gamme d’outils
et des moyens parfois très différents sont regroupés sous l’appellation
généralement considère que les TIC20 constituent la partie matérielle et
logiciel traiter, de stocker des informations (SI) de l’entreprise, dont la
fonction est d’acquérir, du personnel, des données et des procédures
2 .Les outils des tics :
2.2L’intranet :
L’intranet : l’internet vient de la juxtaposition de deux termes : inter qui
rappelle l’aspect fédérateur de cet ensemble de réseaux et net , l’abréviation
net Works qui signifie réseau en anglais , l’intranet utilise la technique de
l’internet a une échelle plus modeste , en les orientant vers l’intérieur (c’est
les sens du mot intra )21 c’est un réseau informatique utilisé a l’intérieur
d’une entreprise ou de toute autre entité organisationnelle utilisant les
techniques de communication d’internet .
L’intranet est donc la réponse professionnelle de l’entreprise au mode de
l’intranet qui a su prouve que l’ensemble de sa technologie, en plus de son
faible cout était fiable et parfaitement adaptable aux besoins de l’entreprise.
L’intranet, comme le téléphone en son temps, a acquis une place
essentielle dans le système de communication. Sa rapidité de propagation en
est la meilleure preuve. Mais son impact sur l’organisation de l’entreprise est
important puisqu’il et admis qu’un projet internet est constitue de 80pour
cent d’organisation et de 20% de technologie 22 .
2.2.1 Les fonctionnalités de l’intranet23 :
L’intranet a été toujours perçu comme la plateforme servant le mieux la
GRH et ce parce que. Non seulement il sert l’individu ; mais également le

20
CRCI Bourgogne, op : cit.p05
21
Philipe DETERIE .Catherine BROYEZ, la communication interne au service de management, édition liaison,
paris 2001, p143-146.
22
Ibid .p143.
23
AbdelkaderRACHEDI, Op.cit.p22
groupe et de l’entreprise ainsi il crée un rapprochement sur entre l’entreprise
et ses acteurs tout en favorisent l’autonomie de ses dernières et leur
indépendances (satisfaction individuelle, et capacité de décision a tout
niveau) ce qui permit de développer l’innovation et la création au niveau de
l’individu comme au niveau du groupe.
Par concevant , cette liberté facilité de communication et d’interaction
offre a tout un envi tènement supportant la communication horizontal au
niveau du gouape , l’intranet offre la possibilité de travail collaboratif et
favorise le groupe are ce qui se traduit généralement par des groupes
d’intérêt et des groupes de pratique ( pensons a un groupe travaillant sur n
projet ) il sert a reliait plusieurs employer de l’entreprise par le biais du
réseau local dans le but de faciliter leurs communication , leurs collaboration
et la gestion de leur travail a travers un simple navigateur .
Finalement l’intranet peut offrir , sans contraint d’espace et de temps ,
un support idéal sur quoi mettre en place une plate forme formation pouvant
supporter la transcription de cours de l’entreprise (interne) ou permettre le
suivi en ligne auprès d’un provider externe (université virtuelle)
(Il offre un moyen d’accès à l’intranet, mettant aussi à la disposition de ses
utilisateurs des sources d’information et de communication externes1)
Il ya différent types de communication l’entreprise est souvent
assimiles a une vaste confusion de réseaux de communication ceux-ci sous
diverses formes, dans différent directions, traversent la structure dans son
ensemble ils possèdent des caractéristique propres voyons- en quelques unes
- La communication interpersonnelle ; l’accent mis dépit de
nombreuse année sur l’importance de la communication dans les
entreprise et en particulier de la communication entre les personées
est le résultat d’une double évolution.
- Communication personnelles / impersonnelles
- Communication descendante : (le long de a ligne hiérarchique)
Comme il existe de nombreux réseaux de communication coexistant
dans l’entreprise. Ramener a l’essentiel, on distingue deux réseaux

2.2.2 Le réseau formel :


Il résulte de tout ce qui a été prévu par la direction : voie hiérarchique
relation de conseil, journal d’entreprise panneaux d’affichage d’déclaration
du président nous trouvons donc des canaux et des supports très diversifier.
2.2.3 Le réseau informel24 :
Pareillement au première réseau, se nouent toute une série de relation
amicales ou cordiales dues aux circonstances les plus diverses : liens
d’affectation bureaux voisins, mêmes moyens de transport mêmes lieux de
repas, etc.
Les modalités de mises énouerez de la communication interne varient
selon le style de la direction , plus au moins ouvert sur l’extérieur , l’écrit ou
local pleuvant avoir plus ou moins de place selon la culture d’entreprise
administrative, technique ou commerciales , ces tradition pèsent au poids
considérables dans l’organisation des rapportes humaine le contenu des
messages et le choix des moyenes25.
2.3L’extranet :
Le terme extranet désigne un réseau internet dont l’accès et autorisé a un
public extérieur restreint (client, fournisseurs, partenaires) constituent un
réseau fermé.

24
Ibid.
25
J.F DORTIER : la communication Appliqué aux organisations et la formation, p47 sous direction d’Abdelkader
RACHEDI.
L’extranet élargit l’accès au réseau internet a un public extérieur a
l’entreprise, u public extérieur sont réduites en fonction du type de données
et d’utilisation.
L’extranet permet dont de s’approprier les outils d’intranet tout en
développent une infrastructure propre a l’entreprise et en contrôlant les
problèmes de sécurité mais l’intranet reste tourner vers l’entreprise et en
permet pas de sourire cers ses partenaires extérieures.
L’extranet client : les relations avec les clients ne peuvent se limiter à la
simple exploitation du web en tant que vitrine commerciale, beaucoup
d’entreprise d’ailleurs comme clients d’autres entreprises qui disposent-elles
mêmes d’un réseau de type intranet c’est pourquoi il est possible d’envisager
des outils en ligne d’organiser leurs travaux autour des protocoles internet.
Cette collaboration est bien évidemment profond blés aux deux parties
puisqu’elle permet une meilleure adéquation des services de l’entreprise aux
besoins du client facilement en gagnant plus du temps sans perdre beaucoup
d’argent.
2.4 Le Groupeware :
Le Groupeware est une application informatique permet a des personnes
physiquement éloignées ou n’ayant pas de présence commune , de travail de
façon coopérative sur les mêmes document au-delà des fonction de
messagerie ou d’accès partager a de l’information plus au moins statistique ,
les outils de Groupeware servant a gérer collectivement l’information
vivantes et a structurer les règles de partage de l’information selon jean –
Claude courbons , le Groupeware est l’ensemble des technologie et des
méthodes de travail associer qui par l’intermédiaire de la communication
électronique permettant le partage de l’information sur un support
numérique a un groupe engager dans un travail collaboratif et /ou
coopératif26
2.5Formation :
L’appellation formation ouverte et à distance qui servait jusque
récemment a marquer la modalité et les visées innovantes d’une action
éducative en situation (non prudentielle ) est en voie d’êtres supplanter par e
formation27 (ou plus souvent même par e – Learning ) signalent le recours
plus au moins effectif – au réseau intranet , il n’est désormais plus question ,
dans les grandes rencontre nationales et international qui rassemblent les
promoteurs et les décideurs en matières de nouvelles technologie éducatives
que virtuel : université virtuelles , classes virtuelles sont des sésames qui
déclarent toujours l’intérêt des financeurs , parfois seulement celui des
appartiennent…
Les discours sur l’E-Formation ,ses avantages pédagogiques et son avenir
économique , tout comme les déception qui pointent peut – être a l’horizon
(nous y reviendrons ), ne sont pas sans rappeler les phénomènes qui se sont
produit a l’occasion des précédentes avancées technique en matière
d’information et de communication , internet , cette nouvelle technologie qui
cumule les potentialités – et les enjeux industriels – de l’audiovisuel de
l’informatique et du multimédia , engendre en effet sue la démocratisation de
la formation , et de la société dans son ensemble , les mêmes discours
incantatoires et lyriques que le premier dans les années 1960et la seconde
dans les années 198028.
2.6Les réseaux sociaux :

26
GROUPWAR , disponible sur : http:www. - ?onglet^=glosserie &définition =269,
consultée : 26/04/2014à 19h11 .
27
viviane GLIKMAN, La formation e-formation entre globalisation des produits et punirait des services,
bougues – globalisme et pluralisme, Montréal, avril 2002, p 02
28
Ibid .
Un réseau social est un ensemble d’entités sociales telles que des
individus ou des organisations sociales reliées entre elles par des liens créés
lors de leur interaction mutuelle, des réseaux sociaux peuvent être créés
stratégiquement pour agrandir ou rendre plus efficient son propre réseau
social (professionnel, amical, etc...)
Il existe des sites (application) internet aident a se créés un cercle d’amis,
trouver des partenaires commerciaux, un emploi ou identifier des personnes
ayant des intérêts communs, ces sites sont regrouper sous l’appellation
« réseaux sociaux sur internet29.
Ce terme désigne un site internet permettant à l’internaute de s’inscrire et
d’y créer une carte d’identité virtuelle appelée le plus souvent (profil), le
réseaux et dit social en qu’il permet d’échanger avec les autres membres
inscrits sur le même réseau : des messages publics ou privés, des liens
hypertexte, des vidéos, des photos, des jeux …
3 Les caractéristiques des TIC :
Si on devait fore le parallèle avec les administrations publiques et se
placer dans le contexte d’entreprise de tailles diverses, on constate que la
mise en place de projet TIC doit donner lieu a des retournes d’expérience
quant a la maitrise des projets TIC. Mais ceci en tenant compte :
- De l’impact sur l’orientation stratégique de l’entreprise
- De l’impact sur la hiérarchie des pouvoirs issue de la possession de
l’information c’est à dire que toutes les activités de veille (intelligence,
technologique, stratégique) ainsi que celles liées à la circulation de
l’information.
- De la complexité humaine qui peut se transformer en conflit humain car
généralement o constate que les projets TIC qui marchant, bien
mobilisent tout les métiers et l’animation de tels projets, néssicité des

29
Laurent COLLée ,sécurité et vie privé sur les réseaux sociaux, Mémoire, pour l’obtention du diplôme de
master en gestion de la sécurité des systèmes d’information, Université du LEXMBOURG, France,2009,p12.
qualités relationnelles et surtout une parfaite compréhension des
301
motivation des différentes acteurs de l’entreprise. Souvent ces projet
crêt une relation entre information et utilisateurs de l’informatique.
- des projet de communication d’entreprise interne ou externe , donner
important dans un projet TIC du fait qu’il contribue a une meilleure
communication entre des être humains d’une part et d’autre part héritent
d’un dysfonctionnement occasionnés d’où la mise en place de tels projet
changer impérativement la relation entre l’individu , l’information et son
environnement .
- Du changement de l’organisation dans le travail et qui implique une
redéfinition des activités et des responsabilités entre les acteurs de
l’entreprise allant jusqu'à la mise en place de plans de formation
personnalisés31.
- Des projets innovants s’appuyant sur la technologique nouvelles avec
toute la facilité d’utilisation, la puissance d’accès à l’information.
- De la nécessité de s’intégrer dans un univers ou la communication est
très important ce qui veut dire que l’entreprise doit prendre en compte
cette contrainte.
A ce titre, on peut citer les aspects :
- Technologies (respect des normes et standards)
- Organisationnelles
- Humains et culturels
- Juridique (respect des libertés, droit d’auteures ….)
Hebert simon 32définit les caractéristiques suivantes des TIC :
- Toute information existera sous forme lisible par l’ordinateur.
30
M.S.BOUDJEBBOUR, Les projet NTIC: source de performance de l’entreprise, division système d’information,
CERIST, Algérie, RIST VOL, 12, n001.année 2002, p160
31
Ibid.
32
Simon HERBERT (prix Nobel de science économique en1978), sous direction M.S. BOUDJEBBOUR, CERIST
,2002
- Les mémoires des Systems de traitement d’information seront
comparables aux plus vastes mémoires dont disposent les hommes.
- Les informations utiles pourront être recopiées.
- La limite dans la planification et la prise de décision se la
connaissance des lois qui gouvernant les systèmes à planifier d’une
part, et perspicacité à analyser des situations d’autre part.

SECTION 03 : enjeux et effet des TIC dans l’entreprise


1. La proposition TIC et la performance de l’entreprise :
Nous avons, dans un première temps, présente les effets des TIC sur
l’entreprise ; mais quel est l’impact de leurs investissement dans les TIC sur
leurs performance globalement les entreprise s’accordant sur l’importance des
investissements dans ces technologie33. En effet 21% d’entre elles estiment que
l’investissements dans les TIC est indispensables pour conserver leur marché
actuel 27 %qu’il est important 28% qu’il souhaitable et seulement 23% on
observe dans le graphique que la majorité des majorité des entreprise voient un
impact positif de cet investissement , d’une part , sur la circulation de
l’information ( avec le partenaires pour 55 ,6 % et sein de l’entreprise pour 50,2
%d’entre elles ) et , d’autre part , sur la réduction des délais ( pour 50,6 %) en
revanche , une part non négligeable des entreprise jugent que cet investissement
n’a pas d’effet sur le chiffre d’affaire 41% sur la réduction des cout 35,% et sur
la compétitivité de l’entreprise (35%) .
2. Les enjeux TIC pour l’entreprise :
Mettre en place un projet TIC34 s’avère plus que nécessaire , les enjeux sont
encore plus important pour l’entreprise car il faut identifier les moyens d’actions
à mettre en ouvre et les projet , pound on sait que tout l’aspect de ces
33
Virgine LETHIAIS, Wided SMATI, Appropriation des tics et performance des entreprise, enquête, Marsouin,
France, 2008, page 04-05
34
Michel VOILE, Economie des nouvelles technologies : Intranet, télécommunication, informatique audiovisuel,
transport, aérien, « paris », Economica, 1999. Sous la direction de m.s. boudebbour, page 153-154
technologie représente en lui même un intérêt non négligeable , c’est à- dire de
pouvoir développer a la fois un moyen de vente ( pour la société de production )
via internet et un moyen de la gestion de production via l’internet de l’entreprise
en d’autres termes on peut dire qu’une même technologie peut être appliquée à
deus contexte :
- Au nouveau système d’information de l’entreprise et la diffusion de
contenu et de service internes.
- La diffusion de contenu et de service au plus grand nombre d’utilisateur
via.
2.1. Les technologies intranet et les nouveaux systèmes d’information :
« Les rôles des systèmes d’information dans les entreprises est en train de
changer. La décentralisation de puissance et de et de mémoire induite par la
dispersion des micro-ordinateurs les oriente vers de nouvelles architectures,
ainsi que vers un partage différent des responsabilités entre utilisateurs du
système d’information et informaticien. Un ensemble de techniques, regroupées
sous le terme de“ nouvelles technologies ‘’, modifie le champ des possibles. »35
On constate aujourd’hui, qu’il existe trois aspects très avantageux pour toute
entreprise qui veut mettre en place un projet TIC Il s’agit de :
- La communication : la diffusion de l’information d’une manière très facile à
travers un média unique et une centralisation des données.
- La collaboration : le dévalement du travail collaboratif et la synergie des
services.
- La coordination : le partage des taches et le suivi de l’information à travers
un système de workflow et une amélioration de la réactivité.
2.2. Internet et le commerce électronique :
L’enjeu est de taille car l’entreprise :
- Arrive à toucher un plus grand nombre de clients
35
Michel VOILE op, cit , page153-154
- Dispose d’une interface universelle pour la navigation
- Gagne en compétitivité et en productivité
2.3. Finance :
Ce sont des éléments très important et détermination pour toute activité d’une
entreprise qui se traduit par :
- Une diminution du cout de distribution en touchant un plus grand nombre
d’utilisateurs,
- Une diminution des couts de formation aux nouveaux applicatifs.
2.4. Les clés de succès du projet TIC :
Ils existent plusieurs arguments qui peuvent freiner le déploiement des TIC
a telles que :
- La mauvaise appropriation de l’outil
- L’inadaptation a l’activité (compétences, technologies non stabilisées,…)
- Réseau lent, perte de pouvoir pour la diffusion de l’information
Pour une meilleure réussite, il faut avoir à l’esprit les cinq (05) points
suivants qui nous paraissent fondamentaux et qu’on essaiera de décrire dans ce
qui suit :
2.4.1. Démarche pragmatique :
Avant la mise en place d’un projet TIC, il est utile et nécessaire de créer des
groupes de travail afin d’avoir une vision claire sur les concurrents et le marché,
et réfléchir ainsi sur le pontent il d’usage qu’il peut en être fait.
Avant tout déploiement de solution sur l’ensemble se l’entreprise, il faut des
projets pilotes qui permettent de mettre en place des équipes techniques
compétentes afin de pouvoir valider le choix et mesurer l’impact sur
l’organisation. Cette démarche diminue les risques de rejet et d’échec36.
De plus, il est difficile d’anticiper avec certitude sur les réactions des
utilisateur car cela dépend de la culture de l’entreprise et du profil même des

