En amour, on gagne toujours de bonne guerre ce qu'on peut obtenir par adresse.
Si vous désignez par égoïsme le désir de contenter ses besoins, en ce sens je suis et chaque parcelle de la nature est égoïste.
La vraie passion c'est une quête, pas une impulsion, un emportement, un instinct de chasseur.
L'homme livré à lui-même doit apprendre à déjouer les pièges qui lui sont tendus : l'impatience, le découragement, l'orgueil, le désir de posséder...
La valeur de la vie ne peut se mesurer que par le nombre de fois où l'on a éprouvé une passion ou une émotion profonde.
Quand les gens ont tellement à donner aux autres, n'est-ce pas le signe qu'ils manquent de passion intérieure ?
Si l'amour ne causait que des peines, les oiseaux amoureux ne chanteraient pas tant.
Il n'y a pas de passion à la jouer petit - à se contenter d'une vie inférieure à celle que vous êtes capable de vivre.
Le plus précieux de l'aventure n'était-il pas, tout compte fait, la promesse de joies possibles, le désir non encore assouvi ?
Il y aurait beaucoup de tendresse à apprendre des loups et beaucoup de férocité des tourterelles.