Comme si la mort savait conclure Comme si la vie pouvait gagner.
A force de s'aimer l'on ne se connaît plus.
Vous vous souciez tellement que vous sentez que vous saignez à mort avec la douleur.
Chaque épreuve endurée au nom de l'esprit fait grandir notre âme en noblesse et en force.
La carrière d'un écrivain A 30 ans, on dit que tu es "brillant". A 40 ans, on dit que tu as du "talent". A 50 ans, on dit que tu as du "génie". A 60 ans, on dit que tu es un "has-been". A 70 ans, on dit que tu n'es "pas encore mort ?"
Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres.
Ce voeu de retour à la paix, l'humanité le doit à des centaines de milliers de personnes qui, sans aucune faute de leur part, pour le seul fait de leur nationalité ou de leur origine ethnique, ont été vouées à la mort ou à une progressive extinction.
Le temps n'est pas la limitation de l'être mais sa relation avec l'infini. La mort n'est pas anéantissement mais question nécessaire pour que cette relation avec l'infini ou temps se produise.
La vie est unique et considérable mais la mort d'une grande banalité, comme tout ce qui est fatal.
Un acte de vertu, un sacrifice ou de ses intérêts ou de soi-même, est le besoin d'une âme noble, l'amour-propre d'un coeur généreux, est, en quelque sorte, l'égoïsme d'un grand caractère.