36
M.S BOUDJEBBOUR,op.cit.p156
collaborateurs ce qui nous amène a dire, qu’il est préférable que les pratiques
nouvelles viennent s’hybrider avec les anciennes ou encore s’appuyer sur elles,
en d’autres termes ,lorsque l’entreprise implante un intranet, la substitution de la
communication électronique au papier doit s’opérer par étapes et
progressivement, on passera du répertoire téléphonique vers la messagerie
pour aller ensuit vers la solution GED(Gestion électronique des Documents).
2.4.2. Implication des dirigeants :
C’est un facteur critique de réussite, l’implication du manager est
déterminante lorsqu’il s’agit de mesurer les changements d’organisation et
l’évolution des compétences liées aux TIC qui touchent toutes les fonctions de
l’entreprise.
2.4.3. Le copilotage avec les utilisateurs :
La performance technique seule n’est pas un critère de succès mais c’est
l’utilité concrète des projets qui compte avec les TIC car mettre les gens devant
un écran ne signifie absolument rien .A titre d’exemple, on peut avoir une
superbe messagerie qui ne présente aucune défaut dont l’investissement est
inutile si les personnes ne communiquent pas s’ils n’en retirent aucun avantage
réel.
De plus, quelque soit l’architecture conçue ans partir des besoins des
utilisateurs risques fort d’échouer car on sait que tous les projets qui réussissent
et impliquent les Nouvelles technologies n’ont pas été réalisées par une seule
direction mais généralement par une équipe opérationnelles (financière, RH,
production,…). L’accompagnent des hommes.
Pour qu’un projet TIC attiennent ses objectifs, il faut une certaine motivation
et cette motivation doit provenir de l’ensemble des acteurs de l’entreprise qui
doivent se sentir bien positionnés dans leur nouvel environnement et
parfaitement inclus dans le changement .il est clair que37.
2.4.4. La prise en compte du client :
37
M.S BOUDJEBBOUR,op.cit.p156
IL n’y a de bon investissement dans une entreprise que s’il apporte de la
valeur au client final .A cet effet, il faut au préalable avoir défini clairement les
besoins du client final (consommateur) pour pouvoir réaliser l’objectif visé.
On sait qu’aujourd’hui, avec les nouvelles technologies, les premières
questions que va se poser le client repose sur la transparence, l’intégrité et la
confidentialité38.
3. Les effets des Tic 39:
3.1. les effets multiplicateurs :
Les outputs du secteur TIC sont acquis par les entreprises comme des biens
d’investissements et/ou comme biens de consommation intermédiaire ,mais
également, comme biens de consommation finale par les ménages .la forte
croissance des équipement des entreprises et des consommateurs en biens
dérivés des TIC s’est traduite par une augmentation de la croissance économique
globale . Le mécanisme principal suppose ici concerne l’existence d’un
multiplicateur d’investissement keynésien en ce qui concerne les TIC plus
important que le multiplicateur d’investissement en matériel non TIC.
3.2. L’effet déflateur :
Le second effet concerne l’impact de la baisse des prix des TIC, notamment
des prix concerne les microprocesseurs composant : elle ne se répercute que
faiblement sur les prix finaux, compte tenu de l’évolution des progrès techniques
et des capacités d’incorporation correspondant. Pour plus des ¾, ces baisses de
prix des composants se récupérant sur l’accroissement des capacités des
produits finis. Le réeaunemt en termes de prix des équipements ne reflétant
qu’un phénomène quoiqu’il en soit la baisse contenu des prix dans le secteur
TIC est allée de pair avec l’croissement de l’investissement en TIC40 .
3.3. doubles effets de substitution :
38
A .GANGANT, l’impact des NTIC sur le mangement et la qualité, thése master, sous la direction de
M.S.BOUDJEBBOUR,octobre 2001,P1571.
39
Adel BEN YOUSSEF, op,cit,p11
40
Ibid
Cet effet désigne l’augment relative de la part de capital comparativement au
travail dans l’usage des imputes. Elles conduisent a favorisé le capital par
rapport au travail et le travail qualifier par rapport au travail no qualifier.
3.4. L’effet qualité :
Les technologies de l’information peuvent être associé a des changements
touchant aux composant intangibles outputs notamment la vérité des et service :
associer et, plus généralement la spécificité d’adaptation du produit au
consommateur. L’effet le plus immédiate des TIC l’enrichissement du contenu
informationnelle du service.
3.5. l’effet productivité globales des facteurs :
L’effet précédent participe au rôle des TIC dans une modification
substantielle du progrès technique et des dynamique d’innovation dans
l’ensemble des secteurs. De nature génétique, les externalités liées aux TIC sont
largement diffusées au reste de l’économie. Cette diffusion permettrait ainsi
d’accroitre l’efficacité productive en même temps que le rythme du progrès
technique41.
3.6. l’effet synthétique des externalités technologiques
L’effet de pullovers désigne l’ensemble des effets d’entrainement induit par
l’innovant ion TIC sur le reste de l’économie. plus largement , multiplié des
interaction entre le secteur des TIC et les autres secteurs économique ( santé ,
aéronautique , automobile, banque , habitat , environnement, etc.,) ont conduit à
de nombreuses innovations incrémentales et radicales , l’amélioration des
performances liées aux ordinateurs et plus globalement aux TIC a permis , entre
autres , le séquençage du génome et la révolution biotechnologique , mais aussi
le couplage entre compatibilité générale et la comptabilité analytique ; le
traitement en temps réel des carnets de commande et plus généralement les
mutation des systèmes d’information.

41
Adel BEN YOUSSEF, op,cit, p13-14.
Préambule
Les technologies de l’information et de communication (tic) présente à nos
jours comme les puissants outils de promotion et de la bonne gouvernance et de
transparence au sein des entreprises, des administrations et des organisations.
Leurs avènement a entrainé des bouleversements importants progresse ment
dans les différents services ; soit au niveau organisationnel ou fonctionnel.
Section : 01 les types de communication dans les entreprises :
Dans l’entreprise on classe la communication selon les relations qu’elle
entretient ainsi on distingue.
1.1. Communication externe :
La stratégie de communication externe d’une organisation est
primordiales et définir l’identité de l’organisation perçue par les partenaires et le
public extérieurs. Faires connaitrais le nom de l’organisation n’est pas une fin en
soi. Il convient surtout de mener une externe qui permette d’associer le nom
d’organisation à des valeurs une image fortes, une image claire a exprime sans
Valloire a tout est son expertise dans des champs de compétence spécifique.
Des lors, une communication externe bien pense peut constituer un outil
indispensable et stratégique a l’intension de groupe cible et partenaire extérieure
permettent le développement de l’organisation42.
1.1.1. Ses principaux objectif sans :
- Faire connaitre la richesse de ses champs de compétence de ses offres, etc.
- Faire connaitre son atout spécifique pour se différencie.
- Améliorer la notoriété de l’organisation de ses actions
- Atteindre et consolide la liste des partenaires extérieure fiable et Fidel.
- Rassurer l’environnement sur les actions mener par l’organisation :
partenaire technique partenaire financière groupe cible etc.

42
Disponible sur : http//www.well-grounded.org/fr/node/53,consultele,consultéle 20 mars 2014 à
21H55
- Renforcer la relation avec des réseaux ou plateforme d’organisation
d’améliorer certain aspre préalablement identifier.
- Maitre en cohérence les messages véhiculer, et l’image de l’organisation
et les attend de ses groupe cibles43.
1.2. communication interne
On ne peut bien faire travailler des employer les mobiliser que st conscience
de se a quoi sert leurs travail s’il connaît et exceptent la finalité les objectif de
l’entreprise. aujourd’hui les salaries ont besoin d’être informe sur l’état de sante
de l’entreprise, ses succès mai aussi ses cheque le bure de la communication
interne et donc d’informe pour informe et motive et implique le personnelle dans
la vie de l’entreprise, résoudre ou atonie les difficulté d’ordre organisationnelle
ou de management44 pour assurer une continuée l’entreprise doit non seulement
communique avec ses partenaires extérieur mai aussi faire porte ses efflore sur
la communication interne condition primordial pour assurer la cohérence avec
des images de marque.
La circulation des informations au sein de l’entreprise s’avère indispensable
la marque comme le surplus d’information et tout d’eau cause de
disfonctionnement il faut donc définirai des besoins organise les écangs adapte
au supporte au message et au destinataire et enfin optimise les conditions de
transmission.
1.2.1. Ses principaux objectifs sont45 :
L’objectif global de la communication interne consiste à gérer de manière
optimale le couple demander /offre d’information dans l’organisation * au
service du projet d’entreprise : la communication interne accompagne le progrès
socio- économique de l’entreprise donc il présente les objectif et les modalités.

43
Http: www.well-grounded.org/fr/node/53.
44
Nathalie ALDOSA et Cie, information, communication, organisation, édition Bréal 143 ALD,
France, 2012, p53
45
Ibid., P 53.
La communication dans l’entreprise repose sur les projets concrets découlons
d’objectif réelle ceci son tiret des orientations stratégique et des engagements
budejitaire. La démarche de projet et acte de communication il devient
insensiblement principe d’organisation.
Accompagne le management : imbrication de la communication et de
management résulte de la pratique quotidienne des relations organise au
différente niveau hiérarchique entre les différente équipe de travaille. Les
organisations moderne dite pilulaire ou on réseau repose sur la réduction de la
ligne hiérarchique et sur le travail de projet transversaux .irriguées par la
communication : multiplication des échange, réunions de travail collectif et
communication inter métiers .information et communication sont aujourd’hui
des compétences exigées de tout cadre quelque soit son métier ou son secteur
d’activité. Pour mener à bien sa mission, l’encadrement doit être bien informé
par la direction et aidé dans son rôle communicant.
2. les circuits de communication interne46:
La mise au point d’un système permanent, ouvert et rapide de circulation de
l’information dans l’entreprise, est devenue un enjeu important d’efficacité.
2.1. Le circuit hiérarchique :
La ligne hiérarchique véhicule naturellement et nécessairement des
informations.son existence est une nécessité organisationnelle qui commande le
bon fonctionnement et l’efficacité de l’entreprise.
2.2. Le circuit des instances représentatives :
Les instances représentatives ont une existence régie par la loi. Leur mission
de représentation compte un volet important en matière de communication :
droit de réservoir des informations des de la part de la direction et droit de
transmettre des informations de la part de la direction et d’information légal,
initié par le législateur, qu’il convient de respecter.
46
BORDEAUX, conseil, la communication interne de l’entreprise, Paris, 2004, p05
2.3. Le circuit de la communication interne :
Ce troisième circuit est organisé par la direction de l’entreprise et destiné a
toucher de larges publics internes .au delà a des distance hiérarchiques
,fonctionnelles ou géographiques ,il s’agit d’irriguer le corps social de
l’entreprise par un ensemble d’information .ses caractéristiques sont étroitement
liées a la taille et la complexité de l’entreprise 47.
3. les tics et le système de communication :
Structure organisationnelle et de système de communication ne peuvent être
considérer séparément ils entrent inévitablement en interaction. une structure
pyramidale par exemple rend difficile si ce n’est impossible une rapide et fluide
circulation de l’information a cause notamment de nombre élevé des niveaux
hiérarchiques .dans de telle situation le risque de rétention d’information et refus
de diffusion est très élevé .
Cependant une entreprise qui adopte un style de management participatif
observe une communication transversal au lieu d’une communication
48
descendent .ceci , explique que dont de telle structure les niveaux
hiérarchiques sont aplatis et que tout relais d’information est devenu insignifiant
.seulement ,dans ce cas les possibilités de filtrer les informations (c'est-à-dire de
discerner ce qui est correcte et de le traiter correcte) n’existent plus ,ce qui
impose au manager un nouveau comportement Communicationnel.
Dans ce nouveau système communication, les salariés deviennent eux-
mêmes les décideurs d’une information adoptée à leurs besoins et par
conséquent ne perçoivent plus passivement l’information telle qu’elle leur était
distillé sous forme de note de service ou discours49.

47
BORDEAUX, conseil, Op, cit, p06.
Ali BOUHENNA, « les enjeux des NTIC dans l’entreprise », Faculté des sciences Economique et de
48

Gestion Université de Tlemcen, Algérie, juin 2003, p08


49
Ali BOUHENNA, Op, cit, p08
Ainsi, le manager doit adopter un nouveau comportement
communicationnel, celui d’être un coordonnateur et animateur de groupe de
travail, son nouveau rôle donc consiste à encourager le travailleur dans la
découverte d’information interne à l’entreprise.
La structure communicationnelle d’une entreprise appariait facteur
révélateur de son style de management ainsi la gestion de type participative
permet des échange fréquence et transversaux
4. la communication de crise :
L’évolution d’une crise est en générale partie dépendante de la qualité de
communication qui l’accompagne50.
Ainsi la communication de crise consiste en une utilisation en une utilisation des
moyens de la communication pour gérer au mieux une situation critique, parfois
totalement imprévisible. Les conséquences d’une erreur de communication
peuvent être plus dommageables que les effets directs de l’élément déclencheur
de la crise. La communication de crise ne peut donc concevoir que d’une
manière globale et transversale. L’objectif essentiel d’une bonne communication
de crise est d’informer. La communication et consubstantielle de la gestion de
crise
Elle se présente par des stratégies : actions à entreprendre, moyens à
mobiliser en situation de crise il est primordial de communiquer rapidement.
En effet, celui qui parle en premier oblige les autres interlocuteurs
À se positionner par rapport a son discours, et apparait ainsi comme un
référent en matière d’information. La communication doit respecter quelques
principes fondamentaux : être honnête, compréhensible et faires preuves de bon
sens anticipes la communication semble être le meilleur moyen de ne pas être
dépasser par l’urgence il faut veiller à occuper le terrain médiatique et a utiliser
le vecteur de mieux adapté pour informer sur l’évolution de la situation.
50
Le 5émeGuide de l’attaché communicant, institut régional d’administration de Bastia, paris, 2005,
p115et 117. Disponible sur : WWW. Intercom.gouv.fr, consulté le 20-02-2014à 19H15.
L’objectif est de maintenir le contacte enfin de percevoir le plus rapidement
possible les attentes et d’y répondre.
Malgré les incertitudes qui caractérisent une crise il faut savoir gérer le
temps. Les premières questions doivent être posée rapidement, que s’est –il
passé ?
Comment rédimer ?la première déclaration est souvent considéré comme
vrai. Il faut veiller à informer en premier, sans confondre vitesse et précipitation,
lutter contre le décalage entre la situation sur le terrain et l’information émise
4.1. Communiqués avec les victimes 51:
Afin de soutenir les victimes dans leurs difficultés, il est recommandé de
nommer un responsable de la gestion des victimes au sein de crise. Il convient
de prévoir toutes les actions d’information, d’aide ou de soutien par la création
d’un numéro vert et la mise en place d’une cellule d’accueil animée par des
médecines, infirmier, psychologue qui pourront répondre au traumatisme.
4.2. Communique avec le grand public :
Les moyens les plus adéquats pour toucher le grand public devront être
identifiés en fonction de la situation. Les médias constituent ainsi un canal
d’information vers le grand public. Ils seront partenaires de la cellule de
communication de crise et permettront d’informer le public des précautions à
perdre ou d’attitudes à adapter dans certaines situation (alerte incendie,
inondations)
4.3. communiquer avec les medias :
L’institution devra se doter d’outils de communication et avoir noué des
relations de confiance avec les journalistes locaux et première vecteurs de
l’information. Il est essentiel de jouer la transparence maitrisée sans toutefois
forcément tout dire et de s’accorder les conseils d’un expert ou d’un juriste.
Toute information doit être fiable, crédible, cohérente et orienté vers le grand

