La justice, comme la peste, change les âmes et les visages.
Je ne juge pas les gens en fonction de leur orientation sexuelle ou de la couleur de leur peau, alors je trouve très difficile d'identifier quelqu'un en disant qu'il s'agit d'une personne homosexuelle, noire ou juive.
L'histoire n'est rien d'autre que le lien aléatoire, complémentaire, concurrent et antagoniste, entre désordre et procès de complexification.
Le bon juge condamne le crime sans condamner le criminel.
Oui, il y a des choses que je ne veux pas filmer quand je ne les juge pas nécessaires. Et oui, je pense que tout le monde doit avoir sa propre ligne à ne pas dépasser.
C'est vraiment infernal d'être jugé sur son physique et sur son apparence.
Il y a deux sortes de justice : vous avez l'avocat qui connaît bien la loi, et l'avocat qui connaît bien le juge !
Là où commence le caractère dégradant de l'intrigue, c'est quand on fait la cour à ceux que l'on méprise.
C'est une cruelle injustice de dire à un homme sans bottes de se relever par ses bottes.
Chez moi, c'est la Tour de Babel dans la Cour des Miracles !