Je crois au destin : le jour où l'on doit mourir, on meurt (...) Je suis fataliste. Ce n'est pas en freinant la vie qu'on évite la mort.
Se tuer, dans un sens, c'est comme au mélodrame, c'est avouer. C'est avouer qu'on est dépassé par la vie ou qu'on ne la comprend pas.
La vie n'est vraiment souriante qu'au tout jeune âge : il ne viendra jamais à la pensée d'un enfant, qu'un jour, il pourra perdre sa mère.
La vie est comme un train. Vous prévoyez des retards de temps en temps, mais pas un déraillement.
Ombre parmi les ombresJ'ai tellement rêvé de toiJ'ai tellement marché, tellement parlé,Tellement aimé ton ombre,Qu'il ne me reste plus rien de toi,Il me reste d'être l'ombre parmi les ombres,D'être cent fois plus ombre que l'ombre,D'être l'ombre qui viendra et reviendraDans ta vie ensoleillée.
La vie de l'homme ne dure pas cent ans, mais il porte dans son intérieur le malheur de mille ans.
Je suis retournée vivre en Corse parce que je préfère la vie là-bas.
Toute vie a sa joie ; toute joie a sa loi.
Le mariage est le tombeau de la femme, le principe de toute servitude féminine.
Vieillir ensemble, ce n'est pas ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années.
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