51
Le 5éme Guide de l’attaché communicant, Op, cit, p115.
public il faut prévoir la possibilité de faire appel a des interlocuteurs fiables a
forte notoriété et crédibilité (pompier, médecine) pour relayer la parole
Certaines actions publique peuvent être menée comme : le déplacement sur le
terrain les responsables d’administration, du préfet la rencontre avec les victimes
les secours, les gestionnaires de la crise et des conférences ou des voyages de
presse52
Section 02 : les TIC et les moyens organisationnels de l’entreprise :
1. Recours au TIC ai sein des entreprise
1.1. Diversité des mesures TIC
Afin de mesurer l’intensité d’usage des tic par les entreprise , nous allons
intégrer a notre analyse diverse outils dédies a la communication interne , et
peuvent être utilisés pour accroitre la collaboration entre les employer , le réseau
externe , les vidéos de conférence et les forums électronique sont des outils
dédiés a la communication externe , et peuvent être mobilisés par les entreprise
pour organiser des collaboration avec des partenaires . Pour notre analyse, nous
avons effectué un regroupement des variables de communication interne et
externe afin de mesurer l’intensité de leur usage par les entreprises53.
L’utilisation des réseaux informatique pour vendre et/ou acheter des produit
et services peut être considérée comme le signe avancé d’un processus de
réorganisation de la production et de la logistique pour répondre rapidement aux
besoins des clients dans le but d’être compétitifs. afin de saisir ce effet nous
utilisons des variables binaires d’achat et de vente par les réseaux informatiques
qui sont définies comme le fait d’avoir réalisé au moins une opération (
respectivement d’achat ou de vente) sur d’autre réseaux informatique ( échange
de donnée informatisé , etc. )

52
Ibid., p117.
53
Ludivine MARTIN, pierre Emmanuel BOISDRON, Lien entre l’usage de TIC et l’innovation : vers
une typologie de l’entreprise - université de Caen, France, Cahier no2010-27, Décembre 2010, p09.
1.2. Diversité et intensité de l’usage tic des entreprises :
Pour avoir une idée générale de l’intensité de l’usage des tics dans les
entreprise, nous avons observé l’utilisation des TIC par taille et par secteur on
observe que plus l’entreprise et grande, plus l’utilisation des tic et forte. La
plupart des petites entreprise utilisent peu d’outils de communication interne
(0à1) prés de 60pour cent n’utilisent ni les outils de communication externe ni
les logiciels de gestion. Plus de la mitiez de ces petites entreprise ne font pas
d’achat par réseau informatique... la quasi –totalité de ces entreprise n’effectuent
également pas de vents par réseau informatique54
Les entreprise de taille moyens sont de plus grandes utilisatrices de tic que
les petite entreprise moine d’une entreprise de taille moyen su quatre n’utilise
pas d »outil de communication internet, alors que l’usage des outils de
communication externe se fait plus rare. Effet 47 pou cent utilisant aucun de ses
outil, et un peut plus la moitie on recourt a moins un logiciel de gestion prés de
entreprise sur 3 effectue des achet pas réseau informatique qu’elles n’effectuent
pas de vente par réseau informatique dans la même proportion.
Les grande entreprise sont des très utilisatrice des TIC. En effet 64 pour cent
de ses dernière utilisant le maximum d’outil de communication internet prés de
44 pou cent utilisent 2ou 3 outil de communication externe et plus de la moitie
on moins 3 logiciel de gestion. Un peut plus de deux entreprises sur trois
utilisent des réseaux informatique pour faire des achet, et prés ce la moitie y’on
recoure réalisé des ventes.
On niveau de trois secteur d’activité que nous étudient , nous observant que
d’un secteur a l’autre , l’utilisation de tic varie beaucoup .le entreprise de
l’industrie utilisant peut d’outil de communication interne (48 pou cent n’en
utilisant pas), et très peut d’outil de communication externe ( 67 pour cent ) n’en
utilisent pas ) .a l’inverse plus des la moitie des entreprise utilisent au moins un
logiciel de gestion .les achètes par réseau informatique concerne moins de la
54
Ibid, p10.
moitie des entreprise de l’industrie Alor que les vents par ce biais ne sont
utilisant que par 12 pour cent de ces dernière .
Les entreprise de secteur kibs sont de leur coté de plus grande utilisatrice des
outils des communications interne et externe. A l’inverse de par leur activité les
logiciel de gestion des commendes sont très peut utiliser (50pour cent n’en
utilisent aucun). Prés de deux entreprises sur trois utilisés
Des réseaux informatiques pour faire des achet. A l’inverse, pour leur vente,
les réseaux informatique ne pas un canal a quel ils recourent
Les entreprises du secteur des autres services utilisant également beaucoup de
communication interne, mais elles utilisant peut, voir pas, d’outil de
communication externe. Plus de la moities de ses entreprise n’utilisent pas de
logiciel de gestion et dans la même proportion elles n’effectuent par les réseaux
informatiques. Prés de 70 pour cent des autres services n’effectuent passe vente
par biais des réseaux informatique55 .
2. Les TIC permettent de stimuler la réactivité de l’organisation
A l’intérieur de l’organisation réflexion on terme de processus a conduit a la
mise en place d’un autre mode d’organisation des taches, a organiser la
transversalité et à développer l’autonomie salarier. Au temps de facture de
réactivité que les TIC vont favoriser56 .
2.1. le processus et la transversalité :
Faire travailler tout les entités de l’entreprise au tour d’une logique de
processus procure un certain nombre d’avantage : meilleur réactivité flexibilité
maitrise des flux. Le processus peut être défini comme l’ensemble des activités
combinant ressource, capacité et compétence varies, qui produisent un résultat
ayant une valeur pour un client ou externe.

55
LUDIVINE MARTIN, pierre- EmmanuelBOISDRON, Op, cit, p11
56
Bruno HENRI et Maurice IMBERT, Op, cit, p36
C’est autour du processus que vont se dérouler les échange d’information et
ou la communication va avoir un rôle essentiel57 le problème étant de veiller à
la qualité des enchainements, plus qu’à la seule efficace des étapes prise une à
une le degré d’initiative des salaries, lie aux forme d’organisation du travail
adoptées, peut en trouver modifie.
2.2. L’autonomie et la réactivé :
Lorsqu’un ensemble de postes , concourant à un même résultat , peut se
passer d’une organisation hiérarchique , la réactivité s’en trouver renforcée ,
c’est là un postulat qui se fonde sur des arguments en termes de termes de délais
et de pertinence par rapport à l’événement observer , rompant avec les
conception taylorienne classique , ou la performance suppose qu’il n’y ait de
temps perdu en discussion au niveau des opérations , les nouvelles formes
d’organisation de travail prennent appui sur des processus transversaux
d’échange permettant , elles fondent toute leur dynamique sur la communication
2.3. La communication et la coopération :
La communication, qui joue donc un rôle central dans les nouvelles
organisations de travail, va non seulement relier ce qui était structurèrent séparé,
mais aussi faire converger les activités et les efforts de chacun. Elle fait appel à
des outils de transmission des données, à des systèmes de pilotage de flux plus
ou moins informatisés qui permettant d’assurer un certain nombre
d’enchainement le long d’un processus58 .
La communication, c’est aussi l’ajustement entre personnes lors d’un travail
collectif. Grâce à un certain nombre de fonctionnalités, les tics offrent une forme
de coopération plus autonome, ce qui permet aux RH de devoir les variables
acteurs de la performance.

57
Bruno HENERI et Maurice IMBERT, op.cit. p36-37
58
Ibid, p36-37
3. Les TIC et l’organisation du travail :
Actuellement les anciennes méthodes de managements vivent encore, mais
cohabitent avec de nouveaux modes de management basés essentiellement basés
essentiellement sur la réactivité et la flexibilité de l’organisation59.
Cette flexibilité dans l’organisation face à un environnement en perpétuelle
mutation et imprévisibles, nécessite une gestion plus poussée de ces processus et
oblige de travailler en équipe60
Les TIC , ainsi optimisent la façon de travaille avec un redéploiement des
ressources vers des taches à plus grande valeur , en libérant ces ressources
moyens, l’entreprise doit aussi savoir les préserver en adoptant bien sur la
méthode de gestion des connaissances (knoxledge management , km)
indispensable a la réussite d’un changement organisationnel .
Le changement que peut apporté ces novelles technologie au sein de la ferme
ne sont pas automatiques, car elle ne représente en fin de compte qu’un
potentiel. Tout devant de la stratégie de l’entreprise dans l’usage quelle en fait
et de l’état et des rapports sociaux de travail entre direction, et salaries et le
représentant syndicaux.
Les changements ainsi observe dans le monde de travail et son organisation
peut varie d’une entreprise a une autre suivant les modes d’appropriation des
TIC d’une par les salaries et d’autre part par les dirigent.
Dans ce processus le changement de mode de travail, on remarque :
- Une évolution plus d’autonomie des salarie associe a une information
partagée.
- La formation de travail ce consulte grâce aux nouveaux canaux de
communication (intranet, intranet, visioconférence,…), elle ne ce transmis

59
Ali BOUHENNA,Op.cit,p07

Claudine BATAZZI, L’impact des NTIC dans l’entreprise, CRIC, 2000, sous la direction de : Ali
60

BOUHENNA, op.cit, p07.


plus de haut en bas en suivant un chemin long et plein de contrainte
bureaucratique.
- Chaque travailleur devient un centre de discision au plus proche problème
à résoudre ce qui donne plus de réactivité a l’entreprise.
- La généralisation du travail en groupe doit beaucoup au développement de
TIC.
- Les réseaux élargir comme intranet (disposai d’assistance aux réunions
distantes, messageries ou , workflow, permettent de dépasser les barrières
du temps et des distance dans la composition d’un groupe réel ou virtuel
mais polyvalent et prés a répondre a tout les demande ce qui donne une
grande créativité a l’entreprise .
- Le groupe de projet a été conçu d’une manière interactive et pouvant ainsi
accompagne tout développement de tout nature il et loin d »être un simple
rassemblement d’individu il ce distingue ainsi par ca cohésion par l’inter
commune et un système d’information approprie au travail collectif. Ce
groupe de travail connu sous le nom générique de groupware 61
workflow, généralement on a associe au groupware la coordination de la
circulation des documents, une tache accompli par workflow, celui-ci peut donc
être défini comme un ensemble de dispositifs techniques permettant la
diffusion, l’administratif et l’exécution d’un flux d’informations au sien du
group de travail. L’intérêt du workflow est :
- Optimiser la cohésion entre intervenants et les temps de réponses.
- Simplifier le travail de chacun en lui précisant les taches à réaliser en
prévoyant des procédures prédéfinies .Toutefois une implantation de
workflow implique que la firme effectue des taches répétitives qui
puissent être automatisées. Mais avant de penser a leur utilisation, il faut

61
Pettingrew AM,Whipp R,Managing changes for competitive success, Oxford Blackwe,1966.sous la
direction de :Ali BOUHENNA,p06-07
bien réfléchir sur les besoins réels car les couts induit par de telle
technologie est très lourd a supporter. L’obsolescence rapide des TIC62.
Le temps de travail ne se mesure plus en temps de présence mais également
en temps de disponibilité on line pour coopérer a distance et en temps de
créativité d’organisation et de contrôle.
- Avec l’arrivée de ces nouvelles technologies on assiste a une
délocalisation du travail connu sous l’appellation techno-nomadisme sein
même d’une organisation.les enjeux des bureaux nomades sont loin
d’être simple moyen de la recomposition des modes de travail ou a
retracer les frontières de la vie professionnelle, malheureusement leurs
contribution restent encore incertaines et confuses.
- A propos de la productivité : concernant l’apport des TIC à l’entreprise en
tempes de productivité, les avis sur ce sujet divergent énormément. D’une
part de la productivité est un concept difficile à cerner, ce qui impose
une redéfinition du terme en fonction des nouvelles mutations
organisationnelles et leurs modes d’utilisation et de développement.
Ainsi, on peut dire que c’est la qualité de l’organisation du travail et de
l’entreprise qui permet a ces technologies d’être efficace .dans ce sens on parle
63
plutôt d’une « productivité organisationnelle » en d’autre termes toute
tentative d’étude économétrique visant à mesurer les gains en productivités
associes à l’usage des TIC reste limitée.
Dans une économie informationnelle fondée sur la connaissance et le savoir
la compétitivité des entreprises se basent sur des éléments qualitatifs, des études
de cas utilisant une approche qualitative est préférable dans ce cas64.

62
Ibid.
63
Marc MAURICE, Les Technologie de l’information et de communication et les problèmes de travail
et de l’emploi, LEST-CNRS, Aix-en-Provence, France, 2000.sous la direction de : Ali BOUHENNA,
P07.
64
Ibid.
4. TIC et chaine de la valeur :
Pour comprendre les apports des TIC il est nécessaire de référer à leur
utilisation et de saisir quelle en sont les attentes. En matière de management des
organisations, c’est bien la confrontation des fonctionnalités possible des TIC et
des exigences de la performance qui donnent naissance à une utilisation adaptée
de l’outil.
Reprenant les différents maillons de la chaine de la valeur a positionné les
différentes technologies et leur contribution attendue à la performance. En
référence à porter, les processus opérationnels et les processus de support sont
distingués.les premiers ont une contribution directe, seconds, c’est –à-dire
enchainement cohérent .Dans les processus opérationnels, qui vont de l’achat
d’un produit, d’un service, jusqu’au client qui l’acquiert, les TIC sont
omniprésentes. En amont et en aval, l’aspect communication et échange avec
l’extérieur est dominant : places de marché électronique, gestion de la relation
client. En revanche, à l’intérieur de ce processus, c’est plutôt le traitement
automatisé de l’information qui domine, avec les progiciels de gestion intégrés.
Dans les processus de support, les avenacées très importantes concernent
deux domaines en particulier65 :
- L’intelligence économique, avec la gestion et l’analyse des données, la
capitalisation des connaissances.
- Le pilotage de l’activité avec tous les systèmes d’aide au travail de
groupe.

65
MONOD.E, Net économie et chaine de la valeur, Document de travail, LAGON, université de
Nantes. Sous la direction de : B.HENRI et Maurice IMBERT, p22.
Section 01 :l’impact des TIC sur les compétences :
Préambule :
Les Technologies de l'Information et de la Communication sont le
symbole des changements organisationnels de l'activité humaine, privée mais
surtout professionnelle : émergence des entreprises réseaux, externalisation,
développement des services, automatisation des tâches informelles, codification
des tâches, polyvalence, flexibilité.
1. La notion de biais technologique :
La notion de biais technologique a été introduite par J.R Hicks dans le cadre
de ses travaux sur la croissance : dans certains cas, le progrès technique induirait
des substitutions entre facteurs de production au détriment du travail non
qualifié. Un courant de la littérature économique soutient la thèse selon laquelle
le progrès technique, en particulier la diffusion des TIC, induirait une double
substitution : celle du capital au travail peu qualifié et celle du travail qualifié au
travail peu qualifié66.
Depuis 1970, les inégalités entre travailleurs qualifiés et non qualifiés ont
fortement augmenté dans l’ensemble des pays occidentaux. Au niveau de
l’ensemble de l’économie, cette distorsion est particulièrement nette aux États-
Unis, au Canada et au Royaume-Uni. Ainsi, au cours des vingt dernières années,
la croissance économique américaine s’est accompagnée d’une hausse
spectaculaire des inégalités, qui a vu décliner en niveau le salaire des ouvriers
les plus vulnérables sets s’accroître le revenu des travailleurs qui ont des
qualifications élevées. Dans les pays européens où un salaire minimum protège
les revenus des travailleurs les moins qualifiés, notamment en France, le taux de
chômage des moins qualifiés a augmenté beaucoup plus vite que celui des
qualifiés67.

66
Michel Gollac et autres, Les métiers face aux technologies de l’information, Editeur La Documentation
française, Avril 2003, p46
67
Ibid., p47
2. Les causes de ce creusement des inégalités ne sont pas clairement
établies. Entre autres explications, un "biais technologique"
spécifique aux TIC est évoqué. Ce biais résulterait notamment des
mécanismes suivants :
- «Les travailleurs les plus qualifiés sont aussi les plus aptes à maîtriser
l’usage d’une technologie nouvelle ; certaines tâches réalisées par les moins
qualifiés sont formalisées et transformées en routine, ce qui permet de
substituer de la technologie à cette catégorie de main d’œuvre. En revanche,
les tâches les plus complexes, celles que réalisent les dirigeants, les cadres
ou les techniciens se prêtent mal à la formalisation ;
- Le développement des TIC permet d’accroître l’importance de la partie
conceptuelle des tâches qui mobilise la capacité à manier des représentations
abstraites ;
- La mise en place des systèmes informatiques et des processus
d’automatisation au sein de l’industrie entraîne une demande forte de main-
d’œuvre qualifiée ;
- Les TIC favorisent la mise en place d’organisations en réseaux au sein
desquelles les salariés doivent faire preuve d’autonomie, de responsabilité et
d’aptitudes à gérer le changement : les travailleurs les plus qualifiés seraient
plus aptes à travailler dans ce type d’environnement »68.
3. Impact des TIC sur les compétences de l’usager :
3.1. Effet des usages des TIC : une approche tridimensionnelle de la
notion de compétence :
Premièrement, les outils de ressources, ou de documentation, se mettent au
service du capital cognitif de l'utilisateur. L'information qu'il va chercher et
exploiter aura un effet non négligeable sur ses savoirs et ses connaissances69.

68
Michel Gollac et autres, op.cit., p47
69
Monnin, A., La ressource et l'ontologie du Web, HAL: hal-00610652, version 1 atelier, 2011
Document accessible à l’adresse : http://hal-paris1.archives-ouvertes.fr/hal-00610652/fr/, consulté février 2014.)
À 14H 00.
Les ressources sont des éléments qui permettent aux individus d’atteindre
la position sociale qu’ils entendent acquérir : logement, emplois, éducation,
information, culture, réseau social, santé, loisirs, services, administrations.
La raison en est l’émergence et la prédominance du « travail immatériel »,
défini comme « un travail qui produit un bien non matériel tel que service,
produit culturel, connaissance ou communication »70.
En allant plus loin, la dynamique de transformation économique et sociale
de la société est fondée sur l’exploitation systématique de la connaissance et de
l’information nouvelle.
Deuxièmement, les outils d'échange et de communication vont exercer une
influence sur le développement du capital social et des compétences
relationnelles grâces aux échanges et aux interactions qu'ils permettent
(synchrones et asynchrones). Un nombre important d'études confirme l'impact
des TIC sur l'amélioration et la transformation du capital social. Ces nouveaux
outils solidifient les liens existants, en génèrent de nouveaux et augmentent la
sphère communicationnelle de l’individu.71
Enfin, les outils technologiques au sens large vont développer chez l'individu
des compétences opérationnelles en lien avec son outil de travail, et vont ainsi
exercer un effet sur la productivité72
Dans les modalités d'« apprenance » informelle (intentionnelle ou non), la
formation et les apprentissages sur le tas : « apprenant volontaire dirige par lui-
même un apprentissage grâce à des ressources variées, documentaires
(bibliothèque), technologiques (Internet, etc.), relationnelles (experts,
homologues et pairs) ». On pourrait ainsi circonscrire la « bulle » des outils de

70
Negri, T., Hardt M. , Multitude, Guerre et démocratie à l'époque de l'Empire, Paris : La Découverte .2004.
71
Zinnbauer, P. What can Social Capital and ICT do for Inclusion?., Institute for Prospective Technological
Studies, 2007.
(IPTS), JRC, European Commission. Document accessible à l’adresse :
http://ipts.jrc.ec.europa.eu/publications/pub.cfm?id=1466, consulté Février 2014 à 16h20.)
72
Kalika, M. Le rôle stratégique des TIC, in Kalika M., Management et TIC, 5 ans de e-management, Paris :
Éditions Liaisons, 2006.
travail autour des outils de ressource et de communication. Ces outils
technologiques nouveaux vont en outre, de par leur nature, transformer l'activité
de travail (création de nouveaux métiers, de nouveaux besoins), parallèlement à
la mutation des identités professionnelles. Nous nous situons encore dans une
logique de la valorisation de l’immatériel qui, selon Goldfinger (1994), définit
de « nouvelles règles d’organisation, de compétition et de valorisation ».
En y associant le paradigme de porosité entre différents contextes de vie tel
qu'on l'a exposé, ce schéma des effets des TIC sur l'activité humaine peut
s'appliquer aussi bien au contexte professionnel qu'au contexte domestique et
privé. L'usage d'outils informatiques, d'échange et de recherche d'information
peut se faire dans les deux sphères – professionnelle et privée –, et les effets en
termes d'impact sur les compétences et les performances des usages domestiques
vont s'appliquer au niveau professionnel, dans une logique d'apprentissage
informel73.
3.2. La modélisation des contextes d'usages et de compétences :
Afin de mieux saisir la relation entre les compétences de l'usager face aux
TIC, nous nous proposons de modéliser leurs impacts sur celles-ci, selon les
différents contextes de leurs usages. Ce schéma illustre de manière synthétique
de l'intégration des TIC dans l'organisation du travail, mais également dans les
pratiques domestiques.
Les ressources informationnelles [Les savoirs] et humaines [Les relations]
peuvent être développées à un niveau personnel et domestique : ainsi, elles
peuvent être capitalisées puis mobilisées dans différents contextes (la recherche
d'information, de contacts, etc.). Un troisième contexte [Les compétences]
recouvre l'ensemble des savoir-faire engendrés par l'usage des TIC (comme la
maîtrise technique des machines et de logiciels), en termes de compétences
opérationnelles. Ce contexte est organisationnel et technologique, car la

73
Carré, P, L'Apprenance, vers un nouveau rapport au savoir, Paris : Dunod, 2005.
technique agit sur la transformation de l'activité professionnelle (et impacte donc
l'organisation de l'activité dans son ensemble). Cette analyse une fois modélisée
nous donne le schéma suivant :

Schéma 1 : Impact des TIC sur l'organisation de l’activité et les compétences de


l’usager au niveau professionnel et domestique.
Les flèches soulignent l'interdépendance entre les trois domaines de
compétences (les « bulles » d'activité). Ces derniers sont subdivisés en «
Contexte d'usage », « Dimension d'usage », et en « Outils technologiques ». Les
cadres en pointillés définissent les domaines de compétences sur lesquels
agissent les bulles.
Dans les parties précédentes, nous avons expliqué l'interdépendance entre les
contextes d'application des technologies de l'information et de la
communication. Elle est représentée dans notre schéma par des flèches à deux
sens reliant entre elles les trois bulles d'activité. Nous appelons « Dimension » le
résultat de l'usage des TIC, selon le contexte donné. Exemple : dans les «
Savoirs », les outils de ressources permettent l'accès à l'information, qui est la
dimension développée par l'usage de ces outils. Ces derniers, associés à la
dimension en question, correspondent au contexte « Informationnel ».
Un outil entraîne donc des types d'usages particuliers, qui vont constituer
une dimension de l'activité professionnelle et/ou domestique. Chaque « bulle »
d'activité ainsi formée correspond à un impact sur les compétences de l'usager,
selon sa dimension, et son contexte d'usage :
Un premier contexte est informationnel, qui correspond dans cette nouvelle
organisation de l'activité professionnelle et domestique à l'accès à
l'information74.
À travers les outils de ressources. Il s'agit en l'occurrence d'Internet surtout,
mais plus particulièrement des sites web de recherche d'information comme les
moteurs de recherche, ou, tout simplement, la faculté de naviguer et de s'y
retrouver dans une masse d'informations et de données. Breton (2005) parle de «
paradigme » informationnel, qui « englobe des savoirs, à la fois techniques,
scientifiques, philosophiques, des dispositifs techniques mis au point en son sein
». Les « compétences » ici développées sont donc l'accès à l'information, qui va

74
Monnin, A. op.cit.
développer le capital-savoir de l'individu (ou capital culturel), tout en lui
permettant de mettre au point des stratégies de recherche dans le but voulu75.
Nous pouvons prendre l'exemple des métiers du secteurs des médias, comme
le journalisme, qui doivent constamment mettre à jour leurs méthodes de
recherche et d'investigation en fonction des avancées du type de publications des
données sur le net (le web collaboratif ou 2.0, les archives et données libres et
ouvertes, la multiplication des sources d'information, etc...). Nous pouvons citer
à ce titre le data journalism, ou journalisme de données76.
Ensuite, un autre contexte, relationnel et spatio-temporel, synthétise notre
discours sur le lien entre usage des TIC et développement du capital social. Il
s'inscrit dans la dimension interactionnelle des TIC, à travers l'utilisation des
outils d'échanges et de communication, comme les logiciels de chat, ou les sites
de socialisation et de réseautage comme Facebook, MySpace, LinkedIn, Viadeo,
Twitter, Tumblr, Stumble, Google+, Orkut, etc... D'après Collier (1998), une des
manières de promouvoir le capital social est de faire baisser les coûts de ces
interactions, ce que permet justement Internet. Lin (2001) ajoute que
l'avènement d'Internet a engendré un essor « révolutionnaire » du capital social
des individus. L'utilisation soutenue des ces instruments communicationnels va
ainsi étendre le capital social de l'individu, en augmentant le nombre de ses «
amis » virtuels, et en consolidant ses contacts avec ses proches ou amis, mais,
surtout, en lui permettant de développer une stratégie d'insertion dans un milieu
ou une communauté d'intérêts. Le contexte relationnel illustre ainsi le côté «
social » des TIC.

75
Breton, P , « La société de la connaissance » : généalogie d’une double réduction, in Revue internationale de
sociologie, éducation et société, n°15, janvier 2005 , p. 45-57.
76
Epelboin, F , Le journalisme de données, les données ouvertes, et la dictature de la transparence, 2009
.Document accessible à l’adresse :
http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://fr.readwriteweb.com/2009/10/19/a-la-une/datajournalism-
journalisme-de-donnee-ouvertes-dictature transparence/&title=readwriteweb.com, consulté février 2014 a
17h00.).
Nous pouvons renvoyer ici au concept de rationalité communicationnelle
développé par Habermas, comme expliqué par Coutrot (1998) :
« La rationalité communicationnelle (...) résulte du jeu des normes sociales entre
les membres d'une communauté de travail. Cette rationalité sous-tend les
comportements de coopération, d'entraide, de partage des savoirs, qui sont
présents et nécessaires à la productivité dans la plupart des contextes concrets de
travail »77.
Si l'agir communicationnel est utilisé par Habermas pour expliquer comment
la division sociale du travail agit sur la solidarité organique (en opposition à la
solidarité mécanique, d'ordre traditionnel), on pourrait dire alors que cet agir
contribue à la constitution de l'idéologie et du mythe de l'entreprise, et construit
des liens entre les travailleurs. Dans la société moderne, industrialisée et
capitaliste, l'agir communicationnel prend à son compte la tâche de l'intégration
sociale78
Enfin, le contexte organisationnel et technologique : la pratique des
nouveaux outils de travail en général. Ces derniers sont représentés par les
machines de production (ordinateurs, périphériques, etc...) ainsi que par les
programmes (logiciels, systèmes d'exploitation) (autrement dit hardware et
software).
Ces outils sont appropriés par l'utilisateur afin d'exécuter des tâches ; voilà
pourquoi la dimension relative à ce contexte d'instrumentation est la production.
Les moyens de travail requièrent, autant qu'ils en développent, des compétences
dans un but productiviste. On voit mieux ici le lien direct entre compétences (on
parle de digital skills) et productivité dans les nouveaux métiers, qui sont
conditionnés par la maîtrise de ces nouveaux moyens de travail. La productivité
est améliorée car la maîtrise des TIC permettraient de s'adapter plus rapidement
et plus facilement à l'évolution technologique et numérique (Dahmani & Ragni,

77
Coutrot, T, L'entreprise néolibérale, nouvelle utopie capitaliste ?, Paris : La Découverte. 1998.
78
Habermas, J. , La théorie de l'agir communicationnel, Tome II, Paris : Fayard, 1987. p.103
2009). Kalika (2006) cite une enquête réalisée au sein de plusieurs entreprises en
2005, qui notait une évolution significative de la productivité individuelle grâce
aux TIC.
3.3. Porosité et interdépendances entre les différents contextes de
compétences :
Le schéma met en relief la diversité des environnements de pratiques. Les
contextes relationnel et informationnel sont déployés dans un cadre domestique
par l'individu, mais développent des compétences et capacités mobilisables dans
un but professionnel. A priori pour la recherche d'emploi, et a posteriori dans un
but productiviste au sein de l'activité professionnelle. De même, le contexte
technologique, qui développe des compétences opérationnelles en termes de
pratique technique, pourrait être déployé dans un contexte domestique : que ce
soit dans un but personnel et privé, ou au sein d'une formation spécifique à un
logiciel donné, dans un but professionnel (apprentissages tout au long de la vie).
Cela est permis par la démocratisation accrue de l'accès aux TIC, que ce soit aux
machines ou aux logiciels (par achat ou téléchargement illégal) On peut ainsi
assister à un phénomène de transfert de compétences – en termes
d'apprentissages informels – dans le paradigme réticulaire.
Ce dernier, Philippe Carré l'envisage à travers le concept de société cognitive. Il
en tire « quatre idées forces » :
- La réussite des individus passe par le développement de l’apprentissage et
des compétences en permanence. Nous considérons que les nouvelles
identités professionnelles intègrent cet impératif.
- Ce développement doit intégrer et exploiter tout le potentiel des TIC. C'est
notamment le cas de la société réticulaire et technologique. De ce fait,
l'usage de ces outils développe des compétences mais en requièrent
également.
- L’apprentissage ne doit plus être réduit aux situations formelles
d’enseignement mais s’étendre à toutes les circonstances de la vie
professionnelle et citoyenne. L'auteur met à jour également le phénomène de
porosité entre contextes professionnels et domestiques, en expliquant que les
compétences, dans cette nouvelle normativité, sont transférables d'un lieu à
l'autre, à travers les apprentissages informels.
- Enfin, l’individu est appelé à devenir sujet social apprenant, co-responsable
de sa formation. Autrement dit, il met l'accent sur la nécessité d'apprendre
seul, en interrelation avec son environnement79.
Dans une même logique multimodale, analyse la compétence au travail selon
quatre critères : les démarches intellectuelles (un raisonnement, une manière de
faire, un enchaînement des actions mentales pour résoudre un problème, un
mode d’emploi pour agir et trouver des solutions), les savoirs et connaissances
(regroupement des connaissances indispensables à la réussite professionnelle),
les relations au temps et à l’espace (élargissement du champ d’analyse des
problèmes, anticipation), et enfin les interactions relationnelles (fréquence et
nature des relations aux autres nécessaires pour la résolution de problèmes). On
remarquera que ce découpage correspond au nôtre si l’on positionne les
relations au temps et à l’espace à cheval sur nos deux dimensions de production
et d’interaction (ou sur nos deux contextes organisationnel- technologique, et
relationnel-spatio-temporel). Il est possible alors de considérer que les TIC sont
la réification instrumentale de la compétence au travail80.
Comme le note Boullier (2001), maintenir une expertise informatique
nécessite une attitude de veille permanente, un apprentissage perpétuel, et
l’entretien d’un réseau relationnel permettant d’accéder aux savoirs et aux
savoir-faire techniques. Blasius et Friedrichs (2003), en citant Bourdieu (1979),
rappellent que les compétences pratiques sont une forme de connaissance qui
peut (théoriquement) être convertie en capital économique et social. Elles

79
Carré, P. Op.cit., p.67
80
Ledru, M. in Kalika M., Le E-management : quelles transformations dans l'entreprise ?, Paris : Éditions
Liaisons, 2003.
peuvent être directement transformées en capital économique lorsqu’un service
particulier est monnayé. Par conséquent, les compétences pratiques peuvent être
considérées comme un moyen d’améliorer le statut économique et/ou la
position d’une personne dans son réseau social. Les chercheurs, à la suite de
leur étude sur la transformation des compétences en capital culturel dans le
milieu ouvrier allemand, affirment dans la conclusion de leur article : « à la
condition de réunir un capital social élevé, un capital économique relativement
bas et un volume de compétences assez élevé, il existe des transferts permettant
d’accroître le volume du capital. En revanche, et en accord avec la théorie des
réseaux, un capital social bas n’offre que peu des possibilités81.
Ainsi, les auteurs conditionnent la conversion des compétences pratiques en
capital culturel et économique à la possession d'un capital social élevé ; ce que
les TIC pourraient contribuer à développer. Ce qui explique davantage
l'interdépendance entre nos trois « bulles » d'activité.

81
Blasius, J., Friedrichs, J, Les compétences pratiques font-elles partie du capital culturel ?, Revue Française de
Sociologie, 2003, p.573.
Section 02 : l’inégalité d’utilisation des TIC au sein de l’entreprise
Préambule :
La diffusion très rapide de l'informatique au sein des entreprises ne s'est pas
traduite par une égalisation des chances d'accès entre les différentes catégories
de salariés. Au contraire, la diffusion de chaque nouvelle génération de
technologie TIC reproduit les mêmes clivages : l'accès aux TIC dépend très
fortement du niveau de responsabilités hiérarchiques, de la qualification ou du
niveau scolaire ; il dépend aussi de l'âge du salarié. Ainsi, les TIC se banalisent
dans les entreprises sans se démocratiser, et le recours à l'informatique demeure
un facteur de distinction sociale.

1. L'accès aux TIC est notamment très sélectif en fonction :


1.1. Niveau de responsabilité hiérarchique :
Le lien étroit entre le mode d'usage de l'informatique d'une part, le diplôme
et la situation professionnelle d'autre part permet de penser que l'utilisation de
l'informatique ne bouleverse pas les hiérarchies professionnelles.
En effet, en 1998 comme dans les années antérieures, les cadres et les
professions intellectuelles supérieures ont le plus accès à ces outils, suivis de
près par les professions intermédiaires, tandis que les ouvriers, surtout les non
qualifiés, y ont le moins accès. Entre ces deux catégories extrêmes, l'écart des
taux d'accès a même augmenté entre les deux dates.
De plus, le degré de maîtrise des TIC s'avère très différencié. Les cadres, les
enseignants, les techniciens, les professions intermédiaires et les employés
administratifs sont plus nombreux à les utiliser et ceci sans qu'on leur ait à
l'avance indiqué l'ensemble des opérations à réaliser. Ils ont la possibilité de
choisir leurs programmes et leurs logiciels. Les durées d'utilisation sont assez
contrastées. Les ingénieurs, les techniciens, les cadres, les professions
intermédiaires et les employés font un usage quasi permanent des ordinateurs.
Les cadres et les intermédiaires commerciaux, les vendeurs, les ouvriers du
magasinage et de la manutention se servent des TIC de façon moins
systématique, dans leurs relations avec les clients et les fournisseurs.
Les ouvriers industriels, qualifiés ou non, les personnels des services
médicaux et sociaux, les agents de maîtrise, les utilisent encore moins
longtemps. D'autre part, l'adoption d'Internet à domicile est fortement corrélée à
son utilisation au travail : plus on utilise Internet au travail, plus il est fréquent
que l'on en dispose aussi à domicile82.

1.2. la qualification ou de niveau scolaire :


Michel Cézard et Lydie Vinck mettent en avant l'effet de génération .Si
l'utilisation des TIC augmente pour toutes les catégories d'âge, les jeunes nés en
1964 ou après, arrivés récemment sur le marché du travail, connaissent une
croissance de l'utilisation de l'informatique plus rapide que les autres salariés.
De plus, les salariés les plus proches de la retraite ne sont pas touchés par la
généralisation de l'informatique dans les entreprises. Le recours à l'informatique
serait donc plus fréquent avant 30 ans et baisserait ensuite. En 1998, l'influence
négative de l'âge restait sensible même si elle était moins nette qu'auparavant.
L'accès à l'informatique, selon Michel Cézard, Michel Gollac et Catherine
Rougerie, est plus probable pour les salariés les plu anciens dans leur entreprise.
Le rôle de l'ancienneté résulte en partie du lien entre informatisation et
confiance. Si en 1998, la diffusion de l'informatique semble se traduire par une
moindre défiance vis-à-vis des salariés les plus récemment embauchés, la prime
aux salariés anciens subsiste83.

82
Michel Gollac et autres, op.cit., p76.

83
Ibid, p78.
1-3Inégalités numériques et rapports sociaux de classe, de sexe et d’âge
par rapport aux TIC :
Pose tout d’abord la question de la définition des classes sociales
aujourd’hui et plus spécifiquement de celle des classes populaires. L’auteur
définit ce que sont aujourd’hui les classes populaires et leurs fractions – selon
qu’elles soient diplômées (FD, fractions diplômées) ou non (FND, fractions
non diplômées) – d’une part, identifié comme autres facteurs discriminants le
sexe et l’âge d’autre part. C’est donc aux rapports de classe, de sexe et d’âge
qu’il s’intéresse prioritairement pour comprendre les usages d’internet et de
l’informatique que développent les classes populaires. Pourtant, il montre de
façon fine que les comportements individuels ne peuvent s’inscrire dans des
comportements et une culture de classe, donc dans un habitus homogène et
unique. Tout au contraire les « agents-utilisateurs » se différencient par un
investissement, des pratiques et des possibilités d’initiatives qui dépendent
autant de leur appartenance à un groupe social qu’à leur parcours biographique,
à leur expérience de vie personnelle (dans laquelle le parcours de formation
joue un rôle important) autant que professionnelle (statut de précarité ou
d’exclusion, carrière professionnelle descendante, etc.). Par exemple, les
parents des FND considèrent internet et l’informatique comme un moyen
d’accès à des savoirs ou à des connaissances tandis que ceux des FD y voient
un moyen d’accéder à des compétences indispensables à leur insertion
professionnelle. Le comportement de jeunes de 12 à 25 ans dans les classes
populaires se caractérise par un usage de l’informatique et d’internet – au
regard notamment de la place qu’occupe la musique dans leurs usages - plus
considérable, tant en fréquence qu’en durée. Ce surplus de consommation
viendrait pallier un manque de pratiques culturelles et relationnelles en
présentiel sans doute trop coûteuses. Citons un dernier exemple qui met en
évidence l’influence du facteur genre. Les femmes des classes populaires mais
plus encore celles des FND ont tendance à considérer l’ordinateur et ses
périphériques pour leur valeur utilitaire : ceux-ci doivent servir directement au
couple et à la famille. Pour les hommes par contre, il s’agit d’une sorte de «
récréation de soi », de la possibilité de se donner « un espace privé, de fuite, de
repli, de retrait ou de solitude » 84
2. Des clivages dans l'usage domestique des TIC :
La diffusion des TIC pour des usages privés (consommation) se fait à deux
niveaux : d'une part, les ménages achètent directement des biens ou services TIC
(ordinateurs, accès Internet, service Internet) ; d'autre part, ils achètent des biens
traditionnels comprenant une part de services TIC (commerce électronique par
exemple). Or l'utilisation des TIC dans le cadre privé fait apparaître des clivages
forts que certains ont aussi appelé "fracture numérique" Un fossé important
sépare les groupes d'utilisateurs sous des effets qui peuvent être de revenu, de
classe sociale, de diplôme et d'âge : d'un côté, les trois quarts des cadres
supérieurs et des titulaires de revenus supérieurs à 3 000 euros par mois sont
équipés à domicile, de même que 67 % des diplômés du supérieur et 58 % des
étudiants et de l'autre, seulement 5 % des plus de 70 ans, 12 % des retraités, 13
% des non diplômés et 20 % des titulaires de moins de 1 500 euros par mois en
disposent.
Les disparités entre les individus sont donc considérables. Plusieurs facteurs
expliquent le sous-équipement de certains groupes :
- Tout d'abord un effet de revenu : le micro-ordinateur est encore un produit
coûteux. Tout le monde ne peut investir 1500 euros dans ce type
d'équipement. Les ménages les plus démunis ont d'autres priorités.
La contrainte financière explique notamment le succès des offres,
promotionnelles d'ordinateurs entre 900 et 1 200 euros, vendus par les grands
distributeurs depuis 1998 ;

84
Fabien Granjon, Benoit Lelong et Jean-Luc Metzger, Inégalités numériques. Clivages sociaux et mode
d’appropriation des TIC, Hermès Lavoisier, Paris, 2009, p644-645.
- Intervient aussi un effet d'âge : au-delà de l'âge, il s'agit sans doute aussi
d'un effet de génération. Les personnes âgées n'ont pas eu l'occasion de se
familiariser avec cet outil lorsqu'elles étaient en activité ;
- le niveau scolaire est une autre explication : le micro-ordinateur est un
produit complexe. Il faut savoir brancher correctement les équipements,
installer les logiciels, puis savoir utiliser l'outil et donc être familiarisé
avec lui ou pouvoir disposer de l'aide d'un proche. Sans un apprentissage
particulier, les diplômés sont donc ceux qui rencontrent moins de
difficultés à utiliser un micro-ordinateur.
Au mois de juin 2001, près d'un Français sur cinq disposait chez lui, d'un accès
à Internet contre un sur douze en 1999 86. Depuis cette date, le rythme de
diffusion est particulièrement soutenu ; il n'est certes pas aussi important que
le taux de croissance du téléphone mobile, mais il est indubitablement plus
élevé que celui du micro-ordinateur.
L'accès à Internet à domicile est avant tout une question de diplôme, de
revenus et de profession.
L'accès à Internet s'avère difficile pour les personnes qui n'ont pas de culture
informatique et n'en ont pas l'expérience dans leur vie professionnelle.
Les écarts entre les groupes sont donc importants. Ils reflètent grosso modo
ceux constatés à propos du micro-ordinateur en les amplifiant toutefois. Les
nouveaux internautes, recensés en 2001, se retrouvent être des diplômés du
supérieur ou de professions intermédiaires, des jeunes de moins de 25 ans ou des
étudiants. Lorsqu'une innovation est lancée sur le marché, ce sont souvent les
individus les plus favorisés qui l'expérimentent en premier85.
La "fracture numérique" qui sépare les classes supérieures des classes populaires
peut-elle être comblée, et dans quels délais ? Le prix relatif des biens et services
TIC baisse régulièrement mais cette baisse provient essentiellement d'un

85
Michel Gollac et autres, op.cit., p80.
enrichissement permanent de l'offre : augmentation des performances liée à de
nouvelles générations de matériel, diversification des services offerts…, tandis
que le coût d'entrée reste élevé. Tant que le micro-ordinateur restera à un prix
élevé, et tant qu'il ne se développera pas de terminal bon marché pour l'accès à
l'Internet, il est probable que la "fracture numérique" ne se comblera pas
rapidement. En outre, de nombreuses personnes ne disposent pas de capacités
d'appropriation suffisantes d'un progrès technique de plus en plus rapide et se
trouvent de ce fait incapables d'utiliser les TIC dans la sphère de la
consommation privée comme dans la sphère du travail86.
Ces deux facteurs d'exclusion se combinent. Si on n'a pas l'occasion de se
familiariser avec les TIC sur son lieu de travail, on hésitera à débourser une
somme assez importante pour installer chez soi des outils informatiques dont on
ne connaît ni les possibilités ni le mode d'utilisation. Inversement, ne pas avoir
d'ordinateur chez soi fait perdre des occasions de se perfectionner, de bénéficier
de l'aide des membres de sa famille ou d'amis et d'acquérir ainsi des savoirs qui
pourront améliorer la maîtrise des TIC au travail. Le fait qu'une large partie de la
population risque de se trouver durablement à l'écart d'un progrès technologique
majeur ne peut laisser indifférent le responsable politique.

86
Ibid, p82.
Section 01 : Historique de SONATRACH :
La première exploitation des gisements en Algérie commence a la fin de
l’année 1980 dans le bassin de Chlef, mais le premier gisement ne fut trouvé
qu’en 1948 a Oued-Guertrini dans la région, à 150 Km d’Alger, dans les années
50, les travaux d’exploitation s’étendirent au Sahara ou furent découvertes
d’importantes réserves de pétrole et de gaz naturel. Entre 1953 et 1956 furent
découverts les champs d’huile d’Edjeleh de Hassi Messaoud, les champs de gaz
de Hassi Messaoud, de Hassi Rmel et d’Ain Amenas.
L’Algérie comporte une surface sédimentaire de plus 1,5 millions de Km
carrés, dont l’exploitation est loin d’être terminée. La majorité des gisements
d’huile de gaz découverts a ce jour sont situés dans la partie est de la plate forme
SONATRACH.
SONATRACH est une abréviation de « société nationale transport et
commercialisation des hydrocarbures », c’est une société algérienne qui a été
créée le 31/12/1963 par décret N° 63/491, ses activités principales étaient le
transport et la commercialisation des hydrocarbures, et a partir de 1966, son
champ d’action s’élargit et englobe la recherche et la transformation des
hydrocarbures.
Après 1971, la nationalisation des hydrocarbures a conduit a une restriction et
une réorganisation efficace de la société qui a donné naissance a 18 filiales :
NAFTAL, ENIP, ENGTP, ENAC,…etc.
SONATRACH est la première société du continent africain, elle 11 ème parmi
les compagnies pétrolières mondiales, 2ème explorateur de GNL et 3ème
explorateur de gaz naturel : sa production globale (tous produit confondus) est
de 202 millions de tonnes, ses activités constituent environ 30% du PNB
(produit national brut) de l’Algérie, elle emploie 120 000 personnes.
1. Objectifs et évolution :
Pour les 25 années à venir, SONATRACH projette de doubler le rythme de la
production pour atteindre annuellement 100 TEP (tonne équivalent pétrole), ce
qui donnera une production cumulée prévisionnelle de 2,5 milliards de TEP a la
fin de l’année 2020.
Si parallèlement les efforts d’exploitation et de prospection des hydrocarbures
ne suffisent pas a renouveler la totalité des réserves en place par la découverte
de nouveaux gisements compte tenu de volume d’hydrocarbures qui pourront
être récupéré du sous-sol, on ira irrémédiablement vers un déséquilibre
énergétique très grave.
Le programme des réserves à maintenir la même durée à venir, a été élaboré
en fonction d’une espérance de découverte de gisements équivalents à 144
millions de TEP annuellement.
Compte tenu du volume de réserves potentiellement récupérable, il est évident
que cet objectif ne suffirait pas à couvrir le rythme de production fixé ou encore
moins a rattraper le retard en matière ressources énergétiques.
Il est donc vital que SONATRACH de tracer une nouvelle politique
énergétique en mesure de préserver et de consolider la dynamique de production
et de l’exploitation de ses ressources.
Aujourd’hui l’économie mondiale des hydrocarbures ne laisse d’autres
alternatives à SONATRACH que l’adaptation, l’amélioration et la
modernisation des conditions de travail et de son outil de production.
Pour cela, elle doit s’appuyer sur les valeurs fondamentales de la culture de
l’entreprise : l’engagement dans l’intérêt et l’esprit de l’éthique.
Le professionnalisme et la requête de l’excellence constituent les valeurs de
l’entreprise, le développement de SONATRACH doit être mû par une volonté
de défi qui s’appuie sur :
 La compétence technologique ;
 L’amélioration et la qualité de l’environnement social ;
 La satisfaction du client et le marketing ;
 Le transfert du savoir-faire.
Les activités de SONATRACH se résument comme suite :
 La recherche et l’exploitation des gisements ;
 La liquéfaction et la transformation du gaz ;
 La commercialisation ;
2. Organisation de la société :
2.1Description de l’organigramme :
L’organigramme du groupe se résume en trois points :
 La présidence :
Elle assure au sein de la société-mère les fonctions pilotage stratégique et de
coordination.
 Structures fonctionnelles :
Elles permettent de coordonner les stratégies, les politiques et les activités du
groupe, on élaborant les instruments de pilotage et d’expertise de structures
fonctionnelles.
 Structures opérationnelles para métiers :
C’est un groupe homogène d’activités fonctionnant selon les règles d’une
entreprise autonome dans le cadre des objectifs stratégiques de la présidence.
2.2 Organigramme de SONATRACH : (le schéma N° 2)

SONATRACH

Branche Exploitation Branche Liquéfaction

Branche Communication Branche Hydrocarbures

Branche Transport des Hydrocarbures


par Canalisation TRC

Division études Division Exploitation Division Maintenance


développement

RTI
RTH DML

RTC
DMB
RTE
RTO
DRC
GEM

GPDF TLC

 RTC : Région Transport Centre (Bejaia).


 RTI : Région Transport Ain Amenas.
 RTH : Région Transport Haoud-El-Hamra.
 RTE : Région Transport Est (Skikda).
 RTO : Région Transport Ouest (Arzew).
 GEM : Gazoduc Europ Maghreb.
 GPDF: Gazoduc Pedro Duraud Farelle.
 DML : Direction Maintenance Laghouat.
 TLC : Direction Telecom.
 DRC : Direction Réparation des Canalisation.
 DMB : Direction Maintenance Biskra.
Section 02 : Présentation de la direction régionale de Bejaia.
6. Historique :
L’historique de la DRGB remonte à 1959 lorsque la compagnie française des
pétroles (CFP) et la société nationale de recherche et d’exploitation des pétroles
en Algérie (SN REPAL) décédèrent le 12 aout 1957 la création de la société
pétrolière de gérance (SOPEG).
Avec Arzew, Skikda, Ain Amenas et Haoud El Hamra, la direction générale
de Bejaïa est l’une des régions couvrant l’activité de la branche transport par
canalisation ; la DRGB est chargée de l’exploitation de deux oléoducs, d’un
gazoduc et d’un port pétrolier.
 Oléoduc Haoud El Hamra Bejaia :
Cet oléoduc est le premier pipe-line installé en 1959 par la SOPEG ; il a une
langueur de 668 Km et un diamètre de 24 pouces. Il possède une capacité de
transport MTA (millions de tonnes) de pétrole brute et de condensation vers le
terminal de Bejaia.
 Gazoduc de Hassi Rmel-Borddj Mnail :
Long de 437 Km et d’un diamètre de 42 pouces, il approvisionne en gaz
naturel des le 1er octobre 1981 les villes et les pôles industrielles du centre du
pays ; sa capacité est de 07 milliards M3 par an.
 Oléoduc Beni Mansour-Alger :
D’une langueur de 130 Km et d’un diamètre de 16 pouces, il est piqué sur
oléoduc Haoud El Hamra-Bejaia et alimente depuis 1970 la raffinerie d’Alger
situé à Sidi Arsine.
 Port pétrolier :
Il est doté de deux bacs d’une capacité de stockage annuel de 80 000 tonnes, il
est équipé de 10 électropompes de 53 000 CV qui assurent le changement des
navires.
Le transport des hydrocarbures par les navires étant le plus souvent utilisé, la
direction générale d’Alger envisage la réalisation d’un autre port (port flottant) à
Bejaia.
7. Effectif :
Tableau N° 01: Effectif de la DRGB :
C.S.P Effecti Effecti Effecti Effecti Effecti Effecti
f f 2009 f 2010 f 2011 f 2012 f 2013
clôture
2008
Cadres CS 25 23 21 18 17 15
ING 72 103 117 121 127 131
CU 38 62 79 84 87 91
AC 89 74 65 57 51 46
Maitrise TS 117 172 227 234 242 253
TECH 163 155 151 145 136 123
M.AD 91 83 80 76 72 70
M
Exécutio ATHQ 53 60 51 50 49 48
n ATQ 12 9 12 12 12 12
E.ADM 21 26 26 24 24 24
AIDES 0 0 0 0 0 0
Total 681 767 829 821 817 813
Source : DRGB/SONATRACH Bejaia.

8. Situation géographique :
La DRGB est implantée dans la zone industrielle a l’entré et au sud de la
ville de Bejaia, elle s’étend sur une superficie globale repartie comme suit :
1. Terminal « sud et nord » :
Surface clôturée : 516 135 m²
Surface ouverte : 7 832 m²
Surface occupée par les bacs : 2 250 m²
Hangar de stockage : 3 800 m²
0. Foyer :
Surface couverte : 1 155 m²
1. Port pétrolier :
Surface clôturée : 19 841 m²
Surface couverte : 300 m ²
Surface occupée par les bacs de déballastage : 1 600 m².
9. Activités :
Avec Arzew, Skikda, Ain Amenas et Haoud El Hamra, la direction générale
de Bejaia est l’une des régions de l’entreprise SONATRACH ayant pour
mission le transport des hydrocarbures par canalisations, elle est chargé de
l’exploitation des trois ouvrages suivants :
Tableau N° 02: Ouvrages de la DRGB/SONATRACH.
Ouvrages Origines Destination Longueur Diamètre Capacité
(Km) (pouces)
Gazoduc Hassi Bordj 437 42 7
Rmel Mnail milliards
de m3/an
Oléoduc Béni Alger 130 16 2,88
Mansour millions
de
tonnes/an
Oléoduc Haoud Bejaia 688 24 15
El Hamra millions
de
tonnes/an
Source : DRGB/SONATRACH
Un ouvrage est une canalisation avec tout ce qui lui est raccordé, comme les
stations, les canalisations sans les bacs par exemple.
La DRGB gère le port pétrolier qui est composé de trois postes de
chargement de navires jugeant jusqu'à 80 000 tonnes ; leur ravitaillement est
assuré a partir d’un parc de stockage au moyen d’une pomperiez de 53 000 CV.
10.Organisation de la direction :
10.1. Description de l’organigramme :
La DRGB est composée d’une sous-direction technique, d’une sous-
direction administrative et d’autres structures dépondant directement de la
direction générale
a. La sous-direction technique :
Elle se propose de quatre départements :
 Département exploitation :
L’activité principale de la DRGB est l’exploitation ; la mission du département
et d’organiser les programmes de transport du pétrole brut, du condensat et du
gaz dans les meilleurs conditions de sécurité et de cout. Ce département est aussi
chargé des trois ouvrages précédents.
 Département maintenance :
La mission principale de ce département veillé au maintien en bonne état des
installations techniques de la région, c’est-a-dire, d’assurer la maintenance des
équipements industriels tournants (pompes, groupes diesel, turbines).
 Département protection des ouvrages :
La mission de ce département, comme son nom l’indique, est de protéger les
ouvrages contre la corrosion (protection cathodique) et les actions de la nature
(glissement de terrain).
 Département travaux neufs :
Ce département est chargé de l’étude et de suivi des projets d’investissements
de la DRGB dans les différents domaines.
b. La sous-direction administrative :
Elle est composée de trois départements :
 Département ressources humaines :
Il a pour rôle la recherche et l’acquisition du potentiel humain, sa présentation et
son développement qualitatif.
 Département administratif et social :
Ce département veille au respect des lois en vigueur qui régissent les relations
de travail. Comme il gère le personnel de la DRGB.
 Département moyens généraux :
Ce département fournit le soutien logistique de l’entreprise.
c. Autres structures :
Certains départements sont directement reliés à la direction générale, ces
départements sont :
 Département approvisionnement et transport :
Ce département alimente la DRGB en matériels nécessaires a son
fonctionnement, il doit faire a tous les achats ; il assure le transport du
personnel.
 Département finances :
Il prend charge la gestion comptable et financière de la DRGB.
 Département juridique :
Le département juridique a chaque fois que les intérêts de la DRGB sont mis en
jeu pour veiller à la légalité des transactions.
 Département sécurité :
Cette structure doit assurer la protection du patrimoine humain et matériel de la
DRGB et le bon acheminement des hydrocarbures.
 Centre informatique :
Il représente le support d’exploitation et de développement des applications
informatiques pour le compte de la DRGB et des autres directions régionales.
10.2. Organigramme de la DRGB SONATRACH: schéma 02
Schéma N° 3 : Organigramme de la direction Régionale TRC/source :
DRGB/SONATRACH
Section 03 : présentation du Département des Ressources Humaines et
Communication :
1. TableauN03 : Effectif du Département par Catégories
Socioprofessionnelle (CSP) :
Le département des ressources humaines comptabilise en tout 15 personnes qui
sont reparties comme suit :
CSP Cadres Maitrises Exécution
Nombre 10 04 01
Source : DRGB/SONATRACH.
2. Structure du Département des Ressources Humaines et
Communication (schéma N°4) :

3. Objectifs du Département des Ressources Humaines et


Communication :
L’objectif stratégique du département RHU est la prospection et le recrutement
du potentiel humain, sa préservation et son développement qualitatif en vue de
réaliser la meilleure performance possible.
Ses objectifs sont les suivants :
- Rechercher et sélectionner le potentiel humain.
- Contribuer a l’optimisation de l’emploi.
- Assurer la planification et la gestion des carrières pour le personnel.
- Contribuer a l’épanouissement des travailleurs par des actions de
formation (perfectionnement et spécialisation).
- Optimiser la gestion du centre de formation de l’entreprise.
4. Taches du Département des Ressources Humaines :
Le département ressources humaines RHU assure plusieurs tâches pour le
bon fonctionnement de l’entreprise, parmi ces tâches, on peut citer :
- Gérer l’organigramme ;
- Traiter les rapports mensuels, trimestriels pour les plans de formation et
de recrutement ;
- Relever les indicateurs de gestion des ressources humaines et les
consolider en vue d’un meilleur suivi des effectifs ;
- Elaborer le plan de recrutement et celui de la formation ;
- Recruter le personnel permanant et temporaire ;
- Traiter les mouvements des agents (promotion, réorientation, mutation.
Synthèse :
Ce chapitre nous à permet de présenter la grande entreprise publique
SONATRACH et de mettre en lumière ces principales missions, objectifs…etc.
1. analyse et interprétation des résultats de l’enquête de deux
hypothèses :
Préambule
Après le choix de terraine et le choix de la population d’étude on, est
arrivé à l’étape de l’analyse des données qu’on a collecté par notre recherche sur
le terraine emmené vers les employés au sein de l’entreprise SONATRACH
pour nous mettre au point sur l’usage des TIC, et leurs impact sur l’entreprise.

Tableau N0 4 : la répartition de la population étudiée selon le sexe.


SEXE F
Masculin 8
féminin 2
Total 10
Dans ce tableau, on constate que la plupart des employés son des
hommes avec une fréquence de huit (08) contre seulement deux femmes mais
ça n’empêche pas que la responsabilité est partagée entre les deux sexes au sein
de SONATRACH.
Donc on trouve une forte présence masculine par rapport aux femmes malgré
que la femme participe dans tout les domaines de la vie à savoir social,
économique, politique …etc. ce qu’on a constaté à SONATRACH c’est que la
femme peut occuper des poste de responsabilité autant que l’homme.
Tableau N05 : la répartition de la population étudiée selon l’âge.
Age F
[30-40] 4
[41-50] 5
[51-60] 1
Total 10
Le tableau ci-dessous représente notre échantillon selon l’âge, et on a
constaté que l’âge des cadres est réparti en trois catégorie, la plus importante
fréquence est cinq(05), celle de [41-50]. On trouve on trouve de l’inégalité entre
les deux catégories de [30-40]et [51-60] par fréquence de quatre (04) tandis
qu’un seul (01) qui représente les catégories d’âge[51.60]

Tableau N06 : présentation de l’échantillon selon le poste occupé.


Catégorie SP fréquence
Cadre 3
Agent de Maitrise 4
Agent d’exécution 3
Total 10

À la lumière de ce tableau on a remarqué que notre population d’étude


est composée essentiellement de cadre et agent de maitrise et d’agent
d’exécution
Ces trois catégories accomplissent des taches bien déterminées.
Tableau N07 : présentation de l’échantillon selon l’ancienneté.
l’ancienneté fréquence
Moins de 1 an 00
Plus de 1 an 00
Plus de 2 ans 01
Plus de 3 ans 09
Total 10
D’après ce tableau qui représente les fréquences d’ancienneté pour les
trois catégories de travailleurs de SONATRACH
La majorité des travailleurs ont de l’ancienneté supérieur à 3ans qui représente
a neuf (09) personnes par rapport a la catégorie de plus de deux(02) ans, qui a
une seule personne.

Tableau N08 : les TIC sont un moyen de développement dans l’entreprise de


SONTRACH.
TIC, moyen de Fréquence Arguments
développement dans
l’entreprise
SONATRACH
Les TIC sont un moyen 10 -« OUI, elles nous font
de développement réduit les couts et gagné
de temps, dans un second
on peut envoyer un
message
électronique .par contre
au paravent cela se fait
avec le support papier en
plus il faut prendre une
semaine…… »
-« pour moi elles jouent
un rôle dans déroulement
de l’information rapide
et fiable qui je utilise
dans le remplissage de
ma tache .donc est un
moyen de
développement….. »
-« effectivement c’est un
moyen de
développement
professionnel, car on
peut effectuer un travail
et l’envoyer aux
destinataires sans se
déplacer… »
-« Evidement, car il nous
permet d’intervenir au
bon moment … ».

Les TIC ne sont pas un 00


moyen de
développement
Total 10
A partir de ce tableau nous avons constaté que les technologies
d’information et de la communication sont un moyen de développement dans
l’entreprise de SONATRACH. Puisqu’on retrouve qu’il existe dix (10)
employés ayant répondu favorablement.
Donc on retrouve qu’à SONATRACH il existe des moyens d’informations et
de communications qui jouent un rôle dans le développement des compétences.
L’un des employés commente comme suit « effectivement c’est un moyen de
développement professionnel, car on peut effectuer un travail et l’envoyé aux
destinataires sans se déplacer… », C’est-à-dire SONATRACH ils donnent plus
d’importance au moyen de technologies de l’information et de la
communication.
Tableau N09 : les TIC ; sont un outil indispensable dans l’entreprise
SONATRACH.
Les TIC sont un outil Fréquence Arguments
indispensable dans
l’entreprise sonatrach
Les TIC sont un outil 08 -« oui, il est devenu
indispensable dans indispensable elle facilite
l’entreprise le travail en plus il est
très important pour le
bon fonctionnement car
dans notre service il faut
donner tout les détails
dans le sens
d’informations a la
direction générale au bon
moment… »
-« oui important a
l’entreprise, sans les TIC
on ne peut rien faire,
ainsi nous donne une
valeur ajoutée pour notre
travail…. »
-« bien sur, elles nous
permettent d’être à jour
et d’aller de l’avant…. »
-« il est indispensable car
si vous n’utilisez pas les
TIC dans l’entreprise
donc vous été entrain de
refuser le progrès de vos
compétences et même la
progression de votre
entreprise… »
-« ca serrait très difficile
de travailler sans les TIC
surtout en ce qui
concerne l’intervention
dans des situations de
problème… »

Les TIC ne sont pas un 02 -« Non, je ne crois pas


outil indispensable car notre travail des fois
il faut intervenir sans
penser à la disponibilité
des TIC … »
-« Non, sur le terrain on
n’a pas la chance de
prendre un moyen de
TIC… »
Total 10
A travers ce tableau on est arrivé au résultat de huit (08) employés qui ont
confirmé que les technologies de l’information et de la communication sont un
outil indispensable dans l’entreprise, de l’en contrepartie deux (02) employés
estiment que les technologies de l’information et de la communication ne sont
pas un outil indispensable.
Ce que nous avons remarqué dans les réponses des interviewés, c’est que
les employés sont attachés a l’utilisation des TIC afin d’accomplir leur tache,
comme l’un des employés nous à déclaré : « oui important à l’entreprise, sans
les TIC on ne peut rien faire, ainsi nous donne une valeur ajoutée pour notre
travail…. », Et un autre interviewé à commenter comme suit : « ça serrait très
difficile de travailler sans les TIC surtout en ce qui concerne l’intervention dans
des situations de problème…».
Comme il ya une minorité des employés estiment que les TIC ne sont pas un
outil obligatoire dans l’entreprise car ils réponde seulement des fois à leur
besoin d’accomplissement, c'est-à-dire il a la possibilité d’agir sans revenir aux
TIC.
Donc les TIC pour SONATRACH sont un outil indispensable dans la
réalisation des opérations et l’amélioration des compétences dans l’entreprise.

Tableau N0 10 : les TIC permettent l’accès rapide à des nouvelles informations


dans l’entreprise SONATRACH.
les TIC permettent Fréquence Arguments
l’accès rapide à des
nouvelles informations
dans l’entreprise
Les TIC permettent 07 -« Oui, l’entreprise nous
l’accès rapide à de met à notre disposition
nouvelles informations toutes les applications
sous web en ligne et cela
nous permet de voir
toute l’actualité…. »
-« Oui, on trouve
toujours les nouvelles
informations sur le
portail de sonatrach et
sur Outlook
messagerie… »
-« pour moi oui car il ya
des sites en ligne qu’on
peut facilement consulter
et cela a n’import quel
moment … »
-« Oui, parce que on a
des sites qui nous
permettent d’entrer à nos
modules dans
l’entreprise et en dehors
de l’entreprise il suffit
d’y insérer le nom
d’utilisateur et le mot de
passe… »
-« oui, sur tout les
informations qui
touchent le
fonctionnement de mon
travail… »

Les TIC ne permettent 03 -« Non, perte de


pas l’accès rapide à des connexion des fois elle
nouvelles informations. est aussi lourde donc ça
prend du temps pour
pouvoir consulter les
sites… »
-« Non, des fois
l’informations arrive en
retard à cause de
l’administration…. »

Total 10

Ce tableau nous montre avantage des TIC à l’accès rapide aux nouvelles
informations dans l’entreprise SONATRACH, ou sept ( 07) employés nous
disent que les technologies d’information et de communication nous permettons
l’accès rapide à des nouvelles informations , ainsi que les autres trois(03)
employés considèrent que les TIC ne permettent pas l’accès aux nouvelles
informations , l’un des employés commente comme suit : « Non, des fois
l’informations arrive en retard à cause de l’administration … ».
À travers tout cela, nous n’avons constaté que SONATRACH. Met tout
les moyens d’information et de communication a la disposition de ces employés
afin de permettent l’accès rapide a des nouvelles informations « Oui,
l’entreprise nous met à notre disposition toutes les applications sous web en
ligne et cela nous permet de voir toute l’actualité…. ».par contre certains
employé considèrent que les TIC ne permettent pas l’accès rapide a des
nouvelles informations, car l’information arrive seulement à un certain niveau
hiérarchique qui provoque un blocage cela rend l’information difficile à
atteindre rapidement.
TableauN011: la maitrise technique des machines et des logiciels permis d’être
efficaces dans le contexte professionnel.
La maitrise technique fréquence Arguments
des machines et des
logiciels permet d’être
efficace dans le contexte
professionnel
Maitrise 06 -« Si claire, il faut bien
maitriser les logiciels
pour bien faire notre
travail ainsi la bonne
transmission pour le chef
hiérarchique… »
-« oui bien sur, parce que
il ya des cas il faut
réaliser un rapport
rapidement, donc ils
nous font un traitement
rapide et une sorte de
reflexe, dans ces
situations ou il faut
maitriser ces outils si
non ils seront un obstacle
pour le fonctionnement
de département et même
de l’entreprise… »
-« Oui certainement,
parce que on travaille
avec les différents
logiciels et des machines
qui sont mis a notre
disposition pour
atteindre les objectifs de
l’entreprise donc il faut
les maitriser… »
Non Maitrise O4 -« Non, pas vraiment
parce que je ne l’utilise
pas beaucoup dans mon
travail… »
-« Non, parce que je
peux lancer mon travail
sans avoir une maitrise
de ces outils car je fait
des opérations
routinières … »
Total 10

Le tableau ci –dessus montre qu’à l’intérieur de l’entreprise de


SONATRACH, il ya beaucoup de machines et logiciels modernes et classiques
qui il faut maitriser à fin d’être efficaces dans le contexte professionnel, Six (6)
employés estiment que la maitrise technique des machines et des logiciels
permet d’être efficaces dans le contexte professionnel, tandis que les quatre (4)
employés estiment le contraire non maitrise technique des machines et des
logiciels permet d’être efficace dans le contexte professionnel.
Ces données nous laissent percevoir que les employés qui maitrise nt les
logiciels et les machines sont plus compétent par apport à la réalisation des
différentes opérations effectuée en mesure de leurs postes.
À l’intérieur des grandes entreprises, comme le cas de SONATRACH, la
majorité des postes nécessite une sorte de qualification technique des logiciels
et des machines afin d’être utiles et efficaces dans le contexte professionnel.

Tableau N0 12 : le processus de communication entre les différentes structures


au sein de l’entreprise de SONATRACH avec l’utilisation des TIC.
le processus de Fréquence Arguments
communication entre les
différentes structures au
sein de l’entreprise de
SONATRACH avec
l’utilisation des TIC
Le processus de 07 -« Oui, il nous
communication a changé rapproche du coté de
travail et la transmission
des données prend moins
de temps donc ça nous
aide de faire vite dans
notre travail… »
-« Oui, on utilise l a
messagerie au lieu de se
déplacer qui prend
beaucoup de temps, donc
on reçoit, on tri et on
envoyoi… »
-« Oui, il ya un
changement par apport à
la méthode traditionnelle
avec le support papier
maintenant avec
Outlook on peut
communiquer avec les
responsables sans
problème et a n’import
quel moment… »
-« Oui, il ya un
changement par rapport a
la communication
précédente… »
Le processus de 03 -« Non, on est toujours
communication n’a pas avec les anciens moyens,
changé il n’ya pas vraiment un
changement puisque le
papier est toujours
demandé et comme on
dit le papier est le moyen
qui nous assure l’envoi
et la réception de
l’information.. »
-« Non, parce qu’on
utilise toujours le support
papier et la plupart de
temps on utilise la
méthode verbale dans la
communication avec les
chefs hiérarchiques…. »
Total 10

Les données de ce tableau nous rapprochent à une réalité du processus de


communication entre les différentes structures au sein de l’entreprise
SONATRACH avec l’utilisation des TIC.
Pour les sept (07) employés qui considèrent que le processus de
communication a changent avec l’utilisation des TIC, tandis que les autres trois
(03) employés nous disent que le processus de communication entre différent
structure au sein de l’entreprise il n’a pas changé avec l’intégration des TIC.
Pour surmonter les entraves, par exemple : « Oui, il ya un changement par
rapport a la méthode traditionnelle avec le support papier maintenant avec
Outlook on peut communiquer avec les responsables sans problème et à
n’import quel moment… »
En contre partie il ya des employés qui estiment que le processus de
communication entre différentes structures au sein de l’entreprise n’a pas
changer, l’un des interviewés commente comme suit : « Non, parce qu’on
utilise toujours le support papier et la plupart de temps on utilise la méthode
verbale dans la communication avec les chefs hiérarchiques…. »
Donc les TIC ne sont pas juste un moyen de développement opérationnel
de travail mais aussi c’et un moyen qui permet de résoudre des problèmes et les
obstacles au niveau de la communication entre les différents services de
SONATRACH est très influencée par l’utilisation des TIC dans le processus de
communication interne (intranet).
Tableau N013 : l’amélioration par rapport à la circulation d’information avec
l’appropriation des TIC.
L’amélioration par Fréquence Argument
rapport à la circulation
d’information
Il ya une amélioration 07 -«Effectivement il ya une
amélioration
- bien sur il ya une
amélioration nous sommes en
évolution »
-«il il ya une nette
amélioration ou par avant on
utilise trop de papier et
maintenant on élimine le
papier en plus l’information et
plus rapide et plus fiable ….»
- «oui on a dû retenir
l’information sans perdre de
temps…»

Il ya pas d’amélioration 03 -« Non Il n’ ya une variation


par rapport au par avant … ».
-«non ya pas d’amélioration on
est resté sur le support papier
et oral…»
- «non on utilise le talkie-
walkie depuis un long temps et
on communique avec pour
rester en contacte …. »
Total 10

Dans ce tableau on peut dire que les TIC ont un effet positif dans
l’amélioration à la circulation l’information entre les employés au sein de
l’entreprise, la majorité (07) des employés ont un seul avis, et que avec
l’appropriation des TIC permet une amélioration de la circulation de
l’information au sein de l’entreprise, et seulement trois (03) employés qui
considèrent que il n’ ya pas d’amélioration par rapport la circulation
d’information avec l’intégration des TIC.
Les TIC améliore la circulation de l’information entre les employés a
l’intérieur de l’entreprise, d’après un des employés qui commente comme suit :
«Effectivement il ya une amélioration … ».
Bien sur il ya une amélioration nous sommes en évolution »«au par avant
on utilise trop de papier et maintenant on a supprimé le papier en plus
l’information et plus rapide et plus fiable ….». Mais aussi on contre parti on
trouve la minorité qui dit le contraire par rapport à la non amélioration de
circulation de l’information avec l’utilisation des TIC.L’un des employés nous à
dit : «non on utilise le talkie-walkie depuis un long temps et on communique
avec pour rester on contacte … ».
Tableau N014 : l’accès à l’information dépend du niveau hiérarchique et de
responsabilité
L’accès à l’information Fréquence argument
dépend du niveau
hiérarchique et de la
responsabilité
Il dépend du niveau 08 -«Oui il dépend du
hiérarchique et de la niveau hiérarchique …..»
responsabilité -« oui bien sur l’accès à
l’information dépond du
niveau hiérarchique et de
responsabilité …»
-«Oui le niveau
hiérarchique et le
première critère pour
l’accès à l’information
…»
-« il ya des informations
qui nécessite une degré
de responsabilité élevé
pour l’accédé …»
Il dépend d’autre qualité 02 -« non, Dépend du
niveau d’instruction et
de maitres…»
-«non, le niveau
hiérarchique et
insuffisante dépend
aussi d’ancienneté et de
compétence..»
total 10

Ce tableau nous monter les critères d’accès à l’information au sein de


l’entreprise SONATRACH où la plupart des employés huit(08) nous donne un
exemple de niveau hiérarchique et de responsabilité qui fait référence à ces
critères, il ya deux (02) employés qui ont répondu que il ya d’autres critères qui
permettent l’accès a l’information au sein de l’entreprise.
A l’entreprise SONATRACH, la majorité des employés considèrent que les
critères de responsabilité et de niveau hiérarchique est le premier facteur afin
d’accéder aux informations soit d’une façon directe ou indirecte l’un des
employés nous monter que : « oui bien sur l’accès à l’information dépend du
niveau hiérarchique et de responsabilité …»
Alors que la minorité estiment que il y à d’autres paramètres (critères) qui
permettent d’accéder à l’information à travers les niveaux de responsabilité et
qui se fixent comme suit : «non, le niveau hiérarchique et insuffisant et dépend
aussi d’ancienneté et de compétence..».
AU sein de l’entreprise SONATRCH, chaque responsable à son propre accès à
l’information qui se réfère à ça tache d’accomplissement.
Tableau N015 : l’accès à l’information par rapport à l’âge, génération,
ancienneté.
L’accès a l’information Fréquence Argument
par rapport a l’âge,
génération, enceinter

Oui 07 -«Oui il dépend


d’ancienneté et
l’ancienneté et la clé du
savoir faire et de bien
maitrise…»
-«oui l’âge jeu un rôle un
rôle pour l’accès a
l’information mais
l’enceinté a une grand
importance…»
-« oui l’âge jeu un rôle a
plus d’ouverture au tic
parce que c’est n’est pas
la même penser entre un
âgée et un jeune…»
Non 03 -«Le niveau d’instruction
jeux un grand rôle au tic
par rapport a la bien
utilisation ….»
-«même le niveau jeu un
rôle pour la bien
utilisation des tics …»
total 10

Dans de ce tableau on est arrivé aux résultats de sept(07) employés qui


ont confirmé l’accès a l’information dépend de l’âge, génération et ancienneté
dans l’entreprise. On contre parti trois (03) employés estiment que ce n’est pas
que l’âge génération et ancienneté qui permis l’accès aux informations dans
l’entreprise il ya d’autre facteurs qui fait la différence dans l’accès a
l’information.
Ce que nous avons remarqué dans les réponse des interviewé , c’est que
les personne âgés n’ont pas eu l’occasion d’utilisé c’est outil lors de réalisation
de ça tache car on trouve des anciennes génération qui préfère travaillé avec les
outils classiques .comme l’un des employés nous à déclarer : «Oui il dépend
d’enceinter et l’enceinter et la clé du savoir faire et de bien maitrise…»,«oui
l’âge jeu un rôle un rôle pour l’accès a l’information mais l’enceinté a une grand
importance…», comme il ya une minorité qui nous donne une autre explication
au sens de l’accès a l’information au sein de l’entreprise par le niveau
d’instruction.
Donc l’accès a l’information s’avère difficile pour les personnes et qui ont
pas de culture informatique n’en pas l’expérience dans leur vie professionnelle.
Tableau N 016 :l’utilisation des TIC en relation avec la CSP.
l’utilisation des TIC en Fréquence Argument
relation avec la CSP

il ya une relation entre 09 -«Oui le CSP jeux un très


l’utilisation des TIC avec grand rôle dans l’usage des
la CSP. tics…»
-« oui bien sur l’utilisation
du net et des tics dépend
des csp…»
-«oui exactement ya des
poste qui exige du niveau
et c’est on relation direct
avec la CSP …»
-«Oui évidement la CSP et
le facteur numéro 1 de
l’utilisation des tics …»

Il n’y a pas une relation 01 -« Non avec l’évolution


entre l’utilisation des technologique je crois que
TIC avec la CSP. tout le monde peut accéder
au tic… »
Total 10
à partir de ce tableau nous avons constaté que la CSP a un grand rôle
dans l’utilisation des TIC chez les travailleurs de l’entreprise SONATRACH
puisque on retrouve neuf salaries (09) ayant répondu favorablement et d’après
les interviewés :«Oui le CSP joue un très grand rôle dans l’usage des tics…»«
oui bien sur l’utilisation du net et des tics dépend des CSP…»
Ainsi qu’un seul(01) employé qui estime que il n’ ya pas de relation
entre l’utilisation des TIC avec la CSP. Ceci est justifié par : « Non avec
l’évolution technologique je crois que tout le monde peut accéder au tic… »
Ces données nous laissent percevoir que la catégorie socio professionnelle
joue un rôle dans l’utilisation des TIC et manifestement le premier facteur.

Tableau N 017 : l’effet des revenus joue un rôle dans l’utilisation des TIC.
L’effet de revenu et son Fréquence Argument
rôle dans l’utilisation
des tics
L’effet des revenus joue 10 -«Oui le revenu joue un
un rôle dans grand rôle dans l’usage
l’utilisation des TIC. des tics
-oui le revenu est la part
essentielle et officielle
de l’utilisation des tics
…»
-«oui sans argent on ne
peut pas accéder au tic
parce que le revenu est le
premier motivant…»
-«sans argent on peut
l’utilisent chez ceux
qu’ont un revenu bas
mais il faut faire des
sacrifices…»
-« oui je peux dire que
les tics est en relation
direct avec le revenu …»
L’effet de revenu ne jeu 00
pas un rôle dans
l’utilisation des TIC.
Total 10

Au regard de ce tableau, on remarque que les dix (10) interviewés ont


répondu favorablement sur le rôle de revenu et l’usage des TIC dans la vie
quotidien des employés. Comme l’un des employés nous a déclaré : -«Oui le
revenu joue un grand rôle dans l’usage des tics », « oui le revenu est la part
essentielle et officielle de l’utilisation des tics …»
En analysent ces résultats, on peut déduire que il ya une relation entre
l’effet de revenu et l’utilisation des TIC, et cela s’explique par les contraintes
financières pour avoir un simple outil qui permet de maitriser ces technologies
de l’information et de la communication.

Tableau N 018: le niveau scolaire joue un rôle dans l’usage domestique des TIC
Le niveau scolaire dans Fréquence Arguments
l’usage domestique des
TIC
Le niveau scolaire joue 09 -«oui le niveau scolaire
un rôle dans l’usage c’est un grande facteur
domestique des TIC dans l’utilisation des
tics…. »
-« oui sans niveau
scolaire bien élever on
ne peut pas l’utilise
d’une façon parfaite… »
-«oui le niveau scolaire
jeu un très grand rôle
même sans niveau
scolaires on ne peut
même pas l’utiliser…. »
-«oui plus on n’est
instruit on utilise bien
l’ordinateur et les tics…
»
Le niveau scolaire ne 01 -« oui plus on n’est
joue pas un rôle dans instruit on utilise bien
l’usage domestique des l’ordinateur et les tics…
TIC »
Total 10

Considérant les résultats de notre enquête comme se présente dans ce


tableau ci-dessous nous retenons que neuf (09) employés ont confirmé que le
niveau scolaire joue un role très important dans l’usage domestique des TIC
comme suit-«oui le niveau scolaire, c’est un grande facteur dans l’utilisation des
tics…. » « Oui sans niveau scolaire bien élevé on ne peut pas l’utiliser d’une
façon parfaite… »
Néanmoins un seul échantillon pense que le niveau scolaire ne joue pas
un rôle dans l’usage domestique des TIC cela est justifié par : « oui plus on
n’est instruit on utilise bien l’ordinateur et les tics … »
Ces résultat signifient que le niveau scolaires influence beaucoup dans l’usage
domestique des TIC et cela a expliqué par l’effet que l’employés a un niveau
scolaire qui compatible avec la maitrise des outils informatiques.

2. la discussion des résultats de deux hypothèses :

D’après l’étude de terrain menée auprès de l’entreprise SONATRACH


(Société Nationale pour le Transport et la Commercialisation des
Hydrocarbures) de Bejaia est les résultats obtenus que les deux hypothèses
formulées précédemment se confirment.
En premier lieu l’existence d’un biais technologique spécifique aux TIC
influe sur les compétences au sein de l’entreprise de SONATRACH de BEJAIA,
et en second lieu la diffusion rapide de l’information au sein de l’entreprise
SONATRACH de BEJAIA n’est pas traduite par une égalisation des chances
entre différentes catégories des salariés.
Pour la 1ère hypothèse a été confirmée par rapport au personnel interrogé.
Dans la majorité on constate il existe donc un lien significatif entre les usages
des TIC en tant qu’outil de socialisation, de consultation d’informations et de
transaction en ligne. Cette dépendance peut être expliquée par le fait que les
usages d’Internet sont tributaires des usages des TIC dans leur ensemble, qui,
comme on l’a vu plus tôt, développent des compétences opérationnelles et
transversales, qui sont traduites sous forme de reconnaissance professionnelle.
Ainsi, nous pouvons interpréter les résultats de notre étude de la manière
suivante : l'usage des TIC permettrait un meilleur développement des
compétences relationnelles. Notamment lorsque l'activité et le dynamisme sont
sous-tendues par une dimension interactionnelle et communicationnelle induite
par l'usage des TIC. Cette analyse viendrait alors confirmer le mode
communicationnel permis par l'usage des TIC.
A travers les différentes réponses qu’on a obtenu des différentes questions
qu’on a posées, la 2éme hypothèse se confirme par apport une certaine inégalité
dans l’utilisation des TIC au sein de l’entreprise de SONATRCH de BEJAIA.
Tout les salariés n’ont pas le même droit d’accès à l’information qui dépend du
niveau hiérarchique et de responsabilité et qui justifier une hiérarchie
descendante c'est-à-dire du directeur au sous directeur et aux travailleur en
suivant la hiérarchie.
En effet, L’accès aux TIC au niveau de l’entreprise de SONATRACH de
BEJAIA exige d’autres critères comme l’âge, l’ancienneté et la génération.
comme exemple la génération ancienne n’a pas d’ouverture aux tics comme la
génération de maintenant qui utilise beaucoup plus les tics dans leur vie
quotidienne , et on constate que la CSP a un grand rôle ente les diplômés et les
non diplômés qui fait la différence entre les usagés des TIC ce qui et une réalité
dans l‘entreprise . l’usage des tics renvoit à l’effet de revenu comme le facteur
essentiel et qui touche une catégorie beaucoup plus que les autres et qui a un
impact très sensible et cette catégorie qui est la moins payée dans l’entreprise .
Au delà des richesses que possède l’entreprise SONATRACH DE
BEJAIA en matérielle de TIC ainsi que leur avantage apportait au salarié et a
l’entreprise d’une manière générale, cette dernière il est indispensable pour a
une politique efficace dans l’utilisation TIC de ses employés afin d’améliorer et
de conserver ses compétences, ainsi pour réduire l’inégalité d’utilisation des
TIC entre les différents employés au sein l’entreprise de SONATRACH.
Il faut que les responsables de l’entreprise essayent de procurer toutes les
bonnes conditions nécessaires pour un bon usage des outils est cela nécessite
une bonne formation dans l’ensemble du personnel sur les TIC et leur
fonctionnement pour atteindre les objectifs fixés.
L’analyse et l’interprétation des données collectées justifient cette
constatation, à partir de là, nous pouvons déduire que les technologies de
l’information et de la communication au sein de l’entreprise de SONATRACH
de Bejaïa influencent ces compétences internes ainsi que il ya une inégalité de
l’accès au TIC dans cette dernière.
Conclusion :
L’utilisation des TIC se développe dans les entreprises pour assurer des
taches de plus en plus nombreuses : la communication, la recherche
d’information, la commercialisation des produits et services, le travail en
groupe, la gestion de l’entreprise, la prospection, l’organisation du travail …etc.
Les résultats démontrent que l’impact des TIC est orienté vers le
développement de l’activité de l’entreprise afin de se différencier et d’augmenter
sa productivité l’appropriation des TIC est aussi infiniment liée avec le niveau
d’instruction des employés, L’analyse de l’usage des TIC dans l’entreprise nous
permettra de savoir plus leur importance sur l’entreprise pour la réalisation de
ses objectifs soit dans l’organisation de travail ou l’augmentation de leur
performance sur tous les niveaux . Les TIC est un moyen qui facilitent la
réalisation de travail à temps réel plus de ponctualité et de qualité.
Au sein de l’entreprise SONATRACH, les technologies de l’information
et de la communication jouent un grand rôle dans la réalisation des taches et de
bien à accomplir d’une façon fiable et efficace sans prendre du temps et pour
cela SONATRACH a consacré des ressources matérielles et humaines afin de
bien les maitriser.
Notre recherche vise à repérer les différents effets des TIC, pour parvenir,
nous avons bâti une revue de la littérature nous permettant de cerner les
principaux concepts liés aux TIC, nous citons de l’importance de l’utilisation
des TIC dans l’entreprise est captée par des données qui ont été recueillie
auprès des employés de l’entreprise de SONATRACH. Les résultats basés sur
l’impact d’utilisation des TIC dans l’entreprise ensuite l’impact des inégalités
d’utilisation des TIC, (relationnelles et organisationnelle).
L’impact des TIC apparait évident pour pou la majorité des entreprises.
Malgré que nous avons constaté une nouvelle prise de cognition des
entreprises, presque la plupart des employés admettent à que les nouvelles
technologies constituent une solution en tant que telle pour les relations
humaines et la communication interpersonnelle, il ne s’agit pas de remettre en
cause les TIC mais de chercher à en faire un outil également positif sur le plan
humain et social pour donner aux TIC une impression humain qui rassemble
toutes les catégories sociales
Dans cette rechercher nous avons tenté de montrer comment les (TIC)
influent sur les employés de coté relationnelle et opérationnelle et qui dépasse a
la vie quotidienne des employés.
Au coté relationnel et opérationnel on a trouvé qu’actuellement les TIC
aident les employés à l’amélioration et la circulation de l’information tout en
réduisant les efforts et le temps consacré afin d’atteindre l’information complète
au bon moment pour la bon exécution des ordres hiérarchiques les TIC à
rendent les groupes de travail plus solidaire entre moyennant la communication.
Et l’utilisation des TIC ne s’arrête pas seulement a sont usage professionnelle les
résultats de notre recherche à démontrer que l’usage des TIC est appliqué même
à la vie quotidienne des employés quelque soit sa génération, son âge et sexe.
Au final, les TIC ont un impact sur l’entreprise et sur plusieurs volets
notamment relationnel et opérationnel, organisationnel et les résultats de notre
recherche confirment ceci.
La liste bibliographique :

1. Livres et ouvrages :
1- ALDOSA Nathalie et Cie, Information, communication, organisation, édition
Bréal 143 ALD, France, 2012.
2-BLASIUS, J., FRIEDRICHS, J, Les compétences pratiques font-elles partie
du capital culturel ?, Revue Française de Sociologie, 2003.
3- BOUDJEBBOUR M.S, Les projet NTIC: source de performance de
l’entreprise, division système d’information, CERIST, Algérie, RIST VOL, 12,
n001.année 2002.
4- BORDEAUX, conseil, la communication interne de l’entreprise, Paris, 2004
5-BRETON. P, « La société de la connaissance » : généalogie d’une double
réduction, in Revue internationale de sociologie, éducation et société, n°15,
janvier 2005.
6- BUREAU.H. Nouveau usages, les TIC, quels impact, agence de
l’environnement et de maitrise de l’énergie (ADAME) guide pour les bons
usages, nouvelles technologie, France, juillet 2010.
7- CARRE .P et CASPAR .P, Traité des sciences et techniques de la formation
Paris, Dunod, 1999.

8 –CARE, P, L'Apprenance, vers un nouveau rapport au savoir, Paris : Dunod,


2005.
9-COUTROT, T, L'entreprise néolibérale, nouvelle utopie capitaliste ?, Paris :
La Découverte. 1998.
10-CERCI Bourgogne, la filière des nouvelles technologie de l’information et de
la communication (NTIC) en bourgogne, Enquête TIC, France, octobre 2008.
11- COLLEE Laurent, sécurité et vie privé sur les réseaux sociaux, Mémoire,
pour l’obtention du diplôme de master en gestion de la sécurité des systèmes
d’information, Université du LEXMBOURG, France, 2009.
12- CHARPENTIER. P, « économie et gestion de l’entreprise »NATHAN, juin
2000.
13- DARBELET .M, et autres « l’essentiel sur le management » 5eme édition,
Berti édition, Alger, 2007.
14- DETERIE Philipe. BROYEZ Catherine, la communication interne au
service de management, édition liaison, paris 2001.
15- GLIKMAN Viviane, La formation e-formation entre globalisation des
produits et punirait des services, bougues – globalisme et pluralisme, Montréal,
avril 2002.
16- GOLLAC Michel et autres, Les métiers face aux technologies de
l’information, Editeur La Documentation française, Avril 2003.
17- GRANJON Fabien, Benoit Lelong et Jean-Luc Metzger, Inégalités
numériques. Clivages sociaux et mode d’appropriation des TIC, Hermès
Lavoisier, Paris, 2009.
18-HABERMAS, J, La théorie de l'agir communicationnel, Tome II, Paris :
Fayard, 1987.
19-Ali Kahlane , LE DEVELOPPEMENT DES TIC ET LA TRANSITION
NUMERIQUE EN ALGERIE,
HOTEL HILTON – SALLE ROSA – ALGER, 2013.

20-KALIKA, M. Le rôle stratégique des TIC, in Kalika M., Management et TIC,


5 ans de e-management, Paris : Éditions Liaisons, 2006.
21- LEDRU, M. In Kalika M., Le E-management : quelles transformations dans
l'entreprise ?, Paris : Éditions Liaisons, 2003.
22- LETHIAIS Virgine, Wided SMATI, Appropriation des tics et performance
des entreprise, enquête, Marsouin, France, 2008.
23- MARTIN Ludivine, pierre Emmanuel BOISDRON, Lien entre l’usage de
TIC et l’innovation : vers une typologie de l’entreprise - université de Caen,
France, Cahier no2010-27, Décembre 2010.
24-NEGRI, T., HARDT M, Multitude, Guerre et démocratie à l'époque de
l'Empire, Paris : La Découverte .2004.
25-Michel Matthieu SUNGU MUANDA NTELA, Les nouvelles organisations
et transformations du travail: Les metiers face aux nouvelles technologies de
l'information et de la communication, Université Protestante au Congo -
Licence 2007.
Livres de méthodologie :
36-AKTOUF OMAR, « méthodes des sciences sociales et approches
qualitatives des organisations »édition, presse de l’université de Québec, boul.
laurier Sain Foy, Québec. 1992.
37- ANGERS Maurice « Initiation Pratique à la Méthodologie des Sciences
Sociales », édition Casbah, Alger, 1997.
38-GRAVEL Robert « Guide méthodologique de la recherche », PUQ,
Québec.1978.

39-GRAWITIZ Madeleine « Lexique des sciences sociales », 7emeédition,


Dalloz, 1999.
Les thèses, rapports et colloques :
26-Abdelkader RACHEDI, L'impact des TIC sur l'entreprise, Université de Saida -
Magister 2006.
27- BATAZZI Claudine, L’impact des NTIC dans l’entreprise, CRIC, 2000,
sous la direction de : Ali BOUHENNA.
28- BOUHENNA Ali, « les enjeux des NTIC dans l’entreprise », Faculté des
sciences Economique et de Gestion Université de Tlemcen, Algérie, juin 2003
29- DORTIER J.F : la communication Appliqué aux organisations et la
formation, sous direction d’Abdelkader RACHEDI.
30- GANGANT A , l’impact des NTIC sur le mangement et la qualité, thése
master, sous la direction de M.S.BOUDJEBBOUR,octobre 2001.
31- HERBERT Simon (prix Nobel de science économique en1978), sous
direction M.S. BOUDJEBBOUR, CERIST ,2002.
32- MAURICE Marc , Les Technologie de l’information et de communication
et les problèmes de travail et de l’emploi, LEST-CNRS, Aix-en-Provence,
France, 2000.sous la direction de : Ali BOUHENNA.
33-MONOD.E, Net économie et chaine de la valeur, Document de travail,
LAGON, université de Nantes. Sous la direction de : B.HENRI et Maurice
IMBERT.
34- PETTINGREW AM,Whipp R, Managing changes for competitive success,
Oxford Blackwe,1966.sous la direction de :Ali BOUHENNA.
35-VOILE Michel, Economie des nouvelles technologies : Intranet,
télécommunication, informatique audiovisuel, transport, aérien, « paris »,
Economica, 1999. Sous la direction de M.S. BOUDEBBOUR.
Les dictionnaires :
40-AKOUN .A et ANSART.P et autres, Dictionnaire de Sociologie,
GONZAGUE RAYNAUD (le ROBERT-SEUIL), Octobre 1999.
41-A.AKOUN, A.PIERRE « dictionnaire de sociologie » édition le REBERT,
Seuil, France.1999.SP.
Web graphie :

-: http:www. Techno- science.net.

- http//www.well-grounded.org/fr/node/53.
-Http: www.well-grounded.org/fr/node/53.
-WWW. Intercom.gouv.fr.
-http://hal-paris1.archives-ouvertes.fr/hal-00610652/fr.
-http://ipts.jrc.ec.europa.eu/publications/pub.cfm?id=1466.
http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://fr.readwriteweb.com/2009/10/19/a-
la-une/datajournalism-journalisme-de-donnee-ouvertes-dictature .
Ministère de l’Enseignement Supérieur et la recherche Scientifique
Université Abderrahmane Mira-Bejaia
Faculté des Sciences Humaines et Sociales
Département de Sciences Sociales

Option : Sociologie du Travail et ressources humaines

Guide d’entretien
Sur le thème :
« L’impact des TIC sur l’entreprise ».
Cas pratique «L’Entreprise Direction Régional de SONATRACH de
Bejaia (Société Nationale pour le Transport et la Commercialisation des
Hydrocarbures) ».

Dans le cadre de l’obtention du diplôme de fin de cycle, nous tenons à


vous remercier pour votre contribution notre recherche, dont nous
garantissons l’anonymat et vos réponses seront exploitées pour des fins
scientifiques.

Préparé par :
-MEFTAH Hanafi
-lEKBAL Faicel

Année 2013 /2014


Données personnelle :
1. L’âge :

2. Le sexe :
3 .Poste occupé : Cadre agent de maitrise Agent d’exécution
4. l’ancienneté : moins de 1ans plus de 1ans
Plus de 2ans plus de 3ans
L’impact des TIC sur les compétences
L’impact des TIC sur les compétences opérationnelles :
5. utilisez-vous les TIC ? A quelle fréquence ?
6. Quelles sont les différentes techniques d’information et de communication
que vous utilisez dans votre travail ?
7. Y’aurait-il une amélioration par rapport a la circulation de l’information avec
l’appropriation des TIC?
8. Avez-vous fait face à des difficultés au début de l’insertion des TIC ?
9. Considérez-vous les TIC comme un moyen de développement dans
l’entreprise ? (sur les deux plans relationnels et opérationnels).
10. Pensez-vous que les TIC sont un outil indispensable dans l’entreprise ?
11. Est-ce que les TIC vous permettent l’accès rapide à des nouvelles
informations dans l’entreprise ? Si oui comment ?
12. Selon vous la maitrise technique des machines et de logiciels vous permis
d’être efficaces dans votre contexte professionnel ?si oui comment ?
L’impact des TIC sur les compétences relationnelles :
13. Quel type de communication existe entre différents structures au sein de
l’entreprise ?
14. Quelles sont les différentes formes de communication que vous utilisez ?
15. Selon vous quel sont les canaux interpersonnels les plus utilisé ?
16 .pensez –vous que les TIC introduisent un changement dans le processus de
communication au sien de l’entreprise ? Si oui comment ? A quel niveau ?
17. les TIC permettent-elle d’avoir une cohésion entre différents services de
l’entreprise ?
18. Y’aurait-il une amélioration par rapport a la circulation de l’information
avec l’appropriation des TIC?
L’impact d’utilisation des TIC
19. Avez-vous une responsabilité dans l’e entreprise ? Si oui, dans quel poste ou
service ?
20. Par rapport à votre poste, à quel type d’information vous pouvez y accéder
dans votre entreprise ?
21. Trouvez vous que l’accès à l’information dépend du niveau hiérarchique et
de la responsabilité ?
22. Selon vous quel et le niveau hiérarchique qui peut accéder à l’information
directement par rapport au autre niveau. ?
23. Quelle et votre qualification et votre niveau scolaire ?
24. Trouver vos l’accès à l’information par rapport :
. L’âge
.la génération
.l’ancienneté
25. Trouver-vous que l’utilisation des TIC en relation avec la CSP ?
26. 2A quel point l’effet des revenus joue un rôle dans l’utilisation des TIC ?
28. Est-ce le niveau scolaire joue un rôle dans l’usage domestique des TIC ?

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